Le ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention, Frédéric Valletoux, à propos de la constitutionalisation de l'IVG : «Il faut essayer de tempérer ce fait. Ça augmente mai ça n'est pas une augmentation massive. C'est la société qui évolue et sans doute qu'il faut aussi pousser le recours, et c'est pour ça que le président de la République l'avait décidé, au préservatif en le rendant gratuit».
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 Alors, je n'ai pas d'explication. Là aussi, il faut essayer de tempérer ce fait.
00:06 Le nombre d'IVG avait beaucoup baissé pendant le Covid et ce qui avait un lien, sans doute,
00:09 et inévitablement, avait beaucoup diminué.
00:12 Donc, c'est vrai que si on regarde par rapport à ce qu'étaient les chiffres de 2020, 2021, 2022,
00:16 on a cette impression tout d'un coup d'un bond.
00:18 Mais quand on regarde plutôt sur le long terme...
00:20 J'ai regardé sur une quinzaine d'années.
00:21 Oui, ça augmente, vous avez raison, mais ce n'est pas une augmentation massive.
00:25 Donc, voilà, c'est sans doute un fait de société qui fait qu'effectivement, il y a plus d'IVG.
00:33 C'est aussi peut-être le fait que...
00:36 Enfin, c'est la société qui évolue et sans doute, il faut aussi pousser le recours.
00:43 Et c'est pour ça que le président de la République l'avait décidé, au préservatif,
00:46 c'est-à-dire, effectivement, en le rendant gratuit,
00:48 permettre effectivement qu'on n'aille pas forcément jusqu'à un IVG, mais qu'on se protège avant.
00:53 Et voilà.
00:54 [Musique]
00:58 [SILENCE]