04/03/2024 - Le 6/9 de France Bleu Bourgogne en vidéo

France Bleu Bourgogne

il y a 9 mois

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00:00:00 Vous êtes bien sur France 3 Bourgogne, France comptée.

00:00:03 Ici c'est France Bleu Bourgogne, à la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux et sur France 3.

00:00:14 Bienvenue, votre 6/9 ça continue toujours en direct sur France Bleu Bourgogne et bienvenue aux téléspectateurs de France 3 Bourgogne qui nous rejoignent.

00:00:21 On est parti pour une nouvelle semaine avec vous, bien sûr. J'espère que vous avez passé un bon week-end, peut-être des bonnes vacances pour beaucoup d'entre vous.

00:00:27 De retour en direct à la radio et à la télé, France Bleu, votre 6/9 avec François Vantejoux, bonjour. Bonjour Cyril, bonjour à tous.

00:00:34 Avec Arnaud Racapet également, bonjour. Bonjour, bonjour à tous. Je crois qu'on peut démarrer la journée. Oui, allons-y.

00:00:39 Bienvenue, c'est lundi, nous sommes le 4 mars et les 7h.

00:00:42 C'est l'actu, c'est chez vous et on vous le résume ici, avec des nuages sur toute la Bourgogne.

00:00:52 Aujourd'hui, on aura 11 degrés pour les températures maxi, des conditions de circulation qui sont tout à fait normales à l'heure actuelle sur l'ensemble de nos routes, de nos autoroutes également et puis dans les transports en commun, ça se passe bien.

00:01:03 On fait le point dans un instant.

00:01:05 Avant ça Arnaud, l'émotion toujours très vive, 24 heures après l'accident mortel d'un quart d'enfant sur l'autoroute à 600 m en Côte d'Or.

00:01:13 Une adolescente de 15 ans est morte, 12 autres personnes sont blessées, 41 enfants partis de Normandie samedi soir direction les Alpes du Sud pour une semaine de colonie de vacances.

00:01:22 Lorsque leur véhicule s'est couché au niveau des guillis, près de Pouilly-en-Aussoie, le chauffeur se serait assoupi.

00:01:28 C'est en tout cas la première et seule explication dont on dispose à l'heure qu'il est.

00:01:31 On va faire le point dans une demi-heure avec le préfet de la Côte d'Or, Franck Robin, c'est lui qui a déclenché le plan "Nombreuses victimes dans la foulée de l'accident".

00:01:38 70 pompiers, 25 gendarmes mobilisés. Et puis vous aussi, vous êtes les bienvenus au 03 80 42 15 15 dès maintenant pour réagir à cette actualité.

00:01:47 On se demande ensemble comment éviter des drames comme celui-ci sur nos routes. Est-ce que notre réseau routier, autoroutier est assez sécurisé ?

00:01:55 De manière générale, l'accident fait évidemment partie des risques quand on part en voyage.

00:02:00 Est-ce que vous vous préparez de manière particulière quand vous partez avec les enfants, les petits-enfants dans la voiture ?

00:02:06 Venez nous le dire, on vous attend donc au 03 80 42 15 15.

00:02:10 Les élèves de Côte d'Or de retour en classe ce matin.

00:02:12 Et c'est un moment un peu redouté par les parents d'élèves à l'école de la Bourdenière à Chenouve.

00:02:18 Souvenez-vous, juste avant les vacances d'hiver, on vous parlait de la mobilisation dans cette grande école du Sud d'Ygenay.

00:02:24 Les parents, les profs dénonçaient alors l'attitude violente de certains élèves en grande difficulté,

00:02:29 accueillis au sein de l'établissement, des insultes, des coups, des jets de chaise en pleine classe,

00:02:35 à tel point que 9 enseignants sur 14 étaient partis en arrêt maladie.

00:02:39 Le rectorat a promis des réponses pour cette rentrée. Olivier Estrand, on ne sait pas lesquels pour l'instant.

00:02:44 En attendant, l'affaire est remontée jusqu'à la ministre déléguée aux personnes handicapées.

00:02:49 Oui, Fadila Katabi se penche sur cette situation.

00:02:52 Chenouve fait partie de la circonscription où elle a été élue comme députée avant de devenir ministre.

00:02:57 Elle participe ce soir à une réunion en visioconférence avec la préfecture de Côte d'Or et le rectorat.

00:03:02 La question, c'est celle de l'intégration en milieu ordinaire de ces enfants qui ne réagissent pas comme les autres.

00:03:08 Quel moyen pour les accompagner et quelles limites ?

00:03:11 Ces élèves à besoins particuliers sont présents dans une classe sur deux de cette école de Chenouve.

00:03:15 Selon les parents d'élèves, deux d'entre eux ne seraient pas de retour aujourd'hui et auraient été orientés vers d'autres structures.

00:03:22 Les parents qui ont manifesté répètent qu'ils ne veulent exclure personne, ils ne veulent pas écarter ces enfants ou leurs parents,

00:03:29 mais souhaitent un vrai accompagnement pour ces élèves par le biais par exemple d'éducateurs spécialisés

00:03:34 qui viendraient renforcer les enseignants parfois dépassés par la situation, des enseignants volontaires.

00:03:40 A priori, ils sont tous de retour ce matin.

00:03:42 Vous avez les détails, notre dossier consacré à cette école de la Bourdenière à Chenouve sur francebleu.fr.

00:03:46 Si vous circulez en voiture dans Dijon ce matin, attention, le chantier du quartier Monge-Beaussuet entre dans une nouvelle phase

00:03:53 avec la fermeture de la rue Crébillon jusqu'au 12 avril.

00:03:58 Les commerces eux restent ouverts, mais une déviation est donc mise en place pour les véhicules.

00:04:02 Le Parlement réunit en congrès à Versailles aujourd'hui pour valider l'inscription de l'IVG dans la Constitution.

00:04:07 Emmanuel Macron voulait aller très vite après le vote du Sénat la semaine dernière pour ratifier cette mesure historique,

00:04:13 même si elle devra aussi se concrétiser sur le terrain.

00:04:16 Parce que dans la vraie vie, loin du château de Versailles, de nombreuses femmes ont encore beaucoup de mal à accéder aux bonnes informations

00:04:23 concernant l'IVG, en particulier en milieu rural.

00:04:27 En Côte d'Or, elles sont nombreuses, ces femmes par exemple, à devoir pousser les portes des permanences physiques

00:04:33 organisées par le Centre d'information sur les droits des femmes.

00:04:37 C'est ce que nous disait la semaine dernière Jacqueline Bongar, sa présidente.

00:04:40 C'est notre travail, puisqu'on offre des permanences juridiques où les femmes peuvent venir de manière gratuite et anonyme

00:04:46 dans 20 lieux sur le département, donc c'est énorme, on va jusqu'à Châtillon, Semur, en Oxo.

00:04:51 On est très très très attaché à continuer à faire des permanences physiques dans le milieu rural.

00:04:57 Ce lien est important avec les femmes, d'ailleurs c'est elles qui nous le disent.

00:05:01 C'est elles qui nous le disent, elles nous disent, c'est beaucoup plus facile de vous parler à vous que de parler à un écran.

00:05:06 En plus, il y a tout l'éloignement de tout ce qui concerne l'informatique, il y a des personnes qui ne sont absolument pas aptes.

00:05:13 Il faut aussi quelqu'un pour les accompagner à l'endroit, dans les maisons France Service ou d'autres endroits où on peut être implanté.

00:05:19 Il faut qu'il y ait une personne qui les mette sur l'écran, qui leur donne l'accès nécessaire, etc.

00:05:23 J'ajoute qu'une manifestation d'opposants à l'avortement est programmée dans les rues de Versailles, aujourd'hui en marge de ce congrès.

00:05:30 La vaccination contre le papillomavirus au collège est un échec.

00:05:34 Seuls 13 à 15% des élèves de 5ème ont reçu leur première injection depuis le mois d'octobre dernier.

00:05:40 Date du début de la grande campagne lancée par le ministère de la Santé.

00:05:44 Campagne qui n'a pas donné les résultats attendus, c'est ce que reconnaît le ministre délégué chargé de la Santé, Frédéric Valtout.

00:05:50 L'on vit les salariés d'Etel 6 prennent le contrôle de leur entreprise.

00:05:54 Cette PME d'une trentaine d'employés spécialisés dans la téléphonie d'entreprise, dans les alarmes, la vidéosurveillance,

00:06:00 se porte très bien avec 3000 clients dans le Grand Est.

00:06:04 Mais voilà, les patrons partaient à la retraite et ils ont voulu transmettre leur bébé à ceux qui le connaissent le mieux finalement.

00:06:10 Et maintenant, les chefs, ce sont les salariés. Thomas Nougaillon.

00:06:13 Oui, alors ça fait quoi d'être le patron ? C'est la question que j'ai posée à Bastien Boutier.

00:06:18 Il est entré chez Etel 6 en 2008 comme câbleur et il est aujourd'hui l'un des trois gérants de la société rachetée mi-octobre dernier.

00:06:25 Pas mal, à 39 ans.

00:06:27 Je ne me sens pas différent. J'aime tellement mon métier, je suis tellement dans mon quotidien.

00:06:30 Par contre, j'ai un poids qui est différent parce que quand vous êtes salarié, on peut vous prévenir de ce que représente la charge d'un dirigeant.

00:06:36 Et tant que vous n'y êtes pas confronté, vous ne pouvez pas le mesurer.

00:06:39 Je sens qu'il y a des personnes qui dépendent de moi et j'ai un devoir vis-à-vis d'eux.

00:06:42 Il faut dire qu'Etel 6, c'est une PME qui fait travailler tout de même 30 salariés.

00:06:46 C'est un peu comme quand vous êtes parent. Vous attendez votre premier enfant, on vous dit attention, c'est des responsabilités.

00:06:52 Et puis le premier jour où vous sortez de la maternité, vous sentez ce poids. Et bien là, c'est le poids que je ressens.

00:06:57 Une reprise préparée durant plusieurs années avec les sédants parce qu'on ne reprend pas comme ça une entreprise qui réalise 6 millions de chiffres d'affaires annuels.

00:07:05 Il y a des entrepreneurs qui achètent des entreprises pour acheter une coquille.

00:07:08 Nous, on a repris une entreprise parce qu'on est des passionnés. C'est une chance que nous ont laissé les sédants.

00:07:11 Et ils avaient une volonté que la philosophie reste égale et ce côté familial.

00:07:16 Etel 6 possède 3000 clients dans tout l'Est de la France. L'objectif de ces repreneurs, c'est de continuer à développer cette société.

00:07:24 Thomas Nougaillon pour France Bleu, un peu moins de 604 000 visiteurs ont poussé la porte du Salon de l'agriculture à Paris cette année.

00:07:32 Chiffre en très léger recul pour une édition marquée par la colère des agriculteurs et des premières heures assez tendues.

00:07:38 Mais le président du salon l'affirme, l'événement reste une fête très populaire, publicité par le grand public.

00:07:43 7h07 en football, les Dijonaises n'ont pas à rougir de leur prestation face à l'Olympique Lyonnais.

00:07:48 Le DFCO s'incline à domicile à Gaston Gérard, certes, mais avec les honneurs. 3 buts à 1 face aux leaders incontestés de la D1.

00:07:54 Elles sont dixièmes nos Dijonaises au classement ce matin.

00:07:57 Avec Décis, on referait aussi le match de nos basketteurs Dijonais.

00:08:01 Passer tout près de l'exploit face à Las Velles hier soir au Palais des Sports, défaite 73-71.

00:08:07 C'est Lyon-Villeurbanne qui s'impose à Dijon en championnat, la GIDEA, elle aussi est dixième au classement.

00:08:13 Pas beaucoup de soleil Cyril aujourd'hui.

00:08:17 Non, quelques éclaircies dit Météo France, et quand Météo France dit quelques éclaircies, c'est que vraiment, il y aura quelques éclaircies.

00:08:23 Vous voyez ce que je veux dire ?

00:08:24 Puisque ce sont les nuages, vous allez le voir tout au long de la journée quand vous allez regarder dans le ciel, vous allez dire "ah ouais, c'est bon, je vois ce qu'il voulait dire".

00:08:31 Alors celle-là était prévue.

00:08:32 Voilà, c'est ça.

00:08:33 Parce que beaucoup de nuages sont dans le ciel de la Bourgogne là aujourd'hui, jusqu'à ce soir donc.

00:08:38 À ce lieu, on a 8 degrés à Isurti, il fera 9.

00:08:41 À Dijon, à Montbarne, à Chatillon, sur Seine, on attend jusqu'à 10.

00:08:44 Alors qu'à Beaune et Chalon sur Saône, il fera 11 maxi.

00:08:47 Et donc, avec quelques éclaircies possibles dans notre ciel aujourd'hui lundi, vous retrouverez cette météo sur votre appli ici, à télécharger dès maintenant.

00:08:56 Rien à signaler sur les routes de Bourgogne ?

00:08:58 Oui, tout va très bien à l'heure actuelle sur l'ensemble de nos routes, de nos autoroutes.

00:09:02 Ça se passe bien dans la métropole dijonnaise.

00:09:04 Faites attention donc à ces quelques travaux.

00:09:06 Travaux qui rentrent dans une nouvelle phase, notamment dans le secteur Monge-Beaussuet.

00:09:10 Et la rue Crébillon qui est fermée jusqu'au 12 avril, ça va entraîner encore plus de bouchons dans le secteur Monge-Cité de la Gastronomie.

00:09:18 Comme tous les matins, vous restez prudents.

00:09:20 Et on se rend just au 03 80 40 de 1515 France Bleu Bourgogne, et la radio de la mobilité avec vous.

00:09:25 En étant direct sur France Bleu et comme tous les matins jusqu'à 9h en simultané sur France 3 Bourgogne.

00:09:37 Savon au lait de chèvre ou au lait de giment, à vous de choisir.

00:09:40 À 7h15, vous allez découvrir l'incroyable aventure de Candy qui s'est lancée dans la fabrication de savons artisanaux à Montmançon.

00:09:47 Les codes ici pour découvrir le monde qui nous entoure, ça arrive dans quelques instants.

00:09:51 Et puis sur France Bleu Bourgogne, on s'est dit comment on fait pour bien les réveiller ?

00:09:55 Et bien on est allé chez Jean-Jacques.

00:09:57 Un bon petit Jean-Jacques Goldman, c'est "the reference" comme on dit.

00:10:00 Non, on ne dit pas ça.

00:10:02 On ne dit pas ça ?

00:10:03 Non.

00:10:04 C'est une référence Jean-Jacques Goldman.

00:10:05 Oui, "the reference".

00:10:06 Au bout de mes rêves, bienvenue c'est France Bleu.

00:10:08 Et même si le temps presse, même s'il est un peu court,

00:10:15 Si les années qu'on me laisse ne sont que minutes et jours,

00:10:23 Et même si l'on m'arrête, ou s'il faut briser des murs,

00:10:31 En soufflant dans des trompettes, ou à force de murmures,

00:10:38 J'irai au bout de mes rêves, tout au bout de mes rêves,

00:10:46 J'irai au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:10:50 Tout au bout de mes rêves, j'irai au bout de mes rêves,

00:10:57 Tout au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:11:01 Tout au bout de mes rêves.

00:11:03 Et même s'il faut partir, changer de terre ou de trace,

00:11:10 S'il faut chercher dans l'ipsy, l'empreinte de mon espace,

00:11:18 Et même si les tempêtes, les dieux modèles et courants,

00:11:25 Nous feront couper la tête, plier les genoux sur le vent,

00:11:33 J'irai au bout de mes rêves, tout au bout de mes rêves,

00:11:40 J'irai au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:11:45 Tout au bout de mes rêves, j'irai au bout de mes rêves.

00:11:51 [Musique]

00:12:05 Et même si tu me laisses au creux d'un mauvais détour,

00:12:13 Dans ces moments où l'on teste la force de nos amours,

00:12:20 Je garderai la vue sûre, au fond de moi tout au fond,

00:12:28 Mais au-dessus je te jure, que j'effacerai ton nom.

00:12:36 J'irai au bout de mes rêves, tout au bout de mes rêves,

00:12:43 J'irai au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:12:47 Tout au bout de mes rêves, j'irai au bout de mes rêves.

00:12:54 Tout au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:12:58 Tout au bout de mes rêves, j'irai au bout de mes rêves.

00:13:05 Tout au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:13:09 Tout au bout de mes rêves, j'irai au bout de mes rêves.

00:13:16 Tout au bout de mes rêves, où la raison s'achève,

00:13:21 Tout au bout de mes rêves, j'irai au bout de mes rêves.

00:13:25 Quand parfois on a des doutes, dans la vie on écoute Jean-Jacques Goldman et tout va mieux.

00:13:29 On vient de l'écouter ici dans votre 6.9, on espère que tout se passe bien pour vous.

00:13:32 À 7h13, on est là, à vos côtés, et au plus près de vous aussi,

00:13:36 grâce aux correspondants de France Bleu Bourgogne.

00:13:38 Juste après les infos de 7h et de 8h, on se connecte avec eux.

00:13:41 Tiens c'est Pascal que l'on rejoint à Nuit Saint-Georges. Bonjour Pascal !

00:13:44 Bonjour Cyril, comment allez-vous ?

00:13:46 Bah écoutez, très bien ce lundi matin. Et de votre côté, ça se passe bien ?

00:13:49 Ça se passe pas mal, on va le savoir.

00:13:51 Pascal, Nuit Saint-Georges, alors de quoi vous allez vouloir nous parler aujourd'hui de Nuit Saint-Georges ?

00:13:57 Alors, bon, il y a deux-trois trucs à voir à Nuit Saint-Georges.

00:14:01 Il y a le semi-marathon ce week-end.

00:14:04 Ouais ?

00:14:05 Le semi-marathon.

00:14:06 Alors c'est dans le cadre de la vente des vins des Hospices de Nuit Saint-Georges, il y a plein de choses ce week-end.

00:14:10 Voilà.

00:14:11 C'est le semi-marathon, il y a les 10 km qui se déroulent en même temps,

00:14:15 et le matin, il y a marche nordique à 9h.

00:14:18 D'accord.

00:14:19 Ça c'est pour les sportifs, quoi ?

00:14:21 Ouais, c'est pour les sportifs, ouais.

00:14:24 Bon, bah très bien.

00:14:25 Il y a une porte ouverte à 9 mars à la MFR à Agencourt, aussi.

00:14:29 D'accord, ok.

00:14:30 Donc, porte ouverte pour découvrir les différentes formations, c'est ça, de la MFR ?

00:14:36 Ouais, c'est ça, oui.

00:14:37 La MFR, ils font des...

00:14:39 C'est comme une école, mais ils forment des gens pour la vente, pour...

00:14:44 dans le vin, tout ça.

00:14:46 Bah oui.

00:14:47 Ça confirme, c'est une école, Pascal.

00:14:49 C'est une école, voilà.

00:14:50 Bon, bah nickel, parfait.

00:14:52 Agencourt, c'est ça, et c'est samedi ?

00:14:54 Agencourt, oui.

00:14:55 Samedi, oui.

00:14:56 Et puis sinon, la vente des vins, des oscouces de nuit Saint-Georges...

00:14:59 Le marathon, il faut y aller, parce qu'il y a des coureurs qui se déguisent, c'est vraiment rigolo.

00:15:05 Oui, c'est vrai que même si on n'est pas sportif, même si on n'a pas mis les baskets,

00:15:08 on peut quand même venir juste pour voir un petit peu comment ça se passe.

00:15:11 Oui, oui.

00:15:12 Ok, parfait.

00:15:13 Et puis, notez aussi qu'il y a le salon du chocolat, pendant cette vente des vins des

00:15:18 oscouces de nuit Saint-Georges, avec le contre-la-montre du chocolat France Bleu Bourgogne, La Cabote,

00:15:23 où en fait on peut venir et s'essayer à des montages de chocolat, et il y a cinq pièces

00:15:28 autour du Tour de France, autour du cyclisme, et vous pouvez encore vous inscrire pour peut-être

00:15:32 gagner plein de cadeaux, et peut-être le prix d'or, et repartir donc avec ces très

00:15:36 beaux cadeaux France Bleu Bourgogne et La Cabote.

00:15:38 Inscrivez-vous en nous appelant maintenant au 03 80 42 15 15.

00:15:43 Voilà, le message est passé.

00:15:44 Merci Pascal.

00:15:45 De rien, au revoir et à la prochaine, et bonne journée à vous tous.

00:15:48 Mais complètement, mais exactement, parce que vous avez raison.

00:15:52 A bientôt, parce que les correspondants de France Bleu Bourgogne sont là tous les

00:15:54 matins pour vous raconter la vie d'ici.

00:15:57 On montre trop souvent des images négatives de nos quartiers, alors qu'il y a de très

00:16:07 belles initiatives en Bourgogne-France-Comté.

00:16:09 Je vais vous le prouver avec Samuel et ses deux mini-web-séries super.

00:16:13 Jérémy aura forcément de grands plans pour nous, et nous allons cuisiner la frite.

00:16:16 Oui, le chef à la patate, et nous aussi.

00:16:18 Le 6/9 France Bleu Bourgogne.

00:16:31 On commence à discuter avec Candi, c'est en direct sur France Bleu Bourgogne.

00:16:37 François est là également.

00:16:38 Je vous présente celle que vous allez aimer dans un instant, parce que grâce à elle,

00:16:44 vous allez sentir bon.

00:16:45 J'espère.

00:16:46 Dans le 6/9, on place les artisans, les producteurs, les éleveurs, les chefs d'entreprise sur

00:16:52 le devant de la scène et dans les codes ici.

00:16:54 On voulait vous présenter le bon savon avec la belle bulle à Montmanson.

00:16:58 C'est Candi Sallignon.

00:16:59 Bonjour.

00:17:00 Bonjour à tous.

00:17:01 Merci d'être là.

00:17:02 Vous n'êtes pas venue toute seule.

00:17:03 Non, je suis venue avec mon troupeau.

00:17:05 Avec votre troupeau.

00:17:06 Racontez-nous un peu.

00:17:07 Vous faites des savons artisanaux, c'est ça ?

00:17:08 Oui, c'est ça.

00:17:09 Depuis un mois.

00:17:10 J'ai ouvert depuis un mois.

00:17:11 Mon entreprise est ouverte depuis six mois, parce qu'on a une grosse part de législation

00:17:15 à faire avant d'ouvrir.

00:17:17 Mais j'ouvre vraiment à la vente depuis un mois.

00:17:19 C'est tout nouveau.

00:17:20 C'est tout nouveau.

00:17:21 Alors, des savons qui sont particuliers, puisque vous utilisez un lait particulier pour les

00:17:25 crêpes.

00:17:26 J'ai des chèvres à la maison depuis quelques années.

00:17:28 J'adore les chèvres depuis que je suis enfant.

00:17:29 Si vous regardez France 3 et que vous êtes sur la piste, en plus, elle est venue avec

00:17:33 les photos de famille.

00:17:34 Voilà, les photos de famille.

00:17:35 Donc ici, on a Flocon avec son bébé.

00:17:38 Elle nous regarde très très intensément.

00:17:40 Il ne faut pas approcher son bébé.

00:17:42 C'est grâce à elle qu'on a les premiers savons.

00:17:45 Parce que c'est avec son lait à elle qu'on a les premiers savons.

00:17:48 Parce qu'on a eu un chevreau.

00:17:50 Donc forcément, on l'a trait.

00:17:52 Puis après, on a gardé le lait pour faire les savons.

00:17:54 Donc c'est notre première chèvre qui nous donne les savons.

00:17:59 Et on les a eus bébés, quand elles étaient toutes petites.

00:18:03 On a aussi les photos des tout-bébés.

00:18:05 On aurait dû faire dans l'autre sens.

00:18:07 Mais ce n'est pas grave.

00:18:08 On a Flocon et Fleur.

00:18:09 Elles sont en train de téter.

00:18:12 Elles ont deux jours.

00:18:13 Ah ouais, deux jours !

00:18:14 Deux jours.

00:18:15 Vous en avez combien des chèvres ?

00:18:17 En tout, j'en ai quatre.

00:18:18 Ça me suffit pour mon activité pour le moment.

00:18:21 Parce qu'on garde le lait, on le congèle.

00:18:23 Donc on le garde sur une année.

00:18:25 Ça fait un gros paquet de lait.

00:18:26 Une chèvre, ça fait deux litres de lait par jour.

00:18:28 Donc voilà, j'ai assez.

00:18:30 Il y a ce qu'il faut.

00:18:31 Donc il est de chèvre et il est de jument aussi.

00:18:32 Les juments, c'est un éleveur qui m'a contacté dans le Doubs.

00:18:35 François a lu la photo.

00:18:37 C'est un éleveur de comptoises qui est dans le Doubs.

00:18:40 Étienne Court, qui élève des comptoises pour le lait de jument.

00:18:43 C'est un élevage à connaître parce qu'il y en a très peu en France.

00:18:46 Il y en a quatre ou cinq en France.

00:18:48 Et le lait de jument, c'est un lait qui est très très riche.

00:18:50 Qui est proche de notre lait à nous, du lait maternel.

00:18:52 D'ailleurs, on peut le donner au bébé s'il y a un manque de lait maternel.

00:18:55 Et du coup, au niveau allergène, il y a encore moins d'allergènes.

00:18:58 Et il est beaucoup plus gras.

00:18:59 C'est le lait le plus gras qui existe.

00:19:01 D'accord, parce qu'il y a des vertus, évidemment.

00:19:04 Oui, on ne met pas n'importe quoi.

00:19:07 Quand on fait un savon, quand on met quelque chose dans le savon,

00:19:09 c'est pour un intérêt, aussi bien au niveau huile qu'au niveau plante.

00:19:12 On cherche un intérêt quand même.

00:19:14 Bien sûr.

00:19:15 Et alors, du coup, vous maîtrisez vraiment la fabrication de A à Z.

00:19:20 Ah oui, c'est de A à Z.

00:19:22 J'ai fait des formations, aussi bien législatives que techniques.

00:19:27 Et puis après, c'est l'expérience.

00:19:29 Il faut en faire un petit paquet.

00:19:30 Il faut en rater aussi un paquet.

00:19:31 C'est vrai ?

00:19:32 Il y a des petits ratés de temps en temps.

00:19:33 Il faut savoir ce qui se passe aussi quand on rate.

00:19:35 Il faut analyser quand même les choses.

00:19:37 Et puis, beaucoup aussi avec les réseaux de savonniers.

00:19:40 On s'en traite aussi pas mal au niveau de la France.

00:19:43 Et puis tout doucement, on progresse.

00:19:45 Et puis on arrive à sortir des produits intéressants.

00:19:47 Et vous faites aussi...

00:19:49 J'ai vu des produits ménagers.

00:19:50 Oui, j'ai fait un savon coco-cendre.

00:19:53 Qui sert à quoi ?

00:19:55 C'est pour faire la vaisselle, pour faire les plans de travail, nettoyer le sol.

00:19:58 Et si on le rape, j'ai fait les copeaux pour faire de la lessive.

00:20:01 Ah oui ?

00:20:03 C'est pratique.

00:20:04 C'est de A à Z aussi.

00:20:05 En deux ans donc.

00:20:07 Le but aussi de tout ça, c'était de supprimer les emballages plastiques.

00:20:11 Supprimer les produits industriels.

00:20:14 Et puis retourner à des choses assez naturelles.

00:20:17 Et puis plus d'emballages, plus rien.

00:20:19 Et alors c'est beau aussi.

00:20:21 François, vous allez pouvoir tester.

00:20:23 Ça sent bon déjà.

00:20:25 C'est à côté de tous les savons.

00:20:27 Et en plus, le savon...

00:20:29 J'essaye de les faire design.

00:20:31 J'en vois un pied.

00:20:33 Un petit pied pour les baptêmes.

00:20:35 Je fais des savons invités.

00:20:38 Au lieu d'offrir des dragées, on offre des petits savons.

00:20:40 Je fais des savons invités pour offrir aux paramarrains, aux grands-parents.

00:20:44 Et puis ça commence à bien marcher.

00:20:46 Les gens me commandent des savons.

00:20:47 Alors j'ai le petit pied, le petit biberon, le petit nounours.

00:20:50 Et puis il y a des savons qui sont dans la vague.

00:20:52 Dans la vague, ça c'est le savon au monoeil.

00:20:56 Ma fille adorait le monoeil, donc j'en ai fait un exprès pour elle.

00:20:59 Puis comme elle l'a aimé, j'ai dit je vais essayer d'en faire un pour tout le monde.

00:21:02 Et puis j'ai représenté une vague avec les couleurs de l'océan.

00:21:05 Puis à terme, je vais mettre des petits coquillages en savon dessus.

00:21:08 Blanc, pour un peu encore l'améliorer.

00:21:11 Les choses vont évoluer. Où est-ce qu'on peut vous trouver ?

00:21:13 Où est-ce qu'on peut trouver vos savons ?

00:21:15 Mes savons sont déjà à Montmançon, dans la boutique.

00:21:18 J'ouvre une fois par mois, le premier vendredi de chaque mois.

00:21:20 Et puis aussi on peut les retrouver au château Amirabelle, à Mirbeau.

00:21:23 Elle cartonne, elle est tout le temps dévalisée pour le moment.

00:21:26 Tant mieux !

00:21:28 Et puis aussi aux Olivier de Belleneuve.

00:21:30 A Belleneuve, c'est une petite boutique, une épicerie bio, qui est super intéressante.

00:21:34 Et d'ailleurs on en parlera, puisqu'ils seront à votre place demain dans les Codicis à 7h15.

00:21:38 Ah bah voilà, vous allez rencontrer deux belles personnes.

00:21:41 Et puis à Varange, à Lirondelle aussi.

00:21:44 Et puis sinon je fais les marchés locaux.

00:21:47 Je fais Lamarche, Renève et Mirbeau.

00:21:50 Bon et puis de toute façon on peut vous trouver sur les réseaux.

00:21:53 C'est assez facile, la belle bulle à Montmançon.

00:21:56 Merci Candide d'être venue avec nous ce matin sur France Bleu Bourgogne.

00:22:00 Pour nous parler de vos savons.

00:22:02 Bonne continuation en tout cas.

00:22:04 Merci beaucoup, à bientôt.

00:22:06 Toutes les actions des artisans, des agriculteurs, des épiciers aussi, des entreprises, sont dans les Codicis tous les matins à 7h15.

00:22:11 Vous vous réveillez tranquillement, vous prenez le temps.

00:22:15 Ce matin, les enfants sont au petit déjeuner.

00:22:17 Et ensemble on va écouter un extrait d'un opéra urbain sur Molière, figurez-vous.

00:22:23 Ça s'appelle "Et si c'était en deux".

00:22:25 C'est sur France Bleu Bourgogne et France 3 Bourgogne comme tous les matins, en début de journée.

00:22:29 Entre les jours de liesse, les nuits que l'on tamise, on danse sur les braises que l'on bâtise.

00:22:40 Entre toutes ces promesses et les larmes qui glissent, l'amour au cœur me laisse des cicatrices.

00:22:54 Danse, danse, danse, danse, tais-toi que je danse pour toi.

00:22:59 Mais mon amour, dans ces danses on se tourne autour.

00:23:05 Même si le jeu est dangereux, on pourrait le gagner à deux.

00:23:12 Mais mon amour, dans ces danses on se tourne autour.

00:23:18 Un bras joué à tête, on donne au bilan jeu.

00:23:24 Et si c'était en deux, et si c'était en deux.

00:23:31 Je voudrais sur ta bouche te poser, mais enfin, l'amour dès qu'on le touche, touche à sa fin.

00:23:45 Même s'il y a une fin, oh je t'aime.

00:23:50 Dis-moi que ça en vaut la peine.

00:23:56 Danse, danse, danse, danse, dis-moi, tu danses pour qui et pour quoi ?

00:24:04 Danse, danse, danse, danse, dis-toi que je danse pour toi.

00:24:10 Mais mon amour, dans ces danses on se tourne autour.

00:24:15 Même si le jeu est dangereux, on pourrait le gagner à deux.

00:24:22 Mais mon amour, dans ces danses on se tourne autour.

00:24:28 Un boudoir joué avec le feu, on donne au bilan jeu.

00:24:35 Et si c'était en deux, et si c'était en deux.

00:24:41 Mon amour, malgré la peine que l'on encoure.

00:24:48 Même si le jeu est dangereux, on pourrait le gagner à deux.

00:24:55 Mais mon amour, dans ces danses on se tourne autour.

00:25:00 Un boudoir joué avec le feu, on donne au bilan jeu.

00:25:06 Et si c'était en deux, et si c'était en deux.

00:25:13 Et si c'était en deux, et si c'était en deux.

00:25:19 Mais ce sera jamais nous deux.

00:25:23 Ce sera jamais nous deux. Mais si, ce sera nous deux.

00:25:25 Ce sera vous, ce sera nous.

00:25:26 On est là, on est ensemble sur France Bleu Bourgogne

00:25:28 pour bien se réveiller, pour bien démarrer la journée.

00:25:30 On vous informe, on vous divertit. Dans un instant on va découvrir que

00:25:33 nos vins de Bourgogne d'aujourd'hui ont des grands-parents, des cépages grands-parents.

00:25:38 Un arbre généalogique à découvrir dans plus belle la ville.

00:25:40 Ça va arriver très rapidement.

00:25:41 Avant ça, et ça c'est important, on le fait tous les matins,

00:25:44 on prend de vos nouvelles via le Facebook France Bleu Bourgogne.

00:25:47 Vous nous laissez vos messages.

00:25:48 Tiens par exemple, Magali, elle habite à Chambuff, Magali.

00:25:51 Elle a relevé 3 degrés.

00:25:53 Voilà, 3 degrés à Chambuff avec un ciel qui est couvert quand même.

00:25:56 Florence est avec nous également.

00:25:57 Un vrai plaisir de vous revoir.

00:25:59 Merci Florence, ça fait plaisir également.

00:26:01 3 degrés, par contre ressenti zéro.

00:26:03 C'est ça qui me fait un peu mal.

00:26:04 Ça pique un peu ce matin dans certains secteurs.

00:26:06 Voilà, elle dit heureusement on profite déjà du chant des oiseaux.

00:26:10 C'est vrai que les oiseaux eux sont déjà un peu de sorti.

00:26:13 Et donc ça fait du bien de les entendre.

00:26:15 Ça nous met un peu déjà dans le printemps.

00:26:17 Quelques messages seulement, quelques commentaires.

00:26:19 Il y en a plein.

00:26:20 Venez rejoindre la tribu de celles et ceux qui sont là sur le Facebook France Bleu Bourgogne.

00:26:25 Merci.

00:26:26 À 7h26 comme tous les jours.

00:26:27 Qui sont donc les grands-parents de nos pinots et de nos chardonnays bourguignons ?

00:26:31 Dans Plus Belle la Vigne, dans les coulisses du vin.

00:26:34 Justement, on construit l'arbre généalogique des cépages de notre Bourgogne et de notre région viticole.

00:26:40 Bonjour Charlotte.

00:26:41 Bonjour Cyril.

00:26:42 Comment on fait cet arbre-là ?

00:26:44 Tout simplement en nous baladant, comme on le fait d'ailleurs très régulièrement dans les vignes.

00:26:48 On vous emmène dans une parcelle très spéciale cette fois-ci.

00:26:51 Je suis avec deux représentants de l'association Le Geste,

00:26:55 le groupement d'études et de suivi des terroirs,

00:26:58 Jean-Claude Vigneron et Agnès, animatrice officielle de cet assaut.

00:27:03 Alors, on est dans la zone des Hautes Côtes.

00:27:05 On est à proximité de Beaune et Savigny-les-Beaunes.

00:27:08 Voilà, sur ce qu'on appelle le Mont Batoit, qui est une des montagnes de Beaune.

00:27:12 Donc autour de nous, il y a des forêts.

00:27:14 Alors, on est en pleine situation Hautes Côtes.

00:27:17 Il y a des forêts, il y a des prés, il y a des champs.

00:27:20 Et puis, toutes les parties les appropriées pour la vigne.

00:27:24 Et particularité de ce lieu, c'est qu'il y a quand même une clôture tout autour.

00:27:32 Alors, on a clôturé à cause des animaux.

00:27:34 Parce qu'on se fait manger au printemps par les chevreuils, les petites pousses de vigne.

00:27:39 Donc, ce n'est pas le but.

00:27:41 Et puis surtout, c'est plutôt même sur la maturité, à partir du moment où les raisins commencent à mûrir.

00:27:47 Étant donné qu'on fait des suivis agronomiques pour déterminer la maturité de chaque cépage.

00:27:52 Là, en fait, ils se régalent.

00:27:54 Donc, c'est plutôt là-dessus.

00:27:56 Donc, on a décidé de clôturer.

00:27:59 Tout en faisant en sorte que le site reste accessible.

00:28:03 Parce que c'est le but.

00:28:04 - Il peut venir.

00:28:05 - Oui, en fait, c'est ça.

00:28:06 C'est que le site, il a été pensé pour être visité en autonomie.

00:28:09 Il y a différents panneaux qui expliquent le projet, l'association.

00:28:12 Et puis, la répartition de la parcelle, comment elle a été pensée, etc.

00:28:17 - Alors là, vous aviez pris des notes avec vous ?

00:28:19 - Alors, ce n'est pas très radiophonique.

00:28:21 C'est un arbre généalogique que j'ai fait.

00:28:23 Qui reprend tous les cépages du conservatoire et leurs liens de parenté.

00:28:27 - D'accord.

00:28:28 - Voilà, on voit que c'est un melting pot avec trois grands-parents.

00:28:32 Que sont le noirien qui a donné le pinot noir.

00:28:34 Alors, on ne sait pas exactement, est-ce que c'est une sélection ?

00:28:37 Est-ce que c'est une mutation ?

00:28:39 Mais ça a donné le pinot qui lui-même a donné plein de petits.

00:28:41 Pinot gris, pinot blanc, etc.

00:28:43 Le gouet qui est un grand-grand-parent de beaucoup de cépages qualitatifs en France.

00:28:48 Et notamment, parce qu'il nous intéresse le chardonnay, la ligotée, le gamay et d'autres.

00:28:54 Et le tresseau qui est un vieux, vieux cépage de Lyon.

00:28:58 Il est décrit au 14ème déjà, je crois.

00:29:00 Donc, vieux cépage.

00:29:02 Qui a donné, alors nous, ce qui nous intéresse c'est l'arbane.

00:29:05 Et c'est aussi, par exemple, le parent de la mondose noire en Savoie.

00:29:08 Des vieux cépages bourguignons en pleine terre, dans un conservatoire à ciel ouvert, sur les hautes côtes de Beaune.

00:29:14 Et que vous pouvez évidemment suivre sur l'appli ICI et jusqu'à vendredi sur France Bleu et France 3 dans votre 6/9.

00:29:21 Que s'est-il passé sur l'autoroute A6 ce week-end ? Accident en deux quarts.

00:29:25 France Bleu, Bourgogne, Yété, on vous raconte dans un instant.

00:29:33 Jeudi, suite au décès de Jean-Pierre Soissons, survenu le 27 février,

00:29:37 France 3, Bourgogne-Franche-Comté vous propose de revoir un documentaire de 2018.

00:29:41 S'il y avait une devise républicaine de Jean-Pierre Soissons, ce serait générosité, audace, exigence.

00:29:49 Portrait d'un homme politique que les bourguignons connaissent bien.

00:29:53 Le travail, l'amant du pays et l'amant des gens. C'est ça la recette, il n'y en a pas d'autre.

00:29:58 Jean-Pierre Soissons, Ma cinquième république, jeudi à 22h50 sur France 3, Bourgogne-Franche-Comté et sur la plateforme France.tv.

00:30:06 Du beau, du bon, du frais. Du lundi au vendredi, vous avez rendez-vous en cuisine.

00:30:12 Chaque jour, parcourez les quatre coins de l'Hexagone dans une nouvelle émission.

00:30:16 C'était parfait. Il y a du rabe ou quoi ?

00:30:19 Recette originale au classique. Vos rendez-vous culinaires, c'est du lundi au vendredi à 10h10 sur France 3, Bourgogne-Franche-Comté.

00:30:27 [Musique]

00:30:42 France Bleu Bourgogne, ici où on parle d'ici.

00:30:45 Bonne fête au Casimir, c'est lundi, aujourd'hui il est 7h30.

00:30:48 On aura des nuages toute la journée, 11 degrés maxi sur notre Bourgogne.

00:30:52 Les conditions de circulation qui sont normales, ça veut dire que ça commence un petit peu à coincer autour de Dijon.

00:30:56 On va y revenir en détail et avec vous.

00:30:58 Avant ça, François Vantejoux, la Côte d'Or marquée par un dramatique accident de car ce week-end.

00:31:06 Une adolescente de 15 ans est morte sur l'autoroute A6 à la hauteur d'Aiguilles dans la nuit de samedi à dimanche.

00:31:11 Il y a aussi 12 blessés dont un grave.

00:31:13 Le bus transportait 51 personnes, 10 adultes et 41 enfants.

00:31:17 Tous sont partis samedi soir des Andes, lit dans l'heure, direction les Hautes-Alpes pour une colonie de vacances au ski.

00:31:23 A la hauteur d'Aiguilles, près de Pouillon-aux-Soix, le bus s'est couché sur le flanc.

00:31:27 Dimitri Morgado, le chauffeur pense s'être assoupi.

00:31:30 J'ai senti mon volant vibrer mais le bus était déjà en train de quitter la route.

00:31:35 C'est ce qu'explique pour l'instant le chauffeur.

00:31:37 Le parquet de Dijon de son côté indique que l'homme a été contrôlé négatif au stupéfiant et à l'alcool.

00:31:43 Vers 1h40, il pleut. C'est à ce moment-là que le bus dévide sa trajectoire et se retrouve couché sur le flanc.

00:31:49 Les secours dégagent rapidement les victimes.

00:31:52 6 adultes et 6 enfants sont emmenés au CHU de Dijon.

00:31:55 L'un d'eux est gravement blessé, les autres plus légèrement.

00:31:58 Le reste des victimes est d'abord transféré dans une salle commune à la proximité.

00:32:02 Très vite, une cellule médico-psychologique est mise en place dans les murs du collège André Allemand de Pouillon-aux-Soix.

00:32:09 Les familles sont alertées, elles prennent la route.

00:32:12 Toute la journée, elles sont venues au compte-gouttes récupérer leurs enfants sur leur visage.

00:32:16 On pouvait lire à la fois le choc et le soulagement.

00:32:19 Des enfants de retour chez eux en Normandie.

00:32:21 Une cellule d'urgence médico-psychologique va ouvrir cet après-midi aux Andelies.

00:32:25 En parallèle, une enquête a été ouverte pour homicides involontaires et blessures involontaires.

00:32:30 On reviendra sur cet accident juste après ce journal avec l'invité du 6-9, c'est le préfet de Côte d'Or, Franck Robin.

00:32:36 C'est lui qui a déclenché le plan. De nombreuses victimes, 70 pompiers et 25 gendarmes mobilisés.

00:32:42 On va faire aussi avec lui le point sur l'enquête et l'accident.

00:32:46 Un blessé grave dans un accident de la route hier après-midi à Mirbeau-sur-Baie, sur la départementale 701.

00:32:52 La victime était seule à bord, elle a été transportée au CHU de Dijon.

00:32:56 C'était en 2015 le déraillement mortel d'un TGV en Alsace.

00:32:59 Et neuf ans après ce drame et la mort de 11 personnes, le procès s'ouvre aujourd'hui à Paris.

00:33:04 La rame du TGV a déraillé pendant un essai sur la ligne à grande vitesse.

00:33:09 Sur le banc des accusés, notamment la SNCF et deux filiales, mais aussi trois employés.

00:33:14 Ils sont jugés pour homicide et blessures involontaires.

00:33:17 La vitesse du train pourrait être à l'origine de l'accident.

00:33:20 Les animaux du salon de l'agriculture de retour dans leur exploitation.

00:33:24 Depuis hier soir, les portes sont fermées.

00:33:26 Le salon a accueilli plus de 603 000 visiteurs d'après les organisateurs.

00:33:31 C'est en légère baisse de 2% par rapport à 2023.

00:33:34 Une 60e édition marquée par la crise agricole.

00:33:37 Forcément, les braises sont brûlantes, prévient le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau,

00:33:43 qui annonce que des actions pourraient avoir lieu dans les prochains jours.

00:33:46 Ça va arriver, ça va arriver à l'initiative du terrain, parce que rendre les choses concrètes,

00:33:53 quand vous attendez dans votre exploitation de la simplification,

00:33:56 par exemple, le Premier ministre a parlé d'un contrôle unique administratif annuel.

00:34:00 Au moment où je vous parle, je ne sais pas comment ça se décline.

00:34:03 Et la personne qui va avoir dans son exploitation 1, 2, 3, 4 contrôles,

00:34:07 évidemment, lui, il a envie que ça avance plus vite.

00:34:10 Et donc, on continuera à avoir des actions sur le terrain dans les 15 jours qui viennent.

00:34:13 Je vous rappelle qu'il y a une échéance importante qui sont les élections européennes au mois de juin.

00:34:18 Et puis, on attend aussi une loi.

00:34:20 Elle va être aussi un moment dans lequel on va vouloir nous pousser un certain nombre de choses auprès des parlementaires.

00:34:25 Donc, penser que d'ici 15 jours, tout s'achèvera est une erreur. Ce ne sera pas le cas.

00:34:29 Arnaud Rousseau, président de la FNSEA.

00:34:31 C'est la dernière étape avant l'inscription de l'IVG dans la Constitution.

00:34:35 Les 925 parlementaires se réunissent en congrès aujourd'hui au château de Versailles.

00:34:39 Ils vont graver dans le marbre la liberté garantie à la femme d'avoir recours à une interruption volontaire de grossesse.

00:34:45 La France va être le premier pays à protéger le droit à l'avortement.

00:34:48 France-Bleubourgogne, 100% sport, à part les baskets, la GDA passait à deux doigts de l'exploit.

00:34:53 Contre Lasvell, Lyon-Villeurbanne, l'équipe la plus titrée de France.

00:34:56 Une défaite 71-73 hier soir au Palais des Sports face au deuxième du championnat.

00:35:02 Pour les Dijonnais, c'est tout de même une performance avec seulement 8 joueurs professionnels sur la feuille de match.

00:35:07 Performance même saluée par l'entraîneur lyonnais Pierrick Poupée.

00:35:11 D'abord, je voudrais féliciter Dijon qui a fait un très bon match.

00:35:14 Très très bon match et c'est ce qui rend notre victoire très appréciable.

00:35:18 Et je place cette victoire devant beaucoup d'autres parce que jouer Dijon, c'est jamais facile.

00:35:23 Ils ont joué avec beaucoup de cœur aujourd'hui.

00:35:25 Très belle équipe de Dijon aujourd'hui qui aurait pu aussi mériter la victoire sans problème.

00:35:28 Je crois que c'était un match d'hommes.

00:35:30 Tout le monde s'est vraiment bagarré, donné.

00:35:32 Je pense que les deux équipes ont laissé pas mal d'énergie ce soir.

00:35:34 Et donc je suis très satisfait que ça tombe de notre côté.

00:35:36 La GDA est 11e du championnat, 11 victoires, 13 défaites.

00:35:39 Prochain rendez-vous en élite, samedi au Palais des Sports contre Paris-Avancelle.

00:35:43 Il y aura un match de Ligue des Champions mercredi en Allemagne.

00:35:45 Et puis un petit mot de football avec là aussi de la frustration mais de la fierté tout de même

00:35:49 pour les footballeuses dijonaises.

00:35:51 Elles ont tenu tête pendant une mi-temps à l'Olympique Lyonnais.

00:35:53 Au final, une défaite 3-1 hier soir à Gaston-Gérard.

00:35:56 Elles sont désormais 10e avec 5 points d'avance sur la zone de relégation en D1 féminine.

00:36:00 Et Cyril, toujours beaucoup de nuages dans le ciel de Bourgogne aujourd'hui.

00:36:06 Exactement, on est dans le gris complètement.

00:36:09 Il y aura quelques éclaircies du météo France.

00:36:11 Elles sont possibles mais globalement c'est quand même pas mal de nuages sur toute la région aujourd'hui.

00:36:16 A ce lieu, on va aller jusqu'à 8 degrés maxi.

00:36:18 A Isurti, il fera 9.

00:36:20 Si vous êtes sur Dijon, le Mont Bardouin, le Châtillonnet, on attend jusqu'à 10.

00:36:23 Alors qu'à Beaune et Châlons-sur-Saône, il fera 11.

00:36:26 Maxi, vous pouvez bien évidemment retrouver cette météo et on va la faire évoluer

00:36:29 avec les collègues de France Bleu et France 3 tout au long de la journée.

00:36:32 On a quelques difficultés sur les routes autour de Dijon, ça commence.

00:36:36 C'est la rentrée.

00:36:37 Oui, c'est ça, on revient au boulot et on est nombreux.

00:36:41 Vous êtes nombreux par exemple à emprunter la Lino au nord de la métropole dijonaise.

00:36:44 La circulation est ralentie avant les changeurs de Fontaine-les-Dijons à Ouy.

00:36:47 C'est le cas également quand vous arrivez justement de Missigny-et-Ventoux en direction de Latoison-d'Or.

00:36:52 Restez prudent et on fait le point aussi sur les routes départementales.

00:36:55 Et ça, on le fait comme tous les matins pendant la période hivernale

00:36:58 avec le Conseil départemental de la Côte d'Or, le CIGT, le Centre d'Information et de Gestion du Trafic.

00:37:03 On y retrouve Didier Lahi. Bonjour Didier.

00:37:05 Bonjour.

00:37:06 Comment ça roule ce matin à 7h36 ?

00:37:08 Ça roule plutôt bien sur les routes départementales en Côte d'Or.

00:37:11 Toutefois, il faut signaler qu'on a toujours la RD30 entre Talmé et le département de la Haute-Saône

00:37:17 qui est fermé à circulation en raison d'inondations.

00:37:20 OK, secteur à éviter, déviation en place évidemment dans ce secteur.

00:37:25 Merci beaucoup Didier. On est ici demain sur France Bleu Borgne.

00:37:28 On est connecté avec votre mobilité.

00:37:30 Et connecté avec vous aussi au 03 80 42 15.

00:37:33 Si jamais vous croisez un accident, appelez vite France Bleu Borgne.

00:37:36 Comme ça, vous tenez au courant tout le monde.

00:37:38 Il faut faire quoi à votre avis pour améliorer notre sécurité sur les routes ?

00:37:49 On vous pose la question suite à l'accident qui a eu lieu ce week-end sur l'Assis.

00:37:52 Un car qui a fait une morte, une adolescente et des blessés.

00:37:56 On vous en parle ici sur France Bleu Borgne, sur France 3 Borgne et notre appli ici.

00:38:00 Vous avez le détail évidemment. On va essayer de en savoir un petit peu plus sur ce qui s'est passé.

00:38:05 Et puis voir un petit peu où en est l'enquête.

00:38:07 Et surtout, savoir comment on peut faire pour améliorer la sécurité sur nos routes, sur nos autoroutes.

00:38:12 Et notamment dans le transport en commun, transport collectif.

00:38:15 Vous avez la parole là maintenant au 03 80 42 15.

00:38:18 Qu'as-il ? Il faut appeler France Bleu Borgne pour donner votre avis.

00:38:21 On vous attend maintenant et puis on sera aussi avec le préfet de Côte d'Or pour les détails.

00:38:25 Il est votre invité dans la suite de votre 6/9.

00:38:28 Juste après Florent Pagny à 7h38.

00:38:30 Si tu veux m'essayer, même une semaine.

00:38:37 Si tu veux m'essayer, c'est pas un problème.

00:38:45 Si tu veux m'essayer, ma tête est duverne.

00:38:53 Mon corps et mes idées, mes peurs et mes haines.

00:39:01 Je me ferai tendre pour t'apprivoiser.

00:39:10 Pour te garder, pour te défendre.

00:39:14 S'il le faut, je me ferai sorcier.

00:39:17 Si tu veux m'essayer, sans jurer toujours.

00:39:25 Juste pour écouter, sans parler d'amour.

00:39:37 Si tu veux m'essayer, mes mots me caressent.

00:39:45 Pour nous me jeter, sans que l'on se blesse.

00:39:53 Si tu veux m'essayer, si ça t'intéresse.

00:40:01 Sans vraiment t'engager, mensonger promet.

00:40:09 Je serai le plus doux, pour te donner si t'es.

00:40:17 Le plus inspiré, le plus fou, tu ne pourras jamais oublier.

00:40:25 Si tu veux m'essayer, sans risque ou contraint.

00:40:33 Juste quelques journées, ça ira au cas.

00:41:01 Je me ferai géant, pour t'impressionner.

00:41:09 Je nous construirai des moments, comme des morceaux d'éternité.

00:41:17 Si tu veux m'effrouter, sans crier sans discours.

00:41:25 Me changer de sujet, sans parler d'amour.

00:41:37 Si tu veux m'essayer, si tu veux m'essayer.

00:41:45 Me changer de sujet, juste quelques journées.

00:41:53 Si tu veux m'essayer, mon corps est fini.

00:42:01 Juste quelques journées, juste pour y bouffer.

00:42:09 Le 6/9 France-Pleur-Bourgogne, ici on parle d'ici.

00:42:17 Et surtout, ici on parle de tous les événements qui font l'actualité.

00:42:21 Arnaud, on revient ensemble ce matin sur ce drame de la route, cet accident d'autocar qui a coûté la vie à une adolescente de 15 ans.

00:42:28 C'était ce week-end sur la 6 en Bourgogne.

00:42:30 On est ce matin avec le préfet de Côte d'Or, Franck Robin, pour en discuter.

00:42:33 Bonjour Franck Robin.

00:42:34 Bonjour, bonjour aux auditeurs.

00:42:36 D'abord, est-ce qu'on a des nouvelles des 12 personnes blessées dans cet accident ce matin ? Comment elles vont ?

00:42:42 Ecoutez, il y en a une qui est dans un état grave et au total, 4 dont celle-ci sont encore hospitalisées au CHU de Dijon.

00:42:52 6 enfants, 6 adultes, c'est ça parmi ces victimes graves ? C'est plutôt adultes, plutôt enfants ?

00:42:57 Il y avait légèrement plus d'enfants. Il y avait 41 enfants qui étaient transportés et il y en a 7 qui ont été hospitalisés.

00:43:05 Est-ce que vous vous avez été en contact avec les familles, vous, sur le terrain ? Vous les avez eus au téléphone depuis l'accident ?

00:43:12 Alors, pas directement, mais effectivement, on avait mis en place ce qu'on appelle une cellule d'information des familles.

00:43:19 Et en réalité, toute la nuit, à la fois la gendarmerie, le personnel de préfecture, également de la préfecture de l'Eure, ont été en contact avec les familles.

00:43:28 On les a renseignées, on leur a dit où elles pouvaient se rendre pour récupérer leurs enfants, notamment.

00:43:33 Ça fait partie de la réponse de l'État dans ce genre de situation. On va en discuter en détail avec vous, Franck Robin,

00:43:40 juste après une petite pause pour évoquer justement la réponse des services de l'État dans ce genre d'accident, ce genre de situation.

00:43:46 J'imagine que tout est prévu, vous allez nous le dire. Comment vous avez réagi, vous, lorsque vous avez été appelés dans la nuit de samedi à dimanche ?

00:43:51 Oui, et puis évidemment, on va se poser la question ensemble, on va discuter entre Bourguignons et entre Bourguignons.

00:43:56 Il faut faire quoi, à votre avis, pour améliorer la sécurité encore un petit peu plus ?

00:44:00 Si vous vous appelez là, au 03 80 42 15 15, avez un avis, alors donnez-le en direct, ça va faire avancer un petit peu le débat.

00:44:06 Ce soir, sur France 3, j'ai des amis qui cherchent des chauffeurs chevronnés comme vous.

00:44:18 Il n'a jamais eu un PV, il n'a pas de casier. Il pourrait devenir notre mule numéro un.

00:44:23 Oh non, à toute.

00:44:27 Pas de changement de route et pas d'arrêt imprévu.

00:44:30 Leur principal mule est en route avec un chargement. On peut démanteler tout le réseau.

00:44:35 Alors allons-y.

00:44:37 Tu nous appartiens, cabron.

00:44:47 La mule, le road movie très personnel de Clint Eastwood, ce soir à 21h10 sur France 3 et sur la plateforme France.tv.

00:44:55 Ce programme est disponible en audio description.

00:44:58 Jusqu'à 9h, toute la Côte d'Or se réveille.

00:45:09 Question simple ce matin, alors que vous partez au boulot à 8h moins le quart, quelle solution pour améliorer la sécurité sur nos routes en Bourgogne ?

00:45:17 C'est le préfet Franck Robin qui est l'invité du 6-9 ce matin, après l'accident d'autocar qui a coûté la vie à une adolescente de 15 ans ce week-end en Côte d'Or.

00:45:23 Franck Robin, quand vous recevez l'appel dans la nuit de samedi à dimanche, quand vous prenez connaissance de la gravité de la situation,

00:45:29 c'est quoi le premier réflexe du préfet que vous êtes ? Quelle est la première décision que vous devez prendre à ce moment-là ?

00:45:33 Déclencher ce qu'on appelle le plan Novi qui est le plan nombreuses victimes.

00:45:38 Lorsque l'information vous arrive, elle est en général une première information, donc elle est toujours un peu imprécise et floue, ce qui est normal.

00:45:45 Et dans ces cas-là, on a des réflexes. En fait, pour se préparer, on planifie avant toute chose.

00:45:51 Donc on a toute une série de plans et le déclenchement du plan nombreuses victimes permet à chaque service de secours immédiatement de savoir ce qu'il doit faire.

00:46:00 Donc ça c'est vraiment organiser tous les services ?

00:46:02 C'est exactement ça.

00:46:03 Le plan consiste en ça ?

00:46:04 Ça veut dire deux choses. Ça veut dire que tous les services, le SAMU, les sapeurs-pompiers, les gendarmes,

00:46:11 immédiatement savent qu'ils doivent envoyer des moyens importants, qu'ils doivent eux-mêmes mettre en place ce qu'on appelle un centre de commandement.

00:46:18 Et puis la préfecture arme aussi un centre de commandement.

00:46:21 Donc on va avoir à la fois des moyens importants et comme ils sont importants, il faut qu'ils soient coordonnés.

00:46:26 70 pompiers, 25 gendarmes mobilisés sur le terrain et tout ça autour de la prise en charge des victimes. J'imagine que c'est le point central.

00:46:34 C'est ça. Alors ce sont des services à la fois nombreux et très différents.

00:46:38 Et donc c'est tout l'enjeu, c'est de faire en sorte qu'ils convergent le plus vite possible et que bien évidemment, ils travaillent de façon harmonieuse.

00:46:46 SAMU, sapeurs-pompiers, bien sûr l'autoroute aussi, puisque vous avez des décisions à prendre sur l'interruption du trafic sur l'autoroute.

00:46:54 Et puis je ne voudrais pas oublier aussi le soutien qu'on recherche auprès des maires, que je remercie,

00:46:59 parce que vous avez vu que les enfants étaient accueillis dans un premier temps dans une petite commune, puis après dans le collège de Pouillon-Noxois.

00:47:07 Et donc ça, on a besoin d'eux aussi pour apporter un réconfort. Et enfin, des bénévoles de la protection civile auxquels on a fait appel,

00:47:16 qui viennent nous renforcer notamment pour accueillir ce qu'on appelle les impliqués, c'est-à-dire ceux qui ont été dans l'accident mais sans être blessés.

00:47:23 Vous parlez de ce collège qui a servi de centre d'accueil des "rescapés". Il doit répondre à certains critères, ce centre d'accueil. Comment on le choisit ?

00:47:33 Non, c'est quand on s'exerce, c'est le deuxième mot. J'ai parlé de la planification, je parle des exercices.

00:47:38 On a fait en préfecture avec l'ensemble des services près de 11 exercices en 2023, un par mois quasiment, autour des accidents, autour de problèmes,

00:47:50 par exemple d'usines chimiques ou d'accidents de la route, comme ce qui s'est passé.

00:47:54 On a effectivement un référentiel, mais il n'y a jamais un accident qui est comme le précédent. Tout dépend de l'ampleur de ce à quoi on a à faire face.

00:48:06 Des psychologues interviennent assez rapidement auprès des victimes, surtout quand elles sont jeunes comme ça.

00:48:11 Vous avez un catalogue de psychologues d'astreintes dans ce genre de situation ? Comment ça se passe ?

00:48:15 On met en place le plan "Nombreuses victimes", prévoit la mise en place de ce qu'on nomme une cellule d'urgence médicale et psychologique.

00:48:24 On s'appuie évidemment sur les professionnels de santé, de l'Agence régionale de santé et du CHU.

00:48:31 Franck Robin, on se demande ce matin comment améliorer la sécurité sur nos routes, autoroutes de la Bourgogne, la Côte d'Or à Ailseul est traversée par 5 autoroutes.

00:48:37 Ça en fait un département un peu particulier.

00:48:39 900 kilomètres dans la région.

00:48:41 C'est particulier, c'est un stress pour vous ?

00:48:43 Un stress non, mais c'est quelque chose qu'on prend en compte justement dans la planification et dans les exercices.

00:48:50 On sait que c'est le type d'événement qui malheureusement peut arriver.

00:48:54 Donc ça fait partie des "impondérables", le risque lié à la circulation sur les accélérations autoroutiers ?

00:49:02 Oui, impondérables, en même temps on exerce un contrôle assez renforcé, bien évidemment.

00:49:07 À la fois de la vitesse, de l'alcool, il y a une très forte présence et contrôle sur les routes.

00:49:14 Je voudrais rappeler qu'il y a un grand nombre de radars, radars fixes, radars dans des voitures mobiles aussi,

00:49:20 justement pour au moins contrôler à minima la vitesse sur les autoroutes.

00:49:25 Qu'est-ce qu'on peut faire pour améliorer encore la sécurité sur nos routes, autoroutes ?

00:49:30 Qu'est-ce que l'État peut faire de plus, de mieux ?

00:49:32 On a déjà fait beaucoup, tout le monde avait en tête, et c'est bien normal ici, le drame absolu de Bonn.

00:49:40 53 victimes hier, j'ai une pensée pour la famille, parce que c'est un drame qui a perdu cette jeune fille de 15 ans.

00:49:49 Mais hier on n'était évidemment pas dans la même échelle.

00:49:53 Si vous regardez parmi les mesures de sécurité qui ont été appliquées, elle a montré son efficacité hier.

00:49:58 Il y a le port de la ceinture de sécurité dans les autocars, je passe un message, l'autocar est de plus en plus utilisé.

00:50:06 Mettez la ceinture lorsque vous êtes en autocar, hier ça a vraiment prouvé son efficacité.

00:50:11 Donc de la prévention ça pourrait être une solution ?

00:50:14 Absolument.

00:50:15 Encore de la prévention pour les passagers de ces cars scolaires et cars de colonies de vacances, évidemment.

00:50:22 On est ensemble pour discuter de la sécurité, de notre sécurité sur les routes en Bourgogne, avec un premier appel ?

00:50:29 Oui bien sûr, parce que l'idée c'est aussi de vous accueillir et de pouvoir discuter avec vous les bourguignons et les bourguignonnes,

00:50:34 de savoir si vous avez peut-être des idées aussi pour améliorer la sécurité sur nos routes.

00:50:38 On est avec Jean-Marc qui habite à Chagny. Bonjour Jean-Marc.

00:50:41 Bonjour.

00:50:42 Bonjour Jean-Marc.

00:50:43 Bienvenue Jean-Marc, alors à votre avis, comment on pourrait faire pour améliorer la sécurité sur nos routes, sur les autoroutes aussi, ça va avec ?

00:50:50 Comme je disais, moi je me rappelle de l'accident de 82, parce que j'ai travaillé pendant un certain temps sur l'aire de Bontagny.

00:51:01 Et ils avaient rendu obligatoire, normalement après cet accident, qu'il y ait au moins deux chauffeurs par bus, pour pouvoir se relayer, tout ça.

00:51:12 Que ce soit aussi bien transport de personnes âgées que des enfants et tout.

00:51:18 Et moi je m'aperçois que même après, on voyait arriver les bus, tout ça, il n'y avait qu'un seul chauffeur.

00:51:27 D'accord. Et a priori, il y avait un seul chauffeur dans ce car ?

00:51:32 Voilà, je dis qu'il faut vraiment y rendre obligatoire.

00:51:38 Alors pardon, on va juste préciser, vous voulez deux chauffeurs dans chaque bus obligatoire pour n'importe quel trajet, pour n'importe quelle distance vous Jean-Marc ?

00:51:47 Voilà.

00:51:48 D'accord, ok. Bon, après il faudra voir si c'est faisable et jouable également.

00:51:53 Très bien. Donc là, il y a ça effectivement qui avait été mis en place dès 82, enfin à la sortie de cet accident de 82 à Beaune sur la 6 ?

00:52:03 Oui, mais apparemment ce n'était pas toujours respecté.

00:52:07 Sur ce point là, vous savez que la justice est saisie, donc c'est vraiment la justice qui s'exprimera.

00:52:13 Il y a eu une ouverture d'enquête pour homicide involontaire qui a été déclarée par la procurat Arjaune de la République.

00:52:22 Donc ce point là sera évidemment vérifié.

00:52:25 Il y a une réglementation très précise sur le temps de conduite, le nombre de chauffeurs en fonction du temps de conduite, le temps de repos, le temps de pause.

00:52:32 Et c'est tous ces éléments là qui bien évidemment vont être examinés.

00:52:36 Moi, à l'heure où on parle, évidemment je ne peux pas ni m'exprimer puisque la justice est saisie, ni vous dire s'il y a eu une anomalie ou pas sur ce point là.

00:52:45 À ce stade, ce qu'on peut dire Jean-Marc, ce qu'on peut répéter, c'est ce qu'a dit le parquet de Dijon, c'est pas de consommation de stupéfiants, pas de consommation d'alcool.

00:52:54 Et le chauffeur indique qu'il pourrait s'être assoupi, mais évidemment l'enquête le déterminera et précisera tout cela.

00:53:01 Oui, parce que je voulais dire aussi, on avait pas mal de bus étrangers, il n'y avait qu'un seul chauffeur.

00:53:10 Franck Robin, c'est un stress supplémentaire de tous ces cars qui partent pendant les vacances alors que le trafic est déjà bien dense, etc.

00:53:20 Pour vous, représentant de l'État ?

00:53:22 Oui, il y a d'ailleurs eu, après Bonn, interdiction du transport d'enfants sur les jours dits de grand départ, ce qui n'était pas le cas hier.

00:53:32 Mais en tout état de cause, dès qu'on anticipe des départs importants, qu'ils soient officiellement reconnus ou pas, on renforce les contrôles.

00:53:41 La présence des gendarmes, des policiers sur les bords des routes au moment des grands départs, elle est là pour rappeler cette prévention, notamment le fait de rouler dans des conditions normales.

00:53:56 Merci à Jean-Marc d'avoir donné une petite indication en plus, de faire avancer le débat.

00:54:01 Merci Jean-Marc à Chani, il était avec nous ce matin sur France Bleu Bourgogne dans votre 6/9.

00:54:06 On parle de la sécurité sur nos routes, sur nos autoroutes également, et on en parle, et vous l'avez entendu, avec le préfet de Côte d'Orf, Franck Roby.

00:54:13 On revient ensemble juste après 6h à 7h54.

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00:57:02 Sia, qui n'a rien à voir avec le Salon International de l'Agriculture,

00:57:07 il faut le savoir. On vient de l'écouter avec Guimilove,

00:57:10 sur France Bleu Bourgogne, à 7h57. On est avec vous, évidemment,

00:57:13 pour parler de toute l'actualité, de celle qui vous concerne,

00:57:16 qui concerne vraiment notre région. Il y a eu malheureusement un accident

00:57:19 de car, ce week-end, sur l'autoroute A6.

00:57:22 Une adolescente est décédée suite à cet accident.

00:57:25 On en parle, et puis on parle de la sécurité aussi, avec le préfet,

00:57:28 donc dans Franc-Robin. - Et on a parlé de la loi qui encadre,

00:57:31 évidemment, le travail des chauffeurs, des conducteurs de cars.

00:57:34 Franc-Robin, peut-être un message de prévention pour conclure

00:57:37 cette intervention sur nos conditions de sécurité,

00:57:40 sur le réseau routier/autoroutier en Bourgogne.

00:57:43 Le port de la ceinture, qui est vraiment important,

00:57:46 d'autant plus important que le trafic de ces cars, de ces bus,

00:57:49 augmente ces dernières années. - Oui, effectivement, il y a ces mesures

00:57:52 de prévention. Quand on est dans un car, par définition,

00:57:55 on ne conduit pas, puisqu'il y a un chauffeur, et le port de la ceinture,

00:57:58 c'est effectivement une bonne façon de se protéger.

00:58:01 C'est vraiment une façon efficace.

00:58:04 Je voudrais souligner, en Bourgogne, l'année dernière, en 2023,

00:58:07 on a eu à la fois la meilleure année des dix dernières années

00:58:10 en nombre de morts, ce qui, évidemment, me réjouit,

00:58:13 mais on a eu aussi une des trois plus mauvaises années

00:58:16 dans les dix dernières, pour le nombre de blessés.

00:58:19 C'est-à-dire moins de morts, mais plus de blessés.

00:58:22 Donc, sur la route, il faut vraiment continuer à appliquer

00:58:25 les règles de prudence qui sont connues

00:58:28 sur le respect de la vitesse, sur le respect des normes d'alcool

00:58:31 et sur le port de la ceinture de sécurité.

00:58:34 - Merci beaucoup, Franck Robin, d'être venu répondre à nos questions ce matin.

00:58:37 - Merci.

00:58:38 - Dans votre 6.9 France Bleu Bourgogne, c'est la suite, c'est en direct,

00:58:41 c'est pour vous, évidemment, et je vous offre, dans quelques instants,

00:58:44 le spectacle de Monsieur Poulpe, l'humoriste passe chez nous,

00:58:47 au Théâtre des Feuillons, à Dijon, mardi de la semaine prochaine.

00:58:50 Et vos invitations à gagner, juste avant 8h30.

00:58:53 - Ici, matin, revient dans un instant.

00:58:56 - Mercredi, sur France 3, votre rendez-vous forme et santé,

00:59:02 alors on bouge en région.

00:59:07 Fitness et renforcement du corps avec Sophie.

00:59:10 Et yoga tout en souplesse avec Valérie.

00:59:15 - Namasté.

00:59:21 - Alors on bouge en région ? C'est une question d'équilibre.

00:59:24 Mercredi à 9h35, sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté

00:59:27 et sur la plateforme France.tv.

00:59:30 - Tous les samedis, partez à l'aventure avec Guillaume Pierre,

00:59:35 et pourquoi pas, le curling.

00:59:37 - J'ai envie de découvrir, j'y vais.

00:59:39 - Une passion contagieuse.

00:59:41 Toute l'équipe, troc, caméra et micro, pour se lancer dans la compétition.

00:59:44 Et on enfile les skis pour le monde polaire du musée Paul-Emile-Victor.

00:59:47 - Attention Guillaume, derrière toi, il y a un ours !

00:59:50 - Retrouvez la tête à l'endroit, le samedi à 19h,

00:59:53 sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté et sur la plateforme France.tv.

01:00:02 - Vendredi, le rendez-vous découverte des pépites musicales de votre région,

01:00:07 c'est dans Studio 3.

01:00:09 Studio 3, le vendredi matin à 9h35, sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté

01:00:17 et à tout moment sur la plateforme France.tv.

01:00:21 - On dépose les enfants à l'école et on part au boulot, bienvenue, il est 8h.

01:00:25 C'est l'actu, c'est chez nous en Bourgogne, avec une journée placée sous le signe des nuages.

01:00:34 Aujourd'hui, on aura 11 degrés maxi, très très peu d'écouteuse.

01:00:37 On va voir ce que ça donne.

01:00:39 C'est l'actu, c'est chez nous en Bourgogne, avec une journée placée sous le signe des nuages.

01:00:47 Aujourd'hui, on aura 11 degrés maxi, très très peu d'éclaircie.

01:00:50 La météo, on va la développer évidemment.

01:00:52 Dans un instant, on reviendra aussi sur vos conditions de circulation, assez normales finalement.

01:00:56 On a quand même pas mal de monde autour de la métropole d'Ygenèse.

01:00:59 François Vantey joue le choc et l'émotion en code or après le dramatique accident de car ce week-end.

01:01:06 Et la mort d'une adolescente de 15 ans sur l'autoroute A6 à la hauteur d'Aiguilles.

01:01:10 Dans la nuit de samedi à dimanche, à bord du car, 41 enfants et 10 adultes, 12 d'entre eux sont blessés, dont un grièvement.

01:01:17 Ce matin, ils sont encore 4 hospitalisés au CHU de Dijon, d'après le préfet.

01:01:21 Il l'a dit à l'instant sur France Bleu-Bourgogne.

01:01:23 Tous sont partis des Andelies dans l'heure direction les Hautes-Alpes pour une colonie de vacances au ski.

01:01:28 Après l'accident, les jeunes ont été pris en charge au collège André Lallement à Pouilly en Auxsoie,

01:01:33 transformés pour l'occasion en cellules médico-psychologiques.

01:01:37 Dimitri Morgado, les parents sont tous descendus de Normandie pour venir chercher les enfants tout au long de la journée.

01:01:43 C'est le cas notamment de Blaise, ce père de famille a pris la voiture dès qu'il a été informé de l'accident.

01:01:48 Après 3h30 de route, il a retrouvé ses deux enfants de 8 et 11 ans.

01:01:52 Ils sont en pleine forme, ils sont surtout fatigués, parce que je les ai déposés à 20h30 à la gare routière.

01:01:58 Ils sont très fatigués et je pense qu'un bon repos, tranquille à la maison au chaud, ça leur fera du bien.

01:02:03 L'annonce de la mort de l'une des adolescentes du groupe l'a profondément choqué.

01:02:07 On s'est dit que ça aurait pu être l'un de nos enfants.

01:02:10 Je ne l'ai pas perdu d'enfant, mais ça aurait pu être dramatique.

01:02:14 Je ne sais pas ce que j'aurais fait, je me serais peut-être enroulé par terre, je ne sais pas.

01:02:18 Ce sont des réactions qu'on ne peut pas prévoir.

01:02:20 Je suis plutôt content de retrouver les miens.

01:02:23 Je suis triste pour le père ou la mère qui a perdu sa fille.

01:02:27 De la tristesse aussi pour Jean-Marc Févray, le maire d'Aiguiller, où a eu lieu l'accident.

01:02:31 Il s'est rendu sur place en pleine nuit.

01:02:33 Je suis très choqué par une jeune fille qui tremblait tout son corps sur une chaise.

01:02:38 C'était dur.

01:02:40 Dur aussi pour toutes les équipes mobilisées sur cet accident.

01:02:44 Une seconde cellule psychologique va ouvrir ce lundi, dans l'heure, à la mairie des Andelies.

01:02:48 Et pour ce qui est de l'enquête des premiers éléments, avec l'audition du chauffeur du bus,

01:02:53 il pense s'être assoupi au volant. Il a été contrôlé négatif, ostupéfiant et à l'alcool.

01:02:58 Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire et blessures involontaires.

01:03:02 Encore beaucoup de questions après un accident de la route.

01:03:05 Hier après-midi à Mirbeau-sur-Baie, sur la départementale 701,

01:03:08 la victime était seule à bord au moment du choc.

01:03:11 Elle a été transportée au CHU de Dijon.

01:03:13 On n'en sait pas plus pour l'instant sur les circonstances de l'accident.

01:03:16 On se souvient des images spectaculaires après le déraillement d'un TGV en 2015.

01:03:21 C'était lors des tests sur la ligne à grande vitesse en Alsace.

01:03:24 Un accident qui a tué 11 personnes.

01:03:26 Cet après-midi, le procès s'ouvre à Paris.

01:03:28 Neuf ans après, la SNCF et deux de ses filiales sont notamment jugées.

01:03:32 La vitesse du train pourrait être à l'origine de l'accident.

01:03:35 En ce jour de rentrée scolaire, c'est quoi l'ambiance à l'école bourdonnière à Genouve ?

01:03:39 On vous en a déjà parlé sur France Bleu Bourgogne,

01:03:41 avec la manifestation des parents avant les vacances.

01:03:44 Ils ont alerté sur la situation de l'établissement des élèves perturbateurs.

01:03:48 Insultes, frappes et mordes des enfants, mais aussi des enseignants.

01:03:52 Neuf d'entre eux étaient même en arrêt maladie avant les vacances.

01:03:55 L'affaire est remontée jusqu'au gouvernement,

01:03:57 à la ministre déléguée aux personnes handicapées, Fadila Katabi,

01:04:00 elle qui participe ce soir à une réunion en visioconférence avec la préfecture et le rectorat.

01:04:06 Les parlementaires s'apprêtent à marquer l'histoire.

01:04:09 Députés et sénateurs se réunissent aujourd'hui au château de Versailles,

01:04:12 un lieu mythique pour un congrès historique.

01:04:15 Pour inscrire dans la constitution la liberté garantie à la femme

01:04:18 d'avoir recours à une interruption volontaire de grossesse.

01:04:20 La France sera ainsi le premier pays à protéger le droit à l'avortement.

01:04:24 Une belle histoire qu'on vous raconte ce matin aussi sur France Bleu Bourgogne.

01:04:27 Quand des salariés prennent le contrôle de leur entreprise.

01:04:30 Ça se passe à Longueville, près de Dijon,

01:04:32 avec l'entreprise Atelsi, spécialisée dans la téléphonie d'entreprise.

01:04:36 La vidéosurveillance a été créée il y a 35 ans.

01:04:38 Les fondateurs viennent de partir à la retraite.

01:04:41 Trois ex-employés sont désormais co-gérants.

01:04:43 Une reprise facilitée par le réseau Entreprendre.

01:04:46 Arnaud Gravel en est le directeur.

01:04:48 À un moment donné, ils se sont posé des questions.

01:04:50 Comment je fais ? Qu'est-ce que je vais reprendre ?

01:04:52 Et nous, ce qu'on propose, c'est un accompagnement sur deux ans.

01:04:55 Intégrer les clubs, faire travailler l'intelligence collective entre eux.

01:04:59 Et puis également être accompagné par un entrepreneur

01:05:01 qu'ils vont rencontrer une fois par mois

01:05:03 et qui vont partager le vie, ma vie, briser la solitude.

01:05:06 À côté de ça, l'accompagnement financier, c'est un prêt d'honneur

01:05:09 qui va permettre d'optimiser et de réaliser les faits de vie

01:05:12 avec un financement bancaire.

01:05:14 Et tout ça, ça se traduit par une réalité.

01:05:16 C'est-à-dire qu'une entreprise, quand elle n'est pas accompagnée,

01:05:19 généralement le taux de pérennité à 5 ans est de 60-65%.

01:05:24 Et aujourd'hui, les entrepreneurs accompagnés chez Réseau Entreprendre,

01:05:27 le taux de pérennité à 5 ans, il est de 90%.

01:05:29 On est le fruit d'un collectif,

01:05:32 215 entrepreneurs en Bourgogne qui choisissent

01:05:35 de leur dire leur temps et partager leur expérience.

01:05:37 Parce que Réseau Entreprendre, c'est 3 800 heures de bénévolat

01:05:40 également chaque année.

01:05:41 Et l'entreprise Atelsis compte 3 000 clients dans le Grand Est,

01:05:44 chiffre d'affaires annuel 6 millions d'euros.

01:05:47 Les portes du salon de l'agriculture sont désormais fermées.

01:05:51 Depuis hier soir, une 60e édition marquée par la crise agricole.

01:05:55 Les choses ne sont clairement pas terminées,

01:05:57 prévient le patron de la FNSE, Arnaud Rousseau.

01:06:00 Et d'après lui, il y aura encore des actions sur le terrain.

01:06:03 Le contexte n'a pas refroidi.

01:06:04 Les visiteurs, plus de 603 000 personnes.

01:06:07 C'est seulement 2% de moins qu'en 2023 d'après les organisateurs.

01:06:11 Bon François, il a manqué deux fois rien à la GDA.

01:06:14 Oui, deux fois rien ou plutôt deux points pour la GDA.

01:06:17 Un match intense mais une défaite frustrante

01:06:20 à l'arrivée à 71-73, hier soir au Palais des Sports

01:06:24 face à Lasvelle, Lyon-Véron, ville urbaine,

01:06:26 le deuxième du championnat.

01:06:28 Alors forcément, à l'arrivée, les sentiments sont partagés

01:06:30 pour l'entraîneur de la GDA, Laurent Legnam.

01:06:33 Comme je leur ai dit dans le vestiaire,

01:06:34 j'ai pas grand chose à reprocher à mes joueurs.

01:06:37 On a fait le match qu'on voulait, avec beaucoup d'engagement,

01:06:39 beaucoup d'agressivité.

01:06:40 Une des phases vraiment en place.

01:06:42 On allait travailler vraiment pendant la trêve.

01:06:43 Cet aspect défensif, je trouve qu'on a beaucoup mieux joué

01:06:46 globalement qu'avant la trêve.

01:06:48 Et malgré qu'on soit 8, l'équipe a répondu présent

01:06:50 face à un adversaire de haut niveau tel que Lasvelle.

01:06:52 Donc ça, c'est un gros point positif.

01:06:54 Malheureusement, on n'a pas validé par une victoire.

01:06:56 On peut pas être content quand on perd un match.

01:06:58 En tout cas, c'est pas comme ça que je vois les choses.

01:07:01 Je crois qu'on est très déçus, tout le monde, les joueurs, le staff, le club,

01:07:04 parce qu'on aurait mérité cette victoire.

01:07:05 Et après, ça se joue à vraiment pas grand chose.

01:07:08 Les basketteurs dijonnés sont dixièmes de BetClique Elite

01:07:11 après 24 journées.

01:07:13 Dans les autres résultats, hier, Paris a battu Blois 92-88

01:07:16 et Cholet s'est imposé contre Limoges à 71-67.

01:07:20 Pas d'exploit pour les footballeuses du DFCO

01:07:23 battues 3-1 hier soir à Gaston Gérard

01:07:25 par l'Olympique Lyonnais, l'ogre de la D1 féminine.

01:07:29 Elles sont désormais dixièmes les féminines

01:07:31 avec 5 points d'avance sur la zone de relégation.

01:07:33 La Bourgogne va vibrer au rythme du vélo à partir de demain.

01:07:36 Avec le passage de la course au soleil,

01:07:38 Paris nise demain contre la montre par équipe autour d'Auxerre

01:07:41 avant un départ de chalons sur Saône mercredi.

01:07:44 On vous fera vivre ce départ en direct sur France Bleu, Bourgogne.

01:07:49 En attendant, le maillot jaune de leader est sur les épaules du Néerlandais,

01:07:52 Olaf Koei, vainqueur de la première étape hier au Muro,

01:07:55 en région parisienne, le Dijonné.

01:07:57 Bernard a pris la 109ème place, c'est anecdotique,

01:08:00 à 3 minutes 30 du vainqueur.

01:08:01 Et puis un petit mot de rugby avec la courte victoire

01:08:04 du stade Dijonné 14 à 13 hier contre la S-Florentine, un club du Gers.

01:08:09 Le stade est désormais huitième de National 2.

01:08:11 Cyril, les nuages sont présents toute la journée chez nous en Bourgogne.

01:08:17 Exactement, des nuages bien bien là,

01:08:19 et ils vont nous accompagner jusqu'à ce soir.

01:08:21 Alors il y aura peut-être ici ou là quelques éclaircies,

01:08:24 c'est ce que dit Météo France,

01:08:25 mais de manière générale, la petite brume du matin se transforme en nuage

01:08:29 pour jusqu'à ce soir.

01:08:31 Les températures maxi entre 8 et 11 degrés ce lundi 4 mars,

01:08:34 ça veut dire quoi ?

01:08:35 Ça veut dire à Saulieu il fera 8, à Issurtil on attend 9,

01:08:38 si vous êtes sur Dijon, Lombard, Chatillon, Surseine,

01:08:40 on est plutôt sur du 10 maxi,

01:08:42 puis à bonne échelle en Sursonne, on va aller jusqu'à 11.

01:08:45 C'est une circulation dense au sud de Dijon en ce moment.

01:08:48 Particulièrement sur la zone de Longvie,

01:08:51 si vous devez emprunter la zone industrielle de Longvie

01:08:53 pour rejoindre ensuite la rocade.

01:08:55 Si vous arrivez de Fauvernet,

01:08:57 également en direction du centre de Dijon,

01:09:00 en passant notamment par la 39

01:09:02 ou en direction de Chevenus,

01:09:03 c'est un sauveur là, la circulation est ralentie.

01:09:06 Et puis c'est légèrement dense également sur la rocade de Dijon

01:09:09 entre Longvie et Saint-Apollinaire.

01:09:11 On va rester prudent ici,

01:09:12 mais de manière générale, vous restez très prudent,

01:09:14 pas de difficultés particulières à vous neler sur les routes et les autoroutes.

01:09:17 Comme d'habitude, on se fait confiance

01:09:19 et on s'appelle au 0380 42 15 15

01:09:21 parce que vous êtes nos yeux sur la route.

01:09:23 Il est 8h09, bon courage pour cette journée.

01:09:27 Talents, c'est un peu l'Italie, non ?

01:09:34 Non mais attendez, on dit que tous les chemins mènent à Rome.

01:09:37 Et bien, à Talents, on va rencontrer Claudia.

01:09:39 C'est une influenceuse qui nous fait découvrir

01:09:41 la cuisine italienne depuis la Bourgogne.

01:09:43 On va faire la présentation dans un instant sur France Bleu Bourgogne.

01:09:46 Voyage donc en Italie

01:09:48 et voyage aussi à Broadway avec Michel Sardou.

01:09:51 C'est votre 6.9 France Bleu Bourgogne en simultané aussi,

01:09:53 comme tous les matins, en vidéo sur France 3 Bourgogne.

01:09:56 C'est parti.

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01:54:07 Fuguier et Juliette Armanet sur France Bleu Bourgogne

01:54:11 Ici, vous avez toute l'info

01:54:13 Ici, vous avez la musique

01:54:15 Ici, vous avez les cadeaux

01:54:17 Et ici, vous avez aussi les bons conseils du Dr Kerzak

01:54:19 qui comme tous les matins vient nous rejoindre

01:54:21 C'est votre séance, votre consultation gratuite

01:54:23 Docteur, vous nous parlez ce matin du don d'organes

01:54:25 Il y a encore trop de refus

01:54:27 Bonjour ! Bonjour tout le monde

01:54:29 On a eu le bilan 2023

01:54:31 du don d'organes et des grèves

01:54:33 qui ont pu être possibles en France et ce bilan, il n'est pas fameux

01:54:35 Alors c'est mieux que depuis le confinement

01:54:37 ça remonte, il y a plus de 5600 grèves d'organes

01:54:39 qui ont été réalisées

01:54:41 essentiellement des grèves de reins, puis des grèves de foie

01:54:43 ou des grèves cœur et poumon

01:54:45 Mais, et c'est ça qui est inquiétant

01:54:47 il y a encore beaucoup de refus des familles

01:54:49 qui refusent de prélever les organes

01:54:51 chez quelqu'un de leur famille qui est décédé

01:54:53 Il y a 36% d'opposition

01:54:55 et ça c'est en augmentation, c'est ça qui inquiète

01:54:57 l'agence de biomédecine

01:54:59 La conséquence, c'est qu'il y a des patients qui décèdent

01:55:01 et malheureusement en 2023, 823

01:55:03 patients sont décédés alors qu'ils étaient

01:55:05 sur une liste d'attente, ils attendaient

01:55:07 un organe, et donc on voit bien que ça devient

01:55:09 crucial parce que chaque jour, des

01:55:11 hommes, des femmes, des enfants meurent faute

01:55:13 d'avoir pu être transplantés à temps

01:55:15 alors que la médecine finalement est en mesure de les

01:55:17 sauver, il y a plusieurs explications

01:55:19 mais les refus grandissant des familles

01:55:21 une espèce de culture

01:55:23 autour du greffe d'organe et puis parfois

01:55:25 de non-communication

01:55:27 on n'en parle pas, c'est vrai que c'est un sujet un peu tabou

01:55:29 et donc les familles ne sont pas préparées

01:55:31 et ne savent pas ce que voulait le défunt

01:55:33 et puis la deuxième raison

01:55:35 c'est la crise persistante de l'hôpital, là aussi

01:55:37 ça fait perte des chances en termes de greffe

01:55:39 donc chaque organe, c'est un

01:55:41 organe qui peut sauver des vies

01:55:43 et c'est important de ne perdre aucune chance de prélever

01:55:45 - Mais on est pourtant tous donneurs, c'est la loi

01:55:47 - On est tous donneurs

01:55:49 c'est la loi française, c'est la loi du consentement

01:55:51 présumé, donc dès que vous avez plus de

01:55:53 18 ans, vous êtes censé être donneur

01:55:55 d'organe, on n'aurait même pas besoin de demander

01:55:57 l'avis des familles, et d'ailleurs c'est pas l'avis des familles

01:55:59 qu'on demande, c'est l'avis de la personne

01:56:01 qui est décédée, est-ce que

01:56:03 cet avis avait été exprimé

01:56:05 donc on va demander à la famille finalement

01:56:07 la position du défunt

01:56:09 sauf que dans l'immense majorité des cas, les familles

01:56:11 n'en parlent pas et donc du coup les familles

01:56:13 se retrouvent un peu prises au dépourvu et avec la tristesse

01:56:15 il y a souvent des refus, alors que la personne

01:56:17 voulait peut-être donner ses organes

01:56:19 pour le don d'organe, d'ailleurs la majorité

01:56:21 des français, ils sont favorables, 80%

01:56:23 des français sont favorables au don de leurs

01:56:25 propres organes, 93%

01:56:27 pensent qu'il est important que leurs proches connaissent

01:56:29 leur position, alors on se dit "mais tout va bien"

01:56:31 sauf que l'autre chiffre c'est que moins

01:56:33 d'une personne sur deux en a parlé

01:56:35 à son entourage, et donc s'il y avait un

01:56:37 message de ce matin, c'est d'en parler

01:56:39 autour de soi, de dire "moi je suis favorable

01:56:41 au don d'organe, ou je ne suis pas favorable

01:56:43 on peut respecter aussi cette position là

01:56:45 et quand on n'est pas favorable, on peut s'inscrire sur

01:56:47 le registre national des refus

01:56:49 ça permet là aussi d'avoir

01:56:51 la position de la personne si jamais

01:56:53 il arrive quelque chose, en tout cas c'est un beau geste

01:56:55 altruiste et de solidarité

01:56:57 allez d'ici là, portez-vous bien !

01:56:59 Merci beaucoup Dr Kerzak, d'ailleurs

01:57:01 des conseils que vous pouvez aussi retrouver sur notre site

01:57:03 francebleu.fr et l'application

01:57:05 ici que partagent France Bleu et France 3

01:57:07 au moins vous êtes sûr d'avoir vraiment toute l'actu

01:57:09 y compris chez nous en Bourgogne, il se trouve

01:57:11 que c'est la semaine nationale de lutte contre le cancer

01:57:13 qui démarre aujourd'hui, alors on

01:57:15 parlera du cancer colorectal

01:57:17 particulièrement tout à l'heure, entre 15h et

01:57:19 16h dans Bonjour Docteur avec Géraldine

01:57:21 avec Anne également et leurs

01:57:23 invités, et puis dans quelques instants

01:57:25 le cancer de l'enfant, vous allez

01:57:27 découvrir que chez nous en Côte d'Orient il y a des

01:57:29 associations qui luttent

01:57:31 toujours et encore, et vous

01:57:33 allez pouvoir en entendre parler dans un instant, on va pouvoir

01:57:35 discuter aussi ensemble, ça se passe

01:57:37 maintenant dans Faut qu'on en parle à votre

01:57:39 service, 9h-10h avec Charlotte

01:57:41 et ses invités, et puis juste après on ira

01:57:43 chez Claudia, c'est la brunette en cuisine

01:57:45 l'influenceuse que vous avez peut-être vu déjà

01:57:47 sur les réseaux sociaux, elle a plus de 17000

01:57:49 personnes qui la suivent, vous allez pouvoir

01:57:51 la découvrir, on sera chez elle pendant

01:57:53 la cuisine, pendant l'enregistrement

01:57:55 d'une de ses vidéos, c'est à partir

01:57:57 de 10h, et puis sur France 3 Bourgogne

01:57:59 dans un instant, un documentaire sur

01:58:01 le burn-out, ça arrive dans un instant,

01:58:03 je vous souhaite de passer une bonne journée, et à demain !

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Jean-François Piège : ses astuces pour ouvrir et assaisonner les huîtres

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