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00:00 Les gens qui sont sur le plateau, je trouve ça assez fort.
00:02 Les audiences, la première c'était pas trop mal, mais là...
00:05 Celle de la semaine dernière, c'était un peu compliqué en termes d'audience.
00:09 Je vais lire, papier du Parisien, "Dur, dur pour les nouveautés de France Télévisions,
00:13 le plus gros échec est à mettre sur le dos d'Hugo Clément avec le magazine 'Nos Grandes Décisions'
00:17 ils expliquent que ça n'a pas marché du tout, bref...
00:19 Oui, sur une semaine...
00:21 Le score du 3ème numéro était deux fois plus faible, 375 000 fidèles, c'est là où je voulais en venir.
00:26 La production attend donc de recevoir ce vendredi les résultats d'une étude auprès du public
00:30 pour les aider à revoir sa copie et relancer l'émission dans l'espoir d'obtenir 4 numéros de plus.
00:36 Vendredi, c'était vendredi dernier, qu'a donné cette étude et qu'allez-vous faire ?
00:40 Vous le savez mieux que personne, Philippe, il ne faut pas croire tout ce que les journalistes médias écrivent.
00:43 Ça, c'est pas vrai ?
00:44 Non, mais si vous voulez, une nouvelle émission, quand vous la lancez, sur une case qui existe pas...
00:48 Non, mais là, c'est pas vrai, il n'y a pas eu d'étude qui vous a été...
00:50 Il y a des études qui sont faites sur toutes les émissions.
00:52 Et alors ?
00:53 Non, on ne commande pas une étude pour savoir si on arrive à vendre tant ou tant d'émissions,
00:56 c'est pas comme ça que ça se passe.
00:57 On commande des études pour savoir ce que pensent les gens de l'émission,
01:00 parce que c'est intéressant d'avoir le retour des gens.
01:02 Et il se trouve que les gens trouvent l'émission super intéressante.
01:05 Après, les audiences, c'est le jeu.
01:07 Il y en a qui marchent, certaines, il y en a qui marchent moins bien.
01:09 Quand vous lancez une émission hebdomadaire sur une case qui n'existe pas,
01:13 vous ne pouvez pas tout de suite avoir des cartons d'audience,
01:15 surtout sur des sujets sociétaux comme ça, quand il y a du divertissement en face.
01:18 Donc, ça fait partie du jeu, il faut l'accepter.
01:20 Mais le plus important pour nous, c'est de faire une émission de qualité,
01:24 de service public et d'apporter des choses aux gens.
01:26 Ma question était, vous allez en faire combien ? Est-ce que vous allez en faire 4 de plus ?
01:28 On va en faire le nombre que la chaîne voudra qu'on en fasse.
01:31 Voilà, ce n'est pas moi qui décide de ça.
01:33 Et vous n'avez pas l'info.
01:34 Je dois dire que Hugo Clément a raison, puisque C'est à vous a commencé à 40 000
01:38 et parfois ils sont aux millions.
01:39 Mais c'est le cas de quasiment toutes les émissions.
01:41 Les émissions hebdomadaires, elles ne commencent jamais très haut.
01:44 Il y a une exception avec Quelle Époque, qu'on a lancée avec Léa Salamé,
01:48 qui a tout de suite cartonné, mais c'est très très rare en télévision, il faut du temps pour s'installer.