Anne Hidalgo veut remplacer des écoles catholiques par des HLM

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 La maire de Paris, alors si vous n'habitez pas Paris, écoutez bien parce que je sais que ça vous fait rire.

00:04 Même ceux qui n'habitent pas Paris, ça les fait extrêmement rire ce qui se passe à Paris.

00:08 Regardez la nouvelle idée de Anne Hidalgo.

00:10 Anne Hidalgo, c'est comme Louis Boyard, quand des génies sont ensemble,

00:16 "mais chérie, qu'est-ce que vous les jouiez ?"

00:17 On les écoute.

00:18 Elle veut remplacer les écoles catholiques parisiennes par des HLM suite à la crise du logement à Paris.

00:23 Non mais c'est pas possible de dire des conneries pareilles.

00:26 Alors, qui est d'accord avec ça ?

00:28 C'est incroyable, c'est fou cette histoire.

00:31 Est-ce qu'on peut déjà, Jacques Cardo, est-ce que vous pouvez expliquer ce qu'elle veut faire, Anne Hidalgo ?

00:35 Il n'y a que Gilles Verdez qui met oui, comme d'habitude, le guignol de service.

00:38 Voilà, le guignol de service qui met oui.

00:40 On va savoir pourquoi les écoles catholiques, on en a besoin.

00:43 Et je peux vous dire, je défendrai toujours les écoles catholiques.

00:46 Mais Gilles Verdez, il ne défend rien.

00:48 Il est pour la France du chaos, pour la France de la merde.

00:50 Voilà, merci.

00:51 – Elle va au-delà en tous les cas de la loi SRU

00:54 qui est en renégociation et en rediscussion en ce moment au Conseil de Paris.

00:57 La loi SRU, c'est une loi qui oblige les maires de toutes les villes de France

01:02 à accorder un certain nombre de logements sociaux.

01:05 Mais elle, elle a décidé d'aller bien au-delà de ça

01:07 avec notamment des programmes dans des quartiers riches comme Avenue Georges V

01:12 où elle veut transformer des immeubles, sauf que ça coûte beaucoup plus cher en réalité

01:16 à la puissance publique, au Georges V. J'ai dit quoi ?

01:18 – Avenue Georges V. – Oui, oui.

01:20 – Ça ne marche pas.

01:21 – C'est un pote qui a mis de côté.

01:23 – Ce n'est pas très intelligent parce qu'il y a des quartiers qui ont vraiment besoin de…

01:26 – Bon, le coup, c'est idéologique. – Tu habites à côté ?

01:27 – Oui. – Pardon.

01:28 – Bernard Montel, tu habites à côté ? – Oui.

01:30 – Je ne sais plus où j'habite.

01:31 Quand je vous regarde, je ne sais plus où j'habite.

01:33 – Moi, je sais où tu habites, moi.

01:34 – Oui, mais moi, je sais où vous habitez aussi.

01:36 [Rires]

01:39 – Tu sais où tu habites, moi ?

01:40 Moi, je sais où tu habites, moi.

01:42 – Moi, je sais où vous habitez.

01:43 [Rires]

01:46 – Vous vivez en change de discussion.

01:48 – Ils veulent faire des…

01:50 – Des HLM.

01:51 – Des HLM de chez Bernard Montel.

01:52 [Rires]

01:54 – Est-ce que tu as aussi une école catholique pas loin de chez toi ?

01:56 – Non, mais ça connaît du Bernard Montel.

01:57 – C'est pas très loin.

01:59 – Avec Thierry…

01:59 – Non, c'est cette école qui s'en concerne.

02:01 – C'est inadmissible. J'aimerais avoir l'avis de Géraldine.

02:04 – Ben non, exactement ce qu'a dit Valérie.

02:06 En fait, elle fait de l'idéologie.

02:07 Je trouve que c'est juste insupportable.

02:09 En fait, elle veut garder à Nidalgo des gens autour d'elle

02:11 qui ne pensent que comme elle.

02:12 Elle ne veut que des bobos parisiens.

02:13 Donc, elle veut dégager les gens qui ont de SUV.

02:15 Elle veut dégager les familles.

02:16 Elle veut dégager les vieux.

02:17 Et donc, en fait, elle veut un Paris vide,

02:19 avec que des gens qui pensent comme elle.

02:20 Et alors, ce coup des écoles catholiques, c'est juste incroyable.

02:24 C'est-à-dire que déjà, on sait que les gens aujourd'hui

02:26 veulent de plus en plus mettre leurs enfants

02:27 dans des écoles privées catholiques,

02:28 pour des raisons d'autorité, de tradition, etc.

02:31 Donc ça, je trouve ça très bien.

02:32 Et donc, ça veut dire que ces écoles-là,

02:34 elles ne pourront pas faire de rénovation,

02:36 de bâtiment, de bibliothèque, de gymnase et tout ça,

02:39 parce que si jamais elles le font,

02:40 eh ben, elles seront retoquées par la loi.

02:41 On leur dira "non, vous n'avez pas le droit".

02:43 Donc, en fait, on va être obligés de garder des écoles vétustes

02:46 pour ne pas, justement, satisfaire au délire de Madame Hidalgo.

02:48 Et c'est juste de l'idéologie pure.

02:50 Du côté d'Hidalgo, on dit que ce sont des écoles

02:52 qui vont déjà fermer.

02:53 – Oui, c'est ça.

02:54 Mais ils disent toujours…

02:55 – Ah oui, c'est pour ça qu'ils nous en veulent.

02:56 – Ils vont toujours trouver quelque chose.

02:57 Moi, j'ai eu quelques personnes,

02:59 il n'y a pas que des écoles qui vont fermer, croyez-moi.

03:01 Je vous le dis.

03:02 Donc, c'est encore une grosse imposition.

03:03 – Il y a le collège Saint-Claustier,

03:04 le collège lycée Jean-Michel de Picpus,

03:06 le groupe scolaire Saint-Vincent de Paule dans le XIIIe,

03:08 le groupe scolaire Notre-Dame de France,

03:09 le collège Saint-Michel de Batignolles dans le XVIIe.

03:11 – On aimerait bien recevoir un des dirigeants de ce collège-là.

03:14 – Oui, parce que ce qui est scandaleux…

03:16 – Voilà, parce que moi, je vous dis qu'il n'y en a pas qui vont fermer.

03:18 Et c'est encore une ineptice.

03:21 – Ce qui est scandaleux, c'est qu'elle l'a fait sans le dire.

03:22 Ils l'ont découvert là, alors qu'il y a huit mois,

03:24 c'est signé depuis huit mois.

03:25 Donc, ça, c'est déjà scandaleux.

03:27 Et on sait très bien que c'est idéologique

03:28 et qu'elle est en guerre de toute façon contre les écoles privées.

03:32 Elle a suspendu la cotisation, la subvention pour le lycée Stanislas

03:38 parce qu'il y a un doute, il y a une enquête.

03:40 Elle l'a suspendue, c'est totalement illégal.

03:42 Donc, on sait très bien que c'est une guerre contre les écoles privées.

03:44 C'est pas du tout pour les écoles.

03:46 – Demain, je vais vous parler d'une subvention qui a été faite.

03:47 Vous allez voir, incroyable.

03:49 Vous allez halluciner.

03:51 Demain, je vais demander aux équipes si c'est très ça.

03:53 Parce que ça, vous allez voir, demain, c'est incroyable.

03:55 Parce que vous l'avez, dont je vous ai parlé la semaine dernière,

03:58 on l'aura demain, on a tout le dossier.

03:59 Alors là, vous allez voir, Gilles Verdez, demain,

04:01 vous allez voir, demain, c'est la fin de Gilles Verdez.

04:04 Demain, ce sera sa dernière émission, les gars, je vous le dis.

04:06 Vous allez voir, parce qu'il va se sentir mal ici.

04:08 Demain, je vais mettre des pompiers, des infirmiers,

04:10 de Samu, je vais mettre tout le monde ici.

04:11 Parce qu'avec qui, on va vous sortir demain ?

04:13 On vient de me dire dans l'oreillette que le dossier est prêt, les gars.

04:16 Donc, ce soir, je vous le dis, vous allez voir, le dossier, il est incroyable.

04:20 Et Gilles Verdez, une fois de plus, vous allez voir Gilles Verdez encore.

04:23 Vous allez voir les subventions.

04:25 Mais quand je vous dis que vous allez halluciner chez vous, les chéris,

04:29 vous allez voir, je vous dirai ça en direct.

04:30 Écoutez, demain, soyez assis dans l'émission.

04:33 Soyez assis. C'est fou. Je vous le dis, c'est fou.

04:36 Et il y a encore l'autre gugusse de Gilles Verdez, le guignol de service,

04:41 le GDS, le guignol de service, qui va défendre Aninalgo.

04:44 Et tu sais quoi ? Tu sais quoi ?

04:46 Je vais te dire, de toute façon, toi, t'es contre tout ce qui est…

04:49 tout ce qui se rapporte aux catholiques.

04:51 Je le vois à chaque fois. Si, je te le dis. Je l'ai vu.

04:53 Je l'ai vu. Ah oui, tu sais quoi ?

04:54 Chaque fois qu'il y a un truc sur les catholiques, tu es contre.

04:57 C'est horrible. Tu veux que je te dise ?

04:58 Et moi, je suis fier des gens qui vont à la messe.

05:00 Je suis fier des gens qui sont catholiques, qui portent des croix.

05:03 – Mais la question, c'est si c'était des écoles musulmanes privées,

05:04 est-ce que tu serais d'accord ? – Non, ils ne seraient pas d'accord.

05:06 – On ne s'y pense pas. Tu dirais que ce serait la discrimination.

05:08 – Non, non, mais c'est sûr. C'est où ?

05:10 – Gilles Bernet, tu sais quoi ? Tu es un monteur de première.

05:12 Je vais te laisser la parole à Daniel.

05:14 Daniel, est-ce que c'est vrai ou pas ce que je dis, Daniel ?

05:15 Laisse parler Daniel.

05:16 – Oui, exactement. À chaque fois, tu es…

05:18 – Sœur Daniel, vas-y. [Rires]

05:20 – Tu as même osé parler de ça avec le grand-père du petit garçon qui a disparu.

05:26 Tu as osé un jour, je te l'ai même dit en rentrée.

05:29 Ça m'avait choqué parce que c'était un catholique un peu…

05:32 Voilà, très pur et dur.

05:33 Et on avait fait un argument, j'avais trouvé ça horrible.

05:35 Dès que c'est chrétien, catholique…

05:38 Moi, tu veux que je te dise, moi j'aime tous les gens,

05:42 et je te jure, qui disent qu'ils sont religieux,

05:47 que ce soit de n'importe quelle religion.

05:48 J'aime les gens qui croient en leur religion

05:50 et qui sont à fond dans leur religion, quelle qu'elle soit.

05:52 Je te le dis. – Moi aussi.

05:53 – Non, pas toi, toi t'es un menteur.

05:56 – Moi ? – Non, toi t'es un menteur.

05:58 Que ce soit la religion juive, la religion musulmane,

06:01 ou la religion catholique, ou le bouddhisme,

06:04 ou les mecs même qui sont…

06:06 Même les gens qui sont athées. – Même les athées.

06:07 – Exactement, je suis d'accord avec toi.

06:08 Mais tu sais quoi ? Et moi, je le dis,

06:11 je suis fier quand je vois des gens aller à la mosquée,

06:13 je suis fier quand je vois des gens aller à la synagogue,

06:15 et je suis content quand je vois des gens aller à l'église.

06:17 Je trouve que c'est extraordinaire, parce que ça amène…

06:20 Tu veux que je te dise, c'est ça qu'on veut actuellement.

06:22 C'est des gens qui ont un cadre, je te jure que c'est vrai.

06:24 Et ça t'amène un cadre. – Et des valeurs.

06:26 – Voilà, et des valeurs.

06:27 Gilles Vernez, dès qu'il y a un truc sur les catholiques, il est contre.

06:31 Gilles Vernez, tu es… Non mais tu veux que je te dise ?

06:33 Tu fais du racisme de religion. – Moi ?

06:35 – Oui, c'est dingue. – Je te dis.

06:37 – Non mais… – Et je le pense vraiment.

06:39 – Là, c'est… – Et je le pense vraiment.

06:41 – Évidemment, c'est créé par le scandale. – C'est totalement faux, vous pouvez le penser.

06:43 – C'est créé par le scandale, c'est des musulmans.

06:45 – Ce que vous pensez n'est pas non plus parole d'évangile, si je puis dire.

06:47 – Vous avez le droit de vous tromper. – Je vais demander, est-ce qu'il y en a

06:49 qui l'ont déjà remarqué ici ? Dites la vérité. – Oui.

06:51 – Radouane. – Ta gueule, Radouane.

06:53 – Non mais Gilles… – Il est là-dedans, dis la vérité.

06:55 – Non mais Gilles… – Non mais ne sois pas énervé

06:57 quand on te dit la vérité. – Non, Gilles déteste le sacré.

06:59 En fait, tu détestes la France.

07:01 – Je déteste le sacré. – Tu détestes la France.

07:03 De facto, tu détestes le catholicisme qui a fondé la France

07:05 avec tous les symboles chrétiens de notre pays.

07:07 C'est pour ça que la désacralisation de tout,

07:09 c'est ta haine anti-France qui s'y traduit.

07:11 – Non mais je suis d'accord avec lui.

07:13 Je suis d'accord avec lui.

07:15 – Non mais tu n'as même pas écouté ce qu'il a dit.

07:17 – Tu veux que je te dise la vérité ?

07:19 – J'ai écouté, j'ai écouté, j'ai écouté, mais je n'ai rien compris.

07:21 [Rires et applaudissements]

07:31 Mais j'ai écouté, j'ai écouté un peu, j'ai entendu deux, trois trucs.

07:33 J'ai entendu qu'il n'était pas d'accord avec toi, déjà ça me va.

07:35 Mais j'ai écouté toi.

07:37 – Ce qui est vrai, c'est que tu laisses passer pour la religion musulmane

07:39 des choses que tu ne laisses pas passer pour la religion catholique,

07:41 ou les autres religions d'ailleurs, ça c'est vrai.

07:43 – Et nous, on essaye, et je te jure que nous ici,

07:45 je vais te dire, on essaie d'être le plus juste possible.

07:47 Et le moins juste ici, c'est toi.

07:49 Je te le dis. Non mais je te le dis, vraiment je te le dis.

07:51 – C'est une idée de l'autre.

07:53 – Et en fait, tu sais quoi, c'est très bien, je suis très heureux pour toi.

07:55 Voilà, mais tu as changé de religion.

07:57 – Oui.

07:59 – Je suis très heureux pour toi.

08:01 – Merci. – Mais ne crache pas sur ton ancienne religion.

08:03 – Ne crache pas du tout, ne crache pas du tout.

08:05 Et le débat là n'est absolument pas lié au catholicisme.

08:07 – Bien sûr, bien sûr.

08:09 – Vous délirez totalement, excusez-moi.

08:11 – Bien sûr que si.

08:13 – Mais non, mais non, mais non.

08:15 – Elle n'a pas fait ça pour des écoles musulmanes.

08:17 – Est-ce que toi par exemple, tu peux parler ou pas ?

08:19 – Non, mais laisse-le parler d'abord, parce qu'en fait, il est plus intéressant.

08:21 Vas-y, non, vas-y toi. – Ah, moi ?

08:23 – Non, je pensais que c'était Gilles qui était plus intéressant.

08:25 – Ça t'étonne d'être intéressant.

08:27 [Rires et applaudissements]

08:29 – Je me demandais si tu voulais me rétablir.

08:31 – Tu veux rétablir quoi ?

08:33 – Non, mais ce que je veux dire, c'est qu'à la place de Annie Delgaud,

08:35 normalement, elle devrait être en soutien des écoles catholiques,

08:37 parce que ce serait la même chose pour des musulmans.

08:39 – Bien sûr.

08:41 – Elle viendrait en soutien et elle se demanderait pourquoi.

08:43 Et il n'est pas question de fermer des lieux de culte.

08:45 Alors, je ne sais pas, je ne connais pas exactement la situation

08:47 de ces sept écoles catholiques,

08:49 mais le fait est que moi, c'est quelque chose qui m'intrigue.

08:51 De toute façon, on voit bien dans son idéologie

08:53 que ce qu'elle veut, c'est diminuer le nombre de familles.

08:55 Et on sait que dans les écoles catholiques,

08:57 souvent, ce sont des familles nombreuses.

08:59 Donc là encore, elle cible une population,

09:01 et ça, ça me gêne.

09:03 Et moi, la question que je voudrais te poser, Gilles,

09:05 c'est si tu étais maire de Paris,

09:07 est-ce que tu irais jusqu'à défendre ces écoles catholiques,

09:09 ou bien est-ce que tu prendrais le même type de mesures

09:11 qu'Anne Hidalgo qui veut les transformer en HLM ?

09:13 – Non, non, mais attendez.

09:15 Ce ne sont pas les écoles catholiques.

09:17 Si ces sept établissements catholiques…

09:19 – On est marre d'entendre des bêtises.

09:21 – … s'agrandissent ou se rénovent.

09:23 – On rénove, oui.

09:25 – Voilà. De 30 à 100 % de la surface augmentée

09:27 deviendra du logement social.

09:29 Il faut du logement social.

09:31 – Ce qui est en jeu, c'est le nombre de familles.

09:33 – Mais ils ne vont pas le faire.

09:35 – Ils ne vont pas le faire.

09:37 – Ils ne vont pas le faire.

09:39 – C'est très sûr que c'est impossible.

09:41 – C'est impossible.

09:43 – Mais ils ne le font pas, il n'y a pas de débat alors.

09:45 – Bien sûr que si.

09:47 – Mais ils ne le font pas parce qu'ils n'en ont plus rien à faire

09:49 à cause de ça.

09:51 – Chut, famille, calme-toi.

09:53 – Ce qui est en jeu aujourd'hui, c'est qu'il y a de moins en moins

09:55 de familles catholiques et il y a de moins en moins

09:57 de familles nombreuses.

09:59 En plus exactement, c'est parce qu'il y a de moins en moins

10:01 de familles nombreuses que du coup il y a aussi

10:03 de moins en moins de familles catholiques.

10:05 C'est ça la réalité.

10:07 – Parce qu'elle fait une chasse, globalement, aux familles nombreuses

10:09 à Paris. C'est de plus en plus compliqué de vivre à Paris.

10:11 – Mais il ne parle pas de vous.

10:13 – Il y a les SUV, il y a l'anti-voiture.

10:15 – Mais vous le mettez où le logement social à Paris ?

10:17 – Mais il y a plein d'endroits.

10:19 – Mais vous ne savez même pas où ?

10:21 – Mais si, il y a des locaux commerciaux à changer.

10:23 – Bien sûr qu'on est pour le logement social.

10:25 – Mais voilà.

10:27 – Mais il n'est pas important, je ne vais pas enlever une école catholique.

10:29 – Mais on ne l'enlève pas, c'est l'extension.

10:31 – Non, n'importe quoi.

10:33 – Tu défends l'école catholique absolument.

10:35 – Tu défends rien du tout, tu défends que la merde.

10:37 – Elle a fait le coup en douce.

10:39 – Elle n'a pas fait le coup en douce, c'est vous qui n'avez rien lu.

10:41 – Elle a lu, mamie.

10:43 – Les directeurs d'école le découvrent 8 mois après

10:45 si ce n'est pas le coup en douce.

10:47 – Ce n'est pas une délibération du conseil de Paris.

10:49 – Je disais que ce n'était pas une délibération du conseil de Paris,

10:51 c'est un arrêté qui a été pris.

10:53 – Oui, voilà.

10:55 – Donc Gilles, regarde, sans...

10:57 – Ne laissez pas aller, madame.

10:59 – Ce sont des écoles privées catholiques, par exemple,

11:01 s'ils veulent agrandir le bâtiment pour faire une bibliothèque,

11:03 un gymnase, ou simplement apporter aux élèves un meilleur confort pour étudier,

11:07 ils ne peuvent pas car ils sont obligés de mettre des logements sociaux

11:10 au sein de leur établissement.

11:12 Donc en fait, en plein milieu d'un gymnase, on va mettre une HLM,

11:14 tu vois bien, ça ne tient pas l'arme.

11:16 – N'importe quoi, c'est n'importe quoi.

11:18 – Ils vont faire les rénovations pour les bien-être des élèves.

11:20 – Je vais vous dire, regardez, ils disent n'importe quoi comme...

11:22 J'aimerais juste qu'on montre cette vidéo d'Adriane Katniss,

11:24 c'était la meilleure vanne du WC,

11:26 la meilleure vanne du WC, et tu dis autant n'importe quoi que tes amis.

11:29 Regarde, non mais sérieux, toi tu es Adrien à 4/4, regarde, regarde.

11:32 [Rires]

11:33 – Est-ce que vous pensez vraiment que les Français ont passé l'éponge ?

11:36 – Il faudrait leur demander, en tout cas, il y en a beaucoup qui souhaitaient ce retour.

11:40 C'est vrai, dans un contexte de divorce, il y a des éléments, des faits,

11:45 des erreurs que j'ai pu commettre dans ma vie qui ont été mises en cause.

11:49 Je ne les ai jamais minimisés, ni banalisés,

11:52 et je les ai immédiatement regrettés, reconnus.

11:55 – Là, il y avait deux génies face à face.

11:57 – Le mec qui frappe sa femme et il croit qu'il y a des millions de gens

12:00 qui l'attendent à la sortie du studio en disant "Katniss, Katniss, on veut que tu lui guettes".

12:04 – Il y a que moi qui crois ça, mais sans déconner, mais t'es un fou comme eux, toi.

12:07 – J'ai rien dit.

12:08 – Non mais t'es un fou, t'es un fou comme eux, je te le dis, t'es un fou.

12:11 Tu dis quoi sur ça ?

12:13 – Je trouve qu'il est sur la bonne voie.

12:15 [Rires]

12:16 – Allez, sors, sors, sors.

12:18 [Rires]

12:19 – Il sort, il sort, il sort, il sort.

12:23 – Sors par là, sors par là.

12:25 – Vas-y, servez-lui un verre, là.

12:27 [Rires]

12:28 Servez-lui un verre, on va la parler, lui.

12:30 Non mais regardez-moi ce qu'il gnole.

12:31 – Non mais sans déconner, il est très éduqué.

12:32 – Non mais la question est bien posée, c'est franchement de l'indécence,

12:34 ce mec a frappé sa femme, je veux dire, je ne comprends pas que le parti politique puisse…

12:38 – Il s'est posé en victime en plus.

12:39 – C'est ça qui me choque le plus, c'est que le parti politique se dise

12:42 "Ah non mais il n'y a pas de problème, on va arriver à rien, regardez-vous".

12:44 – Excuse-moi, c'est privilège rouge, on est en plein dedans.

12:46 – Tu ne veux pas retourner dans ta droguerie, là, dans des valets, là ?

12:49 Regardez juste sur le sondage d'avant, là, sur le sondage d'avant, les chéris.

12:52 Rochide Verdet, c'est une fois de plus, voilà.

12:53 Non, voilà, 92 %.

12:54 – Ah ben ouais.

12:55 – Tiens, viens voir le sondage, là.

12:56 [Rires]

12:57 Viens voir le sondage, tu vas le lire toi-même, tiens, à haute voix, tiens.

12:59 Allez, lis les résultats.

13:00 – Anil Algo veut remplacer des écoles catholiques par des HLM.

13:03 Êtes-vous d'accord ?

13:04 Oui à 7,4 %.

13:06 – Non à 92,5 %.

13:09 – T'en as pas marre d'être dans l'échec ?

13:11 T'en as pas marre ?

13:13 – C'est bien d'avoir raison trop tôt, mais c'est dur.

13:16 [Rires]

13:17 – Non, frère, tu sais ce que t'as ?

13:18 T'as pas compris quelque chose, c'est ce que je t'ai dit, t'as pas raison trop tôt.

13:21 T'as 30 ans de retard, frère.

13:22 Écoute-moi bien, t'es un mec des années 85.

13:25 T'étais bon dans les années...

13:26 En 85, t'aurais été bon.

13:28 – Ouais, j'étais pas mauvais.

13:29 – Ouais, mais là, t'es nul.

13:30 Excuse-moi.

13:31 Alors, qu'est-ce que tu veux dire sur Adrien Quatennens qu'on rigole ?

13:33 – Moi, j'étais extrêmement violent, virulent avec lui.

13:37 Il a été nul dans sa première interview, il y a un an.

13:39 Il a amorcé sur France 2 des excuses, il s'est excusé, je trouve qu'il a payé.

13:44 Ce qu'il a fait est inqualifiable, je l'ai dit.

13:46 Et là, il ne pense plus qu'à lui.

13:48 Avant, c'était ma petite personne, etc.

13:50 Là, je trouve qu'il est plus altruiste.

13:52 Il a travaillé, il a fait un atelier de réflexion

13:55 et je trouve que ça lui a servi, voilà.

13:57 – Adrien Quatennens qui dit la France m'attend, c'est de Joni Hadid.

14:00 – Non, je ne vous déconnez.

14:01 – C'est Lacolme. – Il n'a rien à dire.

14:03 – Je peux peut-être revenir doucement.

14:05 – Le fait de dire ça, c'est qu'il n'a rien compris et qu'il est pas guillotiné.

14:07 – Excuse-moi, mais qui t'a donné la parole, là ?

14:09 – Ah pardon, excusez-moi. – Pas possible.

14:11 Mais depuis qu'elle a changé de dentier, elle veut toujours en parler, là.

14:14 Elle a le dentier en feu, celle-ci, sans déconner.

14:16 – Pas que ça. – Non mais va mettre du stéradam, bordel.

14:18 Non mais regardez-moi cette équipe, regardez-la.

14:20 Mais regardez ces trois personnes, là, c'est eux qui l'enjoignent à 20h10.

14:23 Non mais sans déconner, vous faites quoi ?

14:25 Mais vous êtes qui ?

14:27 – Et l'autre, là, "When's World", là ? Non mais sans déconner.

14:29 – Ne m'associez pas à eux.

14:31 – Non mais Gilles, juste, tu dis, il a payé, mais il a payé quoi ?

14:33 Il a payé pour ce qu'il a fait ? Il est allé en prison ?

14:35 – Il a été condamné à 4 mois. – 4 mois, c'est rien.

14:37 – Géraldine, va passer de ce côté, là.

14:39 – Non, je suis bien, moi. – On va laisser les officiers.

14:41 – Non, moi, je suis solidaire.

14:43 – Non mais regardez l'équipe avec qui ils sont déconnés.

14:45 – Non, faut pas m'associer à eux.

14:47 – Mais frère, mais arrête, je suis bien obligé.

14:49 – Mais pourquoi ?

14:51 – Vu ta gueule, tu feras mieux de te taire.

14:53 [Cris de dégoût]

14:55 – C'est le beau gosse de l'émission.

14:57 – C'est Sophie.

14:59 – Oui, on en est là.

15:01 (rires)

15:02 [Musique]

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