J.O.G.G.
Court-métrage de 5 minutes, réalisé dans le cadre du festival 2009 de courts-métrages Certains L’Aiment Court (CLAC) ayant pour thème « La banlieue », retraçant l’incroyable cavale d’un homme pour attraper son RER matinal.
Scénario
Tout commence par un rêve. Alignées, en rang, des fourmis s’affairent à récolter de la nourriture quand… le réveil sonne. Sur une musique douce de Michael Danna, nous suivons le personnage principal se lever, se préparer et regarder, du haut de son immeuble de banlieue, derrière des échafaudages, la gare de RER.
Plus une seconde à perdre, nous entendons à nouveau le réveil sonner annonçant une rupture de rythme et le début de la course poursuite du jeune homme vers la station d’où il partira pour aller travailler. Tel un insecte écoutant son instinct, celui-ci suit le flux continu de passagers pressés de rejoindre ce lieu. Le rythme de la deuxième partie du film est marqué par une musique plus rapide (de Kinky, Uruapan Breaks) et par une réalisation plus vive que dans le premier volet du court-métrage pour mettre l’accent sur le caractère coercitif de la course et de son objectif final. L’arrivée dans le train, le soulagement d’avoir suivi ses pairs dans la bonne direction, et l’assise dans le wagon laisse place à un repos artificiel de courte durée. A quand le retentissement du prochain réveil ?
Scénario
Tout commence par un rêve. Alignées, en rang, des fourmis s’affairent à récolter de la nourriture quand… le réveil sonne. Sur une musique douce de Michael Danna, nous suivons le personnage principal se lever, se préparer et regarder, du haut de son immeuble de banlieue, derrière des échafaudages, la gare de RER.
Plus une seconde à perdre, nous entendons à nouveau le réveil sonner annonçant une rupture de rythme et le début de la course poursuite du jeune homme vers la station d’où il partira pour aller travailler. Tel un insecte écoutant son instinct, celui-ci suit le flux continu de passagers pressés de rejoindre ce lieu. Le rythme de la deuxième partie du film est marqué par une musique plus rapide (de Kinky, Uruapan Breaks) et par une réalisation plus vive que dans le premier volet du court-métrage pour mettre l’accent sur le caractère coercitif de la course et de son objectif final. L’arrivée dans le train, le soulagement d’avoir suivi ses pairs dans la bonne direction, et l’assise dans le wagon laisse place à un repos artificiel de courte durée. A quand le retentissement du prochain réveil ?
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🎥
Court métrage