Pascal Légitimus : "Je n'ai jamais fait quelque chose pour de l'argent"

  • il y a 7 mois
"L'argent c'est bon serviteur, mauvais maître" confesse Pascal Légitimus, qui ne prête pas tant d'importance aux "pépettes". "L'argent c'est un moyen mais pour moi, ce n'est pas une finalité. Je n'ai jamais fait quelque chose pour de l'argent, ça c'est sûr" affirme le comédien.

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Transcript
00:00 Vous dites que vous n'aimez pas l'argent car ça peut tout gâcher.
00:02 Mais bien sûr, l'argent c'est bon serviteur, mauvais maître.
00:05 Ça je... oui bien sûr.
00:06 L'argent c'est un moyen, voilà, c'est un moyen, mais pour moi c'est pas une finalité.
00:10 J'ai jamais fait quelque chose pour de l'argent.
00:13 Ça c'est sûr. Et là je suis sincère.
00:15 Et j'ai jamais accepté un rôle ou un film ou quoi que ce soit pour de la pépette et
00:20 ô combien on m'a proposé même d'être présentateur dans des émissions de télé.
00:23 - Ah oui ? On vous a proposé quoi ? - De faire des jeux, genre "La roue de la fortune", des choses comme ça.
00:26 Donc tu sais que c'était des pondors.
00:28 Je me suis dit "mais je suis pas un vendeur, c'est pas péjoratif, mais je suis un acteur".
00:32 - Vous avez même pas eu la curiosité de demander combien ils comptaient vous payer ?
00:35 - Si, si, j'ai demandé combien, c'était beaucoup.
00:37 Mais oui, on m'a proposé beaucoup d'argent pour plein de choses, mais ça m'intéressait pas.
00:41 Et je garde mon cap.
00:42 - L'argent qui gâche tout, vous avez connu ça aussi avec votre ancien producteur Paul Edermann.
00:45 Là il y a eu une histoire de gros sous.
00:47 Ça a bien failli coûter la vie à votre trio, les Inconnus.
00:51 - Ouais, en fait...
00:53 Comment expliquer ça sans dévoiler ? Parce que c'est quand même...
00:56 - Sans rentrer dans des détails techniques.
00:58 - Ça intéresse vraiment les gens.
00:59 - Ce qu'on peut dire quand même, c'est que les Inconnus ont failli disparaître à tout jamais,
01:02 parce qu'ils avaient les droits et que vous étiez en conflit.
01:04 - Mais il a toujours les droits en fait.
01:06 Paul Edermann est éditeur de nos sketchs.
01:08 En fait, c'était que les royalties étaient un peu minimes, divisé par trois.
01:12 Donc on a essayé de rehausser un peu nos taux, alors qu'il nous les avait promis.
01:16 Et puis à un moment donné, on s'est battus pour essayer de rétablir la normalité, tout simplement.
01:20 - Ça veut dire que depuis, vous lisez beaucoup mieux les contrats que vous signez ?
01:23 - Oh bah là on est bien équipés maintenant !
01:25 - Mais oui, voilà. - Brest.

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