Ce film raconte les trois derniers jours de Marie-Antoinette à Versailles, juste avant la prise de la Bastille. Il est vu à travers les yeux de Sidonie Laborde, une jeune lectrice dévouée à la reine.
La bande-annonce est très réussie. Elle capture l'atmosphère de chaos et de peur qui régnait à Versailles à l'époque. Elle montre également la relation complexe entre Marie-Antoinette et Sidonie.
Le film a été salué par la critique pour sa reconstitution historique précise et ses performances remarquables. Diane Kruger est particulièrement brillante dans le rôle de Marie-Antoinette.
Si vous vous intéressez à la Révolution française ou à l'histoire de Marie-Antoinette, je vous recommande vivement de regarder "Les Adieux à la Reine".
Voici quelques éléments qui font de ce film un moment unique :
Une reconstitution historique précise et immersive
Des performances remarquables, notamment de Diane Kruger
Un regard unique sur les derniers jours de Marie-Antoinette
Un film qui soulève des questions importantes sur la royauté, la révolution et la liberté
La bande-annonce est très réussie. Elle capture l'atmosphère de chaos et de peur qui régnait à Versailles à l'époque. Elle montre également la relation complexe entre Marie-Antoinette et Sidonie.
Le film a été salué par la critique pour sa reconstitution historique précise et ses performances remarquables. Diane Kruger est particulièrement brillante dans le rôle de Marie-Antoinette.
Si vous vous intéressez à la Révolution française ou à l'histoire de Marie-Antoinette, je vous recommande vivement de regarder "Les Adieux à la Reine".
Voici quelques éléments qui font de ce film un moment unique :
Une reconstitution historique précise et immersive
Des performances remarquables, notamment de Diane Kruger
Un regard unique sur les derniers jours de Marie-Antoinette
Un film qui soulève des questions importantes sur la royauté, la révolution et la liberté
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Court métrageTranscription
00:00 "Je me nomme Sidonie Laborde, j'étais l'électrice de l'arène, je sais que vous m'aidez entièrement à me dévouer."
00:04 "Mais qu'avez-vous à vous gratter ainsi ?"
00:07 "Vous savez aussi vous gratter devant l'arène ?"
00:09 "Avez-vous déjà été attirée par une femme au point de souffrir horriblement dans son absence ?"
00:14 "Je crois deviner de qui vous me parlez."
00:16 "Et je l'envie d'être ainsi aimée à la folie d'une telle amitié."
00:20 "Cela a l'air exagéré, mais c'est pas du tout."
00:24 "C'est pas du tout."
00:25 "C'est pas du tout."
00:26 "C'est pas du tout."
00:27 "C'est pas du tout."
00:28 "C'est pas du tout."
00:29 "Celle-là, elle a réussi son cours."
00:31 "Une petite provinciale endettée, favorite de l'arène en un tournement."
00:34 "Moi, je te dis que c'est une putain."
00:36 "Vous connaissez pas la nouvelle ?"
00:39 "Tout ce que j'ai compris, c'est le mot bastille."
00:41 "Qu'est-ce que tu veux dire ?"
00:43 "La bastille."
00:44 "Louis XVI n'est plus libre de ses décisions, il est l'otage de l'insurrection."
00:53 "C'est la liste de 186 têtes qu'il faut couper."
00:56 "Les deux premiers noms, ceux de la reine, ceux de la buchesse, ceux de Kodignac."
01:00 "J'ai peur, Alice."
01:01 "J'ai peur pour elle."
01:03 "Je resterai auprès de l'arène tant qu'il le faudra."
01:06 "On dirait que cela vous comble."
01:09 "C'est à cause de moi que le peuple aurait clamé votre tête."
01:14 "Qui était la France."
01:15 "Refusez ce que l'arène va vous demander."
01:18 "Mais je ne pourrai refuser l'arène."
01:21 "Je me nomme Sidonie Laborde."
01:23 "J'étais l'allectrice de l'arène."
01:25 "J'obéis à l'arène."
01:27 "Bientôt, je serai loin de Versailles."
01:30 "Bientôt, je ne serai plus personne."
01:32 "J'étais l'allectrice de l'arène."
01:33 "J'étais l'allectrice de l'arène."
01:35 "J'étais l'allectrice de l'arène."
01:37 "J'étais l'allectrice de l'arène."
01:39 "J'étais l'allectrice de l'arène."
01:41 "J'étais l'allectrice de l'arène."