• il y a 9 mois
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00:00 50 000 euros de dons en deux semaines, grâce à vous on y est arrivé.
00:05 Toxin vivra, Toxin verra avec vous.
00:08 Merci à tous, merci de nous avoir soutenus, merci pour tous ces dons en si peu de temps.
00:14 Vous faites partie des résistants du Toxin et vous avez voulu qu'on aille plus loin.
00:20 On va aller plus loin évidemment.
00:21 On va prolonger notre cagnotte Tipeee pour mettre en place cette newsletter.
00:25 La newsletter du soir, Toxin matin, Toxin soir, deux rendez-vous avec vous le matin et le soir.
00:31 On continue la résistance toute la journée.
00:33 On va d'ailleurs mettre en place un groupe de résistance sur Telegram si vous le voulez bien.
00:37 Et puis évidemment le magazine La Trace Écrite,
00:40 puisque évidemment la résistance se fait aussi par l'écrit, vous le savez bien.
00:43 Voilà, si vous voulez bien continuer ces objectifs avec nous, on vous attend.
00:47 Et encore merci évidemment à tous les soutiens de Toxin,
00:50 à tous ceux qui ont entendu l'appel du Toxin
00:53 et qui sont derrière nous maintenant pour cette belle aventure.
00:55 Merci à vous.
00:56 On a parlé de cette scène internationale,
01:07 et bien un retour en France et avec un sujet qui porte aussi ses effets,
01:13 d'ailleurs au niveau international, les vaccins et la gestion de la crise Covid par le gouvernement.
01:18 On sent comme un frémissement ces derniers temps, malgré des propos très affirmatifs.
01:24 Et d'ailleurs, d'Aurélien Rousseau, ministre de la Santé,
01:28 concernant l'absence d'effets indésirables du vaccin anti-Covid.
01:31 Je le rappelle et je vous propose de l'écouter.
01:33 Aurélien Rousseau, ministre de la Santé,
01:35 qui exprimait son avis le 3 octobre dernier sur France Inter.
01:40 Il n'y a pas d'effets secondaires, disait-il.
01:43 On a un vaccin qui est plus efficace.
01:46 Il est plus efficace que celui de l'an dernier.
01:48 Il correspond parfaitement aux souches.
01:50 Et on a un vaccin dont maintenant on a trois ans de recul.
01:54 On sait qu'on n'a pas d'effets secondaires.
01:56 Voilà, on n'a pas d'effets secondaires.
01:58 On a du recul des armées.
02:00 Voilà ce que nous affirme Aurélien Rousseau pour la petite histoire.
02:02 Et on reviendra là-dessus.
02:03 Le professeur Perron et Xavier Azalbert, président de l'association bon sens.org,
02:08 ont déposé plainte à la Cour de justice de la République
02:10 contre ce ministre de la Santé, Aurélien Rousseau,
02:13 à la suite de ses propos où il expliquait qu'il n'y avait donc pas d'effets secondaires.
02:17 Alors d'autres semblent préparer doucement leur retournement de veste.
02:20 Il y a eu deux livres quand même.
02:21 Celui d'Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé,
02:24 et celui de Jean-François Delfraissy,
02:26 ancien président du Conseil scientifique pendant la période Covid.
02:29 Eh bien voilà ce que dit, entre autres, Jean-François Delfraissy,
02:32 sur les effets du vaccin.
02:33 Écoutez Jean-François Delfraissy.
02:35 Est-ce que vous n'avez pas assez prévenu sur les effets secondaires de ces vaccins ?
02:37 Il me semble qu'on a...
02:39 D'abord, on les a découverts au fur et à mesure que c'est arrivé.
02:43 Il me semble qu'il y a eu plutôt une application du principe de précaution,
02:48 puisque un des vaccins, AstraZeneca, a été retiré en mars 2021,
02:54 à la suite justement d'accidents de type myocardite.
02:57 Il n'y a jamais eu autant de surveillance,
03:00 une surveillance au niveau national et au niveau international des effets secondaires.
03:06 Alors, à titre individuel, moi je reconnais que c'est terrible ce qui lui arrive.
03:11 C'est terrible.
03:12 Et après il revient sur le cas d'une jeune fille en particulier
03:16 qui a été touchée par des effets secondaires,
03:18 mais vous avez bien entendu,
03:19 il n'y a jamais eu autant de surveillance au niveau international.
03:21 Et puis surtout la phrase choque.
03:23 Il me semble qu'on a relayé ces effets secondaires
03:27 au fur et à mesure qu'on les a découverts
03:29 et qu'on a découvert que ça arrivait.
03:31 Voilà Jean-François Delfraissy,
03:32 je le rappelle quand même président du Conseil scientifique.
03:35 Alors bon, une estimation un peu aux doigts mouillés.
03:38 Il me semble que...
03:39 On va évidemment y revenir avec nos invités.
03:42 Et alors Agnès Buzyn, elle qui a publié son livre,
03:45 dit avoir regretté d'avoir quitté son poste en pleine crise.
03:48 Elle explique également qu'elle avait pointé du doigt
03:49 le risque de la propagation du virus.
03:52 Vous savez, elle a publié ses échanges de SMS avec Edouard Philippe.
03:56 Et elle explique également la possibilité
03:58 que l'origine du virus vienne du laboratoire P4.
04:01 Théorie, je le rappelle, qui était jugée complotiste à l'époque
04:04 quand nous autres journalistes l'évoquions.
04:06 Bon, elle aussi d'ailleurs, elle est mise en examen
04:08 devant la Cour de justice de la République.
04:10 Aujourd'hui, elle est encore témoin assisté.
04:11 Bref, il semblerait que certains préparent leur sortie de terrain discrètement.
04:16 Et nous, nous allons parler justement de cette nouvelle campagne de vaccination
04:20 qui a l'air de faire autant peur aux politiques
04:22 et bien qu'à ceux qui connaissent vraiment les effets indésirables.
04:25 Et pour en parler, nous sommes avec Jean-Louis Isenberg et Mélodie Ferron.
04:28 Bonjour, Mélodie Ferron.
04:30 Bonjour.
04:30 Merci beaucoup d'être avec nous.
04:31 Vous êtes fondatrice du collectif Où est mon cycle et auteur de ce livre
04:35 Où est mon cycle et toi, où est le tien ?
04:37 Aux éditions Marco Pieter.
04:39 Et nous sommes également avec Jean-Louis Isenberg.
04:41 Bonjour, Jean-Louis Isenberg.
04:43 Bonjour Clémence.
04:44 Et merci beaucoup d'être avec nous.
04:45 Vous êtes journaliste d'investigation, auteur dernièrement de ce livre
04:48 Tous vaccinés, tous en danger chez IS édition,
04:52 livre que je montre ici à l'image.
04:54 Alors, Jean-Louis Isenberg, justement, c'est un tout récent livre
04:58 où vous, finalement, faites un grand bilan,
05:01 non seulement des effets secondaires,
05:03 mais de tous les mensonges qu'on a pu avoir pendant cette période Covid.
05:06 Et il est particulièrement intéressant que vous publiez ce livre maintenant
05:10 où une nouvelle campagne commence et où on sent d'un côté,
05:14 évidemment, le récit continué sur le fait qu'il n'y a pas d'effet secondaire
05:18 et puis d'autres qui finissent par, qui sont déjà passés par la case obligatoire
05:22 et qui désormais finissent par doucement retourner leur veste.
05:26 Jean-Louis Isenberg.
05:27 Oui, tout d'abord Clémence, peut-être qu'il faut rappeler quelque chose,
05:31 c'est que la campagne recommence sur le thème des nouveaux variants,
05:37 donc du vaccin dangereux, etc.
05:40 Je vais donner un chiffre qui est celui qui a été publié par l'OMS
05:43 en début d'année 2023.
05:45 Le nombre de décès recensés par l'OMS, c'était de 6 840 279 décès.
05:52 Rapporté à une population de 8 milliards d'habitants,
05:55 cela représente un taux de mortalité pour la Covid-19,
06:01 la maladie du SRAS-CoV-2, de 0,085%.
06:06 Mais attention, sur ces 6 840 279 décès,
06:13 il y en a à peu près entre 80 et 88%, c'est une estimation,
06:18 qui ont été provoqués par une autre maladie dont souffraient les personnes
06:21 qui ont été déclarées décédées de la Covid-19.
06:27 Cela veut dire premièrement que le vaccin n'est pas aussi dangereux
06:31 que veulent le dire les autorités,
06:33 parce que les 6 840 279 décès, c'est sur trois ans.
06:40 Vous ne vous dites pas le vaccin, le Covid ?
06:42 Le Covid, pardon.
06:44 Mais pour rappel, il y a trois millions d'enfants
06:46 qui décèdent chaque année de sous-alimentation.
06:48 Ensuite, sur la déclaration du ministre de la Santé Aurélien Rousseau,
06:54 non seulement il continue de mentir,
06:57 mais il dissimule des faits qui sont importants et qu'il ne peut pas ignorer.
07:01 Il continue de mentir parce que M. Véran,
07:05 l'ancien ministre de la Santé, l'a précédé déjà.
07:07 Il tenait les mêmes propos que ceux de M. Aurélien Rousseau aujourd'hui.
07:12 M. Véran, quand il était sur les plateaux de télévision
07:14 ou interviewé par les journalistes,
07:16 déclarait que le vaccin était sûr et efficace à 95%.
07:23 Ça, c'est quand il était sur les plateaux de télévision,
07:25 parce que par contre, à la fin du mois de février 2021 et fin mars 2021,
07:31 il a déposé un mémoire devant le Conseil d'État
07:33 où il est écrit noir sur blanc,
07:35 et c'est lui qui quand même supervise la rédaction du mémoire,
07:39 "l'efficacité des vaccins n'est que partielle".
07:43 Je reproduis des extraits dans le livre.
07:46 "À le stade des essais de ces vaccins,
07:48 il n'y avait donc pas de garantie d'immunité associée
07:52 pour les personnes qui se le voyaient administrée.
07:54 Un peu plus loin, les personnes vaccinées sont aussi celles
07:57 qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès,
08:00 en cas d'inefficacité initiale du vaccin".
08:03 Et il terminait en disant,
08:06 "même lorsqu'il y a une efficacité sur les personnes concernées,
08:10 en l'état des connaissances scientifiques,
08:12 le vaccin ne les empêche pas de transmettre le virus au tiers".
08:15 Alors, ce n'est pas le discours que tenait M. Véran quand il était dans un média.
08:20 Ça, c'est le moins qu'on puisse dire.
08:21 C'est absolument fondamental cet élément-là.
08:24 Et c'est évidemment là que je voulais en venir.
08:26 C'est-à-dire qu'on voit ce double discours.
08:27 Là, vous avez cité Olivier Véran.
08:29 Et avant, moi, je citais Agnès Buzyn, notamment.
08:33 Ce double discours public, discours officiel, discours public.
08:36 Voilà ce qu'on vous demande de faire.
08:37 Vaccinez-vous. Il n'y a pas d'effet secondaire.
08:41 Voilà, ceux qui contestent sont des complotistes.
08:44 Et puis, d'un autre côté, on les voit tous publier de façon plus discrète
08:50 des rapports, des livres pour nous dire,
08:53 "attention, moi, j'ai toujours averti que..."
08:55 Donc, comment vous interprétez ?
08:56 Ensuite, je vais demander à Mélodie de Weymont-Cycle
08:59 également ce qu'elle en pense.
09:01 Comment vous interprétez aujourd'hui ce double discours
09:03 qui est particulièrement fort aujourd'hui ?
09:05 Vous avez cité Olivier Véran, vous avez bien fait,
09:08 qui est dans votre livre, je rappelle,
09:09 "Tous vaccinés, tous en danger" chez IS édition.
09:12 Comment vous expliquez qu'aujourd'hui, on sent encore plus
09:15 le discours officiel continu, mais on sent ce moment
09:20 où on a l'impression qu'ils préparent tous leur défense, en fait ?
09:25 Jean-Louis Zimbert.
09:27 Oui, ce qui se passe, c'est qu'ils savent bien,
09:30 ils ont quand même, il faut quand même le rappeler,
09:32 il y a des milliards de doses qui ont été achetées
09:34 par la Commission européenne avec des fonds publics.
09:37 Et ils savent bien que...
09:39 Alors, ce qui est intéressant du reste, c'est qu'il faudrait quand même
09:41 trouver un parlementaire français ou un eurodéputé,
09:44 même s'ils sont un peu hors sol,
09:46 qui pose la question de savoir ce que sont devenus ces milliards de doses.
09:49 Parce qu'il faut quand même rappeler qu'il y a des dates de préemption,
09:51 les vaccins ont une date limite d'utilisation
09:54 et que les milliards de doses qui ont été achetées par Mme van der Leyen,
09:59 la présidente de la Commission européenne,
10:01 directement avec Albert Bourla, le PDG de Pfizer,
10:05 il y a quand même des explications à donner là-dessus.
10:07 Alors, je rappelle du reste pour la petite histoire,
10:11 j'en parle dans un livre et j'en parlerai dans un prochain livre
10:14 en 2024 sur l'Union européenne,
10:16 qu'alors qu'il y avait des députés, des eurodéputés qui posaient la question,
10:20 justement, des transmissions qui avaient eu lieu
10:23 entre Mme la présidente de la Commission européenne,
10:26 van der Leyen et puis le PDG de Pfizer,
10:30 tous les présidents de tous les groupes politiques au Parlement européen
10:35 se sont mis d'accord entre eux pour qu'elle n'ait pas à s'expliquer.
10:37 Ça déjà, ça en dit long sur la démocratie au sein de l'Union européenne.
10:41 Évidemment, on va reparler de l'Union européenne,
10:44 c'est un sujet qui me met à cœur également.
10:46 Mais Mélodie Ferron, fondatrice du collectif "Où est mon cycle ?"
10:51 Auteure de ce livre "Où est mon cycle ? Et toi, où en est le tien ?"
10:53 Justement, vous avez aussi combattu pour une reconnaissance
10:57 de cette affaire désirable depuis bien longtemps,
10:59 au niveau notamment des commissions parlementaires.
11:02 Vous avez même tenté au niveau européen aussi de cette reconnaissance.
11:06 Comment vous vous interprétez-vous justement ce double discours
11:09 de plus en plus net ?
11:11 Là, c'est pas un politique.
11:12 On a cité Delphrécy aussi qui prépare sa porte de sortie,
11:15 Agnès Buzyn, Olivier Véran.
11:17 Ça commence à faire beaucoup.
11:19 Ça commence à faire beaucoup, c'est sûr.
11:22 Je crois, Jean-Louis, d'un côté, il y a les milliards de doses à écouler.
11:24 Puis, d'un autre côté, on a les effets secondaires qui explosent,
11:27 qui sont de plus en plus graves et qui sont de plus en plus longs.
11:29 Donc, il y a un moment, ils ne pourront plus les nier.
11:30 On a une chute de la natalité, comme on n'a pas vu depuis la Seconde Guerre mondiale.
11:34 Moi, je n'ai jamais vu, en tout cas dans les médias mainstream,
11:37 les politiques, pareil, des jeunes femmes de 20 ans
11:39 qui sont minoposées juste après leur première dose.
11:41 Il y a un moment, je veux dire, de par le nombre, on ne pourra plus le taire.
11:44 Et c'est vrai que nous, on a alerté quand même depuis longtemps,
11:46 puisqu'on avait été à l'OPECST,
11:49 dans le cadre de la commission d'enquête du Sénat,
11:51 où les rapporteurs avaient pris, parce que nous, on a fait un constat divicié
11:54 quand on est intervenu là-bas, avec Maître Procat, avec les Navigants libres.
11:58 Et donc, ils prennent parfaitement la mesure du problème.
12:03 Ils pourraient prendre la mesure du problème,
12:06 mais puis, visiblement, dans le secret, ils prennent la mesure.
12:10 Oui, complètement. Mais Florence Lassara, qui, elle, était rapporteure,
12:13 justement, à ce moment-là, avec Sonia de la Prévoté,
12:16 avait été très alarmée par beaucoup de témoignages qu'on avait amenés.
12:18 On avait amené des témoignages avec des formulaires SERFA,
12:21 donc qui étaient des témoignages officiels.
12:23 Tout à fait. Je vous rappelle, juste pour tous ceux qui ne vous auraient pas suivi,
12:26 tout ce que vous avez fait a été fait de manière extrêmement sérieuse.
12:29 Vous demandiez une carte d'identité, vous avez dit que c'était sous serment,
12:33 validé par un...
12:36 Pardon ?
12:37 Par un huissier.
12:38 Validé par un huissier, exactement, tout à fait.
12:40 Donc voilà, tout a été fait de façon extrêmement sérieuse.
12:42 Et d'ailleurs, c'est pour ça que vous avez pu présenter aussi ce travail,
12:47 ce dossier au niveau parlementaire, et que ça a été reçu de toute façon comme tel.
12:52 Malgré tout, on n'a rien vu.
12:55 D'ailleurs, cette commission a été quand même très décevante à l'époque.
12:59 Elle a été très décevante, et pourtant, dans le rapport d'Étape,
13:01 ils reconnaissaient parfaitement les choses.
13:03 Le rapport d'Étape qui est sorti le 9 juin 2022,
13:07 où eux, ils disaient, étant donné leur volumétrie
13:09 et donc le caractère provérissemblable d'une coïncidence temporelle
13:11 avec les vaccinations chez toutes les femmes qui ont expérimenté ces troubles,
13:15 il est très étonnant qu'ils ne soient pas déjà considérés
13:17 comme un effet indésirable avéré du vaccin.
13:20 Bon, et après, ils expliquent qu'en fait, il y a un signal d'alarme
13:22 qui est ouvert au niveau de l'EMA, qui a été clos très rapidement.
13:25 Puis, il faut aussi rappeler que pendant cette période-là,
13:28 avant le passage de madame Christine Ratigny-Carboneil,
13:34 lors de son audition à Elle,
13:36 on avait fait une espèce de petite réunion un petit peu informelle
13:39 avec la pharmaco-vigilance à laquelle Wemonsyc et d'autres collectifs
13:42 de l'association avaient été conviés.
13:44 Et on l'avait vraiment mise en...
13:46 On avait alerté autant qu'on pouvait sur la gravité des effets secondaires,
13:49 nous, en tout cas, sur la partie gynécologique.
13:51 Et quand elle y est passée, après, il n'y avait pas de son, pas d'image.
13:54 Et puis, suite à ça, tout a été éteint.
13:56 Les signaux d'alarme ont été éteints par l'EMA.
13:58 Alors, je vous remercie à vous tous, chers auditeurs,
14:00 parce que nous battons en ce moment un record total de viewers en ligne,
14:04 plus de 2700 personnes. On va bientôt arriver aux 3000.
14:07 Évidemment, c'est un sujet qui est très, très concernant.
14:09 Continuez d'ailleurs de relayer en direct avec vos cœurs,
14:12 vos pouces levés, etc.
14:13 Et pourtant, aujourd'hui, ce n'est pas l'heure de mettre des pouces levés
14:15 à la politique, notamment vaccinale, puisque on le disait,
14:21 Mélodie, on a eu quand même encore une fois,
14:26 encore une fois, notre ministre de la Santé, Aurélien Rousseau,
14:28 qui nous dit qu'on n'a pas d'effet secondaire.
14:30 Comment aujourd'hui, avec tout ce qu'on sait et on voit les autres
14:33 qui commencent à préparer leur sortie de terrain,
14:35 on voit un Aurélien Rousseau qui remet une pèce dans le jukebox du mensonge ?
14:40 C'est complètement fou.
14:43 À ce stade-là, je trouve qu'il n'y a plus rien à comprendre, à part que...
14:45 Nous, on a décidé de se raccrocher à la plainte du professeur Perron
14:49 et puis de Xavier Azalbert avec François.
14:51 Ça nous paraissait très clair pour tentative d'escroquerie au consentement.
14:54 Ils disent "non, ce n'est pas possible".
14:56 Si, si, la tentative d'escroquerie au consentement, c'est possible
14:58 à partir du moment où ça peut entraîner un préjudice moral, physique,
15:02 la corporelle, tentative parce qu'elle va échouer
15:05 puisque tous les collectifs se mobilisent.
15:07 Et puis, nous, on a décidé aussi de s'unir avec plusieurs collectifs
15:11 maintenant pour avoir un peu plus de poids et associations
15:14 avec Verity France, du vaccin aux acouphènes, A-Victim 03 et VVC19.
15:19 Donc, on met tout ce qu'on a en commun et puis on avance un peu de front
15:24 parce qu'on a besoin un peu de mettre nos ressources en commun.
15:28 On a besoin de pouvoir avancer en se soutenant
15:31 puisque c'est quand même un combat qui est long et difficile.
15:33 Et puis, on continue à avoir énormément de témoignages de gens
15:36 qui sont dans une errance médicale,
15:38 qui maintenant, financièrement, ont énormément de problèmes,
15:41 qui n'ont plus de santé en fait et qui, pour la plupart,
15:44 ont même des grosses difficultés à affronter la vie de famille
15:47 et la vie professionnelle, qui des fois ont même perdu leur emploi.
15:50 Donc, il y a un moment où il faut se soutenir.
15:51 Nous, on ne peut pas gérer ça tout seul dans nos coins encore plus longtemps.
15:55 Oui, Jean-Louis Zemberg, dans votre livre, vous parlez de corruption.
15:59 Ici, on a quand même des cas de personnalités politiques qui sont aujourd'hui...
16:05 Il y en a une, donc il y a une plainte qui vient d'être déposée
16:07 à la Cour de justice de la République contre Aurélien Rousseau,
16:10 notre ministre actuel de la Santé.
16:13 Mais, je l'ai dit tout à l'heure, Agnès Buzyn est toujours témoin assisté,
16:16 a été mise en examen devant la Cour de justice de la République un peu plus tôt.
16:20 Ça fait beaucoup de politiques qui, finalement,
16:23 vont avoir des choses à régler devant la justice, Jean-Louis Zemberg.
16:27 Oui, mais alors, justement, il y a un autre délit aussi qui s'y ajoute, à mon avis,
16:31 c'est celui, le délit de favoritisme.
16:34 Parce qu'il faut quand même le rappeler qu'il y a un médicament
16:38 qui permet de soigner de la Covid-19,
16:41 qui fait au mois d'octobre, à l'heure où nous parlons,
16:44 l'objet de 95 études scientifiques à travers le monde,
16:49 qui prouvent l'efficacité et la sûreté du médicament Ivermectin
16:54 contre la maladie Covid-19.
16:56 Ce sont des études qui ont été réalisées par 1 089 chercheurs,
17:00 avec le concours de 138 000 patients de 28 pays.
17:03 Donc, ce n'est pas n'importe quoi.
17:06 Il y a une banque de données qui existe au niveau international.
17:08 Alors, donnez-nous le nom, là, on est en suspens,
17:11 donnez-nous le nom de ce produit qui soigne.
17:13 Alors, c'est l'Ivermectin.
17:16 Et l'Ivermectin, non seulement elle a fait ses preuves,
17:18 je veux dire, sur le plan des études scientifiques,
17:22 mais elle est utilisée par plus d'une quarantaine d'États
17:25 ou de régions d'États, de pays.
17:28 Et partout où elle a été utilisée,
17:30 elle a permis d'éradiquer la maladie Covid-19.
17:32 Alors, ce que je trouve très surprenant,
17:34 c'est que des ministres de la Santé
17:36 qui succèdent à la tête de la République française,
17:38 Madame Buzyn, M. Olivier Véran, M. Aurélien Rousseau,
17:42 qui disposent quand même d'une administration
17:45 qui a fait ses preuves depuis des décennies,
17:48 malgré les coûts qui lui sont portés par l'Union européenne,
17:51 réduire les dépenses de santé publique,
17:53 donc réduction de moyens humains,
17:55 réduction de moyens financiers,
17:56 eh bien que ces ministres ne soient pas informés
17:59 qu'il existe une telle molécule qui a fait ses preuves,
18:03 comme je le disais,
18:04 non seulement au travers des études scientifiques,
18:05 mais dans la pratique.
18:06 Le cas le plus fragrant, je l'explique dans le livre,
18:09 c'est l'Inde, qui est une confédération d'une quarantaine d'États,
18:13 une trentaine, 35 États.
18:15 Et l'Inde, quand il y a eu la déclaration de l'OMS
18:20 disant qu'il y avait une pandémie,
18:22 vous avez des États qui ont dit
18:24 "nous, nous allons suivre la recommandation de l'OMS
18:28 de ne pas utiliser l'ivermectine",
18:30 et d'autres États ont dit
18:31 "nous, nous allons nous appuyer sur les études scientifiques
18:34 et nous allons utiliser l'ivermectine".
18:35 Et ils l'ont utilisé, ces États-là, de manière massive,
18:38 c'est-à-dire que les étudiants en médecine, les médecins,
18:41 allaient dans les quartiers les plus pauvres,
18:43 distribuaient l'ivermectine dans les gares routières,
18:44 les aéroports, etc.
18:47 Qu'est-ce qui s'est passé au bout de six mois ?
18:48 Ce qu'on a constaté, les États qui ont suivi la recommandation de l'OMS,
18:52 le nombre de cas de malades et de décès a explosé,
18:55 et ceux qui ont suivi les études scientifiques
18:58 qui ont diffusé massivement l'ivermectine
19:00 ont éradiqué la maladie.
19:02 Mais il y a d'autres États, le Nebraska aux États-Unis,
19:06 les médias n'en parlent pas, le Japon,
19:09 donc ce sont des faits qui sont importants.
19:12 Alors quand vous avez un ministre qui dissimule,
19:16 parce qu'il faut voir qu'en même temps,
19:18 avec l'utilisation de ces vaccins,
19:19 on continue d'endetter et de mettre en difficulté la sécurité sociale,
19:23 parce que les Français participent à payer,
19:26 avec les fonds publics, avec leurs impôts,
19:29 continuent de payer les achats de vaccins
19:32 qui sont faits par l'Union européenne.
19:34 Je parle des vaccins à ARN messagers,
19:38 alors qu'aujourd'hui la preuve est faite,
19:40 scientifiquement, que ces vaccins sont dangereux.
19:43 Vous avez vu, c'est la première partie du livre,
19:45 pourquoi ces vaccins sont-ils dangereux
19:47 et comment ça se passe-t-il ?
19:48 Parce qu'il est temps d'alerter les gens quand même.
19:51 Je cite du reste, vous avez vu dans le livre,
19:53 des extraits de témoignages
19:57 dont une partie ont été récoltés par mon ami le cinéaste Raphaël Berland.
20:02 Je cite notamment l'association de Mélodie où est mon cycle,
20:07 et d'autres témoignages pour montrer que ces effets secondaires
20:12 qui n'existent pas selon le ministre Rousseau,
20:15 ils sont variés.
20:16 Ça va depuis le handicap, maladie cardiaque, jusqu'au décès.
20:22 Il y a quelque chose de très grave,
20:24 c'est la dérégulation du système immunitaire.
20:28 Oui, tout à fait.
20:29 On va continuer de parler de ces effets secondaires
20:33 très très graves que vous citez en effet à la fin de votre livre.
20:35 D'abord, merci à vous deux d'être avec nous
20:38 et merci à vous tous car ça y est,
20:39 nous avons dépassé les 3 000 viewers
20:42 donc youtubeurs en direct avec nous,
20:44 record battu.
20:45 Merci à vous tous d'être toujours plus nombreux à nous écouter,
20:48 à nous suivre, à nous relayer.
20:50 On a besoin de vous pour réussir ces émissions
20:52 où on parle d'autre chose que dans les émissions mainstream.
20:56 Et on continue d'en parler avec vous, Mélodie Ferron et vous Jean-Louis Isenberg.
21:00 Je voulais justement revenir,
21:02 avant de continuer sur les effets secondaires,
21:04 vous parlez de corruption et vous dites,
21:05 désormais il y en a un qui va devoir s'expliquer,
21:07 c'est Emmanuel Macron, Jean-Louis Isenberg.
21:10 Oui, parce qu'écoutez, Emmanuel Macron est président de la République
21:14 donc il ne peut pas régler bien évidemment tous les problèmes.
21:17 Mais dans cette affaire de crise sanitaire,
21:20 il s'est engagé personnellement,
21:22 rappelez-vous, ses multiples interventions,
21:25 "nous sommes en guerre", etc.
21:27 On peut reprendre tous les discours depuis trois ans,
21:29 les uns derrière les autres,
21:31 qu'il a fait sur la crise sanitaire.
21:33 Alors Emmanuel Macron,
21:34 il a à côté de lui une première ministre,
21:37 et il a eu avant M. Jean Castex,
21:39 il a eu maintenant Mme Borne,
21:43 et ils ont au sein du gouvernement un ministre de la Santé
21:47 avec une administration,
21:49 ou ce qu'il en reste encore,
21:51 avec des compétences au travers d'une multitude de centres de recherche,
21:56 CNRS, INSERM, etc.
21:59 Je ne peux pas tous les citer,
22:01 Réseau des institutions...
22:02 Vous voulez dire qu'ils ont de quoi être informés ?
22:05 Voilà, ce que je veux dire,
22:06 c'est qu'il n'est pas possible que le ministre de la Santé...
22:11 Alors, s'ajoute en plus à cette administration
22:15 les comités qui ont été créés à l'initiative...
22:19 D'où le Conseil scientifique.
22:21 Rappelez-vous, le Conseil scientifique,
22:24 il y a eu à côté le CAR,
22:25 le même mois de mars 2020,
22:27 Comité analyse recherche expertise,
22:29 et vous avez aujourd'hui le Comité de prévention,
22:33 qui leur a succédé.
22:34 Alors, ce n'est pas possible que ces gens-là,
22:36 d'une part, méconnaissent les effets secondaires,
22:39 et d'autre part, ce n'est pas possible qu'ils ignorent
22:43 qu'il existe une molécule, l'ivermectine,
22:46 qui permet de soigner de la Covid-19.
22:48 Alors, c'est ce que je dis à la fin du livre,
22:50 parce qu'il n'y a que deux solutions.
22:51 La première, soit l'administration
22:54 et ces gens qui sont dans une multitude de comités
22:56 n'ont pas joué leur rôle,
22:58 c'est-à-dire qu'ils n'ont pas dit au ministre de la Santé,
23:01 il existe une molécule, d'abord, ces vaccins sont dangereux,
23:05 il y a des effets secondaires à travers le monde,
23:08 partout ces vaccins à ARN messagers sont employés,
23:11 comme ça n'a jamais existé dans l'histoire de la vaccination.
23:13 Oui, et Jean-Louis Zembergeuse,
23:15 sur cette utilisation des vaccins ARN, ce n'est pas fini.
23:18 On voit que là, on a des propositions de vacciner maintenant
23:20 même les animaux.
23:21 Donc, on a de quoi être très inquiet,
23:23 parce que ce n'est que le début d'une grande campagne vaccinale à ARN.
23:30 Tout à fait.
23:32 Et en même temps, si vous voulez,
23:35 soit l'administration n'a pas joué son rôle,
23:37 soit elle a joué son rôle et elle a alerté le ministre en disant,
23:40 "Attention, le principe de précaution n'est pas respecté",
23:44 contrairement à ce que dit M. Rousseau.
23:46 À partir de ce moment,
23:49 si le principe de précaution n'est pas respecté,
23:51 que se passe-t-il ?
23:52 Il suffit de regarder les centres de pharmacovigilance
23:56 qui existent aux États-Unis, en Europe,
23:59 un peu partout à travers le monde,
24:01 mais principalement même au sein de l'Union européenne.
24:04 Partout, vous avez l'apparition et une montée des effets secondaires
24:11 comme il n'y en a jamais eu après une campagne de vaccination.
24:14 Oui, oui.
24:15 Soit, et si dans ce cas-là,
24:17 si l'administration a joué son rôle,
24:19 si ces comités ont joué leur rôle et ont informé le pouvoir politique,
24:23 alors il faut qu'Emmanuel Macron s'explique.
24:25 Effectivement, les conseils scientifiques, le CAR, etc.
24:30 ont informé le ministre,
24:33 mais j'ai considéré que ce n'était pas nécessaire de stopper la vaccination
24:39 et qu'il valait mieux faire la vaccination avec les produits ARN qui sont dangereux.
24:44 Finalement, pour simplifier,
24:45 et ensuite je vais me retourner vers Mélodie Ferron,
24:47 pour simplifier dans l'échelle, dans la chaîne des responsabilités,
24:51 vous demandez, est-ce que ce sont ceux qui sont censés relayer
24:54 les organismes scientifiques qui sont censés relayer
24:57 les effets secondaires qui n'ont pas rempli leur rôle
24:58 ou est-ce que c'est au niveau au-dessus du politique qui prend la décision ?
25:02 Où se trouve la faute ?
25:04 Et peut-être qu'elle est partagée.
25:06 Mélodie Ferron, à votre avis, justement,
25:08 vous avez vu ces parlementaires qui avaient l'air de réaliser avec vous
25:12 l'ampleur des effets secondaires.
25:14 Donc, à quel moment ça bloque finalement ?
25:16 Cédric Villani a dit avoir alerté, en tout cas.
25:20 Parce qu'on l'a bien recontacté, il en a aussi parlé avec Marc Voyer
25:23 et il a clairement dit qu'ils avaient alerté,
25:26 les rapporteurs ont alerté.
25:28 Et quand on a fait la demande pour avoir le rapport,
25:32 pas plus un rapport d'étape, mais un rapport définitif de l'OPECST,
25:35 ils ont dit que ça aurait lieu après les élections
25:37 et après, il ne s'est rien passé.
25:39 Et d'ailleurs, ce rapport a été jugé comme non prioritaire.
25:42 Oui, parce que déjà, c'est intéressant, après les élections,
25:45 ça prouve déjà qu'ils ont une temporalité politique
25:48 et qu'il y a des priorités tout de même.
25:50 Et donc, ils préféraient ne pas mettre ce sujet sur le tapis
25:53 pendant les élections.
25:54 Ensuite, deuxième chose, Cédric Villani dit,
25:57 on a alerté, encore une fois, on est sur ce double discours
26:00 puisqu'on n'a jamais vu un mot,
26:02 enfin moi, je n'ai pas vu en tout cas, de Cédric Villani
26:05 nous dire "attention au public",
26:08 "attention, il y a des risques d'effets indésirables des vaccins".
26:12 Non, non, bien sûr, ils ne sont jamais prononcés officiellement
26:14 et à la vue des gens, en tout cas, pas pour informer,
26:16 ni pour prévenir, mais ils l'avaient fait en tout cas politiquement,
26:20 rien que dans le rapport d'étape.
26:22 Et nous, on avait fait, enfin Diane Prota,
26:24 avec le collectif des navigants libres,
26:26 les avait contactés par officier
26:28 et ils avaient clairement dit que de toute façon,
26:30 ce ne serait pas pour l'instant.
26:31 Et il y a eu un refus de dépôt de ce rapport définitif.
26:34 C'était vraiment un problème parce que c'était un peu
26:36 la seule entrée qu'on avait trouvée pour l'instant,
26:38 puisqu'au niveau européen, ça n'avait pas fonctionné non plus.
26:41 Je ne sais pas si vous vous rappelez qu'on avait fait
26:43 une demande d'audition publique.
26:45 Et donc, pour l'accompagner, il y avait une pétition
26:48 qui avait été classée en agriculture.
26:50 C'était formidable.
26:52 Voilà, on a eu des déboires dans tous les sens
26:53 pour essayer de nous faire taire.
26:55 Puis de toute façon, on a été censurés depuis le début
26:57 et on continue à l'être.
26:58 Oui, mais donc vous, finalement, vous placez où
27:00 le curseur de la responsabilité ?
27:02 C'est au niveau, ou les deux peut-être,
27:04 au niveau du relais scientifique qui n'était pas au niveau
27:07 ou, et on sait, on connaît,
27:10 on en a cité suffisamment, des médecins
27:13 qui sont eux-mêmes, qui ont eux-mêmes des conflits d'intérêts
27:16 qui font qu'ils n'auront pas forcément intérêt à relayer
27:18 certaines informations, première chose.
27:20 Ou alors, c'est au niveau politique
27:21 et de la prise de position derrière.
27:23 Moi, je pense que la responsabilité, elle est partagée.
27:25 Quand on est au courant de tels effets secondaires
27:27 avec une telle gravité, on n'a pas le droit de se taire.
27:30 Tout simplement, je veux dire que ce soit les politiques,
27:31 que ce soit les scientifiques.
27:33 Partiellement, on sait que ça peut tuer des gens,
27:35 les rendre extrêmement malades ou les mutiler,
27:37 comme on a dans le cas des hystérectomies.
27:39 On ne peut pas se taire.
27:40 De toute façon, quels que soient les conflits d'intérêts,
27:42 il y a un moment où le respect de l'humain
27:44 est censé quand même passer au-dessus,
27:46 et le respect de la vie.
27:47 Et ici, il n'y en a pas du tout.
27:48 De toute façon, on a bien compris que tout avait été boifoué.
27:50 Il n'y a rien qui a été fait pour soigner.
27:52 On avait l'hivermectine, il y avait plein d'autres possibilités.
27:54 Rien n'a été employé.
27:55 Sur l'hivermectine...
27:56 On a continué à injecter les gens avec un produit
27:58 qui était quand même extrêmement toxique.
28:00 Mais on continue, vous parlez au passé, ça continue.
28:02 Oui, et là, justement, je vais dire,
28:03 et là, on continue avec un ministre de la Santé
28:05 qui se permet de dire,
28:07 alors qu'il y a des chiffres qui sont officiels partout
28:09 et qu'il ne peut pas ne pas savoir
28:11 qu'il n'y a aucun effet secondaire.
28:13 C'est-à-dire, on a été au Sénat, on a été au Parlement,
28:15 il y a des dizaines de livres qui sortent.
28:16 Il suffit, il contacte...
28:18 Pharmacovigilance, il y a un moment...
28:19 Mais oui, il y a même...
28:20 Pharmacovigilance, il y a même eu des remboursements pour des...
28:23 C'est un mensonge très grave quand même.
28:25 Oui, oui, non, c'est en effet très grave.
28:27 Alors, parlons un peu de responsabilité pénale.
28:31 Là, je vois beaucoup, beaucoup d'auditeurs en direct
28:33 qui nous disent, mais finalement, ça fait trois ans qu'on dit ça
28:36 et il n'y a toujours rien.
28:37 Est-ce que vous pensez, on a l'impression quand même
28:39 que la balance se retourne ?
28:41 On voit bien d'ailleurs, même les médias très suivistes,
28:44 je sais maintenant, qui n'osaient même pas utiliser
28:47 ce terme d'effet secondaire.
28:49 Là, c'était sur France Inter, Corélien Rousseau
28:51 a parlé d'effet secondaire, mais...
28:54 Jean-François Delfraissy, c'était cette émission...
28:57 Alors, j'ai plus le titre de l'émission.
28:58 C'est l'hebdo, voilà.
29:00 On ne peut pas faire plus mainstream.
29:02 Et là, les journalistes, ils commencent à dire
29:04 "Mais qu'est-ce que vous dites ?
29:05 Qu'est-ce que vous répondez à cette jeune fille
29:06 qui a des effets secondaires ?"
29:08 On voit bien que finalement,
29:10 tout le monde commence à reconnaître
29:12 tout doucement et beaucoup trop tard.
29:13 On est bien d'accord.
29:15 Mais la balance est en train de s'inverser.
29:18 Jean-Louis Zimberg, qu'est-ce que vous en pensez ?
29:19 Est-ce que vous pensez que finalement,
29:20 on va enfin arriver à l'éclatement de la vérité
29:24 et puis possiblement les responsabilités pénales derrière ?
29:29 Écoutez, sur la question de la responsabilité,
29:32 pour moi, elle est politique.
29:34 Mettez-vous à la place du ministre de la Santé.
29:38 Vous êtes dans un gouvernement.
29:40 Vous voyez que les agences de pharmacovigilance
29:43 produisent des statistiques sur des effets secondaires,
29:49 dont même l'Agence nationale de sécurité du médicament
29:52 et des produits de santé en France reconnaît
29:54 que plus ou moins 25% sont graves.
29:58 Vous êtes ministre de la Santé.
30:00 Vous voyez donc des effets secondaires
30:02 qui surgissent de manière inédite
30:05 dans toutes les agences de pharmacovigilance,
30:08 en Europe, aux États-Unis, ailleurs, etc.
30:10 Vous savez qu'il y a un médicament qui s'appelle l'ivermectine,
30:13 dont la médicule ne coûte pas cher
30:15 et qui permettrait de soigner à tous les stades de la maladie
30:18 et qui peut même être utilisée de manière préventive.
30:22 La décision, elle est simple à prendre.
30:24 Alors pourquoi n'est-elle pas prise ?
30:26 Moi, je dis que c'est volontaire.
30:28 On ne peut pas imaginer
30:31 que le ministre de la Santé ne soit pas informé de ces deux faits.
30:35 Premièrement, une montée en puissance des effets secondaires
30:40 comme ça ne s'est jamais vue dans la vaccination.
30:42 Et je précise que les effets secondaires qui sont recensés
30:45 ne représentent qu'environ moins de 5% des effets secondaires réels.
30:50 Et ensuite, l'existence d'un médicament
30:54 qui est l'ivermectine, qui permet de soigner.
30:56 Ce n'est pas possible que le ministre ignore ces deux données.
30:58 Ou alors le gars, il faut qu'il change de métier.
31:00 Alors vous parlez dans votre livre de mensonges d'État
31:02 et vous vous rappelez, parce qu'il faudrait qu'on tente de comprendre
31:05 un peu comment ils peuvent aller jusqu'à mentir à ce point-là,
31:08 la corruption au niveau politique.
31:10 Vous parlez notamment de l'armée américaine qui finance
31:12 les armées biologiques et même les vaccins à RNMS AG.
31:15 Donc on voit bien ici des conflits d'intérêt très graves.
31:17 Bon, nous, on a vu en tout cas l'affaire McKinsey
31:20 avec du conseil privé américain qui conseille au CIP Pfizer,
31:25 qui était directement intégré dans nos ministères.
31:28 Donc on voit toutes ces questions de conflits d'intérêt dans nos gouvernements.
31:32 Est-ce que c'est une des explications, en tout cas, Jean-Louis Zimbert ?
31:36 Écoutez, oui, parce que vous avez vu l'enquête que je produis
31:40 avec Tous vaccinés, tous en danger,
31:43 où Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche du CNRS,
31:45 explique pourquoi les vaccins sont dangereux.
31:48 Vous avez vu comment on procédait.
31:50 J'explique, j'ai remonté toute la filière,
31:52 comment des chercheurs qui collaborent à l'OMS
31:57 se sont permis de modifier une étude qui était positive sur l'ivermectine
32:02 de manière à la faire déconseiller par l'Organisation mondiale de la santé.
32:07 Tout à fait.
32:08 Donc là, effectivement, ces chercheurs ne sont jamais revenus sur la décision,
32:15 malgré les preuves qui existent scientifiquement,
32:19 mais aussi pratiquement, de l'efficacité de l'ivermectine.
32:23 C'est simple, puisque le chercheur qui a modifié cette étude
32:28 siège au comité de l'Organisation mondiale de la santé,
32:32 qui met régulièrement à jour les recommandations
32:35 pour l'utilisation des médicaments à travers le monde.
32:38 Et l'OMS a déconseillé l'utilisation de l'ivermectine le 31 mars 2021.
32:43 Et puis, alors, l'ANSM, comme ils ont un peu le sens de l'humour,
32:46 eux, c'est le 1er avril.
32:48 Alors, ils ont pris cette décision en suivant, bien sûr,
32:52 les recommandations qui étaient données par l'OMS
32:55 et par l'Agence européenne des médicaments.
32:57 Donc là, vous voyez, il y a la volonté,
33:01 il y a vraiment la volonté de faire barrage à un médicament qui soigne,
33:05 qui ne coûte pas cher, chercher à qui profite le crime.
33:08 Oui, mais justement, dites-le nous.
33:11 Au fabricant de vaccins ARN messagers.
33:14 Qui sont, justement, on l'a dit, et vous le citez dans votre livre,
33:17 et nous, on a vu d'autres effets de conflit d'intérêt
33:21 avec McKinsey en France,
33:23 qui sont en lien direct avec les membres de notre gouvernement,
33:26 mais de différents.
33:28 Oui, je pensais à quelque chose par rapport à Aurélien Rousseau.
33:32 Il me semble que sa femme, elle serait quand même bien placée
33:34 pour lui donner des données sur les effets secondaires,
33:36 si vraiment il les ignore.
33:38 Oui, alors ça, on peut en parler aussi.
33:40 C'est intéressant, c'est tout un système qui se tient familialement,
33:43 presque, qui s'entraide.
33:46 Vous parlez de...
33:47 C'est un jeu des sept familles.
33:49 Exactement, donc là, vous parlez de la femme d'Aurélien Rousseau.
33:52 Est-ce que vous pouvez expliciter pour nos auditeurs ?
33:55 Donc, Marguerite Cazeneuve, elle, elle dirige en gros l'ARS.
34:02 On a aussi le mari d'Agnès Buzyn, Yves Lévy.
34:06 J'étais en train de réfléchir, justement.
34:07 Qui a participé à l'inauguration du laboratoire P4,
34:12 qui a participé en tout cas à la mise en place de ce laboratoire P4 à Ouan.
34:15 Le fils d'Agnès Buzyn, récemment, qui a été nommé
34:18 conseiller prévention et santé au cabinet du ministre de la Santé.
34:21 Donc, on voit que tous ces gens-là, bon, ils partent, ils reviennent.
34:24 Mais bon, en tout cas, il y a des intérêts presque claniques, familiaux,
34:29 en tout cas, qui ne vont pas dans le sens d'une émergence de la vérité
34:38 et d'une objectivité, en tout cas, sur ce qui a pu être fait avant et après.
34:43 Forcément, quand on a sa mère qui est passée juste avant,
34:46 on ne va pas forcément la dénoncer.
34:48 Donc, ça pose beaucoup de questions.
34:49 Évidemment, ce n'est pas interdit d'avoir une fille ou un fils
34:53 qui sont nommés convention de prévention,
34:54 mais sur la question de l'objectivité et de l'apparence d'objectivité,
34:58 je rappelle que c'est obligatoire, normalement, en justice.
35:01 On est quand même, cela pose beaucoup de questions.
35:05 Et alors, quand on est justement dans ces questions de corruption,
35:08 il serait bon de remettre les choses claires là-dessus.
35:11 Jean-Louis Zemberg, donc, vous pensez finalement que là,
35:14 les procès qui vont avoir cours,
35:16 qui sont dans ces dernières plaintes pénales contre Aurélien Rousseau,
35:19 on a dit Agnès Buzyn et puis les autres,
35:22 est-ce que ça va donner quelque chose ?
35:23 Est-ce que ça va porter ses fruits ?
35:25 Ou est-ce que là encore, on risque d'avoir des blocages ?
35:29 Écoutez, le mérite des plaintes qui sont déposées déjà,
35:32 c'est qu'elles font parler du sujet.
35:34 Parce que beaucoup de gens ne peuvent pas s'imaginer,
35:39 n'imaginent pas qu'un responsable de l'État, un ministre de la Santé,
35:42 puisse les tromper ainsi.
35:45 On a vu ce qu'il en était avec Madame Buzyn,
35:46 on a vu ce qu'il en était après avec Olivier Véran,
35:49 on voit ce qu'il en est aujourd'hui avec Aurélien Rousseau.
35:51 Tout continue comme avant, comme si rien n'existait.
35:55 Ensuite, pour qu'il y ait justice, il faut encore qu'il y ait une justice.
35:58 Quand vous voyez dans quel État est le système judiciaire français,
36:01 pour cela, je me réfère aux enquêtes qui sont faites régulièrement
36:06 par le comité qui travaille sur, justement,
36:09 l'état des systèmes judiciaires au niveau des pays de l'Union européenne.
36:13 La France est l'un des derniers pays de l'Union européenne
36:18 pour l'efficacité de son système judiciaire,
36:20 que ce soit par le nombre d'avocats pour 100 000 habitants,
36:24 que ce soit par le nombre de procureurs, par le nombre de tribunaux,
36:27 par les délais d'attente, etc.
36:29 Alors, quand vous mettez en cause des personnalités politiques dans tout secteur,
36:35 je ne sais pas si vous avez remarqué,
36:36 mais en général, vous en entendez beaucoup parler au début.
36:39 "Ah, il y a une plainte qui est déposée devant la Cour de justice de la République,
36:42 ah, il y a une plainte devant le Conseil d'État",
36:44 puis après, pouf, plus rien.
36:46 L'affaire disparaît pratiquement comme s'il n'y avait pas eu de...
36:52 – C'est pour ça que je vous pose cette question,
36:53 est-ce que finalement, on risque pas d'avoir...
36:55 On a très souvent ici Régis De Castelnau qui nous parle de justice politique,
36:59 une justice politique, une justice à deux temps,
37:02 qui traînerait 30 ans pour considérer qu'il y a eu des fautes graves de ce gouvernement ?
37:09 – Écoutez, vous avez la réponse avec ce qui se passe au niveau de l'Union européenne.
37:12 Quand vous voyez qu'il y a des eurodéputés qui posent la question de savoir
37:17 que la présidente de la Commission européenne
37:20 vient de s'expliquer devant le Parlement européen
37:22 sur les méchants qu'elle a eus directement avec le président du groupe Pfizer,
37:28 et que tous les présidents de tous les groupes politiques
37:33 se mettent d'accord entre eux pour qu'elle n'ait pas à s'expliquer,
37:36 vous imaginez bien de ce qui va se passer à Paris.
37:42 La plainte qui est déposée, si elle aboutit, je dis tant mieux,
37:45 mais personnellement, je n'y crois pas.
37:47 – D'accord, mais le différent de votre côté,
37:49 vous pensez que les actions pénales peuvent porter fruit,
37:55 ce sera notre conclusion à ce sujet sur les vaccins et les masques qui tombent.
38:01 – Écoutez, je l'espère vraiment.
38:03 – Vous avez joint votre plainte à celle de Professeur Perron et Xavier Zalbert,
38:09 vous avez d'autres procédures en cours ?
38:11 – Là, on a des procédures pénales pour des femmes qui sont en cours d'indemnisation,
38:15 qui ont fait des expertises auprès de l'ONIAM,
38:17 et à qui on a proposé 1 000 euros pour un utérus.
38:19 Donc voilà, nous on en est à peu près là.
38:23 On a découvert que les expertises auprès de l'ONIAM étaient extrêmement compliquées,
38:26 que si elle n'était pas accompagnée d'un avocat,
38:29 elle se faisait complètement balayer d'un revers de la main.
38:32 Et également que pour une femme qui déclare avoir une souffrance de 7
38:36 sur une échelle de 0 à 10, à chaque fois, il était rapporté,
38:40 suite à l'expertise, qu'elle avait déclaré le niveau 1 de douleur.
38:43 Voilà, et ça malgré tout, en fait, on a beaucoup de mal
38:46 à avoir quelque chose de vraiment honnête et avoir une honnête écoute.
38:49 Donc maintenant, elle part sans pénal.
38:51 En plus, il y a un moment où il faudra attaquer les labos.
38:54 Voilà, et les labos aujourd'hui,
38:57 y a-t-il des associations qui ont commencé à attaquer ces labos ?
38:59 On a l'impression qu'ils restent toujours préservés derrière,
39:01 parce que là, on attaque les politiques, mais pas encore les labos.
39:03 Aux États-Unis, mais en France, il n'y a pas beaucoup de choses
39:06 qui se passent à ce sujet, puisqu'ils sont extrêmement protégés.
39:09 Mais bon, on y travaille.
39:10 Vous connaissez Me Prota, elle ne lâchera pas.
39:13 Oui, elle ne lâchera pas, et nous non plus.
39:15 Jean-Louis Zimbert, juste côté labos et plainte contre les labos,
39:19 vous soutenez aussi ce travail qui doit être fait ?
39:23 Ah oui, non, mais alors là, ce n'est pas difficile.
39:26 Du reste, l'industrie pharmaceutique, Big Pharma,
39:29 est l'industrie la plus corrompue, avec celle de la grande finance
39:32 et du secteur des énergies, du pétrole, même devant l'armement.
39:37 Du reste, le groupe Pfizer, vous avez deux champions en matière de corruption,
39:44 en matière de délit et de crimes financiers.
39:47 Oui, tout à fait.
39:50 Ceux qui travaillaient avec nous et avec notre gouvernement.
39:54 Merci beaucoup à vous deux, Jean-Louis Zimbert, Mélodie Ferron.
39:58 Jean-Louis Zimbert, je rappelle ce livre que vous publiez,
40:00 "Tous vaccinés, tous en danger".
40:02 Vous avez laissé le point d'interrogation malgré tout.
40:04 Un livre aux éditions, yes, édition Mélodie Ferron,
40:08 collectif "Où est mon cycle ?" et auteur de "Où est mon cycle et toi ?
40:12 Où est le tien ?" aux éditions, Marco Pieter.
40:13 Merci beaucoup à vous deux d'être des lanceurs d'alerte,
40:16 de continuer à vous battre sur tous ces terrains.
40:18 Et notamment, maintenant, on en est au terrain pénal
40:20 et c'est important aussi pour que la vérité éclate.
40:22 Merci beaucoup à vous deux.
40:23 On continuera de ce dossier, évidemment, et de vous donner la parole.
40:26 [Sirène de police]
40:29 [Explosion]