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PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé ! 




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Transcription
00:00 *Applaudissements*
00:08 -Ségolène Royal !
00:09 -Balade !
00:10 -Ségolène Royal, la classe au naturel !
00:13 Regardez, moi je mets sa tenue, on dirait un chasseur !
00:15 Elle, elle l'a mis, elle est d'une élégance incroyable !
00:18 Mais c'est fou ! Bravo !
00:20 Vous avez une qualité de cheveux incroyable !
00:22 Non mais vraiment !
00:23 Mais bravo ! Et ça va bien comme ça, vous avez un peu plus...
00:25 -Je sais pas comment il faut que je réagisse !
00:27 -Non mais je peux vous dire, vous avez un peu plus de volume,
00:29 c'est très beau !
00:30 C'est vraiment une belle femme !
00:31 Non mais vraiment, vous êtes magnifique Ségolène !
00:33 On peut vous faire des compliments !
00:34 On va parler de la crise agricole, mais deux minutes, eh oh !
00:36 Les gars, on peut quand même kiffer un peu !
00:38 -On peut être esthète !
00:39 -Quoi ?
00:40 -On peut être esthète !
00:41 -Exactement ! Vous trouvez pas que...
00:42 Vous qui êtes mannequin !
00:43 -Euh... Oui !
00:44 -Bien sûr, mais on sera esthète à la fin,
00:46 parce que je vais vous parler de la Joconde aussi !
00:48 -La Joconde ! Vous savez que c'était mon ex !
00:50 *Rires*
00:51 Merci !
00:52 -On passe à la crise agricole !
00:53 -Pourquoi les Français soutiennent les agriculteurs, Ségolène ?
00:56 -Bonne question !
00:57 -Bah merci, c'est vous qui me l'avez écrite !
00:59 -Vous avez vu ce qui s'est passé ?
01:00 C'est vrai que 80% des Français soutiennent les agriculteurs.
01:03 C'était particulièrement... C'est très touchant !
01:06 Pourquoi ? Parce qu'ils sentent, je pense,
01:08 les Français comme les agriculteurs,
01:10 qu'il y a quelque chose de vital et d'essentiel
01:12 qui est en train de se jouer.
01:14 Quelque chose de vivant,
01:16 une profession qui a peur de disparaître.
01:18 Et comme tout le monde est pris par ce sentiment de déclin,
01:21 avec des choses auxquelles on tient
01:23 qui sont en train de disparaître,
01:24 une sorte de modèle français qui disparaît,
01:26 il y a cette solidarité pour dire,
01:28 finalement, non, il faut stopper ce déclin
01:31 et cette disparition de choses auxquelles on tient.
01:34 Et on peut, à peu près 2 Français sur 3,
01:36 quand même des origines paysannes,
01:38 soit au niveau des grands-parents, des arrières-grands-parents...
01:40 -Vous avez des origines paysannes ?
01:41 -Mes grands-parents étaient paysans.
01:42 -Et moi, mon arrière-grand-père aussi était...
01:44 -Il était ferme à l'ancienne,
01:45 il avait des vaches, des cochons, des poules,
01:47 il avait un peu de terrain pour les patates...
01:49 -Et donc, il y a cet attachement profond, viscéral,
01:52 et puis on voit aussi, quand il y a le succès
01:55 du Salon de l'Agriculture,
01:56 on voit aussi pourquoi il y a cet attachement
01:58 au territoire, aux terroirs, aux identités,
02:01 à la qualité agricole, à la qualité alimentaire,
02:03 donc c'est tout ça qui est en jeu.
02:04 -C'est quoi Neymar ?
02:05 Des Syrialiens en Seine-et-Marne avec aussi des animaux...
02:07 -Si, ses parents faisaient du minire.
02:09 (Rires)
02:11 -C'est vrai.
02:12 D'ailleurs, si, levez la main,
02:13 ceux qui ont un grand-père ou un arrière-grand-père
02:16 ou quelqu'un dans la famille qui est du milieu agricole...
02:20 -Oui, il est cultivé la babouche.
02:22 (Rires)
02:24 -Non mais vraiment, il est cultivé la babouche.
02:26 -Donc, c'est ça, je crois que c'est pour ça
02:28 qu'il y a cette solidarité-là.
02:30 Et puis, il y a aussi l'idée d'une détresse
02:33 avec laquelle on est solidaires,
02:34 parce qu'il y a un agriculteur qui se suicide
02:36 tous les deux jours.
02:37 Et il y a ce sentiment aussi d'accélération,
02:41 puisque en 1970, il y avait 1,6 million
02:45 d'exploitations familiales,
02:47 aujourd'hui, il en reste un peu plus de 380 000.
02:50 Mais ça représente quand même 40 % de la production.
02:53 Et la question centrale qui est jamais clairement posée,
02:56 c'est est-ce que oui ou non, on veut arrêter ce déclin,
02:59 c'est-à-dire on veut maintenir ces 380 000
03:01 exploitations agricoles,
03:03 contre les grandes exploitations céréalières
03:08 ou viticoles, etc.,
03:09 c'est-à-dire résister à la concentration des terres
03:12 et à la disparition des élevages,
03:14 des fruits et légumes, des laitages de proximité,
03:17 au profit d'un agrobusiness intensif
03:21 et qui utilise des pesticides.
03:23 C'est ça la vraie question.
03:24 Et sachant d'autant plus que dans deux ans,
03:27 il y aura un agriculteur sur deux
03:29 qui sera à l'âge de la retraite.
03:31 Ça veut dire que si on veut maintenir
03:33 ces 380 000 exploitations agricoles,
03:35 c'est-à-dire nos villages, notre ruralité vivante,
03:37 la qualité alimentaire, la variété alimentaire,
03:40 si on veut résister à la mondialisation
03:42 d'une alimentation qui n'a plus aucun goût,
03:44 à ce moment-là, ça veut dire qu'il faut
03:46 faire un effort considérable pour installer les jeunes.
03:49 Et ça, très rapidement.
03:51 Et en plus, il y a beaucoup de jeunes
03:53 qui veulent reprendre leurs exploitations,
03:54 mais ils ne peuvent le faire que si,
03:56 on en vient au problème central qu'ont exprimé
03:58 les agriculteurs, que si le revenu est suffisant
04:00 et moins misérable par rapport à la masse
04:04 de travail qu'ils donnent.
04:05 Voilà la problématique de ce problème.
04:08 - Payer plus le travail des paysans,
04:10 comment on peut faire ?
04:12 - Payer plus le travail des paysans,
04:14 vous voyez qu'il y a quand même
04:15 une injustice extravagante.
04:17 C'est-à-dire que les grandes surfaces
04:19 à grandes distributions ont quand même
04:21 fait des profits considérables.
04:22 Il y a le chiffre d'affaires de Leclerc
04:24 qui vient d'être publié, 45 milliards
04:25 de chiffre d'affaires.
04:26 Les chiffres d'affaires de l'industrie
04:28 agroalimentaire considérables,
04:30 les richesses personnelles des dirigeants
04:31 de ces structures sont considérables
04:33 et ne cessent d'augmenter.
04:35 Des versements de dividendes boursiers
04:37 et pendant ce temps-là, le revenu
04:38 des agriculteurs de proximité diminue.
04:41 Donc il y a un sentiment de révolte
04:43 et d'injustice et il est possible
04:46 de répartir autrement les choses.
04:48 - Le poulet chez Leclerc, 5,30 euros le kilo
04:50 et mis en rayon 9 euros le kilo.
04:52 - Vous avez vu ce témoignage
04:53 qui a été donné.
04:54 On apporte un poulet et quasiment
04:56 il y a le prix double rien que
04:57 en le mettant dans le rayon.
04:58 - C'est ça.
04:59 - Donc l'idée centrale, ça serait de dire
05:00 entre la production et la vente,
05:03 il faut partager le bénéfice 50/50
05:05 et quand il y a de la transformation,
05:07 il faut partager le bénéfice en trois.
05:09 La production, la vente et la transformation.
05:12 Et si ça ne se fait pas comme ça,
05:13 il faut donner des explications
05:15 pourquoi cette répartition ne se fait pas.
05:17 Donc il faut mettre fin à la spoliation
05:19 de la production de proximité.
05:21 - Il faut arrêter la concurrence déloyale aussi,
05:24 c'est le dernier point.
05:25 - Il faut arrêter la concurrence déloyale.
05:27 C'est quoi la concurrence déloyale ?
05:28 - C'est une concurrence qui est déloyale.
05:29 - Regardez, les fruits et légumes espagnols,
05:32 on ne voit plus que ça.
05:33 - J'en ai vu, j'ai vu des tomates
05:34 espagnoles la semaine dernière.
05:35 - Vous les mangez, ça n'a plus aucun sens.
05:36 - Oui, je les mangeais la semaine dernière.
05:37 - Les tomates bio qui sont marquées bio,
05:39 elles ne sont pas bio, donc il y a du faux bio.
05:41 Il y a des tomates bourrées de pesticides,
05:43 alors que nos agriculteurs à nous font un effort
05:45 pour diminuer les pesticides,
05:47 pour faire en sorte de protéger la santé publique,
05:49 donc c'est très injuste.
05:50 Et en plus, les tomates étrangères,
05:52 elles sont transportées,
05:53 donc elles polluent, puisqu'il y a les camions.
05:55 Et ce prix de ce qu'on appelle la pollution carbone
05:57 n'est pas intégré dans le prix.
05:59 Donc à partir du moment où on va rémunérer correctement
06:02 et empêcher la mise en rayon de produits
06:05 qui sont bourrés de pesticides
06:07 et qui ne respectent pas les normes sanitaires françaises,
06:10 on rééquilibrera la juste répartition des choses.
06:13 Deuxièmement, je pense qu'il faut une péréquation des bénéfices.
06:17 C'est-à-dire pour que les produits français
06:19 ne soient pas défavorisés par rapport aux produits importés,
06:22 où le niveau de salaire est inférieur au niveau de salaire en France,
06:25 parce qu'il y a aussi une distorsion
06:28 par rapport aux conditions sociales dans ces pays.
06:32 Et l'Europe, elle n'a pas été faite pour s'attirer vers l'EU,
06:34 pour se tirer vers le bas.
06:36 Donc quand la loi du marché fonctionne de façon féroce,
06:40 il y a un alignement vers le bas.
06:42 Mais non, ça n'a pas été que l'Europe de la finance
06:45 ou l'Europe économique, ça a été aussi l'Europe sociale
06:48 et l'Europe écologique.
06:50 Donc si ces trois piliers ne sont pas équilibrés,
06:52 tout se fait dans une logique de financiarisation
06:55 et du coup tout le monde est tiré vers le bas
06:58 et nous on va perdre l'essentiel de ce qui fait aussi notre histoire,
07:03 notre identité et je pense qu'il y a d'autres solutions.
07:06 Et surtout ne pas revenir sur les interdictions de pesticides,
07:11 que ce soit les néonicotinoïdes qui font des dégâts considérables,
07:14 le glyphosate qui est hautement cancérigène.
07:17 Et donc toutes ces tentations de revenir sur la pression
07:20 de l'agriculture intensive, je pense qu'il faut y résister
07:24 parce que sinon il n'y aura pas de retour vers des choses
07:28 plus protectrices sur le plan sanitaire
07:32 et surtout parce que ça décourage ceux qui ont fait les efforts.
07:35 Dès qu'on remet les pesticides comme ça a été annoncé,
07:37 ça décourage tous ceux qui ont fait un effort pour les retirer
07:40 et ça décourage toute la recherche dans les solutions alternatives aux pesticides.
07:45 Merci Ségolène.
07:46 Ségolène, est-ce qu'on peut parler de la joconde deux secondes ?
07:48 Parce que la joconde qui a été aspergée cette semaine-là.
07:51 La joconde a été aspergée.
07:54 J'en ai fait quelques photos.
07:57 C'est la joconde ? Merci.
07:59 Il y en a une pour deux je pense.
08:01 Vous pouvez les vendre.
08:03 C'est des vrais.
08:05 C'est des vrais, vous pouvez les vendre.
08:07 Ça, ça repart direct.
08:08 C'est de l'éditographie.
08:10 Quand elle a été aspergée, je me suis dit, tiens, c'est le moment.
08:13 Comment elle coûte la joconde ?
08:15 Elle n'a pas de prix parce qu'elle n'est pas vendable.
08:17 1,2 milliard.
08:18 Si elle devait être vendue, les frais de maintenance sont en train de venir.
08:21 Je pense qu'il ne faut pas mettre de prix sur une oeuvre d'art
08:25 qui n'est pas vendable.
08:26 Il faut la regarder déjà.
08:27 Concentrez-vous, regardez cette oeuvre magistrale.
08:31 C'est qui, celle-là, d'ailleurs ?
08:32 C'est l'oeuvre artistique la plus connue au monde.
08:36 Ce n'est pas la fille de Jocelyne Tailleb ?
08:38 Non.
08:39 Pourquoi la joconde ?
08:43 D'abord, qui est le peintre, qui est l'auteur ?
08:45 C'est Patrick Furey.
08:47 Léonard de Vinci.
08:49 Maintenant, il a fait des parkings.
08:51 Elle a été commandée par un monsieur qui s'appelle Giocondo.
08:55 C'était le portrait de sa femme qui venait d'avoir son troisième enfant.
08:58 Lisa Giocondo.
08:59 C'est pour ça qu'elle a le nom de Jocondo.
09:01 Quand on dit Mona Lisa, qui était l'autre nom, ça veut dire Madame Lisa.
09:05 Et Vinci, c'est la ville natale de Léonard de Vinci.
09:09 Je croyais qu'il était né dans un parking.
09:11 En Italie.
09:13 A votre avis, en quelle année ?
09:15 A peu près, combien il y a de siècles ?
09:17 Quelle est l'ancienneté ?
09:18 Cinq siècles.
09:19 Elle a cinq siècles, elle ?
09:21 Elle est bien conservée, Dieu bénit.
09:23 C'est vrai, bonne observation.
09:25 Elle est bien conservée.
09:27 C'est de la peinture à l'huile sur bois.
09:29 C'est de la peinture à l'huile, comme le sang.
09:31 Elle a cinq siècles.
09:32 Elle a été peinte en 1503.
09:34 Est-ce que vous imaginez le prodige de cette œuvre d'art ?
09:37 La finesse du point.
09:39 Léonard de Vinci était un génie.
09:41 Pourquoi c'était un génie ?
09:43 Il était à la fois peintre, sculpteur, architecte, auteur, ingénieur.
09:48 Il n'avait jamais fait d'études.
09:51 Certains ont vu son musée à Eaucleu-Lycée, près d'Amboise.
09:55 J'adore.
09:56 Il a inventé des maquettes en 1500.
09:59 Il a fait des maquettes de parachute, des maquettes de vélo, des maquettes d'avion.
10:05 Il a compris la mécanique.
10:07 Il ne travaillait pas chez Mondial, maquette ?
10:09 Comment, à votre avis, Cyril, comment il a imaginé tout ça ?
10:13 Avec des allumettes, comme Jacques Villerey.
10:15 Comment il a pu, sans aller à l'école, imaginer ?
10:18 Sans Internet.
10:19 Ça n'existait pas.
10:21 Il a quelque chose d'approchant.
10:23 Comment il a fait ?
10:25 Il a imaginé avec sa tête.
10:27 Mais comment ?
10:28 Comment est-ce qu'il a fait une maquette d'avion ?
10:30 En observant la nature.
10:33 Il était fasciné.
10:35 Et ça a un lien avec la question de la sauvegarde de nos territoires et de nos paysages.
10:39 Il a observé la nature, les arbres, les nuages et surtout les oiseaux.
10:43 Et toute sa vie, il s'est dit, comment est-ce que les oiseaux arrivent à voler ?
10:46 Et à force de les observer, et malheureusement il y en a beaucoup moins,
10:50 il y a 330 millions d'oiseaux qui ont disparu en Europe à cause des pesticides,
10:54 et il a réussi cette prouesse.
10:56 Maintenant, si vous regardez...
10:58 Justement, il y a une question, c'est qu'on a toujours l'impression qu'elle nous regarde de partout.
11:01 Regardez, pourquoi est-ce que Mona Lisa est célèbre ?
11:03 Il y a l'effet, ce qu'on a appelé l'effet Mona Lisa.
11:05 Mona Lisa.
11:06 C'est-à-dire, quand vous regardez sur les photos...
11:09 Vous pouvez bouger.
11:10 Si vous bougez, si vous allez là ou là...
11:13 On a l'impression qu'elle me regarde.
11:14 Vous avez l'impression...
11:16 On a l'impression qu'elle te suit du regard.
11:18 On a l'impression qu'elle me suit du regard.
11:19 Vous avez l'impression qu'elle vous suit du regard.
11:20 Et ce qu'il y a de spécial dans cette peinture, vous voyez, elle n'a ni sourcils ni cils.
11:24 Ah ouais, c'est vrai, t'as raison.
11:25 Et on pense que c'est à cause de cette...
11:27 Il a mis beaucoup de temps à peindre.
11:29 Il a mis au moins trois ans à faire ce tableau,
11:31 puis c'était tellement réussi que finalement il ne l'a pas donné.
11:34 Il l'a gardé, et c'est François Ier qui va récupérer cette...
11:38 Et deuxièmement, il y a le sourire de la Joconde.
11:42 Donc si vous observez ce sourire qui est extraordinaire aussi,
11:45 quand vous quittez du regard le sourire, que vous regardez un autre endroit du tableau,
11:52 vous avez l'impression que le sourire disparaît.
11:54 Quand vous revenez sur ce sourire...
11:56 Ah ouais, exactement.
11:58 Là, on a l'impression qu'elle a la ratera, et là on a l'impression qu'elle est d'arc-en-ciel.
12:01 Et je pense que ce qui a traversé les siècles, c'est l'immense sérénité de ce tableau.
12:07 La tranquillité, la sérénité, la simplicité, la beauté.
12:12 T'es pas là.
12:14 Et donc c'est ça qu'il faut se laisser imprégner comme ça par les œuvres d'art,
12:18 parce qu'il en reste toujours quelque chose.
12:21 Le droit à la beauté, le droit à l'accès aux œuvres d'art, c'est quelque chose aussi d'essentiel.
12:26 Et si vous regardez la dernière technique,
12:28 vous voyez il y a trois lieux qui sont écrits de couleur jaune.
12:33 Le visage, la gorge et les mains.
12:36 Et tout le reste, c'est ce qu'on appelle des couleurs froides.
12:40 C'est-à-dire tout le paysage autour qu'il a inventé également.
12:43 Parce que vous voyez des forêts, c'est magnifique aussi.
12:46 - Il est très fort celui-là.
12:48 - Voilà, c'est la beauté de cette œuvre.
12:50 - Ah, bravo.
12:51 - Il faut le regarder tout simplement en silence souvent pour se laisser imprégner par la sérénité.
12:57 - Elle est au Louvre ?
12:58 - Elle est au Louvre.
12:59 - Elle est au Louvre.
13:00 - Je vais aller la voir ce week-end.
13:02 - Vous pouvez l'appeler ?
13:04 - Elle a un compte Insta ?
13:06 - Elle a un compte Insta ou pas ?
13:08 - Elle est protégée par le Louvre, c'est des fous.
13:10 - Je sais, je sais. Merci Chégolène, on a que ça.
13:12 - Merci Chégolène.
13:14 - On passe à ce qu'il ne fallait pas lui faire.
13:16 Merci Chégolène.
13:18 [Musique]

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