Eric Ciotti propose d’économiser sur l’AME aux étrangers pour donner 1500 €/mois aux agriculteurs

  • il y a 7 mois
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Transcript
00:00 Daniel Moreau, vous êtes d'accord ?
00:02 Évidemment, ça tombe sous le sens.
00:04 Je suis désolée, pour moi, la préférence nationale n'est pas un gros mot.
00:06 Je sais que je vais m'en prendre plein la tronche de partout, mais ce n'est pas grave.
00:09 Si les calculs sont bons, je pense que tout le monde est d'accord pour que les agriculteurs aient un salaire minimum décent.
00:16 Maintenant, il faut chercher l'argent où il est.
00:18 Moi, je trouve qu'il a entièrement raison, et je suis pour la préférence nationale.
00:22 Et je n'ai pas honte de le dire.
00:24 Et pourtant, maintenant, c'est un peu de bonheur.
00:26 Moi, j'aimerais bien dire comme Daniel, sauf que ça ne fonctionne pas comme ça.
00:29 Parce que si tu as un étranger qui est sur le sol et qui est malade…
00:33 Mais l'urgence d'État existe. Si ça n'existait pas, je serais bien alloqué.
00:37 Si tu as un étranger qui est malade, tu ne le payes pas, il ne se soigne pas.
00:40 Lui, il va contaminer quelqu'un d'autre. Il va être malade. Il a des enfants qu'il mettra à l'école.
00:44 Bien sûr que si. Il mettra les enfants à l'école.
00:47 Ce n'est pas parce que tu ne vas pas donner une aide.
00:49 Non, mais là, tu confonds deux choses. L'urgence, c'est justement…
00:53 Faites-les pas rentrer sur le territoire. Ayez la franchise de ne pas faire rentrer des étrangers sur le territoire.
00:57 Une fois qu'ils sont sur le territoire, vous allez les laisser crever comme des chiens pour rendre heureux des agriculteurs.
01:03 C'est-à-dire que vous faites crever quelqu'un pour rendre heureux quelqu'un.
01:06 L'argent, on l'a. Arrête. L'argent, on l'a. On l'a, l'argent.
01:10 Il faut arrêter de se mentir en disant…
01:12 On laisse parler les autres quand tu parles sur des trucs.
01:14 Déjà, Raymond n'a rien compris parce que l'aide médicale d'État, elle concerne uniquement les personnes sans papiers.
01:17 Les personnes qu'on a laissées entrer sur le territoire ne bénéficient pas de l'aide médicale d'État.
01:21 C'est ça. C'est malade que les sans papiers. Il a raison.
01:23 Je vais te dire un truc. Moi aussi, je suis pour la préférence nationale.
01:25 Ce qui est marrant, c'est que quand Daniel dit ça, on va l'insulter de facho.
01:28 Moi, si je dis que je suis pour la préférence nationale, je m'appelle Radouane. Est-ce qu'on va m'insulter de facho ? Non.
01:32 On va juste dire que…
01:33 Quelqu'un qui n'a jamais travaillé de sa vie, tu lui donnes l'aide médicale ?
01:36 Quelqu'un qui n'a jamais travaillé de sa vie ? Quel consul français qui n'a jamais bossé de sa vie ?
01:39 Il est français. Tu lui donnes l'aide médicale ?
01:41 Mais il faut être sans papier pour bénéficier de l'aide médicale.
01:43 Ah d'accord. Mais, mais, mais… Mais sans papier…
01:45 Raymond, Raymond, Raymond, s'il te plaît, partons de trucs qui se passent.
01:49 Là, là, on parle de trucs, c'est que l'aide médicale, c'est pour les…
01:53 C'est pour les sans-papiers.
01:54 C'est pour que les sans-papiers…
01:55 C'est que pour les sans-papiers.
01:56 Mais non, c'est que pour les sans-papiers.
01:57 Moi, je suis pour une aide médicale d'urgence.
01:58 Il crève son trottoir.
01:59 Non, je suis pour une aide médicale d'urgence. Évidemment qu'il faut les insulter en cas d'urgence.
02:02 C'est ça. Il dit si vraiment, si vraiment, les mecs…
02:04 Elle existe, on la remet pas en cause.
02:06 Les mecs et les meufs.
02:07 Non, mais c'est ça. Tu peux expliquer ce que tu veux ?
02:10 Oui, du coup, je disais, l'aide médicale d'urgence existe déjà.
02:13 L'aide médicale d'État, aujourd'hui, tu peux tout faire concrètement avec.
02:16 Tu peux te faire des lunettes, tu peux te faire des soins, tu peux tout faire.
02:18 Il y a différents degrés de soins. Il y a des soins d'urgence.
02:21 Évidemment qu'il faut les maintenir pour tout le monde.
02:23 La France est un pays qui met au cœur de ses valeurs les droits de l'homme.
02:25 C'est important.
02:26 Par contre, l'aide médicale d'État, c'est une énorme funesterie.
02:29 C'est une escroquerie.
02:30 Et moi, je suis pour toutes les initiatives qui visent à aider davantage les agriculteurs
02:34 et qui visent à contrôler notre immigration.
02:36 Et si on peut faire des économies au niveau de notre immigration,
02:39 en la contrôlant et redistribuer pour les agriculteurs français,
02:42 qui nous nourrissent, qui contribuent au rayonnement de la France à l'international,
02:46 je le fais.
02:47 Alors, juste, Jean-Michel.
02:50 Oui, moi je suis un peu sur la même ligne que Redouane, évidemment.
02:53 Je trouve que l'aide médicale aux étrangers fait partie de...
02:56 Redouane.
02:57 Redouane, excuse-moi.
02:58 Des dispositifs qui font croire aux gens qui sont dans des situations désastreuses
03:05 dans d'autres pays que la France est un paradis.
03:07 Et du coup, ils viennent, ils se retrouvent dans un endroit qui n'est pas un paradis du tout.
03:11 Ils se retrouvent dans des centres, etc.,
03:13 où ils vont peut-être expédier dans leur pays d'origine, etc.
03:16 Et donc, c'est un aspirateur, un miroir aux alouettes.
03:19 Et je trouve que c'est...
03:20 Ils sont sans papier.
03:21 Je préfère en faire bénéficier des gens qui ont des papiers, qui crèvent.
03:24 Tu dis que ceux qui crèvent dans la rue, les paysans crèvent aussi de faim.
03:27 – Donc une fois qu'on a aidé les paysans, on aide qui après ?
03:30 Dès qu'on a pris de l'argent pour les sans-papiers et les escrever,
03:33 on aide les agriculteurs.
03:34 Après, il faut aider les artisans, les boulangers.
03:35 On tape sur qui après ?
03:36 – Oui, oui.
03:37 – Mais il y a une hiérarchie.
03:38 – On va chercher l'argent où ?
03:39 – Il y a une hiérarchie, et à la fin de cette hiérarchie,
03:41 il y a les étrangers, si on a encore un peu d'argent.
03:43 – Les sous-hommes.
03:44 – Si on a encore un peu...
03:45 Non, je ne sais pas, si on a encore un peu d'argent, on y va.
03:47 – Ça veut dire quoi ?
03:48 – Si on avait une machine à billets, évidemment, on aiderait tout le monde.
03:52 Tout le monde a envie d'aider tout le monde.
03:53 – On ne l'a pas.
03:54 – Tu ne peux pas ?
03:55 – On l'a.
03:56 – Ah, on l'a.
03:57 – D'accord, si tu l'as, propose-toi que tu fasses des finances.
03:58 – Tu ne vois pas l'argent qu'on gaspille ?
03:59 – Jules Bernays, ça n'a rien à voir.
04:00 – Non mais ce que dit Jean-Michel, c'est incroyable.
04:02 C'est-à-dire qu'il dit qu'à cause de...
04:04 – Ah tiens, attends, il y a le progressiste.
04:05 – À cause de l'aide médicale d'État...
04:06 – Ah, le progressiste !
04:07 – Les gens vont venir en France, ils vont être malades.
04:10 – Mais laisse parler le progressiste.
04:12 – Il y a 420 000 personnes qui sont concernées, d'accord.
04:15 Vous croyez qu'ils sont venus ici parce qu'ils savaient que...
04:17 – En trop, en trop, en trop, parce qu'ils savaient...
04:19 – Mais qu'est-ce que tu crois ?
04:21 – Bien sûr que si.
04:22 – Mais pourquoi ils viennent en France ?
04:23 – Absolument pas.
04:24 – Les gens qui viennent ici, ils viennent parce qu'ils sont désespérés.
04:27 – On a bien meilleur.
04:28 – Parce qu'ils risquent la mort en traversant.
04:30 – On leur fait miroiter des choses.
04:32 Ils viennent en France pour la Tour Eiffel ?
04:33 – Vous êtes complètement fou.
04:34 – Ils viennent pour la Tour Eiffel ?
04:35 – Non, ils viennent pour la Tour Eiffel.
04:36 – Vous pensez que...
04:37 – Chut, répond moi !
04:38 Pourquoi ils viennent ici alors ?
04:39 Dis-moi pourquoi ils viennent en France ?
04:40 – Parce que...
04:41 – Pourquoi ils ne vont pas en Bulgarie ?
04:42 – Laissez-moi vous répondre.
04:43 – Ben oui, ben réponds-moi.
04:44 – Ils sont dans des situations désespérées.
04:45 – Mais pourquoi en France ?
04:46 – Mais parce que la France est l'espoir.
04:49 – Pourquoi c'est l'espoir ?
04:50 – La France incarne l'espoir.
04:51 – Pourquoi c'est l'espoir ?
04:52 – Vous voulez faire l'occasion et l'aide médicale d'État ?
04:54 – Chut, laissez parler Gilles s'il vous plaît.
04:55 – La France, pour plein d'Africains, exemple que je connais bien,
04:59 incarne une sorte de mythe d'Eldorado et ils viennent ici.
05:02 – Vas-y le mot, c'est un mythe.
05:03 – Ils ont tort de venir ici parce qu'ils pensent qu'ils vont être sauvés,
05:06 mais ils ne viennent pas parce qu'il y a l'aide médicale d'État.
05:08 – Mais entre autres, parce qu'ils savent aussi que s'ils viennent ici légalement,
05:11 ils vont travailler.
05:12 – Gilles, Gilles, Gilles, Gilles, Gilles, Gilles,
05:15 ce que dit Jean-Michel, sans vouloir le défendre,
05:17 ils ne disent pas qu'ils viennent pour l'aide médicale d'État, juste que pour ça.
05:20 Ils vous dites en fait la même chose,
05:22 ils disent que la France, ça représente quelque chose,
05:26 et la France est un pays d'accueil qui fait encore rêver.
05:30 – Très généreux.
05:31 – C'est ce que dit Jean-Michel et c'est ce que tu dis aussi.
05:33 Donc vous dites la même chose et vous vous engueulez.
05:35 Donc qu'est-ce qu'il veut le progressiste ?
05:36 – Ça coûte un milliard d'euros, l'aide médicale d'État, il ne faut surtout pas.
05:39 Il ne faut surtout pas.
05:40 – Pourquoi ?
05:41 – Parce que ça sauve des gens, parce qu'on est un pays avec une tradition d'accueil
05:46 et on doit continuer à sauver des gens qui sinon vont mourir.
05:49 – Mais on n'a plus les moyens.
05:50 – C'est un peu le problème qu'on avait la semaine dernière aussi.
05:53 Oui, Daniel.
05:54 – On n'a plus les moyens, tu vois comment on les accueille.
05:56 Mais moi je ne comprends même pas évidemment qu'on aimerait
05:58 accueillir toute la misère du monde.
05:59 Tu vois comment ils sont ?
06:00 Justement parce que vu de là-bas, ils pensent que la France va être formidable.
06:05 Tu les vois, mais moi j'aurais même honte.
06:07 Autre jour Anne Hidalgo disait que Paris allait continuer à être une terre d'accueil,
06:10 mais qu'elle aille à la Porte de la Chapelle,
06:12 qu'elle voit tous ces gens par terre, en train de penser à l'échéant.
06:15 – Tu ne peux pas parler ?
06:16 – Bien sûr qu'on a le mauvais rôle en disant ça, moi je vais m'en prendre à la fin.
06:20 – Non, non, on a le bon rôle.
06:21 – Non, mais on a le mauvais rôle parce qu'on est les méchants,
06:23 parce qu'on ne veut pas accueillir des pauvres gens.
06:24 Évidemment qu'on aimerait les accueillir, mais dans ces conditions-là, non.
06:27 Et ça, l'aide médicale d'État, évidemment ce n'est pas tout,
06:30 mais c'est une partie de ce qui leur fait croire que ça va être formidable.
06:33 Et je suis désolée, on ne laissera pas crever des sans-domiciles dans la rue,
06:37 parce qu'il y a l'aide d'urgence d'État, égoïstement pour nous,
06:40 pour pas qu'il y ait des maladies qui se propagent, et pour eux aussi.
06:43 – Tiens, on va voir Géraldine après.
06:44 – On n'est pas des sans-cœur complètement, excuse-moi.
06:46 – Géraldine.
06:47 – Non, non, je comprends ce que dit Daniel, je comprends,
06:49 mais moi je ne crois pas à la sincérité de Éric Ciotti.
06:51 – Moi aussi.
06:52 – Je pense qu'il est juste un opportuniste, parce que ce n'est pas dans son programme.
06:55 Là, il y a la crise des agriculteurs, il sort ça de son chapeau.
06:57 – Non, mais là c'est normal, tu trouves des idées par rapport aux situations ?
07:00 – Non, mais c'est parce qu'il a un seum monumental,
07:02 à une politique de droite, et tout d'un coup il dit "comment je vais faire pour exister ?"
07:05 – Non, Éric, ce n'est pas le genre.
07:06 – C'est peut-être pas le genre, mais en tout cas, la Géraldine, c'est son genre.
07:09 Et du coup, moi ce qui me déplaît, c'est qu'en fait, on déshabille Paul pour habiller.
07:13 – C'est ce que je veux dire.
07:14 – Et en fait, on a ce qu'on veut, on va vous donner 1 500 euros par mois,
07:17 contentez-vous de ça.
07:18 Mais en fait, les agriculteurs, ils ne demandent pas, ils nous l'ont dit,
07:20 tous ceux qui sont venus.
07:21 – Ils ne veulent pas d'aide.
07:22 – Ils ne veulent pas d'aide, ils veulent bosser.
07:23 – Ils veulent vivre de leur travail.
07:24 – Ils veulent avoir une sorte de respectabilité dans le travail.
07:26 Donc 1 500 euros, en fait, c'est une sorte de…
07:28 Et je pense que même eux, ils ne seraient pas d'accord.
07:30 – Non mais, je vais vous dire, je vais vous dire.
07:34 Là, vous faites un débat qui est… vous êtes un peu…
07:38 – À côté.
07:39 – Vous êtes à côté.
07:40 – On est un peu à côté, si on reste sur les agriculteurs.
07:42 – Je vais vous expliquer pourquoi, il a raison.
07:43 – Il faut sortir des agriculteurs.
07:44 – On sort des agriculteurs.
07:45 On pense exactement, c'est ça l'histoire.
07:47 Parce que s'il n'y aurait pas été les agriculteurs,
07:49 il y a plein de gens qui sont en difficulté actuellement.
07:50 – Les étudiants.
07:51 – Il y a les commerçants, il y a les boulangers, il y a les infirmiers.
07:55 Donc voilà, en fait, la vraie question, la question en fait que tout le monde se pose…
07:59 – Pour les étudiants et aux étrangers.
08:00 – La question sous-jacente, exactement, là-dedans, c'est,
08:03 est-ce que, les gars, est-ce qu'on a les moyens, aujourd'hui, d'aider comme avant ?
08:09 – Ben non.
08:10 – Et est-ce qu'aujourd'hui, c'est la vraie question ?
08:12 Et c'est la question qu'il a soulevée,
08:13 parce que c'est les agriculteurs qui sont dans la rue aujourd'hui,
08:15 mais si ça aurait été les boulangers, ils l'auraient dit pareil.
08:17 En fait, c'est ça.
08:18 – Mais, exactement, il faut changer la question.
08:21 – Je mets "oui" et je fais les arguments de Redouane, en cas d'urgence.
08:23 – Radouane !
08:24 [Rires]
08:26 – Radouane, en cas d'urgence.
08:27 – Non mais voilà, c'est en fait, Raymond, tu comprends ce que je dis,
08:30 c'est que c'est un peu la même question qu'on a posée sur l'Ukraine, en fait, un petit peu…
08:33 – On est ruiné quatre fois ce matin.
08:34 – Il y a une hiérarchie en fait.
08:35 – On peut payer pour tout le monde.
08:36 – Aujourd'hui, il y a de plus en plus de gens, on le redit tous les soirs,
08:39 qui, le 10 du mois, ne peuvent plus manger,
08:42 et qui travaillent de 8h jusqu'à 19h tous les jours.
08:45 Qu'est-ce qu'on fait ? Est-ce qu'aujourd'hui, on ne peut pas trouver un moyen ?
08:48 On n'est pas… là, pour moi, on est dans une mesure d'urgence.
08:54 Aujourd'hui, je le dis, il y a de plus en plus de Français qui sont à la rue totale,
09:00 et qui ne peuvent rien faire.
09:01 Je le dis, avant, ils pouvaient juste survivre, maintenant, ils ne peuvent même plus.
09:05 Parce que vivre, on oublie, c'est-à-dire vivre vers des loisirs en plus, ça, il faut oublier.
09:09 Donc aujourd'hui, qu'est-ce qu'on fait ? Et où on va chercher l'argent ?
09:13 C'est tout simplement ça qu'on vous demande.
09:14 Quand il y a eu le Covid, et je pense que Raymond voulait venir là-dessus il y a quelques minutes,
09:20 on a trouvé de l'argent.
09:23 Aujourd'hui, je pense qu'il y a une situation de précarité,
09:26 et surtout chez les gens qui travaillent.
09:28 Aujourd'hui, il faut privilégier les gens qui travaillent,
09:32 et il faut aider ceux qui travaillent et qui ne s'en sortent pas.
09:35 Aujourd'hui, le problème qu'on a, c'est qu'on aide beaucoup de gens qui profitent du système.
09:41 Et je vous le dis, c'est le gros problème, et c'est des milliards d'euros.
09:45 Et ces milliards d'euros, c'est compliqué, parce qu'aujourd'hui, à un moment,
09:50 il y a du cas par cas, le problème c'est très compliqué.
09:52 De dire qui profite du système, qui est vraiment sincère.
09:56 Donc à un moment, il faut prendre des décisions.
09:59 Et à un moment, tu ne peux pas faire plaisir à tout le monde.
10:01 C'est le problème de ce que tu agis, aujourd'hui, tu vas faire plaisir à tout le monde,
10:04 et c'est pour ça que ta politique mène dans le mur,
10:06 et que tu es une politique non pas progressiste, mais une politique passéiste.
10:10 Voilà, qui est du passé, et qui est exactement toutes les politiques qui ont été faites jusqu'à présent,
10:13 et qui font qu'aujourd'hui, on est dans la situation où on en est, dans laquelle en France,
10:17 et qu'aujourd'hui, il y a de plus en plus de gens qui travaillent et qui s'en sortent pas.
10:20 Donc aujourd'hui, l'histoire, et Raymond, je comprends que tu mettes "oui" maintenant,
10:23 c'est "qu'est-ce qu'on fait, est-ce qu'il ne faut pas privilégier ceux qui travaillent
10:28 et aider ceux qui travaillent et qui ne s'en sortent pas, plutôt que les assister ?"
10:32 – Et Gilles, tu nous traites très souvent de gros fachos,
10:36 mais si tu voulais lutter contre les idées du Front National,
10:38 c'est justement en supprimant ce genre d'aide que tu pourrais lutter contre le Front National.
10:42 Parce que si les gens votent pour le Front National, c'est parce que les gens ne supportent plus
10:45 qu'il y ait des aides qui soient données à ceux qui ne font rien,
10:48 au détriment de ceux qui travaillent sans et/ou, et qui ne vivent plus la fin du mois.
10:53 Donc voilà, si tu veux lutter contre le Front National, supprime ce genre d'aide.
10:57 – Mais moi j'entends parfaitement ce que dit Cyril, mais à sa question, je réponds non.
11:02 On ne doit pas privilégier… – Moi aussi, non, non, non.
11:04 – Les Français, vous dites "ceux qui travaillent, Cyril",
11:06 mais sous-entendu, c'est les Français qui travaillent par rapport à des étrangers.
11:09 – Mais pourquoi on le fait dans tous les autres pays ?
11:10 Eh bien chez nous, dans tous les autres pays, dans tous les autres pays en Europe,
11:13 on privilégie les citoyens du pays, même dans tous les pays.
11:17 – C'est devenu un gros mot, on a des plus grands degâts d'ordre.
11:20 – Qu'est-ce que tu réponds à Géraldine Manier ?
11:22 – Moi je maintiens, je maintiens que 1,2 milliard pour 450 000.
11:25 – Non, non, mais ce n'est pas ça…
11:27 – Je ne veux pas qu'on supprime… – Mais il est bête.
11:29 – Pas du tout, je ne veux pas qu'on supprime cette aide.
11:31 Donc c'est clair, je réponds à votre question, non,
11:33 on ne doit pas donner plus aux Français qui travaillent, non, non, non.
11:36 – Mais pour quelles raisons ? C'est des raisons éthiques, idéologiques ?
11:38 – Humanitaires, humanitaires.
11:39 – Si tu dois donner plus aux Français qui travaillent…
11:41 – Et tu laisses crever des mecs qui travaillent.
11:43 – Non, mais je ne laisse pas crever des étrangers en situation irrégulière,
11:46 ils sont malades.
11:47 – Donc tu fais quoi ?
11:48 – Je continue, alors, donner 1,2 milliard, on peut très bien sur notre budget, Cyril.
11:52 – Non, mais je ne te parle pas que de ça, tu as intérêt à ça,
11:54 tu veux bien que je… j'ai fait une tirade de 10 minutes pour dire que c'était pas facilité.
11:57 – Mais elle est manifeste.
11:58 – Mais tu peux l'expliquer, Raymond, s'il te plaît ?
12:01 – Non, non, non, non, non.
12:02 – Il parle pas que de nous.
12:03 – Voilà, il a raison Valérie.
12:04 – Quand tu restes sur l'axe d'Eric Ciotti, de M. Ciotti,
12:07 1 500 pour les agriculteurs, c'est des magots, il s'est réveillé ce matin,
12:10 "Ah, il y a des agriculteurs, je vais leur donner 1 500",
12:13 ça c'est pour faire plaisir à la politique.
12:15 Maintenant, moi je suis comme toi, je veux que l'aide elle reste,
12:17 mais je prends l'axe de Radouane, l'aide tu la donnes en cas de force majeure,
12:21 en cas de grave maladie.
12:22 Et il faut penser aux Français qui aujourd'hui travaillent tous les matins,
12:24 qui se lèvent mais qui ne peuvent pas vivre de leur propre travail.
12:27 Ça veut dire avec les crèches, les machins, tout ce qu'ils doivent payer,
12:30 les taxes d'habitation, les taxes d'essence, tout ce qu'il y a à payer,
12:34 l'électricité, à la fin ils vont travailler dans le vide,
12:37 par rapport au voisin qui lui a touché plein d'aides,
12:39 et qui va faire 1 500, 1 800, mais qui aura encore des aides
12:42 qui ne sera pas imposées et qui ne paiera rien.
12:44 Pourtant l'argent qu'on lui donne, les 1 500 et les 1 800,
12:46 c'est des vrais billets, et lui n'est pas imposé comme le voisin
12:48 qui se lève à 5 heures pour aller courir après un RER.
12:50 Comment tu vas expliquer ça aux gens pendant des années ?
12:52 C'est insupportable.
12:54 – Il y a Mickey Willis qui dit "Gilles Verdez est dans un monde de bisounours".
12:57 Bravo Mickey, ils viennent surtout pour ça, même si ce n'est pas
13:00 tous les ressortissants, mais c'est parce que la France donne trop
13:03 et oublie ses artisans, ses agriculteurs, ses PME qui se lèvent tôt
13:06 et qui se lèvent pour faire tourner ce pays.
13:08 Merci Cyril Hanouna. Qu'est-ce que tu réponds à Mickey ?
13:10 – Ce n'est pas l'un contre l'autre Cyril, ce n'est pas l'un contre l'autre,
13:12 je vous le réponds à Raymond…
13:14 – Mais Gilles Verdez, on n'a pas dit que c'était l'un contre l'autre.
13:17 – Si Raymond il dit, on doit donner…
13:19 – Gilles Verdez, tu crois que t'es où ? Tu te rends compte de la situation
13:24 dans laquelle est la France aujourd'hui ? Tu vis dans quel monde ?
13:27 Tu vis où, excuse-moi ?
13:29 – La politique c'est des choix, donc vous choisissez de laisser mourir
13:33 des étrangers ? – On ne laisse pas mourir,
13:36 on ne peut pas dire ce qu'on veut.
13:38 – Gilles Verdez, tu habites où, dans quel pays ?
13:41 – Ici en France.
13:43 – Tu vois la situation de la France ? Tu crois que la France est fière de toi ?
13:45 Non, pas pour moi, je ne suis pas fier de toi en tout cas.
13:47 – Oui, Radouane.
13:49 – L'argumentaire typique du mec qui ne sort jamais du 7e arrondissement,
13:51 tu me laisses finir, tu me laisses finir, il n'y a aucun problème.
13:54 – Il a raison, c'est une façon de parler.
13:56 – Il n'y a aucun problème où tu habites et tu penses que c'est une généralité.
13:59 Dans un pays dans lequel il y a 330 000 FDA, des personnes qui n'ont pas
14:02 leur pièce d'entité, qui n'ont pas accès aux soins,
14:05 ces gens-là, ils crèvent, ces gens-là n'ont pas accès à l'aide médicale d'urgence
14:08 et ce n'est pas une honte de faire une hiérarchie, d'abord les travailleurs,
14:11 les Français et ensuite peut-être, si on a encore un peu d'argent,
14:14 les étrangers, seulement si on a encore un peu d'argent,
14:16 mais tu viens ni tant qu'ici, ni loin.
14:18 – C'est terrible, c'est terrible.
14:20 – Alors là, vous laissez mourir les étrangers, alors là, vous annoncez, pas moi.
14:23 – Les étrangers qui travaillent, en fait.
14:25 – Mais non, mais les étrangers, j'ai commencé par les travailleurs.
14:28 – Je te rappelle que par ailleurs, par exemple, chez les agriculteurs,
14:31 ils ont les travailleurs saisonniers qui sont de toute façon réguliers.
14:33 – Et qui font même venir du Maghreb.
14:35 – Gilles Vernez, inadmissible d'entendre que Gilles ne veut pas donner
14:38 à ceux qui travaillent et surtout à nos propres citoyens.
14:40 Les agriculteurs crèvent et ils s'en foutent.
14:42 Les Français travaillent pour payer les aides.
14:44 Voilà, en fait, non, on ne peut plus aider tout le monde.
14:48 Voilà, alors il y a un autre tweet, là, mais je ne vais pas le lire.
14:51 – Tu le dis assez ici, une fois de plus, on dit les agriculteurs,
14:54 parce que c'est vrai que là, ils sont dans l'actu,
14:56 mais ce n'est pas les agriculteurs, les mecs, c'est les restaurateurs,
14:59 c'est les boulangers, c'est un mec qui a un pressing,
15:01 un mec qui fait de l'événementiel, c'est tout le système,
15:03 tout le système du coût du travail en France.
15:06 Et moi, vous me faites rire jusqu'à chaque fois, dans les débats,
15:08 partout même, j'entends à la télé, regardez comment ça se passe en Allemagne,
15:11 regardez comment ça se passe là-bas, mais le travail là-bas, allez voir,
15:14 c'est moins cher, c'est moins cher qu'ici, on est les plus imposés
15:17 au niveau du travail, la France est le champion du monde.
15:19 – En Allemagne, ils n'aident pas autant.
15:21 – Ils n'aident pas autant et le travail…
15:22 – Il n'est dans aucun autre pays, donc Gilles Verdez, je t'explique Gilles Verdez.
15:24 – On est les plus imposés, ne cherche pas.
15:26 – Tout ce que tu dis, du début à la fin dans cette émission…
15:29 – C'est de la merde.
15:31 – Non, mais oui, mais tout ce que tu dis, Gilles Verdez,
15:35 tout ce que tu dis, ce sont des choses qui ont déjà été faites
15:38 et qui n'ont pas marché.
15:39 – Essayez.
15:40 – Tout ce que tu dis, Gilles Verdez, tu as l'image de la France
15:43 que je ne connaissais pas des années 70 à mon avis, ou 80,
15:48 ou je ne sais pas, même avant.
15:49 – Le peu d'emploi, la crise…
15:50 – Exactement, mais Gilles Verdez, en fait, le problème qu'il y a,
15:52 c'est que tu es resté bloqué quand tu avais 20 ans, je ne sais pas, 18, 19 ans.
15:56 – Mais c'est un utopiste, c'est bien.
15:57 – Exactement, c'est un utopiste, mais à un moment, les utopistes,
15:59 ça ne t'envoie que dans le mur.
16:00 Et Gilles Verdez, je t'explique, tu sais pourquoi je m'énerve avec toi
16:03 tous les soirs ? Parce que justement, tu représentes un courant
16:07 qui nous envoie dans le mur.
16:08 Tu représentes des gens qui pensent tout savoir, qui pensent avoir raison,
16:12 qui pensent qu'ils peuvent aider tout le monde, des gens qui ne font pas de choix.
16:16 Et je vais te dire, le problème que tu as aujourd'hui, Gilles Verdez,
16:19 c'est qu'aujourd'hui, la France, ce n'est pas la France des années 70.
16:21 La France, tous les ans, elle décline.
16:24 Ça fait des années qu'elle décline.
16:26 La France, on dit qu'on est 7e puissance économique.
16:28 Je pense, moi, je te le dis, dans deux ans, on n'est plus top 10.
16:33 Voilà, je te le dis, et j'en suis sûr et certain.
16:35 Parce qu'il y a des pays qui vont nous passer devant.
16:37 Donc, Gilles Verdez, à un moment…
16:39 – C'est de ma faute quand même.
16:40 – Si, c'est de ta faute.
16:41 – C'est de ta faute parce que c'est des gens comme toi.
16:43 – À cause d'eux, devant vous, parce qu'on a eu putain de richesses.
16:45 – C'est des gens comme toi, et tu veux que je te dise,
16:47 qui empêchent les gens de dire ce qu'ils pensent,
16:52 qui empêchent les gens de prendre des décisions
16:54 et de prendre les bonnes décisions, parce que c'est des gens comme toi
16:56 qui paralysent le pays.
16:57 – Ah ben merci.
16:58 – Oui, mais je le pense vraiment.
16:59 Je pense que tu fais partie des gens qui paralysent les pays
17:01 et les gens que tu représentes, et le courant que tu représentes,
17:05 et ne me dis pas, parce que c'est le courant Woke, tout ça, je t'explique.
17:10 Ça, c'est ce qui mène le pays dans le mur.
17:12 Et Gilles Verdez, tu es responsable, parce que…
17:15 mais c'est pas toi, mais je te dis, pourquoi je m'énerve après toi,
17:17 parce que je pense que tu es un peu le porte-parole dans cette émission
17:20 de ce qui fait qu'aujourd'hui le pays est paralysé.
17:23 Il est paralysé à cause de gens comme toi.
17:25 Voilà, je te le dis.
17:26 Et je pense que je ne suis pas le seul à le penser.
17:28 Je ne sais pas qui pense comme moi ici autour de la table,
17:29 mais je pense qu'ils sont nombreux.
17:30 Oui, je pense qu'ils sont nombreux.
17:31 Je ne sais pas si vous vous souvenez, on avait reçu un monsieur
17:34 il y a quelques semaines qui ne pouvait plus se payer son médicament.
17:37 Je crois qu'il avait un cancer du poumon.
17:39 Il avait donc retraité, il avait cotisé toute sa vie,
17:41 et il ne pouvait pas se payer, il arrêtait son traitement,
17:44 évidemment avec les risques que ça comportait.
17:46 Qu'est-ce que tu dirais à ce monsieur, quand on sait qu'un étranger
17:48 en situation irrégulière qui arrive sur le territoire
17:51 peut se payer des lunettes s'il en a besoin ?
17:53 Ça a été déremboursé, c'est autre chose.
17:55 Gilles a le même discours que Mathilde Panot.
17:58 Ils ne veulent pas la réussite de la France et des Français.
18:01 Si ça a été déremboursé, c'est parce qu'on n'a pas ce moyen.
18:03 J'ai pas entendu pour Polska et Mundir.
18:05 Écoute, moi ce que j'en pense, Cyril, entre…
18:08 On est d'une génération où on n'avait jamais vu, nous par exemple,
18:11 des étudiants SDF.
18:12 Ça n'existait pas, aujourd'hui ça l'est.
18:14 Aujourd'hui, les étudiants, les hôpitaux,
18:18 qui brûlent au plus vite que Notre-Dame de Paris,
18:21 c'est juste un scandale.
18:22 Donc pour le coup, ce que disait, en plus tu m'as retiré cette phrase,
18:25 Géraldine, c'est que déshabiller Paul pour habiller Jacques,
18:27 c'est totalement ça.
18:28 Moi je suis en train de…
18:29 Je pose une question, répondez-moi, parce que moi je ne suis pas un politique.
18:32 Les agriculteurs, les étudiants, les hôpitaux,
18:35 qui sont dans un état déplorable,
18:38 d'ailleurs il y a un gamin qui vient de mourir aujourd'hui,
18:40 au bout de 8 heures,
18:41 est-ce que c'est la faute des étrangers ?
18:43 - Arrête de gêner.
18:44 - Non.
18:45 - C'est pas une…
18:46 - Non mais je ne vais pas poser la question comme ça.
18:48 - Ça n'a rien à voir.
18:49 - Ça n'a absolument rien à voir.
18:50 - Tu ne peux pas poser la question comme ça,
18:51 parce qu'en fait, tu poses la question et elle est mal posée.
18:52 On ne peut pas te répondre à ça.
18:53 Bien sûr qu'on va te dire non, mais ce n'est pas ça qu'on est en train de dire.
18:56 Ce qu'on est en train de te dire, c'est qu'aujourd'hui, la France…
18:59 - On ne peut plus continuer comme ça.
19:00 - La France, on ne peut plus continuer comme ça.
19:01 - Ça se voit.
19:02 - À un moment, un pays, c'est comme, je vais dire la France,
19:07 c'est comme une entreprise, c'est comme un budget familial.
19:09 - Ah oui, oui.
19:10 - À un moment, si tu dis, tu as 5 enfants et que tu dis,
19:13 ben tiens, j'ai 1000 euros de budget pour acheter des cadeaux de Noël,
19:17 et que tu donnes 800 euros pour ton premier enfant,
19:21 et que tu dis, après, il va me rester 200 pour les quatre autres,
19:24 forcément, il y en a un qui va être privilégié,
19:26 qui va avoir un plus beau cadeau que les autres.
19:28 Mais à un moment, la France, aujourd'hui, on ne peut pas gagner 5 fois 200,
19:31 parce qu'aujourd'hui, on ne les a pas.
19:32 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, 5 fois 200, ça ne suffira pas.
19:35 Puisque je vais te dire, le problème qu'il y a,
19:37 les problèmes sont si importants dans tous les secteurs que tu as donnés,
19:41 c'est qu'aujourd'hui, on n'a pas assez déjà pour ces secteurs-là.
19:44 Et il faut couper un moment des choses.
19:47 Donc à un moment, il faut savoir quoi couper.
19:48 À un moment, alors après, comme a dit Raymond, moi, je me dis aussi,
19:52 Raymond a raison, à un moment, ils ont sorti le PGE pendant le Covid.
19:56 Ils ont sorti de l'argent, ils ont prêté de l'argent.
19:58 Après, tous ceux qui ont prêté du PGE, aujourd'hui,
20:00 ils sont dans une merde noire, je peux vous dire,
20:02 et c'est une catastrophe parce que ça se rajoute à tout ce qu'ils avaient avant,
20:05 et donc ils ne travaillent pas plus qu'avant,
20:07 et ils ont le PGE en plus, donc c'est catastrophique.
20:09 Donc il y en a énormément qui vont planter le PGE,
20:11 je vous le dis aussi, parce qu'ils ne peuvent pas.
20:12 Et donc ça, encore, ça va faire un trou, je peux vous dire,
20:14 dans la cagnotte, dans un trou d'un État qui va être énorme,
20:16 parce que le PGE, il y en a énormément qui ne peuvent pas le payer
20:19 et qui se retrouvent aujourd'hui, qui disent,
20:20 "Bah non, on ne peut pas le payer, on va planter, donc on va planter,
20:22 ils vont tout planter."
20:23 Donc ce n'est pas de leur faute, et aujourd'hui, ils sont étranglés.
20:25 – Pour les entreprises.
20:26 – Pour les entreprises, non, et pour te dire,
20:27 donc ils avaient trouvé le PGE.
20:28 Pour le Covid, ils avaient trouvé énormément d'argent aussi.
20:30 Et ce que dit Raymond, je comprends, ils disent,
20:32 "Est-ce qu'il y a deux solutions ? C'est où ?
20:34 Tu sors la planche à billets, mais derrière, en dette,
20:37 ça va te coûter énormément, et la dette de la France aujourd'hui,
20:40 on ne peut plus se permettre, mais tu sors la planche à billets,
20:43 et tu dis, tu sais quoi, on va aider les gens, et on va sortir,
20:46 je ne sais pas, tant de milliards, mais derrière, je peux te dire
20:49 que tu vas avoir les impôts, tu vas les sentir passer,
20:51 et quoi qu'il arrive, que tu me vois te donner d'un côté,
20:53 tu vas le rendre de l'autre.
20:55 Ou bien, tu n'as pas tant de solutions, ou bien tu dis aujourd'hui,
20:58 je dois couper des budgets qui sont alloués à des choses qui sont…
21:03 il faut que je fasse des choix.
21:05 – Comme une entreprise.
21:06 – Exactement, mais aujourd'hui, Gilles Verdez, toi,
21:08 le problème que tu as, c'est que tu es nul en économie.
21:12 Voilà, oui, je pense…
21:14 – Il a dit merci.
21:15 – Non mais voilà, je te remercie.
21:17 Voilà, si tu… Non mais je pense, je ne sais pas comment tu gères
21:19 ton budget chez toi, mais ça doit être catastrophique.
21:21 Tu as un peu d'argent de côté ?
21:23 – J'essaye, oui, de gérer normalement, quoi, oui.
21:26 Je suis responsable, quoi.
21:27 – Ah ouais ? – J'essaye, oui.
21:29 – Non mais Gilles, j'adore, mon chéri, mais je te dis la vérité.
21:32 – Heureusement.
21:33 – Tu vois bien qu'il y a un problème dans ce que tu dis, mon chéri.
21:35 – Vraiment ? – Tu vois bien que ta culture beau,
21:37 que ton progressisme ne vont pas avec la société d'aujourd'hui, oui.
21:40 – Gilles, tu connais l'histoire, tu sais très bien que l'histoire
21:43 est faite de choix, et quand on ne fait pas de choix,
21:45 c'est ce qui s'est passé avant la Seconde Guerre mondiale.
21:47 On a toujours voulu sauvegarder, on faisait semblant de ne pas voir
21:49 l'Allemagne qui était en train de se réarmer, d'attaquer progressivement
21:52 les pays limitreux, etc.
21:54 Et les historiens disent, à force de vouloir absolument sauver la paix,
21:56 on a rendu la guerre inévitable.
21:58 Et là, tu es en train de faire la même chose, toi.
22:00 À force de vouloir faire plaisir à tout le monde,
22:02 on est en train de transformer la France en une poudrière
22:04 qui va finir par exploser, parce que les gens en ont marre
22:06 qu'on ne fasse pas des choix et qu'on va faire plaisir à tout le monde,
22:09 alors qu'on n'a pas les moyens.
22:10 – Mais notre histoire… – On va en dire du gamin,
22:12 il y a un instant, qui est décédé de Rion.
22:14 Sachez que dans l'émission de ce week-end, on aura un proche
22:16 qui nous racontera exactement ce qui s'est passé.
22:18 Et vous allez voir ce qui est devenu la France.
22:20 Et aujourd'hui, quand il y a des gamins qui meurent aux urgences,
22:24 Gilles Verdez, bien sûr, ce n'est pas de ta faute,
22:26 ce n'est pas de la faute de personne, comme on dit,
22:28 aujourd'hui vous allez voir ce qui est devenu la France,
22:30 et ça c'est une mort qu'on aurait pu éviter.
22:32 Vous verrez, le témoignage sera très fort, ce sera ce week-end,
22:35 dans l'émission du week-end.
22:37 Oui, qu'est-ce que vous vouliez répondre ?
22:39 – Jean-Michel, en fait, il nous parle d'histoire,
22:41 mais l'histoire de la France, c'est une histoire d'ouverture,
22:43 c'est une histoire d'accueil, et là vous la réutilisez…
22:45 – On n'en peut plus, on n'en peut plus de l'histoire,
22:48 on t'a dit il y a deux secondes que tu étais anachronique.
22:52 – Vous voulez que je lui réponde ?
22:53 – Tu es anachronique.
22:54 – En fait, ce que vous incarnez, c'est la préférence nationale.
22:56 – Tu es anachronique.
22:57 – Pas du tout, c'est simple.
22:58 – Pas du tout, c'est pas si, c'est pas ce qu'il veut,
23:00 la préférence nationale, c'est ce qu'il veut.
23:02 – Non, parce que, regarde, moi…
23:03 – Raymond, il n'incarne pas la préférence nationale.
23:05 – Moi, je n'incarne pas spécialement la préférence nationale.
23:07 Déjà, pour l'écriture, tu veux tout changer, tu veux changer l'histoire,
23:09 et là, tu ne veux pas changer l'histoire.
23:11 L'histoire, il faut la changer à un moment donné.
23:13 Tu ne peux pas rester sur ce qu'on avait quand on avait des milliards.
23:15 – Ce n'est pas possible.
23:16 – Je veux dire, à un moment donné, comme toi, je veux qu'on soigne un étranger
23:19 à partir du moment où tu l'as laissé rentrer sur le territoire.
23:21 Il faut le soigner.
23:22 – Il est hors sol.
23:23 – Il est là.
23:24 – Il ne comprend rien à rien.
23:25 – En cas d'urgence.
23:26 Mais moi, je vais même plus loin, parce que vous parlez,
23:27 vous restez bloqué sur le truc, et je rejoins Cyril quand il dit
23:29 "il faut trouver de l'argent".
23:30 Moi, celui qui n'a jamais bossé en France, qui a deux bras, qui a deux jambes,
23:33 qui passe toutes ses journées au café en bas,
23:35 et qui touche ses allocations sociales pour gratter des rapidesurs.
23:37 – Bien sûr, moi, ce n'est pas possible, ça.
23:38 – Moi, je lui mets un ultimatum et je lui dis maintenant,
23:40 il faut que tu fasses un signe pour la France.
23:41 – Sinon, on va te sortir de la société.
23:42 – Mais là, t'as pas le droit.
23:43 – Bah si, tu vas pas sortir de la société.
23:44 – Mais non, parce que tu es un français.
23:45 – Même s'il est français, c'est ça la différence entre toi et moi.
23:47 – Mais ce n'est pas le débat de là.
23:48 – Mais je sors du débat parce qu'on a une recherche.
23:50 – Non, mais il a ouvert.
23:51 – Il a ouvert un autre débat.
23:52 – Non, non, non, mais alors…
23:53 – Je sors de la discussion.
23:54 – Tu veux que je te dise une fois de plus, tu n'as rien écouté.
23:56 – Non, mais tu n'as rien écouté à ce que j'ai dit.
24:08 – Mais arrêtez.
24:09 – Tu n'as rien écouté à ce que j'ai dit.
24:10 – Mais bien sûr que j'ai écouté.
24:11 – Mais t'as rien écouté parce que c'est exactement ce que j'ai dit il y a deux secondes.
24:12 – Même avec l'origine française du journal.
24:13 – J'ai dit la France des assistés, on n'en veut plus.
24:14 On ne parle pas pour aller des étrangers ou pas étrangers.
24:15 – Quels qu'ils soient.
24:16 – On ne parle pas d'étrangers, là.
24:17 – La France des assistés.
24:18 – Quels qu'ils soient.
24:19 – On parle de la France des assistés.
24:20 – On en a plein.
24:21 – On va donner un smic.
24:22 – Chut, tais-toi.
24:23 Je prends 3 000 euros par mois.
24:24 – On va lui donner un smic à 2 jours.
24:25 – Non, mais attends, attends, attends, attends.
24:26 Non, mais tu as vu les vidéos où ils disent les mecs, je prends 3 000 euros, vraiment,
24:27 grâce aux assistés.
24:28 Ces mecs-là qui vont au café toute la journée et qui vont craquer des billets de bingo ou
24:33 de millionnaire ou de blackjack ou de Vegas, là, je peux te dire, ça, c'est ta France.
24:37 Moi, ce n'est pas ma France.
24:38 Et tu veux que je te dise cela, moi, il a raison.
24:39 Moi, je leur donne un ultimatum, les gars, c'est fini.
24:40 L'argent qu'on vous donne, on vous l'enlève et on va le donner à des grésagriculteurs.
24:48 – On va donner aux gens qui bossent.
24:49 – Exactement.
24:50 – Dans un an, deux ans, Fartume, France, un signe.
24:51 – Vous parlez de fraudeur.
24:52 – On n'a pas de fraudeurs.
24:53 – Non, ce n'est pas des fraudeurs.
24:54 – C'est pas des fraudeurs.
24:55 – Mais non, ça fait 10 ans que tu fais des valeurs.
24:56 – C'est un mec qui est en âge de travailler, qui est valide, qui peut travailler et qui
25:03 fait tout pour ne pas travailler.
25:04 Tu sais pourquoi ? Il fait plein d'entretiens en plein emploi.
25:05 – Et tu sais pourquoi il ne va pas travailler ?
25:06 – Il fait des entretiens en plein emploi.
25:08 Il dit à chaque fois "non, ça, ça ne me plaît pas, non, ça, je n'ai pas aimé,
25:10 non, ça, je ne peux pas".
25:11 – Et tu sais pourquoi ? Parce que s'il va travailler, on va lui proposer 1400 euros
25:14 net et s'il reste chez lui, on va lui proposer 1500.
25:17 Et il ne va pas aller travailler.
25:18 – Bravo, bravo.
25:19 – Il va dire "je reste chez moi, je suis bien chez moi".
25:20 – Les gens vont dire "oui, mais ce n'est pas un jeu d'être au chômage".
25:23 Je comprends bien, je ne parle pas de celui qui a eu une situation, il s'est fait licencier,
25:28 une entreprise s'y ferme ou il a quitté un CDI par des choix.
25:31 Je ne parle pas du chômage de 2-3 ans, je parle du chômage de longue durée.
25:34 Moi j'ai des personnes que j'ai en tête qui n'iront jamais travailler parce que
25:38 le système est fait d'une telle manière qu'ils ont peut-être aussi des enfants.
25:41 Donc s'ils prennent les aides, s'ils prennent leur chômage ou toutes les aides qu'ils
25:45 peuvent avoir, RSA cumulée peu importe, tout ce qu'ils peuvent avoir, ils vont faire
25:49 1002-1003.
25:50 Et au travail, on va leur dire "toi, on ne te connaît pas, tu n'as pas de diplôme,
25:52 ni d'adam, ni d'eff', viens, premier jour, 1003-1004 net".
25:55 Il va dire "je ne vais pas aller travailler pour gagner 200 euros de plus".
25:57 – Bien sûr.
25:58 – Je parle du chômage.
25:59 – J'aurais chômage.
26:00 – Non mais il y a des gars qui cherchent vraiment du travail.
26:02 – Oui, c'est ça.
26:03 – Mais il y en a énormément.
26:04 J'ai regardé, vous savez ce qu'il m'a dit à la pub.
26:06 – Il y en a 1450.
26:07 – Non mais ce n'est pas possible, quand il dit "tout ce qui sort de sa bouche c'est
26:10 des conneries", il a dit "il y a 1450 profiteurs en France".
26:13 Mais tu n'en as pas marre ! Mais tais-toi, tais-toi ! Tais-toi, on n'en peut plus !
26:17 – Je ne pense pas, non.
26:18 – Non mais ce n'est pas possible, 1450 profiteurs !
26:19 – Parce que c'est beaucoup plus.
26:20 – Et c'est tous ceux qui étaient à la barbizada de mon fils !
26:22 Non mais qu'est-ce qu'il raconte ?
26:23 – Il n'y a pas de chômage, il y en a même en millions.
26:24 – Mais tu peux dire une connerie pareille !
26:26 Ça se calcule en milliards, les profiteurs.
26:30 – Non, non, en millions de personnes.
26:31 – Non, non, je te parle en argent.
26:32 – En argent, c'est en milliards.
26:33 – Tu veux que je te dise la vérité, ce qu'il faut faire ?
26:36 Les deux trucs à faire, il faut s'attaquer aux deux.
26:39 La fraude fiscale et tout ce qui est…
26:42 – Il peut être intraitable avec l'évasion fiscale.
26:44 – Exactement, voilà.
26:45 Non mais tout ce qui est fraude, déjà tu vas voir.
26:48 Et deux, il faut s'attaquer à tous les profiteurs.
26:52 – La fraude sociale.
26:53 – Exactement.
26:54 Tu vois, tu sais mettre des mots sur ce que tu veux.
26:56 – Non, c'est même pas que la fraude sociale.
26:57 – Pas la fraude !
26:58 – C'est même pas que la fraude !
26:59 – C'est pas de la fraude !
27:00 – C'est pas de la fraude !
27:01 – Le mec qui reste 8 ans sans travailler, c'est pas hors-la-loi !
27:05 – Le système leur permet de faire ça encore.
27:07 – On lui donne 1000 euros dans sa poche, il dit merci la France, je les prends.
27:09 Je vais pas aller travailler.
27:10 – Vous croyez sérieusement qu'il y a des gens qui vont rester 15 ans sans boulot, en galérant ?
27:14 – Mais qu'il est con !
27:15 – Mais qu'il est con ! Mais j'en peux plus !
27:17 – Là il y en a 1250 alors.
27:18 – Mais qu'est-ce que vous dites ?
27:19 – C'est comme quand il y en avait à Lyon.
27:20 – Tout le monde veut bosser.
27:21 – Mais là qu'il est déconnecté.
27:22 – On s'arrache.
27:23 – C'est là qu'il est déconnecté parce qu'il dit en galérant.
27:26 – En galérant.
27:27 – En galérant.
27:28 – On galère pas les gens.
27:29 Il y a des gens au chômage vraiment qui galèrent, qui doivent se réinscrire,
27:31 qui doivent revenir dans le monde du travail, qui vivent l'enfer à cause de leur formation,
27:35 leur diplôme, etc.
27:36 Ils sont pleins de motivation, on leur ferme les portes pour des discriminations,
27:39 peu importe, des compétences, l'âge, peu importe.
27:42 Ceux-là, on les laisse à part parce qu'ils en veulent.
27:44 Je te parle de ceux de longue durée, me dis pas qu'ils galèrent.
27:47 – Bien sûr, arrête un peu.
27:48 – Me dis pas qu'un mec qui prend 1000 balles par mois,
27:49 et si on lui dit tu vas aller se faire ce boulot-là pour 1300,
27:51 – Tu vas faire serveur et tu vas travailler.
27:53 – Je vais balancer des abonnements dans le Pass Navigo,
27:55 va falloir que je mange le midi, va falloir que je me trouve des…
27:58 Je vais payer des impôts derrière, je reste chez moi à 1000 balles quand ça tombe.
28:01 – Bien sûr, et il n'y en a pas 1400, hein, Polska.
28:04 – Et ils font des petits boulots à tôter, ça existe.
28:06 – Oh là là, ça existe, hein, Polska.
28:08 – Moi, je donne mon avis, ne me criez pas dessus, je suis un peu d'accord avec lui.
28:12 – Mais qu'est-ce que tu veux ?
28:14 – Alors déjà, je trouve que Radouane, il n'a aucune humanité.
28:16 – Oh, t'es mignonne.
28:17 – T'as aucune humanité.
28:18 Et ok, je suis totalement d'accord, la France,
28:20 elle ne veut pas accueillir tous les malheurs du monde,
28:22 mais à un moment donné, la France, ce n'est pas des gogoles.
28:24 Ils ont fait rentrer des gens, ils sont là, maintenant, on ne peut pas les laisser crever.
28:26 Ce ne sont pas des animaux.
28:27 – Ça, on est d'accord.
28:28 – Non, on ne les vise pas, on les soigne, donc à un moment donné, non, je suis désolée.
28:31 Il y a des mamans, il y a des bébés, c'est quoi, ça ne veut pas d'humanité ?
28:34 On les a pensés, on les a fait une galère, on les a congolés, on était des humains avant tout.
28:36 – Moi, je comprends quand vous parlez, et j'accepte plus.
28:39 J'en peux plus de Verdez, il ne connaît rien à la vie, aux gens, des profiteurs, il n'y a que ça.
28:43 Qu'est-ce qui répond à ça, aux profiteurs, Angèle Verdez ?
28:46 Sache-le, la France, aujourd'hui, je te le dis, elle est aussi victime,
28:52 et je te dis que c'est bien plus grave que ce que tu ne crois,
28:55 des profiteurs et de ceux qui profitent de la France et du système.
28:58 Sache-le, alors qu'il y a des gens qui travaillent énormément,
29:01 comment tu peux avoir un agriculteur qui travaille, qui prend moins,
29:05 qu'un gars qui ne travaille pas ? Mais on est où en fait ?
29:08 – Même les artisans, il n'y a pas des gens qui travaillent.
29:10 – Non mais on est où là ? Je te parle des agriculteurs, c'est un exemple,
29:12 il a raison, mais il y en a plein d'autres.
29:13 Non mais tu dis quoi, toi ? Tu dis quoi ?
29:15 – Je dis, ne me regardez pas comme ça, mais je dis que tous les gens au RSA,
29:20 ils n'ont pas choisi, les chômeurs longue durée, ils n'ont pas choisi, arrêtez.
29:23 – Mais c'est différent.
29:25 – Mais tu veux que je te dise, il y en a qui l'ont choisi.
29:28 – Mais Gilles, il y a une différence.
29:30 – Il y en a qui l'ont choisi.
29:31 – Il y en a qui l'ont choisi parce qu'il y en a qui ne veulent pas travailler.
29:34 – Avant d'être au RSA, tu es d'abord au chômage.
29:36 – Si tu as travaillé, tu as ouvert des droits.
29:39 – Entre le moment où tu es au chômage et que tu arrives au RSA,
29:41 il s'en est passé du temps, souvent il se passe un an et demi,
29:44 18 mois dans la plupart des cas, donc les mecs s'ils sont au RSA
29:47 depuis plusieurs années, c'est qu'ils l'ont voulu.
29:49 – Mais ils ne veulent pas travailler.
29:50 – Mais il faut que tu sois avec le peuple, regarde ce que disent les gens.
29:52 Bravo Raymond, il y a des gens qui ne vont pas bosser car ils ne gagnent plus chez eux
29:55 et plus que les métiers passions.
29:56 Bravo Raymond, connectez-vous.
29:58 Gilles Vernet, qui dit n'importe quoi.
30:00 – Du mec qui a deux bras, deux jambes.
30:01 – D'ailleurs c'est très bien de travailler quand on a le RSA, la mesure de la taille.
30:04 – Les 15 heures, t'es pour ?
30:06 – Non, non.
30:07 – Alors attention, ce n'est pas nouveau.
30:08 ...

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