• il y a 10 mois
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00:00:00 Vous êtes bien sur France 3 Bourgogne, Franche-Comté.
00:00:04 Ici, c'est France Bleu, Belleforme, Montbéliard.
00:00:10 A la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux et sur France 3.
00:00:15 Bien le bonjour les amis, merci de nous retrouver en ce lundi matin,
00:00:19 effectivement sur votre radio préférée, France Bleu, Belleforme, Montbéliard,
00:00:22 sur votre chaîne de télé préférée, sur le Canal 32,
00:00:25 chez nos amis de France 3, Franche-Comté.
00:00:27 J'espère que vous avez passé un excellent week-end.
00:00:28 L'équipe est là au grand complet, à commencer par Marek Ketak.
00:00:31 Je salue, bonjour Marek.
00:00:32 Bonjour Stéphane, bonjour à toutes et à tous.
00:00:34 Ce matin, à 7h45, on revient sur la crise agricole,
00:00:39 qui dure depuis près de 10 jours maintenant,
00:00:41 depuis un peu plus de 10 jours même,
00:00:43 avec cette question qu'on pose à nos auditeurs.
00:00:46 Faut-il réduire les normes imposées aux agriculteurs ?
00:00:48 Vous pouvez nous appeler au 03 84 22 82 82.
00:00:53 Pour en parler avec nous, il y aura Anna Maillard,
00:00:55 c'est la représentante des écologistes du Nord-Franche-Comté.
00:00:58 Il y aura aussi Olivier Fridès,
00:01:00 il est agriculteur à Villars-le-Sec
00:01:01 et représentant de la FDSEA du territoire de Belfort.
00:01:05 Et rendez-vous à 8h45.
00:01:06 Nous sommes le lundi 29 janvier, il est 7h.
00:01:10 Bonjour Flora Médy.
00:01:17 Bonjour Stéphane, bonjour tout le monde.
00:01:18 Les infos de 7h, d'abord un coup d'œil sur le temps.
00:01:20 Avec un ciel voilé, à couvert, notamment sur les ballons.
00:01:23 Et puis une couche nuageuse qui va se déchirer,
00:01:26 pour laisser place à quelques belles éclaircies.
00:01:28 Les températures ce matin, 3, 4 à degré.
00:01:31 Couvrez-vous.
00:01:31 On va donc vous parler de la mobilisation des agriculteurs,
00:01:37 qui reprend plus belle ce lundi.
00:01:39 Mais d'abord Flora, on revient sur ce sauvetage miraculeux.
00:01:41 Ce week-end, près de Goumois, nous sommes dans le Doubs.
00:01:44 Un vrai petit miracle.
00:01:45 Une femme de 71 ans, portée disparue vendredi soir,
00:01:48 a survécu pendant 20 heures dans l'eau glacée,
00:01:52 avant d'être secourue par les gendarmes.
00:01:54 Philippine Thibaud-Dauph.
00:01:56 Il est 21h ce vendredi, quand les gendarmes de Mèches
00:01:59 sont appelés pour une disparition inquiétante.
00:02:01 Une randonneuse de 71 ans, originaire de Lens,
00:02:04 venue voir des amis à Goumois,
00:02:06 ne donne plus signe de vie depuis 15h30,
00:02:08 heure à laquelle son téléphone, qui sonne dans le vide,
00:02:11 borne pour la dernière fois.
00:02:13 Ses affaires sont pourtant bien dans le chalet où elle séjourne.
00:02:15 Les recherches sont remises au lendemain matin,
00:02:18 samedi, avec l'aide d'un maître-chien.
00:02:20 L'animal piste bien l'odeur de la septuagénaire,
00:02:22 et remonte un sentier de randonnée depuis le chalet,
00:02:25 jusqu'au bord d'une berge, puis il se fige.
00:02:27 Sa piste s'arrête là.
00:02:29 On se dit que ça ne sent pas bon, confie un gendarme.
00:02:31 Les militaires continuent néanmoins les recherches,
00:02:34 essentiellement en aval du doux.
00:02:35 Les heures passent jusqu'à un appel décisif.
00:02:38 Sur les coups de 14h, le maire de Goumois informe
00:02:41 qu'une dame a entendu quelqu'un crier côté suisse.
00:02:43 La disparue est retrouvée vivante,
00:02:45 en état d'hypothermie, agrippée à des rochers.
00:02:48 Il faut s'imaginer, une femme de 71 ans,
00:02:51 à moitié immergée dans une eau de 8 degrés,
00:02:54 pendant 20 heures.
00:02:55 Un seul mot dans la bouche des gendarmes,
00:02:57 un vrai miracle.
00:02:58 Et la victime a été transportée au CHU de Besançon.
00:03:01 Les annonces du Premier ministre vendredi
00:03:04 n'ont pas suffi.
00:03:05 Les agriculteurs menacent de bloquer l'accès à Paris.
00:03:08 Aujourd'hui, avec un siège de la capitale
00:03:10 à partir de 14h,
00:03:12 beaucoup de Français continuent à soutenir
00:03:14 le mouvement des agriculteurs,
00:03:16 qui dure depuis plusieurs jours en tout cas,
00:03:18 à en croire de nombreux sondages.
00:03:20 Pourtant, au quotidien,
00:03:21 les consommateurs sont tiraillés
00:03:23 entre la volonté de soutenir les producteurs locaux,
00:03:26 et donc plus cher,
00:03:28 et la réalité économique.
00:03:30 On vous a demandé au marché Fréry à Belfort
00:03:32 si vous étiez prêt à payer plus cher,
00:03:34 justement, pour les soutenir ces agriculteurs.
00:03:36 Je peux vous dire, il n'est pas plus cher.
00:03:38 Je vois, il y a des côtes de porc à 10 euros
00:03:42 dans le filet.
00:03:43 Je vais à Cora, à la boucherie,
00:03:46 c'est 15 euros.
00:03:48 Au lieu d'aller acheter de la raclette
00:03:50 de marque distributeur ou de marque industrielle
00:03:53 en grande surface,
00:03:54 c'est vrai qu'à chaque fois,
00:03:55 j'ai fait l'effort d'aller dans un fromager
00:03:57 pour avoir quelque chose de plus qualitatif.
00:03:58 Et c'est plus cher,
00:03:59 mais c'est aussi tellement meilleur,
00:04:00 et ça rémunère mieux le producteur, c'est clair.
00:04:03 Je fais cet effort là ponctuellement.
00:04:04 Quand je peux, je vais à la ferme directement.
00:04:06 Mon budget numéro un, ça va être l'alimentation,
00:04:08 parce que ça me tient à cœur.
00:04:09 Le seul cochon que je mange,
00:04:10 c'est du porc noir de Bigorre,
00:04:11 qui est élevé par un éleveur qui me livre.
00:04:14 Donc, ce n'est pas le même budget.
00:04:16 Et du porc de batterie breton, de la cochonnerie.
00:04:19 Donc, le problème, c'est que les salaires ne sont pas assez hauts.
00:04:22 Parce que ça coûte plus cher de bien manger ?
00:04:24 Bien sûr.
00:04:25 Et on poursuit la discussion ce matin.
00:04:27 On vous propose un échange à 8h moins le quart
00:04:29 entre Anna Maillard d'Europe Ecologie Les Verts en Franche-Comté
00:04:32 et Olivier Frides, il est agriculteur à Villars-le-Sec.
00:04:36 Et comme tous les matins, dites-le franchement,
00:04:37 faut-il réduire les normes imposées aux agriculteurs ?
00:04:40 Répondez à cette question à l'antenne.
00:04:41 Vous avez la parole, vous nous appelez dès maintenant d'ailleurs
00:04:43 pour vous inscrire à 0384 22 82 82.
00:04:46 La colère des agriculteurs, celle des taxis.
00:04:49 Aussi aujourd'hui, la Fédération du Territoire de Belfort
00:04:52 organise une opération escargot entre 7h et midi.
00:04:55 Les manifestants devraient être vers 8h devant les locaux de la CPAM.
00:05:00 Ces Russes trollent sa Belfort.
00:05:02 Ils protestent contre les nouvelles conditions tarifaires de la Convention
00:05:05 qui les lie à l'assurance maladie.
00:05:07 C'est ce lundi qu'entrent en service les 25 radars urbains
00:05:11 installés dans le pays de Montbéliard.
00:05:13 Ils sont positionnés dans 14 communes de l'agglomération.
00:05:16 Sachez quand même que seulement 20% d'entre eux vont vraiment flasher.
00:05:21 Pour le reste, il s'agit de radars dit "dissuasifs".
00:05:24 Ici Matin, c'est sur France Bleu, Belfort, Montbéliard,
00:05:26 sur France 3, Franche-Comté, il est 7h05.
00:05:28 Une boulangerie ambulante s'installe à Lepuy, les dimanches.
00:05:31 Vous avez peut-être repéré la roulotte de Delphine Rémy, native de Lepuy.
00:05:35 Il y a un mois, l'épicerie du village a fermé,
00:05:38 sans tout, les habitants, sans aucun commerce.
00:05:41 Et donc Delphine installe le week-end sa petite roulotte,
00:05:44 les dimanches, sur la place du village.
00:05:46 Lepuy, c'est chez elle, elle est donc très heureuse
00:05:48 de venir à la rescousse des habitants.
00:05:51 La boulangerie ambulante est même victime de son succès, Louise Joyeuf.
00:05:55 - Bon alors, il n'y a plus de pain ? - Non, pas de baguette, rien.
00:05:58 - J'ai plus rien, ma pauvre.
00:05:59 La petite boulangerie ambulante a été dévalisée.
00:06:02 Chantal repart avec ce qu'il reste.
00:06:04 Je suis gourmande, alors j'ai pris des pâtisseries.
00:06:06 Et puis, avouez, j'y ai un, c'est très bon.
00:06:09 Un succès à la hauteur de la demande.
00:06:11 C'est vrai que ça manquait au village.
00:06:13 On en a vraiment besoin, quoi.
00:06:15 Tant pour les jeunes que pour les anciens, surtout les anciens, je pense.
00:06:19 À 85 ans, Antoinette est justement soulagée
00:06:21 de revoir un commerce dans son village.
00:06:23 Ça manque beaucoup la boulangerie.
00:06:25 C'est pour ça que c'est bien agréable.
00:06:27 Le dimanche, on peut venir chercher son pain,
00:06:30 on en prend deux, trois, on en a pour la semaine.
00:06:32 On papote avec les gens du village.
00:06:35 Ça fait du bien de se retrouver.
00:06:37 Alors, elle s'attarde un peu avec les copines devant la boulangerie.
00:06:40 Les clients défilent, certains repartent bredouilles.
00:06:43 Mais avec le sourire, c'est le cas de Martine,
00:06:45 qui vient chaque dimanche.
00:06:47 Pour soutenir, bien sûr, tous les petits commerces.
00:06:49 J'espère que ça continuera encore longtemps.
00:06:53 Des mots qui soulagent Delphine Rémy, la pâtissière.
00:06:57 Franchement, je suis super contente.
00:06:59 Je les remercie de me suivre et de continuer de venir.
00:07:03 J'espère qu'on pourra continuer les projets,
00:07:05 pour voir un peu plus grand et être là tous les jours.
00:07:08 Car Delphine aimerait un jour racheter la boulangerie du village.
00:07:11 Le reportage de Louise Joyeux est à retrouver sur francebleu.fr.
00:07:16 La France, championne d'Europe de Inde,
00:07:19 les tricolores se sont imposés hier à Cologne face au Danemark.
00:07:22 Score 33-31. C'était donc presque moins une.
00:07:26 C'est un quatrième titre européen pour nos Bleus.
00:07:29 En football, pas de match ce week-end pour le FC Sochaux Montbéliard.
00:07:32 Mais vous retrouvez quand même ce soir sur France Bleu,
00:07:35 Hervé Blanchard dans 100% FCSM.
00:07:37 C'est entre 18h et 19h.
00:07:39 Hervé qui reçoit Pierre Vantier, le président délégué,
00:07:42 ainsi que Julien Cordonnier, le directeur sportif.
00:07:45 Le ciel est voilé et chargé aujourd'hui Stéphane.
00:07:49 Pour commencer cette semaine, effectivement.
00:07:51 Puis cette couche nuageuse va se déchirer peu à peu
00:07:54 pour laisser la place à de belles éclaircies,
00:07:56 notamment cet après-midi.
00:07:57 D'ailleurs, on le voit sur la carte de Météo France.
00:08:01 Le soleil sera là, y compris en fin de matinée.
00:08:05 Les températures releveront un peu partout,
00:08:07 2 à 4 degrés, et compter au meilleur de la journée,
00:08:09 du 13 à 14 degrés, même attendu à Montbéliard ou encore Allure.
00:08:14 Vous l'évoquiez il y a un instant dans les infos,
00:08:25 Flora, une boulangerie ferme à le pluie,
00:08:27 une autre ouvre à Perouse cette fois.
00:08:29 Boulangerie et des établissements de Meusier.
00:08:32 Perouse où se trouve Angélique Alasta,
00:08:34 que l'on va retrouver dans un instant sur France Bleu, Belleforme, Montbéliard.
00:08:37 En attendant, voici Julien Doré et Paris Seychelles.
00:08:40 Bienvenue, c'est le 6.9, France Bleu, Belleforme, Montbéliard.
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00:45:07 Le 6/9, France Bleu, Belfort-Montbéliard
00:45:11 Vous écoutez la première radio du Nord-Franche-Comté, c'est France Bleu, Belfort-Montbéliard.
00:45:15 Marek Ketta, un débat ce matin.
00:45:17 Oui, absolument. Ce matin, on parle normes, on revient sur la crise agricole.
00:45:21 Voilà plus de dix jours que les agriculteurs de tout le pays se mobilisent.
00:45:25 Des agriculteurs sous-payés qui font face à une concurrence déloyale des autres pays.
00:45:29 Ralbole des taxes, ralbole des charges, mais surtout, ralbole des normes environnementales,
00:45:34 notamment, comme celles qui encadrent l'utilisation de pesticides et l'usage de l'eau.
00:45:38 Faut-il les réduire ? Comment finalement concilier écologie et agriculture,
00:45:42 alors que les consommateurs ont besoin d'une alimentation saine et durable à des prix accessibles,
00:45:46 et que les agriculteurs doivent pouvoir vivre décemment de leur travail ?
00:45:50 France Bleu, Belfort-Montbéliard vous propose en débat de ce matin,
00:45:54 et on a un invité autour de la table, Anna Maillard, vous êtes la représentante des écologistes en Franche-Comté, bonjour.
00:45:58 - Bonjour. - Ainsi que Pierre Frides, en face de vous, éleveur de vaches laitières à Villars-le-Sec,
00:46:04 représentant de la FDSEA du territoire de Belfort, bonjour.
00:46:08 - Bonjour, c'est juste Olivier, mais c'est pas grave. - Olivier, pardon, excusez-moi.
00:46:12 Olivier Frides, on va commencer avec vous, déjà une petite réaction peut-être sur les annonces de Gabriel Attal,
00:46:18 le Premier ministre, qui ont été faites vendredi soir.
00:46:22 - En fait, de toute façon, on s'y attendait malheureusement,
00:46:24 les annonces sont beaucoup de discours et peu d'effets immédiats,
00:46:28 alors ça va dans de bonnes intentions, ça va dans le bon sens, dans ce qui est dit,
00:46:33 mais en fait, pour le moment, en réalité et de concret, il n'y a pas encore grand-chose.
00:46:37 Une simplification, certes, mais la simplification qu'on demande,
00:46:40 elle est beaucoup plus étendue que celle qui est annoncée,
00:46:43 et en fait, on a l'impression quand même que le gouvernement joue un peu le temps,
00:46:46 trois jours ou quatre jours de manifestation, avec, comme vous voyez,
00:46:51 pour manifester le soutien à cette pauvre famille qui est décimée aujourd'hui,
00:46:54 en arriver là pour trois jours après avoir un discours, oui, bien sûr, bienfaisant,
00:46:58 mais pour le moment, il n'y a encore pas grand-chose.
00:47:00 - On va y revenir dans quelques instants, une question pour vous aussi, Anna Maillard,
00:47:04 le Premier ministre Gabriel Attal a critiqué ce qui oppose la défense de nos agriculteurs
00:47:09 et la défense de notre environnement, est-ce que vous vous êtes sentie viser, les écologistes ?
00:47:15 - C'est surtout un sentiment de tristesse et d'absence de considération de ce qui se passe dans la réalité.
00:47:23 On a un ministre, un gouvernement, en fait, j'ai l'impression d'avoir un oiseau qui se heurte à des vitres,
00:47:27 en fait, le système s'effondre, la crise agricole est profonde,
00:47:31 et de chercher à mettre un bouc émissaire, comme le Premier ministre, avec les écologistes,
00:47:36 il passe vraiment à côté des enjeux, c'est vraiment déplorable.
00:47:42 - Les enjeux, ce sont les normes que les agriculteurs mettent particulièrement en avant,
00:47:47 des règles qui sont trop strictes, notamment les règles environnementales,
00:47:50 les accords passés au niveau de l'Europe, c'est la gestion de l'eau, l'irrigation, les pesticides,
00:47:54 la réduction des antibiotiques, vous leur répondez quoi, Anna Maillard, ils se trompent de combat ?
00:47:59 - Oui, je trouve, et c'est triste, les agriculteurs sont leur outil de travail,
00:48:04 les premiers travailleurs de la terre, l'eau, la terre, le support de votre activité,
00:48:10 ce sont les... l'environnement, c'est sur quoi vous travaillez au quotidien,
00:48:16 et on a aujourd'hui des gestionnaires qui étaient, malheureusement, la FDSEA, la FNSEA,
00:48:21 et les ministres qui se sont succédés au gouvernement sur l'agriculture,
00:48:25 qui n'ont fait que cautionner un système qui vous enferme,
00:48:28 et moi je suis impressionnée de ces mouvements qui viennent du terrain, qui viennent du bas,
00:48:35 la FNSEA raccroche un peu comme elle peut, on a l'impression les wagons,
00:48:39 mais il y a vraiment un mouvement de fond pour une autre écologie, une autre agriculture,
00:48:43 une agriculture compatible avec l'écologie, avec l'environnement,
00:48:46 et plutôt qu'un gouvernement qui propose un appui pour mener à bien cette demande d'agriculteurs et de paysans,
00:48:53 on a la stigmatisation de mal nommées normes, nous on préfère parler de lois et règlements
00:49:00 qui protègent les consommateurs, qui protègent l'environnement, et qui protègent les paysans,
00:49:04 plutôt que d'y voir quelque chose qui soit contraignant et qui vous freine.
00:49:10 Ce sont plutôt des opportunités de travailler différemment,
00:49:13 de vous protéger de l'exposition aux pesticides et aux traitements chimiques
00:49:16 que le système vous enferme, beaucoup d'agriculteurs à utiliser.
00:49:20 On a une association qui s'appelle Solidarité Paysan,
00:49:24 qui quand elle accompagne des agriculteurs dans la détresse,
00:49:27 souvent les aide aussi à retrouver le chemin de l'agroécologie, et parfois la conversion bio.
00:49:33 - On va aller un peu plus loin à la conversion au bio,
00:49:36 peut-être un mot de M. Frides ?
00:49:40 - Oui bien sûr, je voudrais réagir un petit peu à ce qui vient d'être dit,
00:49:43 l'écologie c'est l'étude du vivant et de l'habitat, l'écologie ne l'appartient pas à un parti politique,
00:49:47 les plus anciens écologistes qu'il y ait, c'est bien les agriculteurs,
00:49:50 parce que de tout temps ils ont travaillé avec le sol, avec le vivant,
00:49:53 et les meilleurs connaisseurs de la terre c'est bien les agriculteurs.
00:49:56 Et aujourd'hui on ne les écoute pas, on ne les a jamais écoutés,
00:49:59 d'ailleurs les lois viennent depuis les bureaux parisiens et même bruxellois,
00:50:02 et elles sont souvent déconnectées. Je vais vous donner des exemples,
00:50:04 alors la CEE nous a imposé des zones vulnérables,
00:50:07 si on est très concerné dans le département, tout le sud du département est passé en zone vulnérable,
00:50:10 les zones vulnérables c'est quoi ? C'est suite à la directive NITRAT,
00:50:13 ça nous impose des périodes d'épandage, des interdictions d'épandage,
00:50:16 et du fait on concentre, c'est pour aller vite et pour être simple,
00:50:19 on concentre les épandages des fluents d'élevage et les épandages minéraux,
00:50:22 sur des périodes données. Qu'est-ce qu'il en résulte de ça ?
00:50:25 On n'améliore pas les choses, au lieu de travailler en amont avec les agriculteurs
00:50:30 et de trouver des solutions locales à chaque type de terrain,
00:50:32 on fait des lois européennes et bien sûr parisiennes,
00:50:35 parce qu'en France en général on en rajoute une couche, et au nom de l'écologie.
00:50:38 Mais l'écologie c'est pas ça, l'écologie c'est l'étude du sol,
00:50:41 c'est l'étude du micro-biologique du sol, et les agriculteurs y travaillent depuis très longtemps.
00:50:46 Alors là vous dites la FNSE1 nous a enfermés dans un système, non,
00:50:49 il a fallu après-guerre produire pour donner à manger aux gens,
00:50:52 parce que vous savez très bien qu'un peuple qui est affamé c'est une catastrophe.
00:50:55 Les agriculteurs y ont répondu avec les moyens qu'on leur a donnés,
00:50:59 ils ont utilisé les moyens dans de grandes coopératives, ok,
00:51:01 mais aujourd'hui c'est pas forcément un problème,
00:51:04 la FNSE1 qui est quand même le syndicat majoritaire,
00:51:07 a toujours répondu présent dans la discussion avec les gouvernements,
00:51:10 et s'ils n'étaient pas là, qu'est-ce qu'il se passerait ?
00:51:13 - On a un appel je crois Stéphane. - Oui c'est Daniel qui nous appelle de Sainte-Suzanne.
00:51:16 Daniel vous êtes en direct sur France Bleu, Belleforme, Rilliard,
00:51:19 faut-il réduire les normes imposées aux agriculteurs ?
00:51:22 Vous pouvez continuer à nous appeler dès maintenant au 03 84 22 82 82, vous avez la parole.
00:51:27 Daniel bonjour.
00:51:29 - Bonjour à tous, non, il faut garder l'écologie comme elle est actuellement.
00:51:33 Pour que les paysans puissent vivre dignement de leur travail,
00:51:38 c'est les grandes cellules qui achètent aux agriculteurs qu'ils payent plus cher,
00:51:44 pas les consommateurs, pas les consommateurs, voilà, voilà ce que je veux dire.
00:51:50 - Merci Daniel pour cette intervention, une réaction Mme Maillard ?
00:51:55 - Je suis contente de l'entendre parce qu'en fait la demande du changement de pratiques agricoles,
00:51:58 elle vient de la base, elle vient des consommateurs, elle vient des habitants du territoire
00:52:02 qui voient aussi quand se passent les épandages, eux-mêmes le sentent.
00:52:06 La pollution de l'air, elle vient aussi de l'épandage agricole, on a des traitements.
00:52:11 Excusez-moi, je voulais quand même préciser, parce que vous avez parlé de nourrir le monde,
00:52:14 en fait c'est ça qui est aussi enfermé dans ce surproductivisme.
00:52:17 On a fait vivre une agriculture française en vendant des excédents dans le monde.
00:52:23 - Alors que les autres pays savent très bien produire leur agriculture ?
00:52:26 - Vous n'aurez jamais une production équilibrée avec juste le maïs qu'il nous faut,
00:52:30 juste le blé qu'il nous faut, non c'est impossible.
00:52:32 On est dépendant de la météo, des champs, on ne peut pas être juste pile poil dans la production.
00:52:37 Il y aura toujours des échanges, heureusement, vous n'êtes pas non plus dans la partie
00:52:40 qui veut fermer les frontières complètement, j'imagine, en tout cas j'espère.
00:52:43 - Non, non, on n'est pas sur la fin des échanges, mais une agriculture européenne dédiée à des consommateurs européens.
00:52:48 - Les Allemands ne sont pas un ennemi, il faut travailler avec eux,
00:52:51 donc nous sommes bien obligés de faire des échanges, et nous ne pourrons jamais atteindre
00:52:54 une production pile poil en fonction de ce qu'il nous a besoin.
00:52:57 Mais aujourd'hui, le fait d'introduire par exemple de la jachère, c'est une de vos revendications, ça fait quoi ?
00:53:01 Le résultat c'est qu'il faut aller chercher de la viande et des produits à l'autre bout de la planète.
00:53:05 - Introduire la jachère, les mâres, les haies peuvent être inscrits en jachère,
00:53:09 c'est quelque chose qui ne gêne pas l'agriculteur du territoire aujourd'hui.
00:53:12 - 4% de jachère aujourd'hui, ça veut dire des milliers et des milliers de tonnes importées d'Argentine.
00:53:17 - La viande justement, qui me tient fortement à cœur, on est dans une région fortement productrice de lait.
00:53:21 Qui dit lait, dit naissance de veau. Où partent les veaux en France comptée aujourd'hui ?
00:53:25 Ils partent en Italie, pour la plupart.
00:53:28 - Je peux vous dire que je suis très concerné.
00:53:30 - On rappelle que M. Frides est éleveur également de vaches laitières, est-ce que vous...
00:53:34 - Ce dont vous parlez c'est souvent en élevage à laitants,
00:53:37 en fait les petits mâles qu'on appelle ça des broutards, étaient, mais depuis, historiquement,
00:53:43 ils sont agressés en Italie, parce que l'Italie était un pays spécialisé dans l'agressement des petits broutards
00:53:48 pour en faire un produit fini qu'on appelle le thorillon et donc vendu.
00:53:52 Mais ça c'était historique, c'est pas d'aujourd'hui, ça date de 30 ou 40 ans.
00:53:55 La question n'est pas là. Nous on élève des vaches laitières, on élève nos petits mâles aussi sur l'exploitation,
00:54:00 qui deviennent des thorillons, qui sont vendus directement aux abattoirs le plus proche possible,
00:54:03 souvent à Besançon ou un peu plus loin, parce que malheureusement aussi, plus personne ne veut d'abattoirs.
00:54:08 Il y avait des abattoirs historiquement à Belfort, ensuite à Oudincourt, on a fermé ces abattoirs.
00:54:12 Alors quand on veut faire du circuit court, aujourd'hui on est obligé d'aller à Luxeuil ou à Cernay, et c'est souvent compliqué.
00:54:17 - Alors là-dessus vous avez l'appui des écologistes, sans problème, pour trouver des abattoirs de proximité.
00:54:20 - Mais vous savez, quand vous allez proposer un projet d'abattoir dans le secteur, personne n'en veut.
00:54:23 Et du coup on fait des kilomètres, même aller chez nos locales, on fait déjà des kilomètres pour faire du circuit court.
00:54:27 - Mais là vous nous trouverez à vos côtés pour retrouver des circuits alimentaires locaux.
00:54:30 - Bah j'espère, mais on peut être...
00:54:32 - Et notamment le respect de la loi EGalim, et c'est pas les écologistes qui ont empêché la mise en place de la loi EGalim.
00:54:38 - La loi EGalim, juste pour rappeler, préciser, c'est cet accord qui fait que normalement vous êtes censé arriver à vivre de votre production agriculteur,
00:54:44 tout en garantissant aux consommateurs un prix acceptable, et qu'au milieu, les industriels s'y retrouvent.
00:54:49 C'est un équilibre extrêmement fragile.
00:54:51 - Il est 7h54, ce matin, Mariqueta, vous recevez Anna Maillard d'Europe Ecologie Les Verts,
00:54:56 en Franche-Comté, Olivier Fridez, agriculteur à Villars-le-Sec,
00:55:00 et comme tous les matins, vous répondez à une question, faut-il réduire les normes imposées aux agriculteurs ?
00:55:06 Vous avez la parole, dès maintenant, 0384 22 82 82.
00:55:09 - Oui, à vous entendre, Madame Maillard, Monsieur Fridez, on voit bien qu'il y a deux impératifs qui entrent en collision,
00:55:15 la lutte contre le réchauffement climatique, qui impose des normes pour baisser les émissions de gaz à effet de serre,
00:55:20 et la souveraineté alimentaire, la survie de nos agriculteurs.
00:55:23 C'est trop compliqué de mettre ensemble ces deux impératifs ?
00:55:26 - Oh non, pas du tout, parce qu'en fait, l'agroécologie et l'agriculture biologique le prouvent.
00:55:32 En fait, c'est possible de bien gagner sa vie, de produire sur les territoires, de faire naître, élever et mourir des animaux sur les territoires,
00:55:38 de les consommer dans l'achat de proximité ou dans la consommation collective,
00:55:43 où on a vraiment un décrochage qui s'est fait, c'est avec ce système de l'agro-industrie et de l'agro-alimentaire,
00:55:51 qu'il y a en enfermant dans des filières qui ne rémunèrent pas, et la captation de la richesse, elle se fait pendant la chaîne de valeur,
00:55:58 il faut absolument retrouver, le consommateur l'a dit, l'intervenant tout à l'heure, l'habitant,
00:56:03 il faut retrouver la rémunération, aller la rechercher à chaque étape de cette production, et la ramener sur le territoire.
00:56:09 - On est d'accord, nous ce qu'on veut en priorité, c'est déjà de vivre de notre production, et retrouver la maîtrise du prix.
00:56:14 Il faut qu'on recalcule le prix en fonction de notre coût de production, et après on va repartir dans l'autre sens.
00:56:18 Pour le moment, c'est le prix au consommateur, le prix au consommateur certes, on est bien d'accord que le pouvoir d'achat en France est baissé,
00:56:25 mais on ne pourra pas emprunter, faire vivre nos exploitations sur de la dette indéfiniment, il faut déjà qu'on ait un prix rémunérateur.
00:56:30 Et après on peut discuter, le problème c'est que même des parties comme la vôtre, maintiennent le système de primes,
00:56:35 pour baisser le prix des produits, et le problème de ces primes c'est qu'elles sont conditionnées aujourd'hui avec des mesures qui ne sont pas adaptées au terrain.
00:56:41 L'âge à chair, comme je vais revenir encore une fois dessus, elle n'est pas adaptée au terrain.
00:56:44 - Non, elles vont à la surface, et non au nombre d'emplois, les écologistes en Europe se sont battus, et malheureusement la droite a voté contre.
00:56:51 - En plus on a une Europe du Green Deal, qu'est-ce que c'est le Green Deal ? C'est un pacte vert européen.
00:56:55 Le pacte vert européen c'est un pacte de décroissance, en fait on veut produire moins en Europe, mais vous savez qu'il faudra toujours nourrir la population,
00:57:01 et on va donc importer depuis l'étranger. On a fait des accords avec la Nouvelle-Zélande, j'espère que là-dessus vous allez me rejoindre,
00:57:06 est-ce que c'est normal de faire venir des produits laitiers de la Nouvelle-Zélande ? Écologiquement c'est déjà impossible.
00:57:10 On va faire venir de l'Argentine, pourquoi on fait des échanges avec l'Argentine ?
00:57:13 - Les écologistes le font depuis 20 ans dans nos celles.
00:57:17 - C'est une chaîne télévisée, c'est une chaîne agricole. Les pays du Brésil et de l'Argentine sont très agricoles.
00:57:21 Qu'est-ce qu'ils veulent faire ces gens-là ? Ils voudraient produire pour pouvoir s'en sortir.
00:57:24 - La FNSEA a été congestionnaire, est congestionnaire.
00:57:27 - Elle n'est pas congestionnaire.
00:57:29 - C'est comme pour les habitants du secteur qui connaissent l'automobile, c'est comme si on avait un M. Tavarez qui devait défendre les intérêts des garagistes, des carrossiers et des TPE.
00:57:36 On voit bien qu'il y a une distorsion d'intérêt.
00:57:39 - Je ne connais rien, je ne connais pas personnellement. On salue M. Musso parce qu'il est président d'un grand groupe. Qu'est-ce que c'est que ce groupe Avril ?
00:57:43 - Il faut en parler un petit peu parce que tout le monde dit tout et n'importe quoi.
00:57:46 - Le groupe Avril a été créé par la FNSEA en 1983 pour essayer justement de garder la marge. Ils font des huiles, la marge du produit fini.
00:57:53 - On ne peut pas l'imputer aux acteurs écologistes qui ne sont pas aux responsabilités.
00:57:57 - On peut le dire, mais ce n'est pas une honte. Ce n'est pas M. Musso qui s'enrichit.
00:58:00 - M. Musso est simplement représentant et président du groupe Avril.
00:58:04 - Mais il ne s'enrichit pas personnellement. C'est justement pour que la filière agricole puisse bénéficier de sous pour la recherche, pour rechercher dans l'agriculture.
00:58:10 - Vous voyez à quoi ça sert ? La recherche est très importante.
00:58:13 - Aujourd'hui on a des super technologies qui permettent de traiter les herbes indésirables par exemple avec de l'intelligence artificielle.
00:58:20 - Là d'accord, on va aller dans de l'écologie.
00:58:22 - Je pense qu'il faut mettre vraiment un gros danger sur la technophilie.
00:58:24 - En fait, ce sont des exploitations familiales, des personnes dans les champs.
00:58:28 - Non, je pense que là on va vraiment...
00:58:30 - Non, mais écoutez, moi je veux bien qu'on revienne à l'ancien temps si c'est ça que vous voulez.
00:58:33 - Non, la pioche.
00:58:34 - C'est revenir avec la pioche, mais vous aurez du mal à trouver du personnel.
00:58:36 - On va pouvoir l'avoir avec une pioche.
00:58:38 - L'image n'est pas bonne du tout.
00:58:40 - Les technologies nouvelles ne sont pas réservées aux autres catégories de professionnels.
00:58:44 - Je me permets de vous interrompre, il nous reste un peu moins de deux minutes pour ce débat.
00:58:51 - Une question, on est à quatre mois des élections européennes.
00:58:55 - Finalement, à vous entendre débattre ce matin,
00:59:00 est-ce qu'on peut imaginer que les écologistes peuvent être entendus par les agriculteurs ?
00:59:03 C'est pas forcément là que les votes se dirigent ?
00:59:06 - Alors, à chaque manifestation récemment, on est rejoint par des personnes qui nous disent
00:59:12 "on a besoin d'écologie en Europe, on souhaite vous soutenir pour les élections européennes à venir".
00:59:15 On travaille, on s'appuie beaucoup sur les revendications de la Confédération Paysanne,
00:59:20 sur le "ramener des paysans et des paysannes sur les territoires, retrouver de la valeur à leur production".
00:59:28 - Je vous laisse donner ici les propositions de notre député européen
00:59:33 pour l'agriculture française et pour l'agriculture européenne.
00:59:36 On a plein d'idées et je vous invite à les découvrir sur nos réseaux sociaux.
00:59:39 - Je suis d'accord avec ce que vous dites, mais c'est pas le problème.
00:59:41 Le problème c'est qu'on n'est pas dans un monde de bisounours, vous savez, on a des emprunts bancaires,
00:59:44 on est soi-disant des chefs d'entreprise, alors la seule différence c'est que nous on ne maîtrise pas nos prix dans la production.
00:59:49 Mais moi je voulais revenir juste une minute sur la loi Egalim, on n'en a pas parlé.
00:59:52 Vous savez que la loi Egalim, c'est un grand mot, elle interdit aujourd'hui par l'Union Européenne
00:59:56 de faire un voyage avec un drapeau, c'est-à-dire qu'elle interdit de dire si c'est un produit français ou pas.
00:59:59 Déjà ça je pense que vous pouvez nous rejoindre, si au moins on savait que le produit était français,
01:00:03 je pense que les consommateurs ne seraient pas dupés. Donc il y a plein de choses à faire.
01:00:06 - L'agriculture française ne fait pas la qualité seule.
01:00:09 - Ce sera tout ce matin, je vous remercie pour ce débat.
01:00:16 Anna Maillard, représentante des écologistes en Franche-Comté,
01:00:19 Olivier Fridès, éleveur de vaches laitières à Villars-le-Sec,
01:00:21 également représentant de la FDSEA du territoire de Belfort.
01:00:25 - C'est un instant, sur France Bleu, Belfort, mon lien, les infos avec Florian Midi, à tout de suite.
01:00:28 - Ici matin, revient dans un instant.
01:00:36 - Ce soir sur France 3...
01:00:39 - On parle du contrat ?
01:00:41 - Alors on résume.
01:00:43 - Charlotte Gainsbourg et Alain Chabat ont signé un contrat.
01:00:45 - Vous êtes vraiment complètement tordus.
01:00:47 - Leur engagement ? Vous faire passer une soirée ? Inoubliable.
01:00:50 - C'est bien, c'est très bien. Il faut mettre du piment dans sa vie de couple.
01:00:53 - Prête-moi ta main, la comédie romantique à la française.
01:00:56 - Ce soir à 21h10 sur France 3 et sur la plateforme France.tv.
01:01:00 - Ce programme est disponible en audio description.
01:01:05 - C'est un instant, sur France Bleu...
01:01:07 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:10 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:14 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:18 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:22 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:26 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:30 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:35 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:38 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:42 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:46 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:50 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:54 - C'est un instant, sur France 3...
01:01:58 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:03 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:06 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:10 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:14 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:18 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:22 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:26 - C'est un instant, sur France 3...
01:02:31 - On retrouve dans le convoi Yannick Rapp, représentant du syndicat départemental des taxis du territoire de Belfort. Bonjour.
01:02:38 - Bonjour.
01:02:40 - Vous êtes parti de Val-d'Oise ce matin. Déjà, où êtes-vous à cette heure-ci, à 8h02 ?
01:02:45 - Alors, on a pris le boulevard à l'Atole-France, là on l'a quitté, on est au Faubourg de Lyon.
01:02:50 - Ça veut dire que d'ici quelques minutes, on sera devant la gare de Belfort.
01:02:53 - Et l'objectif, c'est d'aller devant la CPM de Belfort.
01:02:56 - Vous nous expliquez, Yannick Rapp, ce qui coince justement pour vous avec cette nouvelle convention qui vous lie avec la CPM ?
01:03:03 - Alors, le problème avec la CPM, c'est qu'aujourd'hui, on nous demande de signer une nouvelle convention qui n'a pas été négociée,
01:03:12 - et surtout avec des remises qui n'ont pas encore été annoncées.
01:03:16 - Donc du coup, on nous demande, au 1er février, de s'engager à travailler encore avec eux, sauf qu'on ne sait pas les conditions.
01:03:25 - Très concrètement, ça pourrait changer quoi ? Vos revenus pourraient être impactés, c'est ça ?
01:03:30 - Oui, alors aujourd'hui, on remise environ de 15%.
01:03:34 - Aujourd'hui, avec cette nouvelle convention, on ne sait pas le taux de remise, on ne connaît pas l'augmentation qu'on va avoir avec l'inflation,
01:03:40 - le prix du gazole qui augmente, on part à l'inconnu, donc on ne veut pas signer quelque chose qui n'est pas encore défini.
01:03:47 - Donc là, soyons précis, on parle notamment des trajets pour ce qui concerne les trajets des patients, ceux qui ont besoin de soins.
01:03:54 - C'est ça, on ne parle que des transports de patients pour aller vers les hôpitaux.
01:03:59 - Vous êtes combien à être mobilisés en ce moment, M. Rapp ?
01:04:03 - On est 25 taxis du territoire de Belfort, donc ça représente un quart des taxis de Belfort.
01:04:10 - Un quart des taxis de Belfort, et l'opération va durer jusqu'à quand ?
01:04:13 - Pour l'instant, on va à la CPM, on verra ensuite s'ils nous reçoivent et s'ils nous écoutent,
01:04:21 - mais on a confiance parce qu'on travaille beaucoup, on s'entend bien avec eux et on espère vraiment avoir des réponses.
01:04:30 - Vous craignez pas d'être un petit peu peut-être dans l'ombre de la mobilisation des agriculteurs ?
01:04:35 - C'est vrai que ce sont deux mobilisations qui coïncident.
01:04:38 - C'est un problème de calendrier, nous on nous a annoncé il y a 10 jours de signer cette convention,
01:04:44 - aujourd'hui on ne peut pas attendre que les agriculteurs aient une cause pour que nous on se manifeste aussi.
01:04:50 - Merci beaucoup Yannick Rapp, représentant du syndicat départemental des taxis du territoire de Belfort.
01:04:57 - Je rappelle donc ce qu'on voit en ce moment, vous y êtes M. Rapp en ce moment même,
01:05:02 - la colère des taxis chez nous qui sont partis de Valdois ce matin et qui se dirigent vers la CPM de Belfort.
01:05:09 - Les agriculteurs maintiennent également la pression, ils menacent de bloquer l'accès à Paris.
01:05:14 - Aujourd'hui à Lyon également 15 000 policiers et gendarmes seront mobilisés.
01:05:20 - Les jeunes agriculteurs du territoire de Belfort doivent se réunir ce soir pour organiser les prochaines manifestations cette semaine chez nous.
01:05:28 - Un collectif fait la conquête des femmes scientifiques.
01:05:30 - Oui, le collectif Elle Stime qui intervient dans les collèges avec des ateliers auprès des jeunes filles pour leur dire que oui, bien sûr,
01:05:38 - les filles aussi peuvent faire des sciences, secteur, on le sait, plus masculin, par tradition peut-être.
01:05:44 - Pourtant au collège Vauban de Belfort où un atelier a eu lieu, les barrières ne sont que dans la tête des jeunes filles.
01:05:52 Quand on demande à Rosalie, une élève participante, si elle envisage des métiers scientifiques, elle répond...
01:05:58 - Déjà je ne suis pas forte en sciences.
01:06:00 - Elle a 17 de moyenne.
01:06:01 - Ah bon ?
01:06:02 Elle n'est pas la seule à se dévaloriser selon sa professeure Claire Berthaud.
01:06:05 - C'est typique des élèves filles, elles sont excellentes mais elles ont une représentation faussée de leur capacité.
01:06:12 D'autres, comme Paulina, sont bien intéressées.
01:06:15 - Les choses technologiques, programmation, tout ça, ça m'intéresse beaucoup plus.
01:06:21 - Pourquoi c'est quand même pas un secteur où tu envisages d'aller plus tard ?
01:06:24 - Je sais pas.
01:06:25 - Elles n'ont pas assez de représentation féminine des métiers de la science.
01:06:32 Sileam n'a pas ce problème.
01:06:33 - Quasiment toute ma famille est ingénieure en informatique ou en mécanique.
01:06:37 Ça m'a donné aussi envie de vouloir plus le faire encore.
01:06:40 Résultat, s'engager dans ce secteur ne les ferait pas.
01:06:43 - J'aime bien la complexité de créer des choses et c'est pas les hommes qui vont m'interdire de le faire.
01:06:49 J'aime bien les défis.
01:06:50 Selon le ministère de l'éducation supérieure, seulement 29% de femmes ont rejoint une formation d'ingénieur en 2021.
01:06:58 Et pendant les ateliers au collège Vauban de Belfort, les garçons participaient aussi à un atelier de sensibilisation sur l'importance de l'égalité des genres.
01:07:08 - Ici matin, il est 8h07 à Lepuy, les habitants peuvent à nouveau déguster des petits pains et des gâteaux le dimanche.
01:07:15 - L'épicerie du village qui avait fermé il y a un mois, laissant les habitants sans aucun commerce,
01:07:21 et bien depuis Delphine Rémy est venue les sauver d'une certaine manière.
01:07:26 Pâtissière native de Lepuy, elle a pris le relais avec sa boulangerie ambulante.
01:07:31 Au délice, une petite roulotte qu'elle installe les dimanches sur la place du village.
01:07:35 Elle est très très fière d'avoir lancé son affaire un peu chez elle.
01:07:40 - Contribuer à la vie de mon village, bien sûr que ça me fait plaisir.
01:07:44 J'habite à 1 km, de venir au bout de ma rue et de m'installer et de voir les gens que je connais depuis toujours
01:07:51 et pouvoir leur proposer mes produits, ça me fait super plaisir.
01:07:55 Donc voilà, ils reviennent et j'en suis très contente.
01:07:58 Et ça me touche aussi de voir des personnes âgées qui ne peuvent plus trop se déplacer et qui n'ont plus rien autour de chez eux.
01:08:04 La vie sociale, le lien, puis leur donner de la vie, du dynamisme, tout ça, ça nous manque.
01:08:11 Honnêtement, ça nous manque dans cette commune depuis un petit moment maintenant.
01:08:15 Donc ça serait bien qu'on remette un petit coup de fouet là-dedans et puis on verra bien.
01:08:20 Delphine Rémy aimerait un jour s'installer pour de bon et donc reprendre la boulangerie de son village.
01:08:26 Le ciel est pour l'instant, en tout cas ce matin, un peu voilé Stéphane.
01:08:31 - Un peu voilé, mais c'est le soleil qui va nous accompagner, un peu comme hier.
01:08:34 D'ailleurs on en a bien profité, c'était un beau dimanche.
01:08:37 Et bien ça sera un beau lundi avec une couche nuageuse qui va se déchirer peu à peu pour laisser place à un beau soleil.
01:08:43 Et puis les températures ce matin, tout à l'heure on a Raphaël, auditeur de Frayer et Châteaubier qui nous a signalé -2°C à Frayer et Châteaubier.
01:08:52 Température négative.
01:08:53 Sinon des températures positives, on a 3 à 4°C dans les communes du Nord-Franche-Comté.
01:08:58 3 à 4°C de moyenne et puis Comté au meilleur de la journée, 13 à 14°C en pleine.
01:09:05 Il est 8h08.
01:09:07 Dans un instant, on va parler d'un concert proposé par l'IDPB.
01:09:19 On va parler d'un concert consacré à Claude Nougarau, Serge Gainsbourg.
01:09:24 Ça va se passer vendredi soir.
01:09:25 Tous les détails avec Anne Vauclair, professeure à l'Université Populaire chargée de programmation, juste après Orchestral Manoeuvre in the Dark.
01:09:32 [Musique]
01:09:42 France Bleu Belfort Montbéliard, votre radio dans l'air urbain.
01:09:46 [Musique]
01:10:12 [Musique]
01:10:26 [Musique]
01:10:39 [Musique]
01:11:06 [Musique]
01:11:16 [Musique]
01:11:26 [Musique]
01:11:46 [Musique]
01:12:06 [Musique]
01:12:28 Et nous la gueule, Orchestral Manoeuvre in the Dark.
01:12:30 Vous suivez cette émission à la fois à la radio sur France Bleu Belfort Montbéliard et sur le canal 32 de la TNT, chez nos amis de France 3.
01:12:36 Franche Comté, bonjour Anne Vauclair.
01:12:38 - Bonjour.
01:12:39 - Bienvenue sur France Bleu et sur France 3.
01:12:41 Anne Vauclair, chargée de programmation à l'IDPB, l'Université Populaire de Belfort.
01:12:47 Une association loi 1901 qui, chaque semaine, vous propose des cours de toutes sortes de langues, par exemple,
01:12:53 mais aussi des conférences, des ateliers divers et variés.
01:12:56 Ça s'adresse à qui l'Université Populaire, Anne Vauclair ?
01:12:58 - C'est très simple, ça s'adresse à tout le monde.
01:13:00 - Voilà.
01:13:01 - Voilà, donc plutôt les adultes, même si on a quelques petites propositions pour les enfants.
01:13:06 Toutes les personnes qui souhaitent continuer à apprendre.
01:13:09 - Alors, quel type de cours, par exemple ?
01:13:11 - Alors, vous avez dit les langues, donc on a beaucoup de cours de langues.
01:13:14 On fait du coréen, on fait du chinois, de l'arabe, de l'anglais, de l'allemand, enfin de l'italien.
01:13:21 - Il y a combien d'intervenants à l'IDPB ?
01:13:23 - Oh là !
01:13:24 - Vous êtes nombreux.
01:13:25 - Oui, on est très nombreux, surtout que ce sont des gens qui interviennent ponctuellement.
01:13:29 Donc on a des conférences toutes les semaines, qui sont gratuites.
01:13:33 - Ça, il faut le préciser aussi.
01:13:35 - Oui, elles sont gratuites. Il faut s'inscrire, parce qu'il y a du monde.
01:13:37 - Bien sûr.
01:13:38 - Oui, il nous arrive de refuser des gens, malheureusement.
01:13:41 - Et vous organisez une soirée de lancement du second catalogue.
01:13:45 Alors, c'est quoi la soirée de lancement du second catalogue ?
01:13:48 - Alors, depuis quelques années, on a deux catalogues.
01:13:51 Un premier catalogue de septembre à janvier, le deuxième de février à juin.
01:13:56 Et pour marquer l'événement et annoncer notre programmation,
01:14:00 on fait ça avec nos adhérents, avec nos intervenants.
01:14:05 Voilà, donc c'est ouvert à tous.
01:14:07 - Voilà, c'est ouvert à tous les piliers.
01:14:09 Et il y aura même un concert vendredi pour l'ouvrir.
01:14:12 - Voilà, un concert avec des personnes qu'on a déjà reçues,
01:14:18 qui avaient chanté Boris Vian.
01:14:21 Et là, ils nous proposent Gainsbourg et Nougaro.
01:14:25 Au chant, il y a Michel Giraud et Amélie Porterot.
01:14:29 À la guitare, Thierry Vautreau et Georges Guy.
01:14:32 Alain Macky, Alain Ake, François Ziegler et Roland Semon.
01:14:36 - Voilà, Gainsbourg et Nougaro, qui nous ont quittés il y a 20 ans.
01:14:40 Vous avez eu envie de continuer à explorer le lien entre le jazz et la chanson française.
01:14:45 C'était ça l'idée ?
01:14:46 - Oui, c'est une forme de culture.
01:14:52 Les textes de Nougaro, les textes de Gainsbourg,
01:14:55 ça fait partie de la littérature française.
01:14:58 - Bien sûr.
01:14:59 - Donc c'est de la culture, ça nous intéresse.
01:15:02 Et puis en plus, ils ont beaucoup de talent.
01:15:04 - Donc ce concert aura lieu vendredi, de février, on est d'accord ?
01:15:08 À partir de 18h30, pour une durée d'une heure, une heure et demie ?
01:15:12 - Une heure, une heure et demie, oui, à peu près.
01:15:14 - Et puis c'est l'occasion, vous l'avez dit, d'applaudir des artistes,
01:15:17 comme Michel Giraud, Thierry Vautreau, Alain Macky, Alain Ake, François Ziegler,
01:15:21 ou encore Roland Semon, Amélie Porterot.
01:15:25 À l'idée, le concert il est gratuit ?
01:15:27 - Il est gratuit, il faut s'inscrire.
01:15:30 - Oui, c'est mieux.
01:15:31 - C'est préférable.
01:15:32 - Donc là, page Facebook, site internet ?
01:15:34 - Les gens appellent.
01:15:35 - Les gens appellent à l'idée ?
01:15:36 - Oui, ils envoient un mail.
01:15:38 - Alors l'idée, c'est l'Université Populaire, c'est situé 25 rues de la 1ère armée française à Belfort.
01:15:43 - Et précisons que c'est dans l'école Aubert, parce qu'elle fait toute la rue,
01:15:46 donc c'est très facile de la repérer.
01:15:50 - Voilà, donc ce concert à ne pas manquer, concert hommage à Claude Nougarau et Serge Gainsbourg,
01:15:56 concert organisé par l'idée de l'Université Populaire de Belfort.
01:15:59 Merci beaucoup, Anne Fauclair, d'avoir été avec nous.
01:16:01 - Merci à vous.
01:16:02 - Je rappelle que vous êtes chargée de programmation à l'Université Populaire.
01:16:06 Vous restez sur France Bleu Belfort, dans un instant, l'info insolite avec vous, Flora Midi.
01:16:11 - On va revisiter un conte des frères Grimm ce matin.
01:16:15 Je ne vous dis pas lequel, ça arrive tout de suite.
01:16:17 - A tout de suite.
01:16:18 - Ici, matin, revient dans un instant.
01:16:24 - Plein feu sur des expériences sonores pas banales,
01:16:28 avec un festival très original en Bourgogne-Franche-Comté, ça s'appelle "Souffle".
01:16:32 Nicolas nous dira tout.
01:16:33 Monsieur Plus, c'est Jérémy, il a déniché des bonnes affaires en Bourgogne-Franche-Comté,
01:16:37 un peu partout, et notre chef va cuisiner le chou sous toutes ses formes.
01:16:41 [Musique]
01:16:47 - Il est 8h16, c'est le moment de retrouver votre info insolite, Flora Midi.
01:16:53 - Stéphane, et si Blanche-Neige se retroussait ses manches de princesse pour aller travailler où ça ?
01:16:59 Eh bien, au milieu des terriles et des mines de charbon.
01:17:02 Eh oui, c'est ce qu'a imaginé Jacques Dutilleul, enseignant retraité dans son nouveau livre,
01:17:07 qui était véritablement Blanche-Neige, publiée aux éditions Baudelaire.
01:17:12 Ici, la jeune fille de 16 ans est ouvrière, on l'appelle "Noir Charbon",
01:17:18 et les sept nains, ils ne récupèrent plus des diamants, mais de la houille prune ave Manie.
01:17:22 Cette Blanche-Neige ne porte pas un cerf-tête rouge, mais un casque de chantier,
01:17:26 et elle n'entend pas le chant des oiseaux, mais le bruit des pioches.
01:17:29 Alors le quotidien de cette héroïne imaginée par Jacques Dutilleul est bien loin de la vie de château,
01:17:34 malgré quelques ressemblances avec l'original.
01:17:36 Elle a la jalousie de la vieille qui va tout faire pour l'embêter,
01:17:40 elle a des décès dans sa famille,
01:17:42 elle a des accidents au travail, dans les mines, avec le coup de grisou, etc.
01:17:48 Mais elle sait qu'elle peut toujours compter sur ses amis,
01:17:51 cette petite mineure et sur d'autres personnages,
01:17:53 car c'est avant tout une histoire d'entraide et de fraternité.
01:17:56 Mon père me racontait, quand il était mineur, il se disait,
01:17:59 quand on était dans la mine, on était tous des amis,
01:18:02 quand on travaillait dans le puits.
01:18:04 Dans les cités minières, il y avait toujours la solidarité.
01:18:07 Un récit donc directement inspiré par la famille de l'auteur et surtout ses grands-parents.
01:18:11 Il leur fait d'ailleurs un clin d'œil à travers une petite illustration,
01:18:14 dès les premières pages du livre.
01:18:16 Eux sont arrivés en France en 1947,
01:18:19 et ont vécu dans les cités des mines,
01:18:21 et ils avaient une baraque en bois.
01:18:23 Donc j'ai pris une photo d'eux devant leur baraque,
01:18:26 et j'ai dessiné cette baraque.
01:18:28 Et pour Jacques Dutilleul, c'est un moyen de leur rendre hommage
01:18:30 et de continuer à faire vivre l'histoire du bassin minier et de ses ouvriers.
01:18:34 Prune Avemani, de France Bleu Nord, nos collègues du Nord,
01:18:38 c'était intéressant Stéphane !
01:18:39 J'adore !
01:18:40 Blanche Neige, un peu revisité, Noir Charbon.
01:18:43 L'info insolite du jour, elle est à réécouter sur francebleu.fr, comme tous les jours.
01:18:47 Et on fait la météo ensemble, comme tous les jours également.
01:18:50 Avec qui ? Avec vous !
01:18:51 Bien sûr, auditeurs, auditrices de France Bleu, Belle Forme, Molière,
01:18:54 téléspectateurs, téléspectatrices de France 3,
01:18:56 Franche Comté, j'ai réussi à le dire sans bafouiller, c'est une première.
01:18:59 Sur Facebook, on va saluer Marie-Claire, 1° à Champagny,
01:19:03 courage à tous, Francis, salut, 3° à Rouen, le ciel est dégagé,
01:19:07 1° à Fussmain, merci, à Béa.
01:19:10 Direction Perouse, où nous attend Angélique, à l'insta,
01:19:17 les bras chargés de baguettes, de croissants, de viennoiseries,
01:19:22 parce qu'à Perouse, c'est l'ouverture d'une nouvelle boulangerie,
01:19:25 de Meusie, la marquise.
01:19:27 Oui, Stéphane, vous avez tout à fait raison,
01:19:30 j'en ai déjà goûté quelques-unes, des spécialités,
01:19:32 il y a encore de quoi faire.
01:19:34 Oui, merci de me faire confiance, ça c'est sympa Stéphane.
01:19:37 Je suis avec le maire de Perouse, Jean-Pierre Knud, bonjour M. le maire.
01:19:40 Oui, bonjour.
01:19:41 Alors, on le disait, il n'y avait plus de boulangerie à Perouse
01:19:44 depuis quelques années, ça y est, maintenant c'est réparé,
01:19:47 enfin, il y en a une !
01:19:48 Et oui, maintenant c'est vrai, il y a une boulangerie, un artisan,
01:19:52 un artisan boulanger, M. de Meusie, sélectionné, bien entendu,
01:19:56 qui nous a fait, effectivement, d'une part, l'amitié,
01:19:59 mais surtout la confiance, de venir s'installer à Perouse,
01:20:02 puisque nous manquions, effectivement, d'un boulanger depuis plusieurs années,
01:20:07 et bon, on a décidé un investissement, de façon à pouvoir accueillir,
01:20:11 je dirais, de l'artisanat, et en particulier, donc, des métiers de bouche.
01:20:16 Et de créer de l'emploi aussi.
01:20:18 Et créer, bien entendu, de l'emploi,
01:20:20 donc c'est avec beaucoup de plaisir que nous les accueillons,
01:20:23 et je pense que, surtout, nos concitoyennes, concitoyens,
01:20:27 vont être ravis d'avoir, je dirais, ce point de vente dans la commune.
01:20:32 - C'est une animation supplémentaire, effectivement, c'est ouvert tôt le matin,
01:20:36 on y trouve des choses absolument délicieuses,
01:20:39 Michel Santonnas, vous êtes conseiller municipal,
01:20:41 vous avez été le premier à trancher la porte de la boulangerie de Meusie ce matin,
01:20:45 et vous avez apporté des croissants à votre épouse, elle a dit quoi ?
01:20:50 - Émerveillée ! Très bonne qualité, elle m'a dit la prochaine fois,
01:20:54 il faudra me ramener plus souvent, j'ai dit, écoute, il n'y a pas de soucis, voilà.
01:20:57 Donc je tenais à remercier M. Le Meusie,
01:21:00 de venir s'installer dans notre belle commune de Pérouse,
01:21:03 et pour Stéphane, je voulais dire...
01:21:05 - Ah, vous avez des petites coupures, visiblement,
01:21:08 des petits soucis de liaison, Angélique,
01:21:10 ah, ça a définitivement coupé, là, c'est ce qu'on me dit.
01:21:14 Ce que je vous propose, c'est de retrouver Angélique Alasta,
01:21:16 tout à l'heure, aux alentours de 9h moins 25,
01:21:19 vous écoutez France Bleu, Belle Forme en Hullière,
01:21:21 ainsi qu'Io et Chœur de Pirates.
01:21:22 J'ai longtemps parcouru son corps, effleuré cent fois son visage,
01:21:27 j'ai trouvé de l'or, et même quelques étoiles,
01:21:31 en essuyant ses larmes, j'ai appris par cœur,
01:21:35 la pureté de ses formes, parfois je les dessine au corps,
01:21:40 elle fait partie de moi.
01:21:44 Je veux juste une dernière danse,
01:21:49 avant l'ombre et la disparance,
01:21:55 la vertige puis le silence,
01:22:01 je veux juste une dernière danse.
01:22:12 Je l'ai connue trop tôt, mais c'est pas de ma faute,
01:22:15 la flèche a traversé ma peau, c'est une douleur qui s'écarte,
01:22:20 qui fait plus de bien que de mal, mais je connais l'histoire,
01:22:25 il est déjà trop tard, dans son regard, on peut apercevoir
01:22:29 qu'elle se prépare au long voyage.
01:22:34 Je veux juste une dernière danse,
01:22:40 avant l'ombre et la disparance,
01:22:45 la vertige puis le silence,
01:22:51 je veux juste une dernière danse.
01:23:08 Je peux mourir demain, ça ne change rien,
01:23:11 j'ai resté de ses mains, le bonheur ancré dans mon âme,
01:23:16 c'est même trop pour un seul homme, je l'ai vu partir,
01:23:21 sans rien dire, il fallait seulement qu'elle respire.
01:23:25 Merci d'avoir enchanté ma vie,
01:23:35 avant l'ombre et la disparance,
01:23:41 la vertige puis le silence,
01:23:47 je veux juste une dernière danse.
01:23:52 Je l'entends pas, prendre son corps,
01:23:55 les couleurs et son foie, son visage,
01:23:58 je peux l'entendre, il mène, quelques étoiles,
01:24:01 en me déchirant ses larmes, et j'ai appris par coeur,
01:24:05 la pureté de ses formes, parfois je les dessine encore,
01:24:10 elle fait partie de moi.
01:24:15 (musique)
01:24:26 Dernière danse, Kio et Coeur de Pirates sur France Bleu,
01:24:29 Bellefort Montbéliard, il est 8h24, vous le savez,
01:24:32 chaque lundi, Jean Sureda nous fait voyager dans le temps,
01:24:35 il n'est pas tout seul pour ça, non, non,
01:24:37 il est accompagné de Jean-Yves Dupré,
01:24:39 qui a sa page Facebook sur les réseaux sociaux,
01:24:41 on peut le retrouver, c'est Socho Retro,
01:24:44 et on replonge dans les plus belles histoires
01:24:47 du FC Socho Montbéliard.
01:24:49 Dans 100% FCSM, on parle souvent de match mythique,
01:24:52 on a parlé de Francfort, on a parlé de Dortmund,
01:24:54 il y a les finales de coupe qui arrivent en mai par exemple,
01:24:58 mais ce Saint-Etienne Socho de 2004, il est mythique.
01:25:01 Oui, oui, alors même pour les Verts qui vont perdre la rencontre,
01:25:04 pourtant, sans doute la plus belle ambiance
01:25:07 au stade Geoffroy Guchard, d'après certains supporters,
01:25:10 depuis très très longtemps, et peut-être même encore aujourd'hui.
01:25:13 Alors, les Verts sont en Ligue 2, à l'époque,
01:25:16 ils sont en bonne position pour remonter,
01:25:18 et puis Socho est 4ème de Ligue 1,
01:25:21 veut retourner au Stade de France, il ne reste plus qu'une marche,
01:25:24 le président Plessis a demandé à ses joueurs de retourner au Stade de France
01:25:27 pour gagner la coupe cette année-là,
01:25:29 Socho est diminué par la Coupe d'Afrique des Nations,
01:25:32 il manque plusieurs titulaires, Diawara, Daf en défense,
01:25:35 Santos en attaque, Chedli également, Teddy Richard est blessé,
01:25:38 et donc l'ambiance est indescriptible,
01:25:41 donc, au jeu Geoffroy Guchard,
01:25:44 et les Verts attaquent le match pied au plancher,
01:25:47 ils mènent 2-0 après 21 minutes de jeu,
01:25:50 - Et c'est là où je me suis fait punir et que j'ai fini au lit,
01:25:53 donc j'ai vu le score le lendemain, malheureusement !
01:25:56 - Voilà, il aurait fallu voir la fin du match !
01:25:59 Donc, à la demi-heure de jeu, Guy Lacombe décide de lancer
01:26:02 Michael Pagy sur le banc, de rééquilibrer un peu l'équipe,
01:26:05 de tenter de revenir au score, et juste avant la mi-temps,
01:26:08 Jérémie Mathieu réduit le score sur Koufran.
01:26:11 En seconde période, Socho reprend le ballon, pousse,
01:26:14 et réussit à égaliser par Orumba, même si les Verts ont plusieurs
01:26:17 occasions de repasser devant. On arrive aux prolongations,
01:26:20 les Verts poussent, et c'est Socho qui réussit à marquer
01:26:23 le 3ème but par Orumba, auteur d'une prestation XXL,
01:26:26 sans doute l'un de ses meilleurs matchs avec le FCSM.
01:26:29 Donc, Socho échappe à l'enfer vert,
01:26:32 comme le titrera l'équipe, c'est le retour au Stade de France,
01:26:35 face à Nantes, un adversaire inédit en finale,
01:26:38 pour le FCSM, et ce sera une première pour l'un des deux clubs,
01:26:41 on sait par la suite qui va gagner bien sûr.
01:26:44 - Je crois que c'est nous. - Je pense.
01:26:47 - Vous y étiez, Geoffroy Guichard, ou pas ? - Je n'étais pas Geoffroy Guichard, non.
01:26:50 - Mais en match mythique, forcément.
01:26:53 - Et puis le scénario, il est bon pour nous, en plus, 0-2, 3-2, c'est parfait, ça.
01:26:56 - Oui, souvent, c'est dans l'autre sens. - C'est ça.
01:26:59 Quand on est supporter de Socho, on connaît le scénario inverse.
01:27:02 Mais là, c'est bon, c'est pour nous, et puis on se souvient tous
01:27:05 de ce coup Franck de Mathieu avant la mi-temps, qui nous fait beaucoup de bien,
01:27:08 de mémoire à l'époque, qui fait du bien à pas mal de monde.
01:27:11 - 2-0 à la mi-temps, ce n'est pas pareil que 2-1,
01:27:14 donc 2-1, l'espoir a changé de camp, et puis en deuxième période,
01:27:17 l'expérience sochalienne et puis la vista de Roumain vont faire la différence.
01:27:20 - C'est ça. Et Socho gagnera la Coupe de la Ligue en avril,
01:27:23 je pense qu'on en parlera en avril. - On en parlera, oui.
01:27:26 - Merci beaucoup, Jean-Yves. - Merci.
01:27:29 - Merci à tous les Socho-Bombéliards, tous les lundis.
01:27:32 En attendant, vous pourrez réécouter 100% FCSM, la chronique,
01:27:35 sur l'application ICI par France Bleu et France 3.
01:27:38 Comment ? On n'avait toujours pas téléchargé l'application ICI sur smartphones et tablettes ?
01:27:41 Ouh, mais je vais vous gronder, attention, ça va beaucoup mieux, moi.
01:27:44 Nous sommes aujourd'hui le lundi 29 janvier,
01:27:47 on va souhaiter un joyeux anniversaire,
01:27:50 en marraie que je ne sais pas si vous connaissez, c'est pas franchement de votre génération.
01:27:53 - Allez-y, allez-y. - Tom Selleck, est-ce que ça vous dit quelque chose, Tom Selleck ?
01:27:56 - Oui, le nom, mais j'ai besoin de votre aide, là. - Alors, Tom Selleck,
01:27:59 d'abord, une aide en musique. Ça vous va ? C'est parti.
01:28:02 - OK, donc c'est une série télévisée. - Ah, ça c'est bien, ça c'est bien.
01:28:10 Ça sent le générique série, ça.
01:28:13 - Effectivement. Euh, non.
01:28:14 - Starkey. - Non, ça c'est Magnum.
01:28:21 - Magnum Pi. - La moustache.
01:28:24 - Ah, bien sûr. - Ça, j'ai eu.
01:28:27 - Et alors, quel âge a eu là Tom Selleck, d'après vous ? Parce que Magnum, série des années 80.
01:28:30 - Oui, oui. - Vous imaginez qu'il n'a pas 20 ans non plus, hein, le gazier.
01:28:33 - Tom Selleck, disons, il va pas avoir la soixantaine,
01:28:36 mais peut-être 80, 70 ? - Il a pas loin, 79.
01:28:39 - 79. - 79 ans.
01:28:42 Une série avec Tom Selleck, évidemment, et puis
01:28:45 il y avait Higgins, parce qu'il habite en fait chez Higgins,
01:28:48 qui est le majordome de la maison, de Robin Masters et tout ça,
01:28:51 et puis il y avait deux chiens, deux Dobermans, et j'ai le nom des deux chiens.
01:28:54 - Ah, parce que je suis un fan de la série.
01:28:57 - C'est Zeus et Apollo. - Ah oui. - Voilà, les deux Dobermans.
01:29:00 - On s'en rappelle. - Ah, bah oui. - Ça sonne.
01:29:03 - Magnum aussi, parce qu'il se faisait toujours bouffer par les deux clébards.
01:29:06 Vous restez sur France Bleue, Belfort, Montbéliard. Dans un instant,
01:29:09 on va retrouver Marek, qui s'y connaît plus dans les infos
01:29:12 que dans Magnum, mais qui avait retrouvé quand même qu'il s'agissait
01:29:15 d'une série américaine. - Oui, oui. - Voilà, bah la musique.
01:29:18 - Tom Selleck. Tout ce qu'il faut retenir dans l'actualité de ce lundi 29 janvier,
01:29:21 c'est l'Espresso de l'Info, et c'est Dans un instant.
01:29:24 A tout de suite, merci beaucoup.
01:29:28 - Ici, matin, revient Dans un instant.
01:29:32 - Du beau, du bon, du frais. Du lundi au vendredi,
01:29:35 vous avez rendez-vous en cuisine. Chaque jour,
01:29:38 parcourez les 4 coins de l'Hexagone dans une nouvelle émission.
01:29:41 - C'était parfait. - Il y a du rabe ou quoi ?
01:29:44 - Recette originale ou classique, vos rendez-vous culinaires,
01:29:47 c'est du lundi au vendredi à 10h10 sur France 3,
01:29:50 Bourgogne-Franche-Comté.
01:29:53 [Musique]
01:30:17 - 8h30, juste avant de retrouver Marek Keta pour les infos,
01:30:20 on jette un rapide coup d'œil sur le temps pour ce lundi 29 janvier,
01:30:23 avec un ciel voilé d'abord ce matin, et puis les éclaircies
01:30:26 qui vont dominer tout au long de cette journée. On aura même droit
01:30:29 à un beau soleil. Les températures, ça va de -2°C à frayer ce matin
01:30:32 jusqu'à 3-4°C. Météo complète juste après
01:30:35 l'Espresso de l'Info.
01:30:38 Toute l'actualité en 3 minutes. C'est présenté par Marek Keta.
01:30:41 Êtes-vous prêts à payer vos aliments plus chers pour soutenir
01:30:44 les agriculteurs ? - Une question qui se pose plus que jamais avec ce
01:30:47 mouvement de grogne des agriculteurs. Ils aimeraient que les Français consomment
01:30:50 davantage de produits locaux pour les soutenir. Les produits
01:30:53 importés sont souvent bien moins chers que le made in France.
01:30:56 Enfin, que les produits origines française. On vous a posé la question au marché
01:30:59 fréry Abelfort. C'était samedi matin. Voici la réponse
01:31:02 de Jérôme, pour qui bien manger et manger local, ça a un prix.
01:31:05 - Le seul cochon que je mange, c'est du porc noir de Bigorre qui est élevé
01:31:08 par un éleveur qui me livre. Donc,
01:31:11 c'est pas le même budget. Et du porc de batterie breton,
01:31:14 de la cochonnerie. Donc, le problème, c'est que les salaires
01:31:17 sont pas assez hauts. - Parce que ça coûte plus cher de bien manger ?
01:31:20 - Bien sûr ! - Opération escargot des taxis
01:31:23 terrifortains ce matin. Au moins une cinquantaine de véhicules mobilisés
01:31:26 pour se rendre devant la CPAM de Belfort.
01:31:29 D'ici peu de temps, ils comptent y rester jusqu'à au moins
01:31:32 midi. Ils protestent contre les nouvelles conditions
01:31:35 tarifaires de la convention qui les lie à l'assurance maladie.
01:31:38 Dans le convoi, il y avait Yannick Rapp, représentant du syndicat
01:31:41 départemental des taxis du territoire de Belfort.
01:31:44 - Aujourd'hui, on nous demande de signer une nouvelle convention qui n'a pas été
01:31:47 négociée et surtout avec des remises qui n'ont pas encore été
01:31:50 annoncées. Donc, du coup, on nous demande au 1er février
01:31:53 de s'engager à travailler encore
01:31:56 avec eux. Sauf qu'on sait pas
01:31:59 les conditions. - Des ateliers pour inciter
01:32:02 des collégiennes à s'orienter vers les filières scientifiques.
01:32:05 Des élèves de 5e du Collège Vauban à Belfort, uniquement des filles,
01:32:08 ont reçu la visite des femmes du collectif Health Team
01:32:11 qui ont réussi dans leur domaine scientifique. Elles sont étudiantes,
01:32:14 ingénieurs, techniciennes ou chercheuses. Et elles sont venues casser
01:32:17 les idées reçues sur des secteurs très masculins.
01:32:20 Car les premières barrières sont dans la tête de ces collégiennes,
01:32:23 dit Aurélie Lequin, la fondatrice du collectif Health Team.
01:32:26 - On avait beaucoup de jeunes filles qui disaient "mais non,
01:32:29 c'est pas des métiers qui sont faits pour les filles". Effectivement,
01:32:32 les professionnels ingénieurs et le tech, ça reste très genré.
01:32:35 80% des femmes sont présentes dans les secteurs tech et du numérique.
01:32:38 On sait que ce sont des secteurs qui sont porteurs et des métiers d'avenir.
01:32:41 - A Lepuy, depuis un mois, les habitants sont soulagés.
01:32:44 L'épicerie du village qui faisait des pots de pain à fermer,
01:32:47 il y a un mois, c'était le seul commerce.
01:32:50 Depuis le 1er janvier, c'est Delphine Rémy, pâtissière et native de Lepuy
01:32:53 qui a pris le relais avec une boulangerie ambulante.
01:32:56 Ça s'appelle "Au Délice". C'est une petite roulotte qu'elle installe
01:32:59 tous les dimanches sur la place du village pour vendre des éclairs,
01:33:02 de la crème, pain en tout genre. Elle est très fière d'avoir lancé
01:33:05 son affaire dans son village natal qui en avait bien besoin.
01:33:08 - De voir les gens que je connais depuis toujours et pouvoir
01:33:11 leur proposer mes produits, ça me fait super plaisir.
01:33:14 Et ça me touche aussi de voir les personnes âgées qui ne peuvent plus
01:33:17 trop se déplacer et qui n'ont plus rien autour de chez eux.
01:33:20 La vie sociale, le lien, puis leur donner de la vie, du dynamisme,
01:33:25 tout ça, ça nous manque.
01:33:27 - Delphine Rémy, pâtissière et native de Lepuy, qui espère bientôt
01:33:30 pouvoir s'installer durablement dans sa commune.
01:33:33 - Bon, la météo, ça s'éclaircit déjà ou il faut encore attendre un peu ?
01:33:40 - Écoutez, Philippe Piau de l'Est Républicain vient d'arriver dans nos locaux.
01:33:43 Philippe, bonjour. - Bonjour.
01:33:45 - Il y a du soleil ou pas encore ? - Pas encore, il faut gratter.
01:33:48 Si vous prenez la voiture, il faut gratter. Prenez quelques minutes d'avance
01:33:51 parce qu'il y a gelé.
01:33:53 - Le point météo, c'est Paris de Philippe Piau.
01:33:56 Avec des nuages, des éclaircies effectivement pour aujourd'hui.
01:34:00 Il a fait beau hier, vous avez profité ? - Même samedi tout le week-end.
01:34:03 - C'était sympa. Et ça sera sympa encore aujourd'hui.
01:34:07 D'ailleurs, on le voit sur la carte de Météo France, il y a des petits soleils partout.
01:34:11 Les températures ce matin, vous le disiez Philippe, il a fallu gratter par endroit.
01:34:14 C'était le cas à Frayer et Chateaubiay par exemple, moins de 2°C.
01:34:17 On a du 1°C, du 3°C, du 4°C selon les communes.
01:34:20 Puis alors cet après-midi, comptez 13°C à 14°C en pleine.
01:34:24 Les conditions de circulation, pour le moment aucune difficulté à vous signaler sur l'autoroute A36.
01:34:30 Ça va bien également sur la 10-19.
01:34:32 En revanche, ça coince quand même sur l'avenue du Général de Gaulle à Rope.
01:34:37 Et puis ça peut coincer dans le centre-ville de Belfort et notamment près de la gare
01:34:40 avec la grogne des chauffeurs de taxi qui manifestent aujourd'hui.
01:34:45 En cas de difficulté, vous appelez le 03 84 22 82 82.
01:34:49 Vous êtes nos yeux sur la route.
01:34:53 8h34, le 6/9, France Bleu, Belfort Montbéliard, Stéphane Faux.
01:34:59 Allez, un dernier petit tour du côté de Perouse
01:35:03 où les établissements de Meussy viennent d'ouvrir une nouvelle boulangerie.
01:35:07 C'est Angélique Alastin, la marquise des ondes qui est avec nous.
01:35:10 Oui Stéphane, je suis toujours avec Pierre de Meussy.
01:35:13 On est devant la boutique.
01:35:15 C'est magnifique les travaux que vous avez réalisés ici, c'est très chouette.
01:35:18 En collaboration avec la mairie, les couleurs me plaisent énormément
01:35:21 et je crois que ça plaît vraiment aux personnes qui rentrent.
01:35:24 Oui, ça attire tout de suite.
01:35:26 On parle beaucoup de la grogne du monde agricole en ce moment.
01:35:29 Vous avez choisi de vous fournir le plus possible en produits locaux,
01:35:32 notamment pour la farine, notamment pour ce qu'on a goûté dans les croissants avec les pommes.
01:35:37 C'est délicieux. Elles viennent d'où ces pommes ?
01:35:40 Ces pommes viennent à la limite de l'Alsace.
01:35:43 Ce sont des ruinettes, des pommes bio qui passent très bien à la cuisson.
01:35:47 Vous avez ces morceaux de pommes à l'intérieur, ce qui fait le goût assez exceptionnel.
01:35:52 Comment réussissez-vous cette équation, qui est en équilibre permanent,
01:35:58 de préserver la qualité des produits que vous utilisez, les matières premières,
01:36:02 dans ce que vous fabriquez, avec la maîtrise des coûts ?
01:36:06 On a travaillé depuis un an énormément suite à la guerre de l'Ukraine,
01:36:10 qui nous a posé beaucoup de problèmes.
01:36:12 Ce qu'on ne comprend pas, c'est pourquoi vous avez les blés qui s'envolent
01:36:15 alors qu'on se fournit en Bourgogne-Franche-Comté.
01:36:17 Pour nous, c'est assez incompréhensible.
01:36:20 Vous avez le cours du blé mondial qui fait qu'on a été impacté quasiment à doubler le prix de la farine.
01:36:25 On a travaillé sur nos produits et on a impacté seulement le coût de la farine sur les prix finaux,
01:36:31 pour que les clients le sentent le moins possible.
01:36:34 On le voit, le maintien de la qualité, la maîtrise des coûts, c'est important.
01:36:38 On va donner les horaires d'ouverture de la boutique, du lundi au samedi ?
01:36:42 Oui, et de 6h30 à 19h le soir.
01:36:44 6h30-19h pour venir ici à Pérou, c'est juste à côté de la mairie, sur un axe très passant,
01:36:49 il y a un parking pour se garer, c'est très pratique quand on vient acheter le pain.
01:36:52 Et surtout, n'hésitez pas à venir découvrir, déguster ces produits.
01:36:56 Vous allez être très bien accueillis, et ce matin, il y a même un petit buffet dehors !
01:37:00 Oui, on accueille des clients avec des mini-vénèzeries, des jus de fruits, des cafés,
01:37:03 donc vous êtes le bienvenu !
01:37:05 Voilà Stéphane, et nous on va continuer à déguster un petit peu.
01:37:07 Je vais peut-être vous ramener quelque chose, mais ce n'est pas sûr.
01:37:09 Vous en pensez quoi Pierre ? Il a été sage Stéphane ?
01:37:11 Oui, je crois, il va falloir un petit effort.
01:37:14 Attention Pierre !
01:37:16 Donc, mini-ardise et mini-vénèzerie, je crois que c'est une bonne idée.
01:37:19 Mini-ardise et mini-vénèzerie, je ramène tout ça, je suis le messager !
01:37:22 Merci beaucoup, à demain Angélique !
01:37:24 A demain, bye bye !
01:37:26 Demain, nous allons découvrir un gîte en pleine nature, on va prendre un bain de forêt,
01:37:32 je ne vous en dis pas plus, mais c'est juste un lieu enchanteur qu'on va découvrir
01:37:35 avec Lina et son époux, qui ont magnifié ce lieu absolument incroyable !
01:37:39 A tout à l'heure Angélique avec les galettes !
01:37:41 A tout à l'heure !
01:37:42 8h37, on joue !
01:37:44 On joue, vous jouez surtout, au standard de France Bleu, Belfort, Montbéliard,
01:37:49 0380, 80, 282, 82, puisqu'on vous offre deux places pour assister au spectacle d'Alban Ivanov,
01:37:55 ça c'est vendredi 9 février, notez bien, pas vendredi là, le suivant,
01:37:59 vendredi 9 février à l'Axone de Montbéliard.
01:38:02 Tu t'appelles Nathalie ?
01:38:06 Oui, vous êtes avec votre mari là ? Il est où ?
01:38:09 Ah ouais, il ne parle plus, il n'a plus de couille le mec, t'as vu ?
01:38:12 Je m'entends, il est dans une boîte.
01:38:15 Il n'est pas en droit de bouger, moi !
01:38:19 Vous êtes où monsieur ?
01:38:21 Il est où Nathalie ?
01:38:27 Enlève lui le scotch.
01:38:30 Il est où Nathalie, ton mari ?
01:38:34 Oui, à droite, mais je ne vois rien !
01:38:36 On ne voit pas que je suis comme un lapin dans les phares depuis...
01:38:41 ...dix-deux heures !
01:38:43 Alban Ivanov, vous allez vous marrer, c'est le 9 février à l'Axone de Montbéliard,
01:38:47 avec son tout nouveau spectacle, ça s'appelle Vedette 2.0.
01:38:51 Vedette 2.0, c'est le roi du stand-up, il a beaucoup d'humour, Alban Ivanov.
01:38:58 Comment s'appelait le tout premier spectacle d'Alban Ivanov ?
01:39:03 Je vous donne deux propositions, éléments perturbateurs ou ça va cogner ?
01:39:08 Si vous avez la bonne réponse, vous nous appelez dès maintenant au 0384 22 82 82,
01:39:15 on vous offre deux places pour Alban Ivanov, son spectacle le 9 février à l'Axone de Montbéliard.
01:39:19 Bonne chance !
01:39:20 Et puis tout de suite, c'est Jamy Rocquoy avec Too Young, Today, c'est dans le 6, 9, France, bleu, belle, fort Montbéliard.
01:39:26 France, bleu, belle, fort Montbéliard.
01:39:28 France, bleu, belle, fort Montbéliard. Première radio du Nord, France Comté.
01:39:44 France, bleu, belle, fort Montbéliard.
01:39:47 Première radio du Nord, France Comté.
01:39:51 Première radio du Nord, France Comté.
01:39:55 Première radio du Nord, France Comté.
01:39:59 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:03 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:07 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:12 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:15 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:19 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:23 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:27 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:31 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:35 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:40 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:43 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:47 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:51 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:55 Première radio du Nord, France Comté.
01:40:59 Première radio du Nord, France Comté.
01:41:03 Première radio du Nord, France Comté.
01:41:08 Première radio du Nord, France Comté.
01:41:11 Première radio du Nord, France Comté.
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01:41:43 Première radio du Nord, France Comté.
01:41:47 Première radio du Nord, France Comté.
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01:42:43 Première radio du Nord, France Comté.
01:42:47 Première radio du Nord, France Comté.
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01:43:59 Première radio du Nord, France Comté.
01:44:03 Première radio du Nord, France Comté.
01:44:07 Première radio du Nord, France Comté.
01:44:11 Première radio du Nord, France Comté.
01:44:15 Première radio du Nord, France Comté.
01:44:19 Première radio du Nord, France Comté.
01:44:24 Le rendez-vous découverte des pépites musicales de votre région, c'est dans Studio 3.
01:44:29 Studio 3, le vendredi matin à 9h35 sur France 3 Bourgogne-France Comté
01:44:38 et à tout moment sur la plateforme France.tv
01:44:51 - Vous écoutez la première radio du Nord, France Comté, c'est France Bleu, Belfort-Montréal, il est 9h45,
01:44:56 Philippe Piau en direct de l'Est Républicain. Bonjour Philippe !
01:44:59 - Bonjour Stéphane ! - Comment ça va ce matin Philippe ?
01:45:01 - Ça va, j'ai plus gratter la voiture mais ça va.
01:45:03 - Vous avez bien dormi ? Vous avez passé une nuit courte ?
01:45:05 - Oui mais dense !
01:45:07 - Vous étiez au salon du mariage, en tout cas l'Est Républicain était au salon du mariage
01:45:12 qui s'est déroulé ce week-end, c'était une première pour le musée de l'Aventure Peugeot à Sochaux.
01:45:16 - Oui, c'est la saison et c'est aussi pour rappeler que mariage,
01:45:19 souvent, pas toujours, mais souvent, se prépare largement à l'avance
01:45:24 et c'est un domaine où tout ça est géré par rétro-planning,
01:45:29 plusieurs mois à l'avance, jusqu'à 6, 7, 8 mois à l'avance,
01:45:33 il y a des choses à faire, etc.
01:45:35 Et la première chose, c'est de trouver le budget.
01:45:38 Une fois que vous avez à peu près situé la liste des invités,
01:45:43 - Le nombre, tout ça... - Combien ça va coûter ?
01:45:46 - Et ça coûte la peau du cul, ça en principe.
01:45:48 On a croisé par exemple un couple qui comptait inviter 80 personnes environ
01:45:54 et qui disait "10 000 euros, ça ne va pas le faire".
01:45:57 - 10 000, ce n'est pas suffisant pour 80 personnes ?
01:46:00 - C'est ça. Pour le mariage, ce qu'ils voulaient faire.
01:46:04 Et donc évidemment, ce dont on s'aperçoit sur les salons de mariage dont c'est la saison,
01:46:09 il n'y a pas que le bâtiment, il n'y a pas que l'énergie où l'inflation a frappé
01:46:14 et il y a pas mal de choses qui rentrent dans les sérvices de mariage.
01:46:18 Des choses auxquelles on ne pense pas forcément,
01:46:20 par exemple le fait des produits de nettoyage, etc.
01:46:23 qui vont booster les prix et donc l'inflation est aussi passée par là.
01:46:29 Et les professionnels qui sont sur ces salons expliquaient surtout
01:46:33 leur stratégie pour essayer de limiter les coûts
01:46:36 et essayer quand même par exemple en amortissant la vaisselle
01:46:40 pendant plus d'années, quand ils achètent de la vaisselle,
01:46:44 qu'elle dure plus longtemps, etc.
01:46:46 pour réussir à maintenir les prix et que ça ne s'envole pas avec l'inflation.
01:46:52 Donc la saison des mariages, c'est maintenant
01:46:54 parce que les mariages vont arriver à partir du mois de juin
01:46:57 et on en a jusqu'en octobre.
01:46:59 - Ah, octobre quand même !
01:47:00 - Vous voyez par exemple dans les Républicains, le dimanche,
01:47:04 quand on commence à arriver juin, juillet,
01:47:07 on a par exemple pour le territoire de Belfort
01:47:09 souvent jusqu'à 25 mariages sur un samedi.
01:47:13 Et puis après, septembre ça commence à baisser
01:47:16 et on en a jusqu'à octobre et puis après on en a quasiment plus.
01:47:19 Donc il y a une saison des mariages, ça se prépare
01:47:21 et ça se prépare maintenant.
01:47:22 Donc c'est la saison des salons.
01:47:24 - Merci beaucoup Philippe Piault de l'Est Républicain.
01:47:27 Vous revenez demain ?
01:47:28 - A demain.
01:47:29 - Dans un instant, les bons conseils du Dr Kierzek
01:47:31 sur France Bleu, Belfort, Montréal et tout de suite
01:47:33 - Géniale idée !
01:47:34 Un cri, c'est dans le 6/9, France Bleu.
01:47:37 On m'avait rien donné, pas même une bonne étoile
01:47:41 Un nom qui trace une ligne d'engueuil
01:47:44 J'ai dû prendre des coups, éviter des balles
01:47:47 Oublier comment clouer cette gueule
01:47:50 J'ai goûté la violence
01:47:53 Et bien avant la tendresse
01:47:56 J'ai connu la souffrance
01:47:59 L'érancé et la détresse
01:48:03 Les illusions perdues
01:48:05 À s'emprunter la tête
01:48:08 Ce que je suis, je l'ai arraché à la vie
01:48:15 Ce que je suis, je ne suis qu'un cri
01:48:21 Ce que je suis, je l'ai arraché à la vie
01:48:29 Ce que je suis, je ne suis qu'un cri
01:48:34 Ce que je suis, je l'ai arraché à la vie
01:49:02 Quand on est seul au monde, on ne serait plus d'histoire
01:49:05 Peu de plus d'amitié qu'on soit
01:49:08 Marlon James n'imitait ni son côtoir
01:49:11 Qui me tendait avait rempli d'espoir
01:49:14 J'ai goûté la violence
01:49:16 Et bien avant la tendresse
01:49:19 J'ai connu la souffrance
01:49:23 L'érancé et la détresse
01:49:26 Les illusions perdues
01:49:29 À s'emprunter la tête
01:49:33 Go!
01:49:59 Ce que je suis, je l'ai arraché à la vie
01:50:04 Ce que je suis, je ne suis qu'un cri
01:50:10 Ce que je suis, je l'ai arraché à la vie
01:50:17 Ce que je suis, je ne suis qu'un cri
01:50:23 Un cri, Johnny Hallyday dans le 6.9 France Bleu, Belfort Montbéliard, il est 9h moins 10
01:50:27 Bonjour Docteur Kierzek, comme chaque matin sur France Bleu on vous retrouve
01:50:31 Et ce matin, coup de projecteur sur le cancer du col de l'utérus
01:50:35 Bonjour à toutes et à tous, nous achevons la semaine européenne de prévention de ce cancer du col de l'utérus
01:50:40 puisqu'elle se termine aujourd'hui, c'est vraiment un sujet crucial qui touche la santé des femmes
01:50:44 et j'allais dire de tout âge, avec des gestes de prévention et de dépistage
01:50:48 le cancer du col de l'utérus, c'est la petite partie inférieure de l'utérus qui est concernée
01:50:53 c'est là où se développe ce cancer, c'est un cancer qui est très souvent lié à une infection
01:50:58 une infection qu'on attrape quand on est ado, qu'on va traîner un peu toute sa vie
01:51:02 c'est le fameux human papillomavirus, ce HPV, et c'est ce virus qui va d'abord créer des lésions inflammatoires
01:51:08 et puis après ça va donner des cellules précancéreuses, et ensuite ça risque de se transformer en cancer
01:51:14 et donc c'est tout l'enjeu de dépister avant, alors c'est un des facteurs de risque majeurs ce HPV
01:51:19 il y en a d'autres, le tabagisme par exemple, ou des pratiques sexuelles non protégées
01:51:23 qui augmentent aussi les risques de développer ce cancer
01:51:25 mais la bonne nouvelle, c'est qu'on a un vaccin, on en avait parlé, les collégiennes sont
01:51:30 et les collégiens aussi, mais les collégiennes pour le cancer du col de l'utérus sont invitées à se faire vacciner
01:51:35 c'est entre 11 et 14 ans, c'est deux doses, et si vous n'avez pas été vacciné entre 15 et 19 ans
01:51:40 il y a des séances de rattrapage qui sont possibles avec trois doses
01:51:43 et donc depuis cette année, tous les collèges doivent les proposer
01:51:46 Il n'y a pas que la vaccination, vous parliez de dépistage également docteur ?
01:51:49 Il n'y a pas que la vaccination, le dépistage précoce est essentiel, ça ne remplace pas les frottis
01:51:54 ce sont ces fameux frottis cervicaux, c'est un examen qui est simple, qui est rapide
01:51:58 et qui permet de détecter justement les changements précoces de ces cellules du col de l'utérus
01:52:03 avant qu'elles ne deviennent cancéreuses
01:52:05 Mesdames, si vous avez entre 25 et 29 ans, on va vous proposer ce test de dépistage
01:52:09 qui est réalisé tous les trois ans, on fait deux premiers tests qui sont à un an d'intervalle
01:52:13 si les résultats sont normaux, c'est après tous les trois ans
01:52:16 et si vous avez entre 30 et 65 ans, il y a un peu de nouveau, c'est toujours un frottis
01:52:20 mais là c'est le mode de test et d'analyse qui va être différent, c'est un test HPV-HR
01:52:26 c'est un dépistage du patrimoine génétique du virus
01:52:30 et donc c'est la fréquence qui est différente puisque ce test HPV-HR est réalisé trois ans après le dernier frottis que vous avez eu
01:52:37 et s'il est normal, on espace tous les cinq ans jusqu'à l'âge de 65 ans
01:52:42 évidemment si le test est négatif et s'il n'est pas négatif, il y a d'autres examens qui vous seront proposés
01:52:47 Parlez-en à votre médecin, à un médecin général, les gynéco ou sages-femmes, ils pourront vous renseigner
01:52:51 et d'ici là, portez-vous bien !
01:52:52 Merci beaucoup Dr Kierzek et n'oubliez pas l'émission médicale quotidienne sur France Bleu, Belfort-Montréal
01:52:58 C'est bonjour docteur, c'est à partir de 15h dans un instant, les idées sorties dans le Nord-Franche-Comté, Yvon Le Pérec
01:53:04 et tout de suite, Julien Clerc, c'est sur France Bleu, Belfort-Montréal
01:53:08 Mélissa, Médisse, Didi, ça vit toujours des vêtues
01:53:15 Dites jamais que je vous ai dit ça, oh Mélissa me tue
01:53:20 Le matin derrière, c'est Canisse, alors qu'elle est moitié nue
01:53:26 Sur les murs devant, j'ai Mélissa, y'a tout plein d'inconnus
01:53:31 Descendez ça, c'est défendu, oh c'est indécent
01:53:37 Elle crie mais bien entendu, personne ne descend
01:53:42 Sous la soie de sa jupe fendue, en zoom en grand plan
01:53:48 Tout un tas d'individus, filmes noirs et blancs
01:53:53 Mélissa, Médisse, Didi, ça, ah c'est ça tout pointu
01:53:58 Dites jamais que je vous ai dit ça, oh Mélissa me tue
01:54:03 Descendez ça, c'est défendu, vous m'attachez les gens
01:54:09 Elle crie mais bien entendu, y'a jamais d'argent
01:54:14 Elle grise du temps perdu, personne ne l'entend
01:54:20 La police est tout dévendu, disons qu'elle attend
01:54:25 Mélissa, Médisse, Didi, ça, ah toujours sa vertu
01:54:30 Dites jamais que je vous ai dit ça, oh Mélissa me tue
01:54:35 Oh, ma déma Médisse
01:54:40 Oh, ma Médisse est nue
01:54:45 Oh, ma déma Médisse
01:54:50 Oh, ma Médisse est nue
01:54:55 Mélissa, Médisse, Didi, ça, ah vis toujours des vêtus
01:55:01 Dites jamais que je vous ai dit ça, je vous ai jamais vu
01:55:07 Le matin derrière ses canices, alors je vends des longues vues
01:55:12 Mais si jamais Mélissa c'est ça, là c'est moi qui vote
01:55:18 Oh, ma déma Médisse
01:55:23 Oh, ma Médisse est nue
01:55:29 Oh, ma déma Médisse
01:55:34 Oh, ma Médisse est nue
01:55:39 Oh, ma déma Médisse
01:55:44 Oh, ma Médisse est nue
01:55:50 France Bleu, Belleforme, Montbéliard, Julien Clerc, au plein milieu des années 80
01:55:55 Avec ce tube incontournable Mélissa
01:55:58 Vous écoutez le 6/9 de France Bleu, vous suivez cette émission sur le canal 32 de la TNT
01:56:03 Comme tous les jours à partir de 7h, c'est sur France 3 Franche-Comté
01:56:06 Et pour ne pas manquer les idées sorties dans le Nord Franche-Comté
01:56:10 Je vous propose de retrouver Yvan Le Pérec, il y a des choses à faire chez nous Yvan
01:56:14 Oui, et on commence aujourd'hui avec un mot sur le festivers qui se déroule en ce moment par chez nous
01:56:19 Le festival de la chanson jeune public et demain il y aura le Petit Georges
01:56:23 Un spectacle d'ombre et de chansons qui tourne autour de l'histoire du Petit Georges
01:56:28 A partir de 8 ans, ça sera l'Auditorium de Lure
01:56:31 Quant à ce week-end, vendredi et samedi, ça sera Boom Boom Kids
01:56:35 Un show avec une démonstration de batterie en version enfant
01:56:38 C'est des 5 ans et ça sera donc à la poterière de Belleforme
01:56:41 Le 29, ça compte, c'est comme ça, que s'appellent les soirées organisées à Valentinier
01:56:46 Par la lueur des contes et ce soir, ce sera la comédienne Sophie Wilhem
01:56:51 Dans les contes, sous mon chapeau, plusieurs contes, des histoires courtes, etc
01:56:56 Participation libre, tout public, dès 12 ans à 20h15 et à la salle caresse de Valentinier
01:57:02 Jazz session avec le Conservatoire du Pays-non-Béliard
01:57:06 Des rencontres professionnelles mais aussi des concerts gratuits vendredi à 12h15
01:57:11 Pascrist Thomas invite Damien Grolo, à 20h30 toujours du jazz
01:57:15 Vendredi, avec la grande soirée, il y aura le FMR Orchestra
01:57:19 La fanfare du Contrevent et le groupe Watch His Head à 20h30
01:57:23 Et samedi, jazz session à 12h15, Hugo Diaz invite Alexandre Cayenne
01:57:29 Et animation jeunesse, mercredi, à Bibliothèque, la Clé des Chants de Belleforme
01:57:33 Un moment autour des albums jeunesse, CD 3 ans, c'est gratuit, place limitée
01:57:39 Merci beaucoup Yvan Le Pérec, vous souhaitez annoncer vos manifestations ?
01:57:43 Rendez-vous le week-end, 11h-12h30 avec l'ami Yvan
01:57:46 Soit vous venez dans nos locaux d'Irue-des-Capucins à Belfort
01:57:49 Soit vous nous appelez au 03 84 22 82 82
01:57:52 C'est gratuit pour annoncer vos manifestations
01:57:55 Parce que la vraie radio de service public, c'est France Bleu, Belfort-Montréal, c'est pas une autre
01:57:58 D'ailleurs on vous le prouve tous les matins avec Emmanuel Sabatier, Jean Sureda
01:58:01 à votre service dans un instant. Belle journée à toutes et à tous !

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