#Débutsdifficiles #Opportunité #Reconnaissance
Des débuts difficiles dans les médias
Faustine Bollaert, animatrice préférée des Français, a connu une ascension professionnelle progressive. Avant de gagner en popularité et de devenir une figure incontournable de la télévision, elle a travaillé dur pour se faire un nom. En tant que journaliste pour Télé 7 Jours, elle a tenté sa chance pour participer à l'émission Loft Story, mais n'a pas été sélectionnée. Elle a ensuite été recrutée par Alexandre Devoise pour l'émission Côté vacances sur France 3. Par la suite, elle a travaillé pour le magazine Closer et est devenue chroniqueuse pour Jean-Marc Morandini sur Europe 1. En 2005, elle est arrivée sur le service public en intégrant l'équipe de Vivement dimanche prochain, présentée par Michel Drucker.
Les mots durs de Jean-Pierre Elkabbach
Lors de son passage dans l'émission Quelle époque, Faustine Bollaert s'est remémoré ses débuts difficiles à la radio et à la télévision. Alors qu'elle était chroniqueuse dans l'émission Le grand direct des médias aux côtés de Jean-Marc Morandini, elle travaillait sous les ordres de Jean-Pierre Elkabbach, qui venait d'être nommé directeur de la station. Cependant, ce dernier n'a pas été tendre avec elle et était persuadé qu'elle ne réussirait jamais à cause des personnes qui l'entouraient, qualifiant ces personnes de "merdes".
Un compliment contrasté
Faustine Bollaert se souvient d'une phrase marquante prononcée par Jean-Pierre Elkabbach : "Vous êtes un diamant brut... avec plein de merdes autour ; et mon travail, ça va être de nettoyer ces merdes". Cette remarque a été très difficile à entendre pour la jeune animatrice, qui n'avait que 28 ans à l'époque. Bien qu'elle n'ait pas vraiment compris ce que l'homme des médias voulait dire par "merdes", elle considère qu'il lui a donné une chance en lui offrant une émission sur Europe 1.
Reconnaissance envers Jean-Pierre Elkabbach
En dépit des mots durs qu'elle a entendus de la part de Jean-Pierre Elkabbach, Faustine Bollaert garde un souvenir positif de cet homme qui a marqué sa carrière. Elle souligne l'importance de cette opportunité et le soutien qu'il lui a apportés en lui donnant l'occasion de travailler derrière un micro. Sans lui, elle ne serait peut-être pas là où elle en est aujourd'hui.
Carrière #Débutsdifficiles #Opportunité #Reconnaissance
Des débuts difficiles dans les médias
Faustine Bollaert, animatrice préférée des Français, a connu une ascension professionnelle progressive. Avant de gagner en popularité et de devenir une figure incontournable de la télévision, elle a travaillé dur pour se faire un nom. En tant que journaliste pour Télé 7 Jours, elle a tenté sa chance pour participer à l'émission Loft Story, mais n'a pas été sélectionnée. Elle a ensuite été recrutée par Alexandre Devoise pour l'émission Côté vacances sur France 3. Par la suite, elle a travaillé pour le magazine Closer et est devenue chroniqueuse pour Jean-Marc Morandini sur Europe 1. En 2005, elle est arrivée sur le service public en intégrant l'équipe de Vivement dimanche prochain, présentée par Michel Drucker.
Les mots durs de Jean-Pierre Elkabbach
Lors de son passage dans l'émission Quelle époque, Faustine Bollaert s'est remémoré ses débuts difficiles à la radio et à la télévision. Alors qu'elle était chroniqueuse dans l'émission Le grand direct des médias aux côtés de Jean-Marc Morandini, elle travaillait sous les ordres de Jean-Pierre Elkabbach, qui venait d'être nommé directeur de la station. Cependant, ce dernier n'a pas été tendre avec elle et était persuadé qu'elle ne réussirait jamais à cause des personnes qui l'entouraient, qualifiant ces personnes de "merdes".
Un compliment contrasté
Faustine Bollaert se souvient d'une phrase marquante prononcée par Jean-Pierre Elkabbach : "Vous êtes un diamant brut... avec plein de merdes autour ; et mon travail, ça va être de nettoyer ces merdes". Cette remarque a été très difficile à entendre pour la jeune animatrice, qui n'avait que 28 ans à l'époque. Bien qu'elle n'ait pas vraiment compris ce que l'homme des médias voulait dire par "merdes", elle considère qu'il lui a donné une chance en lui offrant une émission sur Europe 1.
Reconnaissance envers Jean-Pierre Elkabbach
En dépit des mots durs qu'elle a entendus de la part de Jean-Pierre Elkabbach, Faustine Bollaert garde un souvenir positif de cet homme qui a marqué sa carrière. Elle souligne l'importance de cette opportunité et le soutien qu'il lui a apportés en lui donnant l'occasion de travailler derrière un micro. Sans lui, elle ne serait peut-être pas là où elle en est aujourd'hui.
Carrière #Débutsdifficiles #Opportunité #Reconnaissance
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