Michaël ALOÏSIO, Directeur général délégué de Paris 2024
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 - Bonjour. - Numéro 2 du Cojo, comité d'organisation de ces Jeux de Paris 2024,
00:05 Michael Aloizio. Vous vous sentez comment en ce moment, six mois de ces Jeux ?
00:10 Impatient ? Fébrile ? Inquiet ? - Concentré.
00:13 - Concentré ? - Concentré. C'est vrai que ça passe vite,
00:16 il reste un peu plus de 180 jours avant la 6ème ouverture,
00:19 donc on est concentré sur la dernière ligne droite.
00:21 On a encore pas mal d'épreuves test qui vont se dérouler au printemps
00:24 et toutes les équipes sont mobilisées pour préparer à la fois les 878 épreuves.
00:28 Donc c'est quelque chose de considérable.
00:30 Mais il existe également les cérémonies et puis le relais de la flamme,
00:33 parce que la flamme va revenir en France le 8 mai à Marseille
00:36 et va pouvoir passer dans pratiquement tous les territoires pendant plusieurs semaines
00:42 jusqu'à la 2ème ouverture le 26 juillet.
00:44 - Alors on va revenir sur cette cérémonie d'ouverture,
00:46 mais quand même, est-ce que vous n'avez pas un petit peu inquiet,
00:48 est-ce que vous n'avez pas peur de ce climat de crise sociale,
00:51 que tous ces mouvements sociaux viennent percuter les JO cet été ?
00:57 - On a conscience que les revendications sociales, les difficultés ne vont pas s'arrêter
01:02 parce qu'on organise les JO cet été, donc on observe.
01:04 Après, on a besoin de rester concentré sur notre rôle de comité d'organisation des JO
01:09 qui va être l'organisation de l'ensemble de ces épreuves
01:11 pour accueillir tous ces athlètes du monde entier, les délégations et les spectateurs
01:15 et que ça se passe dans les meilleures conditions.
01:17 - C'est quand même pas très bon pour l'image de Paris ?
01:19 - Nous on est concentré sur l'image qu'on va vouloir donner cet été
01:24 et tous les ingrédients sont réunis, on va avoir une cérémonie d'ouverture assez extraordinaire
01:29 sur laquelle travaille Thomas Joliet et son équipe,
01:31 on a des sites de compétition emblématiques et on est mobilisés pour faire rayonner la France cet été.
01:36 - Faire rayonner donc Paris.
01:38 On pose la question aussi ce matin aux auditeurs,
01:41 est-ce qu'il faut s'inquiéter justement pour l'image de Paris ?
01:43 Maryse nous appelle au 01 42 30 10 10.
01:47 - Oui Maryse, bonjour à Roissy-en-Brie.
01:48 - Et bonjour à toute l'équipe française.
01:50 - Comment vous vous sentez ce matin à 6 mois la toupie, la 182 jours ?
01:54 - Un petit peu inquiète quand même pour cette cérémonie des Jeux Olympiques
01:59 avec ce qui est en train de se passer en ce moment tout autour de Paris
02:04 et dans toute la France et même en Europe, le problème des agriculteurs.
02:08 - Mais est-ce que vous ne pensez pas que cette compétition internationale
02:10 peut fédérer, faire oublier les difficultés du pays
02:13 comme on l'a vu ces derniers mois pour le mondial de foot, tout le monde était derrière les bleus ?
02:18 - Oui mais là c'est quand même une revendication assez importante quand même.
02:21 Donc ça va mobiliser quand même.
02:26 Et il n'y a pas forcément aussi que les agriculteurs,
02:28 j'ai peur que d'autres catégories viennent se greffer justement
02:33 à cette revendication des agriculteurs.
02:36 - Effectivement Maryse, c'est bien de le noter.
02:39 On va faire réagir Mickaël Alouizio.
02:41 Est-ce que vous avez peur d'une contagion ?
02:44 - Alors on observe ce qui se passe et les acteurs publics sont mobilisés.
02:50 Donc je vous dis, on est plus concentrés sur notre...
02:53 - Mobiliser ça veut dire quoi ? Est-ce que vous avez des plans B ?
02:56 Des plans de réaction ?
02:57 - Alors on a des plans de contingence pour l'ensemble de nos sujets.
03:01 On l'a vu sur les cérémonies, sur l'ensemble de nos sujets,
03:03 on a des plans de contingence en fonction des situations
03:06 qui peuvent être extrêmement différentes.
03:07 - Et donc en cas de grève générale, de mouvements socials massifs, il se passe quoi ?
03:11 - Alors déjà on échange avec l'ensemble de ses acteurs.
03:13 On a, et c'est assez inédit à l'échelle des Jeux Olympiques,
03:15 créé un comité de la charte sociale avec les cinq plus grandes organisations syndicales.
03:19 On a notamment Bernard Thibault qui travaille à nos côtés sur l'ensemble de ces sujets.
03:23 Donc on est beaucoup dans le dialogue avec ces organisations pour anticiper.
03:26 Je vous le disais, on a conscience que les revendications,
03:29 les difficultés ne s'arrêteront pas pendant les Jeux Olympiques.
03:31 L'enjeu pour nous c'est de rester très connectés à ces acteurs
03:34 pour pouvoir préserver l'organisation des Jeux.
03:37 On va accueillir le monde, 206 pays qui vont participer aux Jeux
03:41 et on va vouloir montrer le meilleur de la France à cette occasion.
03:44 - Mickaël, Aloysio, parlons d'un autre dossier qui peut peut-être
03:49 soulever quelques inquiétudes, les retards de chantier.
03:51 Où est-ce qu'on en est ? Est-ce qu'on s'y apprête ?
03:53 - Alors non ! Non, non, non !
03:55 Pour vous donner un point de comparaison par rapport à d'autres éditions des Jeux Olympiques,
04:00 un élément qui est extrêmement important, on avait fait un choix très fort au départ
04:03 de capitaliser énormément sur l'existant.
04:05 On construit entre 10 et 15 fois moins d'équipements sportifs
04:08 que les autres éditions des Jeux.
04:09 Et les chantiers sont à l'heure grâce au travail remarquable de la Solidéo.
04:12 On va prendre possession du village olympique le 1er mars
04:15 et le centre aquatique a même un mois d'avance.
04:17 Donc il faut le rappeler, il y a un travail remarquable qui a été fait
04:20 et les infrastructures sont dans les temps.
04:22 - Quand même sur l'éco-quartier du village olympique sur l'île Saint-Denis,
04:26 c'est la bérésina, disent les ouvriers.
04:28 Il sera prêt mais pas forcément comme prévu.
04:31 - Alors, vous me disiez, nous on va prendre possession du village le 1er mars.
04:33 Il y a effectivement une partie du village qui est un petit peu retardée
04:37 mais qui ne nous impacte pas parce qu'on commence à aménager par phase.
04:40 Donc ça n'a pas d'impact pour nous sur la livraison des Jeux
04:42 et on prendra bien possession du village comme prévu le 1er mars.
04:45 - Alors on note, on sera prêt, Mickaël Aloysio.
04:48 - Je lis même avec de l'avance sur le centre aquatique.
04:50 - On surveille le calendrier.
04:52 Et on continue de réagir au 01.42.30.10.
04:55 - On a hâte aussi d'avoir l'ouverture de la Didas Arena
04:58 qui est porte de la chapelle dans les toutes prochaines semaines.
05:00 On va vous faire vivre ça.
05:02 - La semaine prochaine.
05:02 - On accueillera d'ailleurs une épreuve test en badminton au mois de mars
05:06 dans l'aréna pour continuer à se préparer pour les Jeux.
05:08 - Pour voir comment ça sonne.
05:09 - Exactement.
05:10 - Frédéric, bonjour, à mon repas.
05:12 - Bonjour.
05:14 - Comment vous sentez-vous ce matin à 6 mois de ces 2 Jeux Olympiques de Paris 2024 ?
05:19 - Ah bah du tout, ça va être de plus en plus le bazar pour être poli dans l'île de France.
05:23 Tout simplement.
05:24 - Bazar à quel niveau ?
05:26 - Quand vous mettez déjà aujourd'hui 1h...
05:28 Moi je travaille dans le 94, je prends la voiture
05:30 et vous mettez déjà 1h30, 1h40 pour y aller.
05:33 On va boucher pour déplacer que certaines personnes ou autres.
05:37 La voie de la 13, la voie du périph' personnellement,
05:40 et certains collègues vont chercher moi-même à quitter la France.
05:43 Donc, hors de question.
05:46 Et je rentre d'un pays d'Asie, du Japon pour ne pas le nommer, Tokyo.
05:50 Entre la propreté de la France et les transports, c'est totalement différent.
05:54 Je pense que les transports ne sont pas à la hauteur.
05:56 Dans leur dossier, ils avaient mis que les 5 lignes seraient prêtes du Grand Paris.
06:01 Il n'y aura qu'une ligne d'ouverte.
06:02 Ça a été annoncé aux informations ce week-end.
06:07 Ce qui prouve bien que la France ne sera pas à la hauteur du dossier qu'elle a présenté.
06:11 Les menaces à l'impact, etc.
06:14 Faire une grande cérémonie d'ouverture sur la scène,
06:17 je pense qu'on ouvre le risque encore plus grand.
06:20 - Merci beaucoup Frédéric pour ce témoignage,
06:22 parce que vous soulevez plein de points essentiels.
06:25 Et Mickaël Aloysio, le numéro 2 du comité d'organisation,
06:30 va vous répondre concernant le gros dossier transports-circulation.
06:37 Mickaël Aloysio, on le répète, on est à 6 mois des JO.
06:39 Quand est-ce qu'on aura des infos précises sur les restrictions de circulation jour par jour
06:45 pour que les gens, les entreprises, puissent s'organiser ?
06:48 - Peut-être revenir sur la réaction de cette Twitter qui est légitime.
06:52 Il y a pas mal d'inquiétudes en amont des très grands événements.
06:54 J'ai eu la chance d'être en poste à Londres avant les Jeux Olympiques de Londres.
06:57 C'était exactement les mêmes inquiétudes qui accompagnaient les habitants.
07:02 Moi j'ai un message à faire passer, ne partez pas.
07:05 Restez, ça va être assez extraordinaire.
07:07 On va avoir la chance de vivre un événement unique.
07:10 Même sans billet, il va se passer beaucoup de choses, beaucoup d'animations.
07:14 On va avoir un parc des champions, un club France, des épreuves sur route,
07:16 il va se passer beaucoup de choses.
07:17 Rester à Paris, ça va être extraordinaire.
07:19 Sur la question des transports, on a choisi une période pour organiser les Jeux Olympiques
07:23 qui est une période la plus creuse de l'année.
07:25 On est par rapport à une journée normale sur les transports en commun,
07:28 entre 20 et 30% de trafic en moins.
07:31 Les Jeux Olympiques font remonter ce besoin de 15%.
07:34 Donc par rapport à une journée normale, on est en dessous.
07:36 La réalité, c'est que ces flux se concentrent sur certaines lignes.
07:40 C'est pour ça que les acteurs des transports viennent remonter.
07:43 On sera prêt.
07:44 On sera prêt.
07:44 Le trafic entre 15%.
07:45 Vous le répétez.
07:46 On sera prêt.
07:47 Ani Dalgo répète qu'on ne sera pas prêt.
07:49 Le préfet de la région dit que ce sera l'amboli.
07:51 Mais vous répétez, on sera prêt.
07:53 Non, non, on sera prêt.
07:54 Ani Dalgo a dit qu'on serait prêt à accueillir le monde
07:56 et que ça allait être un événement extraordinaire.
07:58 Tous les acteurs des transports travaillent sur ce sujet.
08:01 Peut-être que vous avez parlé des restrictions de circulation.
08:03 La circulation, effectivement.
08:04 Il y a un travail, encore une fois, assez inédit qui a été fait
08:07 avec la préfecture de police de la ville de Paris,
08:09 plusieurs mois avant les Jeux, d'anticipation.
08:11 Alors quand est-ce qu'on aura les infos précises ?
08:12 Le préfet de police a déjà eu l'occasion de communiquer les infos précises avec les cartes.
08:16 Donc aujourd'hui, tout est disponible sur le site de la préfecture,
08:19 sur le site de la ville de Paris.
08:20 Vous avez une foire aux questions qui est extrêmement bien faite.
08:22 Vous avez à la fois des restrictions de circulation à l'approche des sites,
08:25 parce qu'on ne peut pas entrer en véhicule lorsqu'on est sur un site de compétition
08:28 comme Place de la Concorde.
08:29 On a parfois des zones de contournement où on invite les gens
08:32 qui n'ont pas à se rendre précisément à Pluton.
08:34 Mais des discussions étaient prévues là en début d'année
08:36 justement pour préciser les choses.
08:39 Pour l'ajuster.
08:39 Pour les habitants et pour les professionnels.
08:41 Je pense aux professionnels du BTP qui ne savent pas trop
08:44 s'ils vont pouvoir faire leur chantier.
08:45 Exactement. Il y a tout un travail qui a été fait avec la préfecture de la ville de Paris
08:48 et qui a été suivi par une concertation pour adapter.
08:51 Parce qu'entre ce qui a été prévu et les échanges,
08:54 il y aura sans doute des adaptations nécessaires.
08:55 Donc ces concertations se poursuivent.
08:57 Ce qu'il faut retenir là-dedans, c'est qu'il y a une très grande anticipation,
09:00 qu'il y a une ambition de limitation des impacts
09:02 et qu'il y a surtout une transparence et une concertation avec tous ces acteurs.
09:05 Donc tout n'est pas encore finalisé.
09:07 En 180 jours, les concertations se poursuivent par la préfecture.
09:11 Je n'ai pas de date précise à vous donner.
09:13 Mais je peux vous dire que c'est très anticipé.
09:16 On a eu l'occasion de communiquer dès la fin de l'année sur ces sujets-là,
09:19 plus de huit mois avant les jeux.
09:20 On va avancer maintenant sur la cérémonie d'ouverture le 26 juillet prochain.
09:26 Question sécuritaire que soulevait Frédéric.
09:30 Est-ce qu'on aura assez d'agents, de police, de gendarmes pour sécuriser le secteur ?
09:34 Oui.
09:35 Là-dessus, on est prêt ?
09:36 Oui, on est prêt.
09:38 Bien évidemment, si la question est de savoir
09:41 si c'est plus compliqué d'organiser une cérémonie d'ouverture sur la Seine
09:44 que dans un stade, la réponse est bien évidemment oui.
09:46 Avant de valider cette décision, il y a eu plus d'un an de travail
09:50 avec les acteurs publics, le ministère de l'Intérieur, la Ville de Paris, la préfecture
09:54 pour s'assurer que la France est capable d'organiser cet événement.
09:57 Et la réponse est oui.
09:58 Et tout le monde est au travail pour finaliser cette cérémonie.
10:01 Question sur la jauge.
10:03 Est-ce qu'on a le chiffre ?
10:04 Non, nous n'avons pas encore le chiffre.
10:06 Il y a des discussions encore en cours.
10:09 Alors, je n'ai là encore pas de date à vous donner.
10:12 La préfecture échange notamment le sujet des bouquinistes avec la question de...
10:16 Pas de date, mais peut-être un mois, une échéance.
10:19 Non, je veux que tout le monde comprenne bien, on était sur 600 000,
10:23 c'est descendu à 500 000 et on en est normalement...
10:25 Et maintenant on parle de 400 000.
10:26 Dans tous les cas, ce qu'il faut retenir, c'est qu'on est très au-delà
10:30 de ce qu'on aurait fait dans un stade et surtout, on est la première cérémonie
10:33 avec sur l'équéau des accès gratuits.
10:36 Ça ne s'est jamais fait pour la Seine d'ouverture.
10:38 Donc à la fin, la jauge sera ajustée pour des questions de sécurité,
10:41 d'accès, de gestion non plus.
10:43 Mais quoi qu'il arrive, nous serons dans une cérémonie
10:45 qui accueillera beaucoup plus de monde que dans un stade.
10:47 Alors faites-nous rêver un petit peu, Mickaël Aloysio,
10:50 parce que vous l'entendez, on est assez inquiets,
10:53 il y a pas mal d'inquiétudes.
10:54 Vous dites "rester à Paris".
10:56 Faites-nous rêver, dites-nous quelque chose sur cette cérémonie d'ouverture.
10:59 Dites-nous quelque chose sur la basque, Israël,
11:01 aimée peut-être par la femme olympique.
11:04 Donnez-nous quelque chose, ce matin.
11:06 Il faut quand même qu'on vous garde quelques surprises.
11:06 On va avoir dans les prochains jours quelques annonces.
11:09 On va notamment le 8 février dévoiler la médaille des Jeux.
11:11 Vous savez, c'est le symbole le plus attendu des Jeux.
11:13 C'est pas sur la cérémonie, la médaille.
11:15 Le 8 février. Non, mais c'est des annonces qui restent,
11:17 parce que sur la cérémonie, on va vouloir garder des choses secrètes.
11:21 Mais les répétitions, c'est en ce moment.
11:23 Et c'est à ciel ouvert, donc à un moment donné, vous n'allez pas pouvoir tout cacher.
11:25 Exactement. On ne pourra pas tout cacher,
11:27 mais on ne répète pas actuellement à ciel ouvert.
11:29 Sur la scène, on a fait des tests de navigation.
11:33 Vous ne voulez rien lâcher ce matin.
11:35 Est-ce qu'on peut imaginer que notre doyen d'Île-de-France,
11:37 par exemple, soit le dernier à allumer la basque ?
11:39 Charles Coste, que vous avez interrogé tout à l'heure.
11:41 Est-ce que ça, vous pouvez l'imaginer ?
11:43 Non, le dernier relayeur fera partie des surprises de la cérémonie.
11:51 Donc malheureusement, je ne vous le dévoilerai pas aujourd'hui.
11:53 Grosse surprise, grand nom français.
11:55 Mais pour vous faire rêver, je peux vous dire que c'est complètement dingue.
11:57 On va avoir sur 6 km de quais, le plus grand choix.
12:01 Est-ce que vous avez des artistes qui vous ont dit oui pour participer ?
12:03 Mais bien sûr.
12:05 On ne lâche rien ce matin.
12:07 Non, mais les artistes, je ne sais pas, Vianney ?
12:09 Mais bien évidemment.
12:11 David Guetta ?
12:13 Bien évidemment, on a les accords. On est à 6 mois des Jeux.
12:15 Bien évidemment, on a les accords d'un certain nombre d'artistes.
12:17 Qui ?
12:19 Sur la cérémonie de Verture. Je ne vous les donnerai pas aujourd'hui.
12:21 Mais je vous invite à rester à Paris, à vous mobiliser sur les Jeux.
12:25 D'ailleurs, on n'en a pas parlé, mais on a les Jeux paralympiques également.
12:27 Ça va être un moment extraordinaire.
12:29 On invite tous les Français à venir soutenir les athlètes dans les stades.
12:31 Il y a encore des billets.
12:33 Il y a encore des billets. Tickets avec un S.
12:35 Paris24.org. Les Jeux paralympiques, bien évidemment.
12:37 C'est noté. Merci beaucoup, Mickaël.
12:39 Aloysio. Et on ne vous dit pas merci pour ne pas nous avoir donné quelques petits secrets de la cérémonie de Verture.
12:45 Mais je peux vous dire que vous allez adorer la cérémonie.
12:47 Elle va être assez extraordinaire.
12:49 C'est qui votre artiste préféré, vous, par exemple ?
12:51 Vous savez que c'est Thomas Joly, notre directeur artistique.
12:53 Donc, on le laisse avancer.
12:55 On aura à essayer.
12:57 Merci en tout cas. Merci à vous.
12:59 Est-ce qu'on peut vous laisser une lettre pour inviter Thomas Joly d'ici le 26 juillet ?
13:01 Oui.
13:03 Bon, parfait. Ça, au moins, on aura le metteur en scène.
13:05 On va en tue-der quelque chose ! Et on le cuisinera de nouveau ! Allez, bonne journée !