Epicentro

  • il y a 8 mois
Devant la caméra de Hubert Sauper, les adolescents Leonelis Arango Salas et Annielys Pelladito Zaldivar observent ce qui se passe dans les rues de La Havane. Ils sont Cubains et fiers de l'être qui semblent aussi avoir une bonne connaissance de l'histoire de l'île. Au fil des rencontres avec les habitants, on évoque les invasions espagnole et américaine, la révolution communiste, le grand partenariat avec l'Union soviétique, le fait d'essayer de ne pas succomber aux méfaits du capitalisme et du danger pour Cuba de devenir une économie touristique...
Transcript
00:00 [Musique]
00:03 Pouvez-vous voir l'île cubaine ?
00:05 Vous l'avez manqué, parce que vos yeux suivent les lumières brillantes et le pouvoir de l'Empire.
00:13 [Musique]
00:17 Havana signifie "Ciel" et c'était l'épicentre de trois chapitres dystopiens de l'Histoire.
00:24 Le trahison, la colonisation et la globalisation du pouvoir.
00:28 [Explosion]
00:30 Barrimos con los españoles.
00:33 Y en su lugar, la bandera de la libertad.
00:38 [Cris]
00:42 Los españoles cogieron a los negros como esclavos.
00:45 Era sobre la intervención de los norteamericanos en Cuba y eso fue una cosa muy cruel, pero se pudo luchar contra eso.
00:54 [Explosion]
00:56 [Musique]
00:58 Y gracias a Fidel Alejandro Castro Ruz, tenemos hospitales, trabajos y escuelas.
01:06 [Musique]
01:13 Patio muerte, venceremos.
01:15 Venceremos !
01:17 [Rires]
01:19 [Musique]
01:21 Aquí hacíamos la azúcar de la Coca-Cola.
01:23 La Coca-Cola no vuelve ?
01:25 Non, non, non.
01:27 [Musique]
01:30 Le président nous a laissé partir.
01:32 On ressemble à Bush, à tous ces gens, à Roussevel, à Rosenvel et à tous ces fils de pute.
01:38 [Musique]
01:43 C'est mon paradis !
01:45 [Explosion]
01:47 [Musique]
01:50 [Explosion]
01:52 [Musique]
01:55 [SILENCE]

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