le journal du Cateau du 13 01 24

  • il y a 8 mois
Invités : Daniel Campin (Restos du coeur) et Aline Ribeiro (Le Cateau Expansion)
Reportages :
- remise de diplômes aux nouveaux aides soignants
- signature d'une convention pour le départ du Paris Roubaix espoirs
- aménagement de l'intérieur de l'abbatiale en vue des travaux de rénovation
- assemblée générale du club de pétanque
- les archives de BV
Transcript
00:00 Chers amis de BFROvision, je suis très heureux de vous présenter cette émission.
00:03 Nous avons un invité, Daniel Campin. Daniel, bonjour.
00:06 Bonjour.
00:07 Merci d'avoir répondu à notre invitation.
00:10 Et donc, on va parler un petit peu des Restos du Cœur que tu t'en occupes déjà depuis quelques années.
00:15 On en reparlera.
00:16 Mais je te propose de voir un petit peu les sujets qui vont être abordés au cours de ce journal.
00:21 La remise des diplômes aux aides-soignants.
00:23 Ça, c'est important et on les encourage.
00:27 Il y a eu une signature d'une convention pour la course Paris-Roubaix-Espoir qui se déroulera au Kato.
00:32 C'est à noter.
00:33 L'aménagement de l'intérieur de la Bastiale en vue des prochains travaux sera le sujet suivant.
00:38 Nous parlons également de l'Assemblée Générale du Club de Pétanque.
00:41 Pour terminer avec les archives de BFROvision avec les travaux de la brasserie.
00:45 Donc toi, tu t'occupes des Restos du Cœur. Ça fait combien d'années exactement ?
00:49 16 ans. 16 ans que je suis au Restos du Cœur.
00:51 C'était hier.
00:53 C'était hier, oui. Mais ça a bien changé.
00:55 On ne va pas reparler un petit peu les Restos du Cœur, la création, etc.
00:59 Mais finalement, ça devait être éphémère.
01:02 Et en 2024, ça existe toujours.
01:04 Quasiment dans toutes les communes.
01:07 Je vois même sur Ors, on essaye de faire plaisir.
01:11 Il y a un camion qui va.
01:13 Alors, quel est le but primordial des Restos du Cœur ?
01:18 Ça n'a pas changé.
01:19 C'est d'apporter de l'aide. Je regarde la caméra.
01:21 C'est d'apporter de l'aide alimentaire aux personnes les plus démunies.
01:25 C'est la base de tout.
01:27 Et donc, voilà.
01:28 Avant tout, est-ce que je prends la parole maintenant ?
01:31 Bien sûr.
01:32 Voilà. Bon, je voudrais présenter mes vœux aux cathésiens.
01:35 Parce qu'on est encore dans le temps des vœux.
01:36 Donc, je souhaite une belle et bonne année à tous les cathésiens.
01:41 Et puis, j'espère que surtout, j'ai une pensée pour ceux qui sont malades,
01:46 qui ont des difficultés.
01:49 Je pense à eux et je leur souhaite pour les uns un bon rétablissement,
01:55 une bonne santé.
01:57 Donc, ce que je voudrais faire aussi, c'est remercier beaucoup de nos partenaires.
02:03 D'abord, les cathésiens, je voudrais dire qu'ils ont été très généreux
02:09 lors de notre collecte du mois d'octobre 2023.
02:13 On a pu, avec les deux magasins qu'on occupait,
02:17 récupérer, collecter une tonne trois de marchandises.
02:21 C'est pas mal.
02:22 C'était bien.
02:23 Surtout, on était en grande difficulté à ce moment-là
02:27 puisqu'on n'avait pas de lait depuis plusieurs mois.
02:29 Et ça nous a permis vraiment de faire la jointure,
02:33 de donner ce que nous devions aux personnes épidémiques.
02:38 Alors...
02:39 Vas-y, continue.
02:40 Je voudrais aussi remercier le fournil cathésien
02:43 qui nous donne chaque semaine, à chaque distribution du pain
02:47 que nous donnons immédiatement, bien sûr, à nos bénéficiaires.
02:51 Je voudrais remercier aussi la pommeraie du Quenley
02:53 qui, à l'automne, nous donne des pommes
02:56 que nous allons rechercher nous-mêmes, que nous allons cueillir.
02:59 Et puis, on les distribue tout au long du mois de novembre, décembre,
03:04 et quelques fois janvier quand on en a beaucoup.
03:06 Voilà.
03:07 Je remercie aussi...
03:11 Vraiment des producteurs de pommes de terre
03:14 qui sont à Arras et à Bermerin
03:17 et qui nous donnent des pommes de terre en nombre vraiment important
03:22 qu'on remet tout de suite, bien sûr, à nos bénéficiaires.
03:25 De la même manière, cette année, en décembre,
03:29 le collège Jean Rostand avec M.Depré,
03:31 qui est professeur d'anglais et professeur principal d'une classe,
03:34 ils ont fait une collecte au sein du collège.
03:37 C'est pas la première fois.
03:38 Organisé par les élèves.
03:39 Organisé par les élèves.
03:40 Ils ont vraiment fait une campagne, etc.
03:43 Ils nous ont même collecté des jouets de Noël, des livres,
03:47 beaucoup de livres, vraiment formidables.
03:49 On les remercie encore parce que c'est vrai que c'est les jeunes,
03:53 quand ils pensent aux plus démunis, c'est toujours un plaisir.
03:57 Le lycée Camille Desmoulins aussi, qui régulièrement nous aide
04:00 lorsque les jeunes aussi font une collecte.
04:02 Cette année, il n'en a pas fait, mais l'année dernière, il y en avait une.
04:05 Tous les bénévoles, bien sûr.
04:07 On est actuellement le centre des Restos du Cœur.
04:09 J'ai beaucoup de choses à dire.
04:11 On est 26 actuellement au centre du plateau.
04:15 C'est pas mal.
04:16 Il faut être 26 parce qu'il y a toujours des absents, 5, 6 absents.
04:19 Pour bien faire, il faut être entre 18 et 20 pour tourner convenablement.
04:24 Comment ça s'organise ?
04:26 On est bénévole au Restos du Cœur, comment ça s'organise ?
04:29 Aujourd'hui, on est bénévole.
04:31 Une fois que j'ai accepté la candidature,
04:36 je fais signer la charte des Restos du Cœur qui est impérative.
04:40 On n'a pas le droit de sortir de cette charte.
04:43 Tout ce qui est marqué dans la charte, on doit l'appliquer sans discussion.
04:47 C'est ce que font tous nos gens.
04:50 Une fois que la personne s'inscrit, je la guide vers un poste.
04:56 Comment ça fonctionne aujourd'hui au Restos du Cœur ?
04:58 Le lundi après-midi, il y a 4 véhicules qui s'en vont vers Rheim
05:02 pour chercher les marchandises.
05:04 J'ai 2 chauffeurs et 2 accompagnateurs.
05:08 Il faut 4 personnes systématiquement.
05:10 Quand ils sont rentrés, ils partent à 1h30.
05:12 Quand ils sont rentrés à 15h30, 16h,
05:15 tous les autres sont là au local.
05:18 Pour faire décharger.
05:20 On décharge les camions et on renvoie les camions au service technique le plus vite possible.
05:23 C'est le service technique qui prête les véhicules ?
05:25 C'est la ville.
05:27 J'ai un peu esquivé du fait que je parlais de...
05:32 J'aurais voulu remercier avant tout, avant de commencer quoi que ce soit,
05:35 remercier tout le monde.
05:37 Par exemple, on parle des services techniques,
05:39 je remercie le maire, le conseil municipal,
05:42 qui nous met à la disposition un local, des frigos, l'électricité, etc.
05:47 Tout ça, c'est à la charge de l'Etat commun.
05:49 C'est énorme, comme une grosse machine, les Restos du Cœur.
05:52 Donc, je voulais remercier les services techniques.
05:56 On peut leur demander quoi que ce soit,
05:58 ils sont tout de suite à notre écoute.
06:00 Prêt à vous aider.
06:01 A notre écoute, toujours. Pas de problème.
06:03 Je remercie également le département.
06:05 Le département qui, au moment le plus crucial,
06:07 nous a fait les paniers solidaires, juste à la fin de la campagne d'été.
06:10 Et on a pu récupérer pratiquement 500 paniers solidaires
06:15 au niveau du Câteau. C'était formidable.
06:17 On les a répartis un peu...
06:19 C'était pour l'arrondissement, donc on les a répartis.
06:21 Mais ça nous a fait une bouée de secours.
06:25 Parce que cette année, vous avez eu des difficultés pour avoir des victuailles.
06:29 Une fois que j'aurai donné tous mes remerciements,
06:33 je dirai exactement où on en est pour les Restos du Cœur.
06:35 On a du temps devant nous.
06:37 Allez, vas-y. L'antenne est à toi.
06:39 Le département, j'en ai parlé.
06:42 Le Lions Club, dont je sais que tu es partie prenante.
06:48 Vous nous aidez, et ça c'est formidable,
06:50 parce que ça nous donne des moyens
06:52 que je serai obligé de demander à la ville.
06:56 Les Restos du Cœur ne peuvent pas nous donner.
06:58 Donc là, nous, on vous a aidé au niveau logistique.
07:01 C'est pas la première année.
07:03 C'est pour nous, pour les bénévoles, pour améliorer tout ce qu'il nous faut.
07:07 Pour acheter des cartouches à imprimanter.
07:10 Le CCAS aussi, je peux leur demander quoi que ce soit.
07:13 Par exemple, la fabrication de nos cartes pour les bénéficiaires.
07:19 Il y a plein de choses à faire.
07:21 Maintenant, photocopie, on est plus à l'aise,
07:24 puisque tu nous as donné une photocopieuse et des cartouches.
07:27 Déjà, on se doute de ça nous-mêmes.
07:29 Je voudrais aussi dire aux cathésiens que l'Europe,
07:33 l'Europe dont on parle beaucoup,
07:35 dont on dénigre souvent,
07:37 elle nous donne environ aux Restos du Cœur 30% de nos produits.
07:41 Ça s'appelle le FED et le FSE.
07:43 Le FED, c'est le Fonds Européen d'Aide aux Plus Démunis.
07:48 Et puis le Fonds Social Européen.
07:52 30%, c'est énorme.
07:54 C'est énorme, 30%.
07:55 Et donc, il y a beaucoup de pays qui voudraient voir disparaître ça.
07:58 Donc, moi, je dis heureusement qu'ils sont là,
08:01 parce que sinon, ça serait encore pire.
08:03 Donc, aujourd'hui, maintenant que j'ai remercié tout le monde,
08:07 je voudrais dire que les restos sont en grande difficulté
08:11 depuis juillet 2023.
08:13 On s'est aperçu, Patrice Douré, le grand président,
08:16 il s'est aperçu qu'on allait au crash.
08:18 Et donc, si on continuait tel que,
08:20 on n'avait plus les ressources nécessaires pour faire face
08:23 à ce que l'on fait d'habitude.
08:25 C'est-à-dire, 130 millions, 170 millions de repas
08:31 qui ont été donnés en 2023,
08:32 alors qu'avant, en 2022, on en faisait 130 millions.
08:35 C'est une énorme différence.
08:37 Et donc, fort de ça, ils ont décidé de réduire la voilure,
08:42 comme on dit.
08:43 - Oui, on l'a entendu parler.
08:45 - Oui, ça s'est passé partout, dans les radios et tout ça.
08:49 Donc, on a diminué le barème, le barème d'hiver,
08:55 qui avant était un barème plus important que celui d'été.
08:59 On est revenu au barème d'été.
09:01 Donc, on maintient le barème d'été.
09:02 Ça fait qu'on a dû refuser du monde, pour la première fois,
09:07 pour la première fois, les Restos du Coeur,
09:08 on a dû refuser du monde à l'inscription.
09:11 C'était extraordinaire.
09:12 Depuis 1985, nous sommes dans notre 39e campagne.
09:16 Depuis 1985, ça ne s'était jamais arrivé.
09:18 Et là, il a fallu cette obligation de réduction,
09:23 pour voir qu'on a refusé un certain nombre de personnes,
09:27 à peu près en plus grand, 30%.
09:28 - Alors qu'on s'aperçoit qu'il y a de plus en plus de monde
09:30 qui en ont besoin.
09:31 - Alors, on s'aperçoit, oui, il y a de plus en plus de monde.
09:35 Encore que, moi, j'ai de l'expérience, j'ai 16 ans,
09:39 on a tourné avec, dans le temps, on avait 220, 230 familles.
09:43 Aujourd'hui, on est à 160.
09:45 Donc, on ne peut pas dire qu'il y a une augmentation.
09:48 160, parce qu'on a réduit.
09:50 - Oui.
09:51 - Sinon, on serait dans les 200.
09:53 - Vous avez fait une sélection.
09:54 - Ce n'est pas nous, c'est la machine.
09:55 En définitive, maintenant, c'est tellement informatisé,
09:57 qu'en fonction de ce qu'on nous donne comme information
09:59 et ce qu'on vérifie comme information financière,
10:01 eh bien, voilà, on dit oui ou non.
10:05 C'est la machine.
10:06 Donc, ça a été, alors, les deux mesures phares, c'est ça.
10:11 C'est réduction, donc, du barème et surtout,
10:14 réduction du nombre de repas servis.
10:16 Je donne un exemple.
10:18 En 2023, quand je faisais une distribution,
10:21 je donnais environ 2700 repas pour 400 personnes,
10:26 190 familles.
10:27 Aujourd'hui, en 2024, je donne, en repas,
10:32 je donne 1400 repas, c'est-à-dire beaucoup moins,
10:35 pour 308 adultes et 135 familles.
10:41 Alors, on a beaucoup d'aide, c'est vrai,
10:45 on reçoit encore beaucoup de produits, quand même,
10:49 parce que, alors, la grande modification
10:53 qui a eu le reste du cœur en 2023, c'est AIDA,
10:56 adaptation de l'aide alimentaire.
10:59 On a inversé le système de commande.
11:01 Et donc, maintenant, avant, c'était l'antenne nationale
11:04 et les antennes départementales qui décidaient pour nous.
11:07 Maintenant, c'est nous qui décidons,
11:09 et donc, ça nous demande un travail phénoménal.
11:11 Enfin, c'est vrai, il faut reconnaître que...
11:13 Le lundi, j'explique, le lundi, je fais un besoin,
11:16 on fait un besoin, on exprime un besoin
11:19 sur l'antenne nationale en fonction de nos inscrits.
11:23 Le mardi, je distribue.
11:25 Le soir, je fais le point, je fais mon stock, etc.
11:28 Le mercredi, en fonction de ce que j'ai trouvé le mardi,
11:30 je fais ma commande au vu d'un catalogue
11:33 qu'on nous a transmis le mercredi.
11:35 Ça veut dire qu'on est toujours...
11:36 Et le jeudi, je dois faire la distribution
11:39 pour le mardi qui suit.
11:41 - Alors, ça représente à peu près combien d'heures de travail ?
11:44 - Je ne les compte pas.
11:45 Je ne les compte pas, les heures de travail.
11:46 Et puis, il n'y a pas que moi.
11:47 - Non, vous avez toute l'équipe.
11:48 - Il y a toute l'équipe.
11:49 Il y a des gens qui sont spécialisés dans la répartition
11:52 des desserts, des protéines, de l'accompagnement.
11:54 Enfin, oui, c'est...
11:56 Le reste du cœur, c'est vraiment quelque chose
11:58 de très marqué.
12:00 - Donc, on peut peut-être remercier
12:02 les 26 bénévoles du Cato ?
12:04 - Je l'ai déjà dit.
12:06 Je ne l'ai pas oublié.
12:07 - Et si il y a des personnes qui nous regardent
12:09 qui seraient peut-être intéressées
12:11 de venir donner un petit coup de main,
12:13 qu'est-ce qu'il faut qu'ils fassent ?
12:14 - Alors, pour l'instant, 26.
12:16 On est 26.
12:17 On est quand même...
12:18 Je ne peux pas dire à tout le monde
12:19 de venir au reste du cœur.
12:20 Il y a beaucoup de gens qui seraient fans d'en revenir.
12:23 Mais bon, il faut être à l'usine.
12:24 - Là, ça suffit.
12:25 - Aujourd'hui...
12:26 - Donc, l'équipe...
12:27 - Il y a un turnover naturel.
12:28 Il y a des gens qui s'en vont.
12:29 Alors, par contre, moi, ce que je voudrais dire,
12:33 c'est que j'ai 16 ans de reste du cœur.
12:37 Je vais encore faire ça pendant 2 ans.
12:39 Et là, je fais un appel.
12:42 Je devais venir déjà depuis longtemps.
12:44 Je fais un appel aux cathésiens.
12:46 Il faudrait que quelqu'un vienne me seconder.
12:52 Me seconder et puis se former.
12:54 - Pour qu'ils puissent prendre place.
12:55 - Pour pouvoir prendre la place.
12:57 - Donc, un jeune retraité dynamique.
12:59 - Voilà, parfait.
13:00 Alors aujourd'hui, on a une bonne équipe.
13:03 Mais j'ai demandé, moi,
13:05 est-ce que quelqu'un serait fan pour reprendre le relais ?
13:07 Mais pour l'instant, il n'y a personne.
13:09 Et compte tenu qu'il y a environ 2 ans de formation.
13:14 Je le dis, les gens vont dire qu'il est fou, lui.
13:17 Non, mais non.
13:18 Il y a 2 ans de formation parce qu'il faut se former
13:20 à tout le système, tous les systèmes.
13:22 Il faut être Ulysse pour les inscriptions-orientations.
13:26 Il faut Parker pour la gestion des bénévoles.
13:29 Haïdo pour les commandes, etc.
13:32 Il y a plein de systèmes comme ça qui font qu'aujourd'hui,
13:36 pour être opérationnel, il faut vraiment avoir de l'expérience.
13:40 Il faut vraiment des talents.
13:41 Voilà, je voudrais terminer en disant,
13:44 en 2024, nous n'aurons pas réponse à tout, au reste du cœur,
13:48 mais nous serons toujours présents pour les personnes les plus défavorisées.
13:52 C'est bien préparé.
13:54 C'est bien préparé.
13:56 Alors, je te propose de regarder ensemble les sujets
13:59 parce que finalement, on va présenter quand même le journal.
14:02 L'IFAS, Ducato, tu connais ?
14:05 L'IFAS, oui.
14:06 Donc c'est l'Institut de formation des aides-soignants
14:08 qui a été mis en route, finalement, c'est la 3e promotion.
14:12 Eh bien, elle vient de procéder à la cérémonie officielle
14:15 de remise des diplômes.
14:17 Ces jeunes diplômés, c'est important, sont tous assurés
14:19 d'être recrutés à l'issue de leur formation.
14:22 Sur 15 places, il faut savoir que 12 élèves se sont présentés au concours,
14:26 10 ont obtenu le diplôme et 6 étaient déjà recrutés.
14:30 Alors, félicitations à tous.
14:32 Bon courage à la nouvelle génération.
14:34 Il faut savoir qu'apparemment, il y a 25 étudiants en formation
14:37 pour devenir aide-soignants.
14:38 Regardons le reportage.
14:40 Aujourd'hui, nous organisons la cérémonie de remise des diplômes
14:46 pour les nouveaux lauréats de cette promotion 2023.
14:50 Qu'est-ce que ça signifie, IFAS ?
14:52 IFAS, Institut de formation d'aides-soignants.
14:56 C'est une formation qui se déroule sur une année.
14:58 Et aujourd'hui, c'est le grand jour pour nos élèves
15:02 qui deviennent des professionnels de santé.
15:04 Et qu'est-ce que vous souhaitez aux diplômés ?
15:07 Alors, je leur souhaite bien évidemment une réussite
15:11 dans leur carrière professionnelle, un épanouissement
15:14 dans leur carrière professionnelle, mais aussi un accomplissement
15:18 dans leur vie personnelle.
15:19 Souvent, les deux sont liés.
15:21 Quand on est bien dans sa vie personnelle,
15:23 on est aussi bien dans sa vie professionnelle.
15:25 Et qu'ils puissent trouver l'épanouissement,
15:28 et la voie, le lieu d'exercice où ils seront bien.
15:32 Effectivement, nous avons 16 diplômés aujourd'hui.
15:35 Et dans quelques mois, il y en aura quelques-unes de plus.
15:38 Donc, c'est super.
15:40 16 personnes qui vont commencer dans leur vie active
15:43 très prochainement.
15:45 À nouveau des professionnels de santé qui vont arriver
15:48 sur le terrain.
15:49 J'espère qu'ils vont arriver pour la plupart
15:51 au centre hospitalier du Cato.
15:53 On a commencé déjà un nombre de recrutements.
15:57 On espère poursuivre.
15:59 C'est l'avenir aujourd'hui.
16:02 Alors, moi, c'est Angélique.
16:04 Je suis éléphéremtement aide-soignante.
16:06 J'ai choisi ce métier par rapport au relationnel,
16:09 à apporter le savoir-être, le savoir-faire
16:12 aux patients et aux résidents.
16:14 Et parce que l'humain, c'est nous, demain.
16:18 Alors, bonjour.
16:20 Moi, c'est le pro Camille.
16:22 J'ai été avant d'être aide-soignante,
16:24 élève, enfin, j'ai été auxiliaire de vie pendant 8 ans.
16:28 C'était la suite de mon parcours.
16:30 Donc, j'ai décidé de me lancer à l'IFAS du Cato-Cambresi
16:33 en tant qu'aide-soignante l'année dernière, du coup.
16:37 Parce que c'est un métier qui m'a toujours plu.
16:41 Je me suis beaucoup occupée de mes grands-parents.
16:44 Et ça m'a très plu.
16:46 Donc, du coup, j'ai décidé d'en faire mon métier.
16:49 Et depuis 8 ans, depuis la sortie du BAC,
16:51 j'ai continué dans ce métier.
16:53 Comment s'est passée votre formation ?
16:55 Alors, la formation, alors, il faut savoir
16:57 que c'est une formation qui prend beaucoup de temps.
17:00 Il faut donner vraiment beaucoup de soi.
17:03 C'est une année vachement enrichissante, épanouissante,
17:06 où on apprend tout le temps.
17:08 Et que c'est vachement agréable de pouvoir transmettre
17:11 ce qu'on nous a appris.
17:13 Alors, moi, c'était un peu plus compliqué
17:15 parce que j'étais dans un parcours partiel.
17:17 Elle était en complète, moi j'étais en partiel.
17:19 Donc, je n'avais pas beaucoup de modules.
17:21 Je n'avais qu'un bloc à faire et trois modules.
17:23 Après, ça a été.
17:25 On a bien été encadrés malgré tout.
17:28 Ça s'est bien passé.
17:30 C'est une super école que je recommande.
17:32 Alors, on apprend, ça dépend, les 10 modules,
17:35 l'accompagnement à la personne, on apprend la communication,
17:38 on apprend à former les pairs,
17:40 on apprend les soins techniques,
17:44 on apprend le M3, M4,
17:47 la pharmacologie, l'anatomie,
17:52 l'ergonomie aussi.
17:55 On apprend les transmissions,
17:59 les soins d'hygiène, la sécurité.
18:03 Voilà, pas mal de choses.
18:06 Qu'est-ce que vous visez pour l'avenir ?
18:09 Alors moi, je préfère rester en tant que médecin d'aide soignante
18:13 parce que c'est beaucoup plus proche,
18:15 on est au plus proche du patient.
18:17 Je veux les soins aigus où on apprend tout le temps,
18:21 on ne se lasse pas et on apprend davantage tous les jours.
18:24 Moi, j'aimerais bien finir infirmière.
18:28 Mais pour l'instant, je vais laisser grandir mes enfants.
18:30 Et après, je pense que je me lancerai en infirmière dans quelques années.
18:34 On peut leur souhaiter tout le bonheur du monde
18:36 puisque là, c'est un diplôme d'État.
18:39 C'est une nouvelle vie qui va commencer dans la vie active.
18:42 Savoir que quand on est aide soignante, on peut encore évoluer,
18:45 ça n'est pas une fin en soi
18:47 puisqu'on peut après enchaîner sur d'autres formations,
18:52 que ce soit infirmière ou autre.
18:56 Il faut savoir aussi qu'elles peuvent travailler et évoluer
19:01 dans plein de services, il n'y a pas que l'hôpital.
19:04 Il y a le monde médico-social
19:08 puisqu'on recrute aussi dans les EHPAD
19:11 ou dans le domaine du handicap,
19:14 au sein de la psychiatrie, il y a l'IME, il y a tout ça.
19:17 Donc en fait, il y a plein de possibilités pour eux
19:21 de trouver après un travail.
19:24 Alors je sais que tu es un sportif dans l'âme.
19:26 Oui.
19:27 Tu sais qu'il va.
19:28 Avec tout ce que tu fais, je pense que tu continues à courir.
19:31 Courir peut-être après le temps, comme nous tous.
19:35 Alors pour les amateurs de sport,
19:37 il va y avoir un très grand événement qui va se dérouler au Kato.
19:42 Il faut le noter absolument sur votre agenda,
19:45 c'est le 7 avril 2024.
19:48 Paris, Roubaix, Espoir partira encore de notre ville du Kato en 2024.
19:53 C.R. Simeon, le maire accompagné de Michel-Richard Adjouin,
19:57 viennent d'accueillir en mairie
19:59 les organisateurs du prochain Paris-Roubaix-Espoir
20:02 emmenés par Jean-Michel Van Der Donk
20:05 pour la signature de cette convention importante
20:07 qui va officialiser le départ de cette édition 2024.
20:11 Alors le président de l'organisation a présenté finalement
20:14 au maire et à son adjoint un petit peu l'édition 2024
20:19 qui aura lieu donc au mois d'avril, notez-le, le 7 avril.
20:22 Le départ se fera, alors c'est pas le départ officiel,
20:26 mais l'officieux se fera devant le musée Matisse à 11h,
20:29 comme lors de la dernière édition.
20:32 Les coureurs effectueront une boucle intramuros de 5 km
20:35 pour rejoindre ensuite le départ réel à la sortie de Montaigne
20:39 pour une boucle aux frontières de la Vénoie avant de revenir sur Solème.
20:43 Ils rejoindront ensuite le parcours des professionnels
20:47 à l'exception de la trouée d'Arenbert qui ne sera pas empruntée.
20:51 165 km, dont 42,6 km répartis sur 22 secteurs pavés,
20:56 seront au programme et apparemment il y a plus de 150 coureurs qui sont inscrits.
21:01 Regardez les images.
21:03 Je dis tout de suite, vous êtes le directeur de l'épreuve.
21:07 C'est ça, je suis le directeur de l'épreuve, donc pour situer au peu,
21:11 je m'occupe tout ce qui est organisation, préfecture, tout ça,
21:14 les plans, les itinéraires, les horaires.
21:17 Et lors de la journée de la course, je suis à l'avant de la course
21:21 et j'informe toute la colonne des dangers des îlots directionnels,
21:27 les entrées des secteurs pavés, la sortie pour les coureurs.
21:31 Donc vous connaissez aussi le nombre d'équipes qui doivent venir ?
21:37 Oui, cette année il y en aura 22 équipes, 7 coureurs.
21:42 On peut en prendre entre 5 et 7 coureurs.
21:45 Il y aura 22 équipes et pour 80% c'est des équipes réserve des World Tour
21:53 ou des équipes pro en France, en Belgique, en Amérique.
21:58 Toutes ces équipes sont de quelle provenance exactement ?
22:04 Nous avons de France, bien sûr, de Belgique, on en a une en Amérique
22:09 et en Angleterre il me semble, principalement en Europe.
22:14 Vous repartez du Kato ?
22:16 Oui, nous repartons de le Kato et nous allons faire une petite boucle
22:20 dans le Kato de 5 kilomètres en départ fictif.
22:23 Ensuite nous allons nous diriger vers Pomereul comme en 2023
22:30 pour rejoindre le parcours des professionnels au niveau de Briaste
22:35 et nous allons vers Solème après.
22:37 Nous sommes partis pour 165 kilomètres avec 25 secteurs pavés
22:44 donc ça sera un total de 42,7 kilomètres de pavés.
22:48 C'est un bon pourcentage pour l'épreuve.
22:52 À partir de là nous empruntons intégralement le circuit des professionnels
22:56 sauf la trouée d'Arenberg, on ne le prend pas.
22:59 Mais à partir de Walers on prend 100% du parcours des professionnels.
23:04 Il y a des gens qui nous regardent.
23:07 Qu'est-ce que vous appelez un départ fictif ?
23:10 Un départ fictif, la voiture du directeur de l'épreuve est devant le peloton
23:16 et on fait le parcours à une trentaine de kilomètres/heure
23:21 avec le peloton tenu, les coureurs tenus, jusqu'au départ réel au kilomètre zéro
23:28 et là on lève le drapeau rouge et on lance l'épreuve.
23:32 Avec tous les coureurs présents dans le peloton.
23:35 Départ réel du 7 avril, on réédite ce qu'on a fait l'année dernière.
23:40 C'est à dire que c'est la deuxième édition de Paris-Roubaix-Espoir.
23:44 Toujours avec à la tête Jean-Michel et Eric, les mêmes organisateurs
23:51 des gens très sérieux, des gens sur qui on peut compter
23:55 et nous derrière on y met de la logistique pour que tout se passe bien.
24:01 En termes de logistique, les coureurs partent d'où ?
24:07 Les coureurs vont partir devant le musée Matisse.
24:11 Cette année il y a quelque chose d'important pour moi, pour nous, pour les quatriésiens
24:16 c'est que la culture va se mélanger, si je peux me permettre de dire se mélanger
24:20 on va allier la culture, le sport et la culture.
24:23 Donc si le musée Matisse s'engage, enfin participe, en ayant un petit village VIP
24:34 dans la cour du musée Matisse avec le quart podium du départ face au musée Matisse.
24:41 Bon, la course elle aura bien lieu.
24:46 Alors il se pose le problème de la logistique comme on dit, des signalers, qu'est-ce qu'il en est ?
24:52 Alors là c'est le travail de Philippe Poignet qui est responsable du palais des sports.
24:57 Alors les signalers, on a la chance d'avoir un réseau, si je peux dire, de personnes qui nous aident énormément
25:05 et nous avons à peu près entre 45 et 50 signalers qui sont capables de pouvoir répondre à nos exigences.
25:15 Et bon, je dirais que l'avantage c'est qu'on a créé un lien qui est chaleureux.
25:23 Les gens nous demandent pratiquement, ils nous disent tout simplement on est à disposition
25:31 dès que vous avez besoin de nous, on les reçoit, on les cajole parce que c'est vrai qu'on peut dire qu'on sait les recevoir
25:39 et puis ça porte ses fruits puisqu'ils sont toujours présents.
25:43 Alors merci encore déjà au travail de Philippe Poignet et puis merci à tous les signalers.
25:48 Alors les signalers c'est un petit peu les présidents d'associations, les membres d'associations sportives
25:56 qui aident un petit peu et tout ça va très bien et encore merci.
26:02 Donc nous avons un bon vivier quand même.
26:04 On a un bon vivier et ce qui permet aussi d'avoir une sécurité au niveau des organisateurs.
26:09 Il se trouve que parfois dans des villes ou des villages, personne ne veut faire la signalétique,
26:17 enfin pas la signalétique mais organiser la gestion du parcours.
26:23 Donc ça pose des problèmes parce que s'il n'y a pas de sécurité, c'est dangereux.
26:29 Donc on a quand même cet avantage.
26:32 Nous on a un avantage mais eux ils ont un avantage que nous on puisse le faire.
26:37 D'accord, donc qu'est-ce qu'on dit aux cartésiens ?
26:40 Vous allez avoir du sport gratuit.
26:43 Alors la particularité de cette année c'est qu'il va y avoir les juniors, il va y avoir les espoirs
26:50 et tous ces coureurs, après il y aura les pros,
26:53 tous ces coureurs à partir de Solem vont emprunter le même parcours.
26:56 C'est-à-dire que celui qui veut voir du sport gratuit pendant 4 heures,
27:00 il se mettra à partir de Solem et il verra tous les coureurs passer
27:04 parce que tout se fait sur la même journée.
27:07 Pour des raisons de, comment je pourrais dire, de Jeux Olympiques
27:11 où il est plus facile d'organiser, de mettre toute la sécurité, les motards, l'organisation
27:19 sur une journée que plusieurs fois dans l'année.
27:23 Bien, c'est pas facile.
27:25 C'est pas facile, bon c'est un choix qu'on a fait avec Maurice Panglinaçon, la préfecture,
27:29 de tout faire le même jour.
27:31 C'était un projet qui était dans nos tiroirs depuis quelques années
27:34 mais suite à cette époque de 2023, après la réunion qu'on a fait chez nous au Véloclub,
27:40 après la course, on a pris la décision, Thierry Gouvenou et elle se sont dit
27:43 "Ok, on fait tout le même jour".
27:45 C'est une grosse logistique puisque nous avons déjà le parc Oubé junior,
27:48 comme d'habitude, avant les pros, on vient s'intégrer là-entre-deux.
27:52 C'est bien, c'est très très bien, au contraire, on va pas perturber les communes et les villes
27:57 un mois après, comme disait en réunion chez le préfet le 13 octobre avec le colonel gendarmerie.
28:03 De toute façon, notre épreuve, c'est de la fusion au mois de mai, c'était "non".
28:07 Non, simplement parce que les forces de l'ordre seront beaucoup trop occupées avec les Jeux Olympiques.
28:13 Les escorts pour les équipes d'à côté, ceci, cela, donc il est tout à fait content
28:17 et conscient qu'on puisse faire tout le même jour.
28:19 C'est une bonne idée, très bonne idée.
28:22 Tout à l'heure, on vous avait signé des documents. Qu'est-ce qu'on peut retenir de ces documents que vous signez ?
28:28 Ces documents que nous avons signés, c'est le cahier des charges,
28:31 le cahier des charges qui est partagé entre la ville du Cato et le vélo-club de Roubaix,
28:37 et la convention, la convention qui nous unit maintenant pour trois années
28:41 avec la ville du Cato et l'organisation du vélo-club de Roubaix pour Paris-Oubé Espoir.
28:45 Donc c'est trois années fermes ?
28:47 Oui, tout à fait.
28:48 Après ces trois années ?
28:49 Après ces trois années, on fera une convention avec le monsieur le maire.
28:53 Nous verrons bien d'ici là.
28:55 Donc malheureusement, moi je ne serai pas présent sur cette épreuve,
28:59 parce que je suis mandaté par l'ASO pour le Paris-Oubé Femmes,
29:04 le Paris-Oubé Hommes le lendemain, donc je ne peux pas me couper en deux, ce n'est pas possible.
29:08 Et c'est pour ça que c'est Eric Lebrun qui va prendre ma place en tant que directeur de l'épreuve.
29:12 Mais il a fait autant que moi le travail, pas de problème.
29:16 Qu'est-ce qui vous a fait revenir au Cato ?
29:18 Le Cato, une ville merveilleuse.
29:21 Première année sur 2023, malheureusement avec un temps,
29:24 comme vous l'avez pu voir aussi, vous étiez là avec tout, même dans la voiture.
29:28 C'était un temps horrible, mais bien accueilli,
29:31 bon endroit pour les parkings, quelques difficultés quand on part revenir là-dessus.
29:35 La permanence est impeccable, et au niveau sportif,
29:37 parce qu'on pose quand même la question au sportif après l'arrivée,
29:40 qu'est-ce que vous pensez ?
29:41 C'est important d'avoir une envie, parce que nous on organise,
29:44 on a des sportifs, mais le Cato c'est merveilleux.
29:47 On a un parking qui était bien, la salle d'épernance est bien,
29:50 le lieu de départ était beau, et cette année,
29:52 l'année prochaine le lieu sera encore meilleur, devant le musée Matisse,
29:55 que demandé de mieux.
29:57 Très bien accueilli au Cato, et j'espère qu'on pourra encore revenir très très longtemps.
30:00 Je vous remercie.
30:01 Si, c'est moi.
30:02 Bon, c'est vraiment bien que ça se passe au Cato ?
30:06 Oui, c'est sûr.
30:07 C'est toujours un événement, ça s'est toujours bien passé,
30:10 c'est pas la première fois qu'on va y aller.
30:11 Non, c'est pas la première fois, et puis je pense qu'il y aura du monde,
30:13 tu l'as noté.
30:14 Oui, c'est sûr.
30:15 Écoute, je te remercie beaucoup, et puis peut-être un petit mot,
30:19 donc si les gens veulent donner un coup de main, pour l'instant,
30:23 c'est pas trop d'actualité, mais s'il y a quelqu'un qui se sent l'étoffe
30:28 pour prendre la suite, et bien il prend contact avec toi.
30:31 S'il y a une date à retenir, mesdames, messieurs, c'est le 1er, le 2 et le 3 mars,
30:37 ce sera la collecte nationale, et là on compte sur vous.
30:40 Voilà, très bien.
30:42 Merci beaucoup.
30:43 Merci, BFROvision.
30:45 Eh bien, vous voyez, on a vraiment beaucoup de monde aujourd'hui sur le plateau.
30:49 Aline, bonjour.
30:50 Bonjour.
30:51 Alors, aujourd'hui, tu représentes le Cateau Expansion, et attention,
30:54 la commission manifestation.
30:56 Animation.
30:57 Animation.
30:58 Donc, on va faire un petit point sur ce qui s'est déroulé en 2023,
31:03 et puis indiquer la semaine prochaine, tous les gagnants qui ont été prévenus individuellement
31:10 sont conviés pour la remise de l'eau.
31:12 Alors, le Cateau Expansion, c'est l'association qui regroupe les commerçants,
31:16 les artisans, les professions libérales.
31:18 Est-ce que tu pourrais nous faire un point sur toutes les activités qui ont eu lieu en 2023 ?
31:23 Il y en a eu énormément.
31:25 Il y a eu la course colorée, qui a rassemblé énormément de monde.
31:29 On en a bien parlé.
31:31 On en a beaucoup parlé, oui.
31:33 Il y a eu aussi une animation pour Pâques, pour les plus petits, pour les enfants.
31:37 Il y a eu aussi une animation pour Halloween, pareil, sous forme de jeu de piste.
31:42 Et puis, l'animation de Noël, du coup, qui nous a pris beaucoup de temps, là, pour cette fin d'année.
31:49 Alors, vous êtes nombreux dans le bureau.
31:52 Je crois que tout le monde a donné un bon coup de main.
31:55 Donc, tu peux rappeler la dernière opération, ça consistait en quoi ?
31:58 La dernière opération, c'était l'opération de Noël.
32:01 Donc, chaque commerçant avait une affiche dans sa vitrine.
32:09 Les personnes qui souhaitaient participer à l'animation rentraient dans le commerce, complétaient un petit bulletin.
32:16 Ce petit bulletin était dans une urne.
32:19 Puis, regroupement général.
32:22 Donc, toutes les urnes ont été regroupées.
32:24 C'est ça.
32:25 Il y a eu un tirage au sort en présence...
32:27 De Jérôme Carpentier.
32:29 Jérôme Carpentier, qu'on remercie au passage.
32:31 Voilà.
32:32 Et puis, il y a énormément de lots qui ont été tirés.
32:35 Cette année, il y avait 5 000 euros de bons cadeaux d'une valeur de 50 euros qui ont été tirés.
32:44 La mairie s'est joint aussi à l'opération pour une valeur de 2 500 euros.
32:48 Donc, 7 500 en gros.
32:50 Oui, c'est ça.
32:51 Et puis, il y avait d'autres lots.
32:53 Il y a une soirée cabaret qui a été mise en place, qui se fera au mois de mars sur Valenciennes.
33:00 Et il y a également aussi des places qui ont été gagnées pour aller voir Mickey à Disneyland Paris.
33:07 On va envoyer Cécile et puis Claude.
33:09 Voilà.
33:11 Mais bref, tout ça pour dire que toutes les urnes ont été confondues.
33:17 Le tirage au sort s'est fait.
33:18 Et on a eu énormément de gagnants.
33:20 Et remise des lots.
33:21 Vous savez à peu près combien il y a eu de tickets ?
33:23 Il y avait 12 000 euros divisé par à peu près 50 euros de chèques cadeaux.
33:28 Mais combien de participants ?
33:30 En tant que commerçants, il y a eu 35 commerces qui ont participé à l'opération.
33:35 Mais en tant que participants, au niveau des tickets, c'est difficile.
33:39 Je suppose que vous ne vous avez pas compté.
33:42 On n'a pas tout compté.
33:43 C'était monstrueux.
33:45 Donc là, logiquement, si les gens ont reçu un SMS ou un appel,
33:50 il faut qu'ils se rendent vendredi prochain.
33:53 Et on le remettra au théâtre.
33:56 Donc c'est une soirée privée ?
33:58 Oui.
33:59 Donc toutes les personnes qui ont été contactées, il faut qu'ils se rendent.
34:03 Parce que si jamais ils ne se rendent pas sur place, ils peuvent déléguer ?
34:06 Ils peuvent donner une procuration ?
34:08 C'est ça. Photocopie de la pièce d'identité.
34:10 Et puis la personne qui vient, on ne tient pas de blanche.
34:13 Et on lui remet le lot.
34:14 Et donc dans chaque commerce, il y a eu deux ou trois gagnants à chaque fois ?
34:17 C'est ça.
34:18 Donc ça a fait plaisir aux commerçants, puis ça a fait plaisir à tous les cathésiens qui ont participé.
34:25 C'est sûr.
34:26 Alors je vais te faire participer au niveau du journal, évidemment.
34:29 Et on va parler de la Bastielle Saint-Martin.
34:31 L'unique vestige de cette abbaye bénédictine qui a commencé à être construite en quelle année ?
34:37 Il y a très longtemps.
34:38 1634. C'est marqué sur le fronton.
34:41 Elle a fini dans les années 1700.
34:44 Vous l'avez tous vu, il y a eu des gros travaux d'envergure qui étaient nécessaires pour redonner à cette vieille dame un petit peu sa splendeur d'antan.
34:53 Les travaux devraient durer trois ans.
34:56 Alors il faut savoir qu'après avoir entouré le clocher, là on l'a vu, un échafaudage de 50 tonnes sur 60 mètres de haut,
35:04 pour changer les pierres abîmées, reprendre les maçonneries,
35:07 eh bien là, on est dans une nouvelle étape.
35:10 On va commencer à s'occuper de la rénovation intérieure.
35:13 Le coût du chantier, il est estimé à plus de 5 millions d'euros,
35:16 avec la participation de l'État, du département, évidemment de la Commune.
35:21 Et moi, je voudrais donner un petit coup de chapeau à toutes ces personnes qui travaillent,
35:26 parce que par ce froid en hauteur, c'est certainement pas évident.
35:30 Et là, eh bien, il fallait absolument vider l'intérieur.
35:34 Et donc, également un petit coup de chapeau à notre abbé Jean-Denis et à toute son équipe,
35:38 qui ont dû vider l'église, enlever un petit peu tous ces trésors,
35:42 qui se trouvaient dans la Bastiale, pour pouvoir faire les travaux.
35:46 Alors, évidemment, Claude, il s'est rendu sur place, et on va regarder ensemble les images.
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39:41 Alors, est-ce que tu aimes le sport ?
39:46 Absolument.
39:47 Est-ce que tu joues à la pétanque ?
39:48 Absolument pas.
39:49 Eh bien, on va t'inscrire.
39:50 Ce 6 janvier, s'est tenu l'Assemblée Générale.
39:53 Au mois de janvier, il y a beaucoup d'Assemblées Générales.
39:55 Et donc, l'Assemblée Générale du club Le Kato Pétanque s'est rassemblée
39:59 afin de faire son traditionnel point sur l'année coulée,
40:03 voir un petit peu les finances du club, mais surtout les prochaines manifestations.
40:07 Et vous avez noté sur leur blog que leur prochain rendez-vous,
40:09 c'est le vendredi 22 mars, j'ai de but à 19h45.
40:13 Donc, on va t'inscrire.
40:14 Et puis, tu vas essayer de concourir.
40:17 Donc, ça se situe évidemment, Rue du Pont-Fourneau,
40:20 vous devez le savoir à l'espace Turu.
40:22 Et si vous voulez un petit renseignement,
40:24 vous pouvez rejoindre le responsable au 06 32 03 40 21,
40:28 que je salue bien.
40:29 Et on regarde les images.
40:31 Aujourd'hui, c'était l'Assemblée Générale de 2023.
40:35 C'était un petit peu en retard, parce que vu les conditions,
40:38 et puis, on n'a pas eu le temps avant.
40:41 Voilà, franchement, c'était...
40:43 En ce moment, je suis renouvellement de licence, une vingtaine.
40:48 Des licenciés, un licencié, une, deux, trois, quatre,
40:54 il y aura peut-être quatre ou cinq nouveaux licenciés.
40:56 Et des adhérents, bon, il faut compter sept ou huit déjà.
40:59 Donc, voilà, je n'ai pas toujours les chiffres en tête.
41:02 Pour l'année prochaine, pour les CDC, j'ai pour faire deux équipes certaines.
41:06 2023, bon, il n'y a pas eu de gros moments.
41:10 Des CDC, plus ou moins bien passés.
41:13 Comment on discute ?
41:14 - Alors, CDC, ça veut dire quoi ?
41:16 - Division.
41:17 Donc, les divisions, ça s'est bien passé pour une équipe.
41:22 Mais bon, il y a des joueurs qui ne sont pas motivés.
41:24 Donc, ils ne sont pas venus.
41:26 On n'y peut rien.
41:27 C'est comme ça, les choses de la vie.
41:30 Voilà.
41:31 On n'a eu que le challenge de René Le Maire.
41:33 Donc, voilà.
41:35 René Le Maire, c'est Laurent Le Maire qui a fini première féminine pour sa première année.
41:42 Et moi, je l'ai eu pour la deuxième année le trophée.
41:46 Donc, si je le gagne encore en 2024, je garderai le trophée.
41:49 Sinon, il sera remis à une autre personne.
41:52 Ça veut dire que le niveau était quand même assez relevé l'année dernière.
41:58 Donc, ça allait.
41:59 Ils sont tous plus ou moins équivalents.
42:02 Donc, ils font de leur mieux.
42:05 Et bon, là, j'ai une féminine cadette qui commence à progresser.
42:12 On va essayer de la faire progresser un peu plus cette année.
42:16 Et il y en a une nouvelle qui vient de s'inscrire.
42:18 Donc, je vais essayer de les faire progresser toutes les deux.
42:21 Puisque j'attends les résultats de la Fédération française par rapport à ce que j'ai passé l'examen, le BF1.
42:33 Donc, tant que je n'ai pas le truc officiel, voilà.
42:38 On va peut-être appeler le nom de cette moiselle.
42:41 C'est Mathilde Doué.
42:43 Et il y a Catalane L'Empereur qui vient de s'inscrire cette année, qui est une cadette aussi.
42:49 Donc, on va essayer de faire quelque chose avec les deux jeunes.
42:55 Les grandes dates, il y aura le 6 juillet, il y aura une doublette mix 32 équipes.
43:01 Maxi, parce que j'ai que 16 terrains.
43:04 Et le 9 juin, je challenge René Le Maire.
43:08 Et après, il y aura des dates que je n'ai pas encore officiellement.
43:14 Donc, il y aura des CDC jeunes qui auront une entente avec sûrement le club de Stipetank, tout près de Doué.
43:21 Pour que les jeunes puissent jouer en CDC comme les grands.
43:26 C'est quand la reprise au bouleau de Rome ?
43:29 C'est ce mardi à partir de 14h, le 9. De 14h à 18h.
43:34 Pour les personnes qui veulent dédier à la Pétanque, il faut venir au boulot de Rome ?
43:38 Oui, maintenant, il faut venir au boulot de Rome. Ou alors, mon numéro de téléphone est marqué sur les annales.
43:46 Donc, il n'y a pas de souci. On peut m'appeler.
43:49 Alors, qu'est-ce que vous souhaitez pour l'année prochaine ?
43:52 Que tout le monde aille bien, qu'ils ont la santé.
43:55 Et puis, surtout, qu'on essaye de progresser encore un peu plus et qu'on fasse des meilleurs résultats.
44:01 Alors, on va terminer un petit peu cette émission avec les archives de Beprovision.
44:07 Vous savez que depuis un certain temps, Cécile recherche dans nos archives, 20 ans en arrière, un petit peu ce qui s'est passé.
44:16 Et finalement, elle a trouvé un sujet qui m'intéresse à double titre puisqu'on parle de la brasserie.
44:22 Cette brasserie qui a été découverte avec une bande de copains un dimanche en faisant les souterrains.
44:30 On était arrivés dans cette cour qui était tapissée de pelouse.
44:35 Et finalement, avec Mme Scalabrino, elle nous avait permis de faire une visite guidée.
44:41 Je ne sais pas si tu avais participé à cette époque-là.
44:45 Pendant les journées du patrimoine, on avait eu plus de 600 personnes qui avaient participé.
44:50 Et avec le temps, on a réussi à sauver cette brasserie.
44:55 Et bien là, les archives de Beprovision vous en montrent.
44:58 C'est les travaux à la brasserie. Regardez !
45:01 [Musique]
45:10 La bière arrive au câteau. Amateurs, encore quelques semaines de patience.
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48:22 [Musique]
48:40 Alors, on va se remercier un petit peu mutuellement,
48:44 parce que je crois que vous faites un travail formidable au sein de l'association.
48:50 Je vais te laisser le petit mot de la fin.
48:52 Peut-être remercier tous les bénévoles qui donnent un coup de main,
48:55 qui ont donné un bon coup de main en 2023.
48:58 On va voir 2024 sur ce qui va se passer.
49:01 Mais le mot de la fin, c'est pour toi.
49:04 On remercie tous les commerçants, artisans du câteau
49:09 qui se bougent pour faire bouger justement la ville.
49:13 Et on compte sur eux pour cette nouvelle année 2024.
49:17 Je vous remercie beaucoup d'être aussi fidèles à regarder sur BFROVISION,
49:21 évidemment en priorité pour les abonnés,
49:23 et puis sur YouTube et Dailymotion pour ceux qui n'ont pas la chance d'habiter cette belle ville du câteau.
49:28 À très bientôt. Au revoir.
49:30 [Musique]

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