• il y a 11 mois
Motivation, dépôt de dossier, risque terroriste… les porteurs volontaires de la flamme olympique et paralympique ont été sélectionnés via un parcours très cadré.

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Transcription
00:00 Première étape pour pouvoir porter cette flamme, il fallait tout simplement rédiger une petite lettre de motivation
00:05 en répondant à une question, que faites-vous pour briller au quotidien au sein de votre communauté,
00:09 qu'elle soit sportive, familiale ou sociétale.
00:12 Et même les personnalités publiques qui vont faire partie de ce long relais de 11 000 porteurs de flammes
00:17 ont dû prendre la plume, c'est le cas de Florent Manodou, l'ancien champion olympique de natation,
00:22 Djamel Deboeuse, Marine Lorphelin, l'ancienne Miss France, ou encore Laura Flessel.
00:26 Et dans ces 11 000 élus, si on peut dire cela comme ça, ils ont dû ensuite, une fois que leur dossier était complet,
00:33 passer trois étapes de sélection.
00:35 Une première par le comité d'organisation, toute simple, un premier tri.
00:39 Ensuite, le comité international olympique a aussi validé les profils.
00:44 Et enfin, une étape beaucoup plus administrative, un criblage administratif fait par les services du ministère de l'Intérieur.
00:51 L'objectif est tout simple, essayer de détecter les potentiels profils radicalisés,
00:58 ou même détecter aussi des antécédents judiciaires.
01:02 Il y avait quelques exceptions tout de même, tout le monde ne pouvait pas postuler.
01:05 Les élus de la République n'avaient pas le droit.
01:08 Et également les personnalités qui représentent les autorités religieuses,
01:11 c'est interdit par le règlement du comité international olympique.

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