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00:00 Et bien évidemment on va en parler aussi avec notre invité.
00:02 - Ce midi on va connaître l'ensemble des porteurs de la flamme olympique.
00:07 Vous savez qu'il y a un relais de la flamme avant que cette flamme arrive à Paris,
00:11 avant l'ouverture des Jeux.
00:13 Et il y a tout un tas de porteurs partout en France qui vont faire ce relais.
00:17 Parmi eux il y aura Angélique Bertenay, notre invitée de ce matin.
00:21 Bonjour Angélique. - Bonjour.
00:22 - Vous êtes francilienne de naissance, mais on peut dire côte d'Orienne d'adoption depuis un petit moment maintenant,
00:28 championne de lutte.
00:30 Vous serez parmi les porteuses et porteurs de cette flamme donc.
00:33 Les Jeux, vous avez connu ça en 2004 à Athènes, en plus Terre Olympique par excellence.
00:40 Je ne vais pas vous demander, comme à nos auditeurs et auditrices,
00:44 pourquoi c'est... Enfin si les Jeux Olympiques ça vous fait rêver,
00:50 mais pourquoi ça vous a fait rêver en tant qu'athlète ?
00:54 - Déjà, tous les apports... Les Jeux Olympiques, il n'y avait pas de Jeux Olympiques du tout en féminine.
01:00 C'est arrivé en 2004. - C'est le premier tournoi de lutte féminine, c'est ça 2004 ?
01:05 - En 2004, les Jeux Olympiques sont rentrés en lutte féminine.
01:10 Et j'ai eu l'occasion de pouvoir participer justement à ces premiers Jeux,
01:14 en étant la première féminine française à se qualifier.
01:18 Et alors c'était une fierté, surtout qu'au niveau de l'âge,
01:22 j'avançais dans l'âge aussi, j'étais déjà maman.
01:25 Alors mon but, c'était... J'avais déjà fait des médailles mondiales, européennes,
01:30 mais ce qui me restait c'est les Jeux Olympiques, alors j'attendais que ça.
01:34 Alors voilà, j'ai eu les Jeux Olympiques, j'ai pu participer, c'était une belle expérience.
01:40 - C'était le gras en fait pour vous ? - Voilà, c'était ce que j'attendais.
01:43 - Un peu le sommet d'une carrière ? - Exactement.
01:45 Exactement, parce que juste après, par rapport à l'âge,
01:48 j'ai arrêté ma carrière et après je suis devenue entraîneur.
01:52 Donc il y a eu un avant et un après Jeux Olympiques pour notre invité du jour,
01:56 je dis Angélique Bertonnet.
01:57 Et Angélique qui reste avec nous évidemment, venez la rejoindre,
02:00 venez nous dire si vous aimez ou si vous détestez les Jeux Olympiques,
02:04 si vous allez y aller peut-être, même peut-être que vous avez des billets,
02:07 ou alors au contraire, non, c'est non, les Jeux Olympiques pour vous c'est niet.
02:11 Vous venez nous en parler au 03 80 42 15 15
02:14 et dans quelques instants on poursuit la discussion ensemble sur France Bleu et France 3.
02:20 Ici Matin, revient dans un instant.
02:22 Quel casting formidable, une artiste de Champagnole,
02:28 Julie pour un one-woman show sympathique, Isabelle pour son atelier pompon,
02:33 Adijon et Romain qui est un ferronnier d'art pas comme les autres.
02:36 Ils sont vraiment formidables.
02:38 Il est 7h46, vous êtes avec nous bien sûr en direct,
02:57 on parle des Jeux Olympiques, la flamme, on va savoir à midi
03:00 qui des Côtes d'Orient participera à ce fameux relais.
03:03 Ce sera le 12 juillet chez nous en Côte d'Or.
03:06 Avec Angélique Bertone, future porteuse de cette flamme olympique en Côte d'Or,
03:11 c'est une fierté on imagine d'avoir été choisi, désigné pour la porter cette flamme.
03:15 Oui exactement parce que je ne m'y attendais pas,
03:19 quand on m'en a parlé on était plusieurs sur la liste.
03:22 C'était comment ça d'ailleurs ?
03:23 C'est avec le comité olympique qui a pris contact avec la Fédération Française de lutte
03:29 et qu'on placé deux régions pour présenter la lutte.
03:35 Ils avaient proposé le Nord et la Bourgogne, ça a été accepté.
03:39 Pourquoi ? Parce que la lutte est plutôt bien représentée chez nous ?
03:41 Non pas spécialement, mais ils ont proposé deux régions et ils ont accepté.
03:47 Alors la lutte sera représentée dans le Nord et dans la Bourgogne-Franche-Comté.
03:51 Il y a eu plusieurs noms et j'ai été choisie féminine, c'est très bien.
03:59 Qu'est-ce que ça peut représenter pour vous, ancienne championne de lutte, de porter cette flamme ?
04:05 Déjà la flamme c'est un symbole, les Jeux Olympiques.
04:08 Pour moi ça transmet aussi un message de paix et d'unité au niveau des peuples.
04:15 Ça fait 20 ans que j'ai participé aux Jeux en 2004 et là on est en 2024.
04:21 C'est une fierté au bout de 20 ans de se dire "on ne nous oublie pas, on est toujours là".
04:28 Il y a toujours cette flamme justement.
04:30 Oui c'est une fierté, parce qu'aux Jeux Olympiques j'ai eu l'occasion d'être à la fermeture,
04:36 de voir la flamme s'éteindre et là je vais avoir une flamme allumée.
04:41 Donc il y a du symbole ?
04:42 C'est du symbole aussi.
04:44 Le jour J, le 12 juillet prochain, est-ce que vous savez comment ça va se passer exactement ?
04:48 Vous allez la tenir combien de temps cette flamme ?
04:50 Cette flamme on la tient 8 minutes.
04:53 Elle est allumée et elle s'éteint au bout de 8 minutes.
04:59 Il faut que je relance.
05:00 Faut la recharger ?
05:01 Oui, la rallumer avant les 8 minutes.
05:05 Ça repart aussi avec un autre groupe et ça sera à Place d'Arcy.
05:10 Maintenant on n'en sait pas plus, ça sera avec la ville de Dijon
05:14 qui vont nous expliquer comment ça va se passer.
05:16 Je sais qu'on sera un groupe de 24.
05:19 Nous au niveau de la lutte, Bourgogne-Franche-Comté, il y aura des bénévoles, des dirigeants, des entraîneurs, des champions.
05:26 C'est vraiment une discipline qu'on met en avant.
05:29 On met aussi l'handicap.
05:32 On sera un groupe de 24.
05:35 C'est vrai qu'on dit Jeux Olympiques un peu par facilité, mais c'est Jeux Olympiques et Paralympiques.
05:41 Parlons de votre expérience olympique.
05:43 On en a un petit peu discuté au tout début.
05:46 Sans parler de cette frustrante 4ème place.
05:50 Votre vécu sur Place, qu'est-ce que vous en gardez en tête aujourd'hui ?
05:55 En plus, on le disait, c'était à Athènes, la terre d'origine de l'olympisme.
06:00 Qu'est-ce que vous en gardez aujourd'hui dans votre mémoire ?
06:03 C'est un bon souvenir, mais après ça passe tellement vite.
06:06 Surtout qu'on reste 3-4 jours sur Place.
06:10 Maintenant, on vit avec tous les champions.
06:14 On croise tout le monde dans le village olympique.
06:16 C'est vraiment une famille.
06:18 On n'est que des sportifs.
06:20 C'est ça aussi qui est formidable.
06:23 On est une famille.
06:25 C'est ce que je garde en souvenir.
06:28 Quand on est dans le village olympique, on est vraiment une famille.
06:31 On sent que le sport, c'est rendre une belle image aux gens.
06:39 C'est notre sport qui est magnifique pour moi.
06:43 La lutte, c'est magnifique.
06:45 Angélique Bertonnet, votre invitée ce matin sur France Bleu et France 3 championne de lutte.
06:49 Porteuse de la flamme le 12 juillet prochain en Côte d'Or.
06:52 Vous parlez de symboles, d'universalité.
06:57 C'est un peu contradictoire avec ce qu'on peut avoir comme image du sport en général aujourd'hui.
07:02 Il y a beaucoup d'argent.
07:04 Vous parlez d'image aussi.
07:06 L'image qu'on peut en avoir est un peu compliquée.
07:08 Peut-être que nos auditeurs n'aiment pas le sport à cause de ça.
07:11 Pourtant, les Jeux olympiques, à travers votre propos, ça paraît différent.
07:17 Quand on est sportif, on ne le voit pas pareil.
07:20 Après, nous, la lutte, déjà on n'est pas payé.
07:24 Ce n'est pas un sport très professionnalisé.
07:27 Exactement.
07:28 La lutte, c'est un sport déjà complet.
07:31 On peut commencer vraiment très tôt.
07:36 Ça nous forge le caractère.
07:38 Pour moi, c'est fille et garçon.
07:41 Souvent, on dit que la lutte, c'est un sport de garçons.
07:44 Non, c'est comme tout sport.
07:45 Les féminines rentrent bien dans ce domaine-là aussi.
07:49 On le montre.
07:51 Il y a beaucoup de championnes.
07:53 On a la roque Kumba, qui est déjà qualifiée aux Jeux olympiques pour Paris.
07:58 Pour moi, il y aura la médaille qui va être là chez les féminines.
08:04 La lutte, c'est le meilleur sport.
08:05 Exactement.
08:06 On va suivre ça tous ensemble en juillet prochain avec vous, Angélique.
08:10 On en discute ensemble de ces Jeux au 03.80.42.15.15 ce matin.
08:14 Bien sûr, parce que ça fait débat autour de vous, au boulot, à la maison, entre amis,
08:18 les Jeux olympiques, on est pour, on est contre.
08:20 On parle ensemble ce matin sur France Bleu Bourgogne.
08:22 On démarre à 7h51 chez Marie-Hélène.
08:24 Bonjour Marie-Hélène.
08:25 Bonjour.
08:26 Bonjour Marie-Hélène.
08:27 Bienvenue.
08:28 Est-ce que vous allez suivre les Jeux olympiques ou pas, vous, Marie-Hélène ?
08:31 Pas du tout.
08:32 Pourquoi ?
08:33 Parce que déjà, c'est l'été.
08:35 L'été, je pense que moi, j'aime être dehors, j'aime faire des activités à l'extérieur.
08:40 Et puis, je ne m'intéresse pas spécialement au sport.
08:44 Et puis, aussi pour d'autres raisons, je trouve que ça va coûter très cher à la France.
08:50 On n'a pas demandé l'avis aux Parisiens alors que ça avait été prévu.
08:53 Quand vous pensez que le ticket de métro va être à 4 euros,
08:57 que les étudiants ne pourront plus avoir leur chambre au Crouge,
09:01 enfin, il y a plein de choses qui me gênent terriblement.
09:03 Voilà, c'est simplement pour ça.
09:05 D'accord.
09:06 Vous ne pensez pas que c'est le prix à payer pour accueillir une compétition comme celle-ci ?
09:11 Écoutez, peut-être, mais enfin, moi, je pense que la France a d'autres priorités.
09:18 Mais vous entendez les arguments d'Angélique Bertenay, notre invitée,
09:23 sur le côté un peu "message de paix" mine de rien dans les temps un peu compliqués qu'on traverse tous ensemble.
09:31 Ça peut avoir son importance.
09:33 J'entends le côté "c'est très cher d'organiser des Jeux",
09:37 mais il y a aussi le symbole qui est important.
09:40 Il y a le symbole qui est important,
09:42 mais quelle proportion de Français vont pouvoir voir les Jeux Olympiques au prix des places ?
09:46 Ah oui, globalement, la plupart des Français les verront à la télé.
09:50 À la télé comme tout le monde.
09:52 Mais c'est autre chose.
09:53 Moi, j'ai vécu les Jeux Olympiques en 1972 à Munich,
09:57 c'est autre chose que d'être devant son poste.
10:00 Ah oui, c'est une évidence.
10:03 Mais c'est que mon point de vue.
10:05 Bien sûr, mais c'est celui qu'on entend sur France Bleu Bourgogne,
10:08 et on aime bien vous avoir tous les matins.
10:10 Donc ça veut dire, en gros, que vous ne voulez pas mettre "trop d'argent"
10:14 sur une compétition comme celle-ci.
10:16 Quand je vois déjà dans les magasins qu'il y a des sacs, des maillots,
10:21 c'est encore des gens qui n'ont pas beaucoup d'argent,
10:25 qui vont se laisser tenter.
10:27 Ça, ça me gêne.
10:30 C'est une bonne question à poser à Angélique Bertonnet.
10:32 Ça vous agace, ce marketing autour des Jeux ?
10:35 Est-ce qu'on s'éloigne un petit peu des symboles importants de l'Olympisme ?
10:41 Oui, je pense que de mettre trop de choses en avant dans tous les magasins,
10:47 on peut voir partout dans tous les magasins.
10:50 Je trouve que, pour moi, quand on achète un truc,
10:54 les Jeux Olympiques, c'est le jour J, c'est vraiment le truc symbolique.
10:58 C'est le jour J, c'est le souvenir des Jeux Olympiques.
11:03 Mais acheter les trucs extérieurs, même moi, je n'achète pas.
11:08 Vous n'avez pas eu la fève des Jeux Olympiques, vous, par exemple, dans la galette des rois ?
11:11 Non, pas du tout.
11:12 Elle existe.
11:13 Non, pas du tout.
11:14 Marie-Hélène, merci en tout cas d'être venue ce matin sur France Bleu Bourgogne
11:17 pour donner votre avis, c'est important de l'avoir.
11:20 Bonne journée.
11:21 Bonne journée aussi, à bientôt.
11:22 Vous allez voir que Jean-Marc est un peu d'accord aussi avec Marie-Hélène.
11:25 Bonjour Jean-Marc.
11:26 Bonjour.
11:27 Bienvenue.
11:28 Alors, les Jeux Olympiques pour vous, c'est oui ou c'est non ?
11:30 C'est carrément non.
11:32 D'accord.
11:33 Et pourquoi alors ?
11:34 Parce que, il y a déjà, j'en ai marre d'en entendre parler.
11:39 En plus, c'est pratiquement nous qui allons payer la note.
11:42 Les places sont à prix d'or.
11:46 Moi, je peux vous dire que pendant tout le temps, je vais faire des économies.
11:50 Parce que pendant tout le temps que ça va durer, moi, la télé sera pas allumée.
11:54 D'accord.
11:55 Voilà.
11:56 Ok.
11:57 Donc, vous n'allez pas regarder les compétitions, vous n'allez pas participer aux Jeux Olympiques.
12:00 Enfin, en tout cas, vous dites vous, Jean-Marc, si je vais quand même participer financièrement.
12:04 Et vous savez à quelle hauteur…
12:05 En fait, on dit, on va donner de l'argent pour les JO, mais est-ce qu'on sait réellement
12:08 comment ça va nous coûter ?
12:09 Vous savez vous, Jean-Marc ?
12:11 Non.
12:12 Mais déjà, ce que ça me coûtera, c'est déjà de trop.
12:15 Voilà.
12:16 D'accord.
12:17 Ok.
12:18 Quoi qu'il arrive.
12:19 Parce que, vous savez, je vais vous dire, avec la retraite qu'on a, on nous prend déjà
12:24 pratiquement tout ce qu'on a.
12:26 On se retrouve pratiquement…
12:28 Vous voyez, on va au ressort du cœur tous les mois.
12:32 D'accord, oui.
12:33 Donc, forcément, vous n'avez pas d'argent à donner pour les JO qui sont quand même,
12:38 Jean-Marc.
12:39 Est-ce que vous le sentez, ça, quand même, une représentation de la France à travers
12:42 le monde, à ce moment-là ?
12:43 Ah non, pas du tout.
12:45 Non ?
12:46 Voilà.
12:47 Ok.
12:48 Voilà.
12:49 Oui, mais après, au moins, c'est clair.
12:51 Le sujet est clair et net.
12:53 Pour vous, c'est non pour les JO, Jean-Marc.
12:56 On était à Chani avec vous.
12:58 On vous souhaite de passer une bonne journée.
13:00 Jean-Marc et Marilène, merci beaucoup.
13:03 Sur l'appli, ici, vous avez répondu à 78%.
13:06 Non merci pour les JO.
13:08 Angélique Bertonnet, il y a, on le disait, un avant, en tout cas, un après JO, quand
13:13 on est athlète.
13:14 Vous avez décidé de prendre votre retraite, vous, après Athènes, en 2004.
13:18 Oui, parce que, déjà, j'avais un enfant, comme je l'ai dit, et j'avais envie d'agrandir
13:23 ma famille, parce qu'il allait avoir 5 ans.
13:27 Alors, j'ai décidé, j'avais 28 ans, je me suis dit, ma carrière, elle commence…
13:32 Parce que la lutte, on arrête vers 30, 33 ans, quoi.
13:37 Mais après, j'ai continué à faire les championnats de France, même si, voilà,
13:42 j'avais la médaille.
13:43 On m'a demandé de revenir en équipe.
13:45 Vous avez été championne de France une 15e fois, c'est ça ?
13:47 Voilà.
13:48 On m'a demandé de revenir en équipe de France, que j'étais toujours là, présente.
13:52 Et non, j'avais dit que c'était stop, je voulais faire, voilà, agrandir ma famille,
13:58 c'est ce que j'ai fait.
13:59 Même si j'ai continué à côté de m'entraîner, et maintenant, je suis devenue entraîneur
14:05 aussi.
14:06 Mais après, mon savoir, je le donne pour que, pareil, ils deviennent champions aussi,
14:12 et j'en ai quelques-uns.
14:13 Il y a toujours cette notion de haut niveau.
14:15 Pour moi, oui.
14:16 Vous vous entraînez à Jean-Luc, on le rappelle.
14:18 Vous vous entraînez pour que c'est ça, pour le haut niveau.
14:23 Je reste sur le fait que si je suis entraîneur, je veux aussi, bon, j'ai des enfants qui
14:29 viennent, c'est pour le plaisir, mais je reste quand même en tête que c'est pour
14:33 le haut niveau.
14:34 Et voilà, à chaque fois, j'arrive à trouver une petite perle à mettre au plus haut,
14:42 et partir en sport-études, et être en équipe de France.
14:46 Et après, ça sera les Jeux Olympiques.
14:49 Vous le disiez, il n'y a pas que la lutte dans ma vie.
14:52 On arrive à se séparer un petit peu de cette passion ?
14:55 Ça revient tout le temps au galop.
14:59 Je vis beaucoup pour la lutte.
15:01 Mon mari est dans la lutte aussi.
15:03 Alors, ça tourne beaucoup autour de la lutte.
15:05 Ma fille fait de la lutte, elle a été troisième au championnat de France.
15:11 C'est la famille.
15:14 Je suis rentrée dû à ça déjà.
15:17 J'ai commencé la lutte parce que c'était la famille.
15:19 On est avec vous sur France Bleu Bourgogne, Angélique Bertone.
15:22 Merci beaucoup d'être venue.
15:24 Rendez-vous donc à midi pour découvrir les autres porteurs de cette flamme.