Le breakdance est au programme des JO de Paris. Son « patriarche » troyen, Arthur Badié, sera capitaine du relais collectif de la flamme dans le département le 13 juillet.
Images : Vincent Gori
Réalisation : Angélique Toscano
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00:19 C'est une fierté de porter la flamme.
00:22 Ça représente beaucoup de choses.
00:24 Pourquoi j'ai été choisi aussi?
00:26 C'est parce que je suis un des patriaches, le patriache de la section hip-hop,
00:32 on va dire dans l'aube, j'en suis en première ligne dans le département,
00:37 surtout à Troyes.
00:39 Et depuis qu'on est à Troyes, que je suis à Troyes,
00:42 on n'a fait qu'avancer les choses, voir le haut de la flamme.
00:47 On a allumé la flamme et voilà où on en est.
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01:04 Il y avait des après-hauts aussi.
01:06 Ça avait une connotation breakdance, j'allais dire hip-hop en général.
01:12 Dans l'époque, vu qu'on étudiait un peu tout ce qui se passe,
01:15 le rap, le graffiti, tout ça, c'était un peu plus juridique pour certains.
01:22 Ça, c'est celui-là.
01:24 C'est une étiquette qu'on mettait sur le visage des autres.
01:28 Maintenant que c'est reconnu au niveau national, voire international,
01:34 on se dit "Ah, on s'était trompé".
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