• il y a 11 mois

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Transcription
00:00 Il y a un moment donné, il faut que ça s'arrête.
00:02 Je veux dire, c'est papa qui en pâtit.
00:04 C'est papa qui en pâtit.
00:05 Et moi, je suis rentré dans votre jeu parce qu'en fait, il y en a un moment donné,
00:08 quand on entend "ouais, j'avais envie de me suicider",
00:10 écoute ma sœur, retourne dans ta tour d'ivoire,
00:13 arrête de casser les couilles.
00:15 Assume, assume tes conneries et maintenant, voilà, je vous annonce,
00:19 j'ai bien déposé plainte contre ma sœur pour abus de faiblesse
00:22 et pour un nombre incalculable d'autres choses
00:25 parce que ce n'est pas que ça qui est problématique ici.
00:28 C'est très grave tout ce qui se passe.
00:30 C'est très très grave tout ce qui se passe.
00:32 Il y a des milliers d'euros qui se barrent.
00:33 Il y a des gens qui sont payés des milliers d'euros par mois
00:36 pour soi-disant faire notre sécurité,
00:38 mais en fait, c'est pour nous espionner et inventer des histoires
00:40 qui ne sont pas vraies.
00:42 Je trouve ça terrible.
00:43 C'est un véritable coup de colère quand il se fout de "bonsoir".
00:46 Jusqu'où vont les reproches, les griefs alors en fait ?
00:49 Eh bien écoutez, vous l'avez senti dans le ton qu'emploie Alain Fabien Delon.
00:54 Là, l'idée, c'est qu'il a envie de calmer le jeu.
00:57 - Ah bon ?
00:58 - Oui, non mais de calmer le jeu, c'est-à-dire de remettre l'église au milieu du village.
01:04 Parce qu'il aurait préféré que ça ne se passe pas forcément sur la place publique.
01:09 C'est le dernier qu'on entend parler.
01:10 Je le rappelle, lui, il n'a pas cherché à parler.
01:12 Mais il y a un moment où on a l'impression que...
01:14 - Mais dans quelles conditions, d'ailleurs, avant de revenir à l'enfant,
01:16 mais dans quelles conditions il s'exprime ?
01:18 C'est-à-dire qu'il appelle BFM TV et dit "il faut que j'ai des choses à dire".
01:22 - Il a posé des messages sur les réseaux sociaux.
01:25 Et à l'issue de ça, on l'a contacté.
01:26 Et on a trouvé une fenêtre pour pouvoir discuter avec lui.
01:29 - Parce que là, on a l'impression qu'il veut vraiment vider son sac.
01:31 - À ce moment-là, oui, effectivement.
01:33 - Il en a marre.
01:33 - Voilà, c'est le moment qu'il a choisi, lui.
01:35 - Après les déclarations de sa sœur.
01:36 - Voilà, c'est le moment qu'il a choisi, lui, après la déclaration de sa sœur,
01:41 après l'intervention aussi d'un autre, soi-disant proche sur une autre chaîne.
01:46 Donc il y a un moment où il a envie juste de lui donner sa version.
01:49 Parce qu'on rappelle que c'est lui qui habite 24 heures sur 24 avec son père,
01:53 adouchi depuis six mois.
01:54 - Il s'occupe de lui.
01:55 - C'est lui qui s'en occupe.
01:56 - Justement, parce qu'il parle, enfin, à BFMTV, dans ce document,
01:59 il évoque l'état de santé de son père.
02:01 Il en parle franchement.
02:02 Et c'est le fils, et de ce que l'on comprend, c'est non seulement le fils,
02:05 mais c'est aussi l'infirmier.
02:09 - Je suis désolé de vous le dire, il est dans un état lamentable, lamentable.
02:13 Honte à elle, honte à elle de ne pas essayer de passer du temps avec lui.
02:17 Elle ne le regarde pas quand je dois le mettre au lit.
02:19 Elle détourne du regard.
02:20 Ça lui donne de...
02:21 Tu sais, c'est difficile de voir.
02:23 Moi, je le mets au lit, je le couche tous les soirs, je le sors de son lit,
02:27 je le mets dans sa chaise roulante, je lui fais à manger.
02:29 Je suis assis avec lui, des fois, il m'insulte parce qu'il est un peu...
02:32 Parce qu'il part un peu en steak.
02:34 Et après, en plus, il faut écouter tes conneries sur les médias, là.
02:37 Mais t'es folle ou quoi ?
02:39 Mais t'es folle.
02:40 Je suis désolé, c'est une maison de fous.
02:41 Je lui dis, regardez, là, je suis ici.
02:43 T'es tellement inquiète pour ton papa, pourquoi t'es reparti en Suisse ?

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