• il y a 2 ans
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00:00 Mais on a un arsenal pour sauver des vies et cet arsenal est mis au placard comme les masques ont
00:08 été mis au placard quand on en avait vraiment besoin, comme les tests ont été mis au placard,
00:12 tout a été mis au placard quand il fallait sauver des vies et ça vous devez jamais l'oublier parce
00:17 que moi je n'oublierai jamais ce qui s'est passé pendant les trois années parce que celui qui
00:22 oublie aujourd'hui il doit déjà se préparer à demain à avoir encore des années noires et ça je
00:28 n'en veux plus ni vous ni moi ni personne. Avant de donner la parole à mon ami Christian je vais
00:42 quand même faire une petite précision concernant la prise de sang puisqu'on a quand même eu plus
00:47 de 200 aujourd'hui. Ils sont mal bars là-bas parce qu'ils ne se rendent pas compte les résultats qui
00:53 vont retomber dans les mois qui vont arriver quand les 10 000 prises de sang vont prouver que si on
00:57 avait fait une prise de sang dès les premiers symptômes on aurait sauvé des milliers de vies,
01:00 ils sont mal bars. Enfin soit. Donc vous avez fait une prise, certains d'entre vous ont fait une prise
01:05 de sang aujourd'hui, elles sont déjà en route vers le laboratoire donc on va déjà avoir des résultats
01:11 très tôt donc début de semaine. Le laboratoire va vous envoyer les résultats donc à votre adresse
01:18 postale dans plus ou moins une dizaine de jours et alors moi et mon équipe on va quand les prises
01:26 de sang nous donnent des indications pathologiques donc qui sont pas bons où il faut un traitement
01:33 parce qu'on part dans le vide évidemment on ne sait pas les valeurs qui vont tomber mais s'il y a
01:37 maintenant des corrections à établir, normalement, je dis bien normalement, la loi du patient dit
01:43 "votre médecin traitant est là pour vous aider, pour vous informer, il sera là" mais dans cette
01:48 loi vous avez droit à un deuxième avis si votre médecin traitant ne fait pas cette action je
01:55 vais dire d'équipe on va dire ainsi, on pourra vous aider parce que maintenant je suis entouré
02:01 quand même de personnes qui vont donner leur temps pour pouvoir, pour que vous soyez informé le mieux
02:09 possible. Nous avons besoin aussi d'un maximum de témoignages. Les témoignages c'est quoi ? C'est
02:15 simplement pendant cette période 2020-2023 vous avez appelé le médecin, il n'est pas venu, il vous
02:22 a dit "restez à la maison pendant dix jours, prenez Dafalgan, Dolipram ou Quessej" mais en tout cas
02:27 vous n'avez pas été soigné. Ça vaut à peine d'envoyer le témoignage parce que l'ordre n'y croit
02:32 pas. Alors deuxièmement si vous avez été donc avec des effets indésirables de cette injection, il
02:39 faut témoigner aussi. Ne restez pas dans le silence parce que le silence d'aujourd'hui sera encore des
02:47 drames pour demain. On doit oser parler, on doit oser le dire ce qui s'est passé. Si autour de vous
02:55 il y a des enfants qui sont malades après cette injection alors qu'ils étaient en bonne santé
03:00 avant, il faut témoigner. Je vais, je le dis d'ailleurs de manière solennelle, je vais demander
03:09 qu'on vérifie tous les constats de décès chez les enfants à partir de janvier de 2021 parce que je
03:15 voudrais savoir si on a marqué sur le constat de décès qu'il y a eu une injection avant ou pas.
03:20 Il y a, c'est anormal qu'aujourd'hui on a des décès, des morts subites dans les écoles ou ailleurs.
03:30 On dit l'enfant est décédé, c'est triste, c'est malheureux et ça c'est vrai mais on ne fait pas la
03:35 relation avec cette injection, je vais dire au préalable. Or l'effet indésirable de cette
03:41 injection c'est quand même thrombose, thrombose, thrombose et une thrombose c'est une artérie qui
03:47 se bouche et donc c'est infarctus, c'est emboli pulmonaire, c'est AVC, c'est tout ce qui touche
03:54 un organe de manière massive. Donc quand il y a ce décès malheureusement il faut témoigner.
04:02 Merci beaucoup David et bravo pour tout ce que tu as fait en Belgique, si tous les médecins
04:07 généralistes étaient comme toi. J'ai une immense estime pour les médecins généralistes donc ça me
04:18 désole que certains ont été dévoyés mais c'est peut-être pas de leur faute, ils n'ont pas été
04:21 conscients. Il faut leur pardonner mais il faut qu'ils réagissent aujourd'hui. Tu as subi des
04:27 maltraitances et on sait que beaucoup de gens qui ont subi des maltraitances sont venus maltraitants
04:31 quand ils étaient adultes. Toi tu es un exemple, tu as subi la maltraitance et tu as mis toute ta
04:36 vie au service des autres et ça bravo, c'est remarquable. Pourquoi je parle ? C'est pas parce
04:48 que j'ai une grande gueule, c'est parce que j'ai une certaine légitimité puisque depuis 15 ans
04:52 j'ai été président de plusieurs commissions officielles, c'est ça qui les embête, sur les
04:56 maladies transmissibles. J'ai travaillé avec plein de ministres différents de droite, de gauche,
05:00 ils font tous la même politique, droite, gauche c'est pareil. J'ai fait des rapports, des
05:06 recommandations. Les dernières années c'était le Haut conseil de la santé publique, j'ai géré des
05:11 crises sanitaires, des épidémies. J'étais président de groupe de travail à l'agence du médicament,
05:16 j'étais président du collège des professeurs de maladies infectieuses et tropicales. J'étais très
05:20 copain, ils avaient grande confiance en moi, ils voulaient m'élire à chaque fois, partout. Maintenant
05:26 je suis le diable pour eux, mais c'est pas grave. J'étais président du comité technique des
05:31 vaccinations et à l'OMS j'étais vice-président du groupe ETAGE, qui était le groupe d'experts
05:35 pour les vaccins à l'OMS, pour la grande Europe de l'OMS. C'est pas l'Union Européenne, ça va jusqu'à
05:41 Vladivostok, ça inclut la Russie, toutes les anciennes républiques de l'URSS d'Asie centrale,
05:48 la Turquie, Israël, donc une très grande Europe. Donc là devant mon CV, effectivement ils sont
05:53 embêtés parce qu'ils peuvent pas dire "Perron c'est un nul", mais dire "bah oui il était bien avant,
05:57 mais il a pété un câble, on sait pas ce qu'il lui a pris". Alors sur le Covid-19, donc j'ai écrit
06:04 trois livres, donc "y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise", donc c'était dès la première année
06:09 juin 2020. Là j'ai eu les attaques de toute la France en disant que j'allais être en prison
06:16 parce que je diffamais, j'ai rien diffamé, tout ce que je dessourçais dans mes livres, j'ai jamais
06:19 eu une seule attaque en diffamation sur les livres. Décidément ils n'ont toujours rien compris,
06:24 puis les 33 questions qu'ils n'ont toujours pas répondu. Alors vous allez me demander pourquoi
06:28 j'ai mis 33 parce que ça ressort sur internet, c'est parce qu'en médecine on dit "dit 33"
06:32 quand on examine les poumons. Après il y a des catholiques qui disent "ah super, Perron il est
06:40 super catholique parce que 33 c'est un chiffre angélique". Après j'ai eu des gens "Perron il
06:45 est franc-maçon parce qu'il y a 33 degrés dans la franc-maçonnerie". Ce que j'ignorais,
06:50 comme je ne suis pas franc-maçon, je ne savais pas. C'est amusant de voir après tous les délires.
06:56 Bon voilà, ils n'ont toujours pas répondu aux questions. C'est vrai que l'épidémie était réelle,
07:00 il y a eu un vrai virus, il y a eu des malades, il y a eu des morts malheureusement, mais il faut
07:03 rappeler comme le disait David, que tous ces morts, 80-90% auraient pu être évités par les
07:09 traitements qu'on connaissait. Elle s'est étendue dans le monde, mais quand on regarde finalement,
07:14 la mortalité depuis le début, même si elle était un petit peu plus élevée au début,
07:19 elle a chuté avec les différents variants, elle a toujours été extrêmement basse,
07:23 c'était 0,0 quelque chose et maintenant c'est 0,00 quelque chose pour cent de mortalité.
07:29 Et à la télé tous les soirs, on nous disait que c'était la pandémie du siècle qui allait tuer
07:34 tout le monde. Alors une pandémie qui tue tout le monde, je veux bien qu'il y ait 20-30% de
07:37 mortalité. Vous sortez de chez vous, vous marchez sur des cadavres. C'était totalement inventé pour
07:43 vous faire peur. J'ai eu des témoignages récents de famille qui m'ont dit quand ma mère est décédée
07:49 dans tel hôpital ou tel clinique, on m'a proposé, si j'acceptais de déclarer son décès comme Covid,
07:56 on m'offrait des funérailles. Je vous dis, c'est authentique, c'est des témoignages directs.
08:01 D'avoir un code Covid pour un hôpital, ça rapportait de l'argent pour un décès aussi.
08:08 La suivante. Donc en fait, c'est une pandémie. On sait qu'elle a été programmée. Maintenant,
08:15 il n'y a plus aucun doute. Il y a des témoignages depuis des années que c'était planifié. Il y a
08:20 même la une du journal Economist, c'est un journal économique en anglais, le journal des Rothschild.
08:27 Et la une du journal en janvier 2019 envoyait l'homme de Vétruve de Léonard de Vinci, c'est cet
08:33 homme qui a quatre bras, quatre jambes. Il avait le tatouage du vaccin à ARN dans son bras. Il avait
08:41 le QR code dans sa main. Il avait un pangolin à ses pieds. À l'époque, je ne savais pas ce que
08:45 c'était qu'un pangolin. Neuf mois avant l'épidémie, on m'aurait demandé ce que c'était. J'aurais donné
08:52 un joker. Je ne savais pas ce que c'était. Je connaissais la civette, mais le pangolin, je ne le connaissais pas.
08:58 Il y avait le panda chinois qui pleurait sur le globe terrestre. Il y avait les quatre chevaliers de l'Apocalypse
09:06 qui étaient masqués. Tous les symboles étaient là déjà dans le journal des Rothschild neuf mois avant.
09:11 Et Bill Gates, un mois avant l'épidémie de Wuhan, fait une répétition générale aux Etats-Unis.
09:16 Répétition, on va avoir probablement une épidémie de coronavirus dans le monde et comment on se
09:22 prépare ? Donc il ne faut pas se foutre de notre gueule. Tout ça a été planifié. Un vaccin est inutile.
09:27 Pourquoi développer un vaccin pour une maladie qui tue à 0,0 quelque chose ? Ça n'a aucun sens.
09:32 Alors qu'il y a des traitements en plus. Parce que je vous rappelle que les vaccins, ils n'ont pas
09:40 une autorisation de mise sur le marché définitive. Ils ont une AMM, autorisation de mise sur le marché conditionnelle.
09:46 Ils ont tenu le fait qu'il y avait l'urgence, soi-disant qu'il fallait absolument les mettre sur le marché très vite.
09:52 Et vous n'avez pas le droit d'avoir une AMM conditionnelle si c'est un traitement efficace. C'est dans la
09:58 loi de tous les pays. Donc s'ils avaient reconnu que l'hydroxychloroquine ou l'ivermectine ou autre chose
10:03 marchait, ils n'auraient jamais eu le droit d'avoir une AMM conditionnelle. Il faut savoir pourquoi ils ont
10:08 diabolisé ces médicaments. Et Agnès Buzyn, elle lit dans les boules de cristal, parce que c'était la
10:15 ministre de la Santé française à l'époque, en janvier 2020, avant même que le virus n'arrive en France.
10:23 Il arrivait en mars. Alors que l'hydroxychloroquine, c'était en vente libre dans les pharmacies.
10:29 On achetait ça comme des gommes pour la gorge, sans ordonnance. Du jour au lendemain, c'est devenu une substance
10:35 vénéneuse. Et après Olivier Véran, quand il a eu le premier mort aux États-Unis, soi-disant de la chloroquine,
10:41 c'était un gars qui avait avalé un produit pour laver son aquarium, qui contait un peu de chloroquine avec
10:47 plein de produits toxiques, parce qu'il n'avait pas pu se procurer de la chloroquine. On a dit "Regardez,
10:51 la chloroquine, c'est très dangereux". Donc c'était la manipulation totale.
10:56 L'année dernière, j'ai fait une petite présentation de quelques minutes à la Chambre des députés du Luxembourg.
11:03 Et j'ai dit aux députés qui étaient là, puis je l'ai redit dans d'autres vidéos après,
11:07 "Vous, les députés qui votez des lois d'obligation pour un produit expérimental, un jour, vous serez mis
11:12 personnellement en examen devant un tribunal pénal, national ou international. Mais vous allez tous y passer".
11:19 Et je suis convaincu.
11:20 (Applaudissements)
11:24 Alors c'est pseudo-vaccin. Maintenant, on sait qu'ils sont inefficaces. C'est pas moi qui le dis.
11:27 C'est même une des vice-dirigeantes de Pfizer qui l'a dit au Parlement européen. Donc je ne suis pas complotiste.
11:33 N'empêche pas la transmission du virus. Alors là aussi, les gens devront rendre des comptes.
11:39 Parce que l'année dernière, vous vous souvenez, pour la France, il y avait les ministres et les médecins de plateau
11:44 qui défilaient pour justifier les obligations, pour dire "Maintenant, on a la preuve que le virus protège à 95% de la transmission".
11:55 Mais ils se foutaient de notre gueule. Ils savaient très bien qu'il n'y avait aucune donnée.
11:59 Donc il faudra qu'ils rendent des comptes de ces mensonges. Augmente le risque de faire une forme grave et de mourir.
12:05 Parce que souvent, vous savez, même en France, les gens disent "Oh oui, maintenant, ça ne protège pas vraiment la transmission".
12:12 Mais heureusement, ça protège des formes graves. Et c'est faux. Maintenant, ça explose de partout.
12:17 On voit tous ces jeunes qui s'écroulent sur les terrains de foot. Ça n'arrête pas.
12:21 Ou les chanteurs qui s'écroulent en salle de spectacle. Et c'est toujours des coïncidences.
12:26 Vous savez, j'aime bien les divider. Ah, attention, j'ai une coïncidence.
12:31 Donc les myocardites, les thromboses, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux, embolies pulmonaires, les cancers.
12:41 Les sociétés savantes de cancérologie ne veulent pas le reconnaître parce qu'il y a comme un gros business dans la cancérologie.
12:47 Mais moi, je connais des médecins qui suivent des malades avec cancer depuis plus de 20 ans qui me disent qu'ils sont effarés.
12:54 Des radiologues aussi. Ils n'ont jamais vu autant de cancers. Surtout des cancers très fulminants qui évoluent en quelques semaines.
13:02 Ou des rechutes de gens qui étaient guéris ou stabilisés d'un cancer ancien qui rechutent très rapidement après l'inoculation.
13:09 Ça, ça va péter parce que les chiffres sont là. Et la stérilité, je suis aussi inquiet.
13:16 Alors quand on regarde dans le monde entier, on a d'abord vu ça au Portugal l'été dernier, 20% d'augmentation de la mortalité, y compris chez des tranches d'âge de 20 à 50 ans.
13:28 Ce n'est pas des séniles, 20 à 50 ans. Alors les politiciens, les journalistes interrogent le gouvernement portugais. Mais pourquoi ?
13:36 Ah ben on ne sait pas, on n'a pas les moyens de savoir. Bon, d'accord. Après, c'était la même chose en Israël, en Angleterre, en France.
13:43 Vous savez, le Parisien, ce n'est pas un journal complotiste. Le Parisien, quand même, il suit Macron depuis quelques années.
13:49 Le Parisien dit à la fin de l'année dernière, il y a quelques mois, ah ça c'est bizarre, il y a 20% d'augmentation de mortalité en France chez les jeunes.
13:59 Mais on ne sait pas la cause. C'est peut-être le réchauffement climatique, c'est peut-être la guerre en Ukraine, le stress.
14:07 Et ce qui m'a fait hurler de rire, c'est triste, mais je ne sais plus dans quel pays. Il y a des gars qui ont publié dans un journal scientifique international en anglais,
14:19 un journal médical à comité de lecture, un truc très sérieux, un article pour expliquer que oui, effectivement, dans les pays qui ont beaucoup inoculé,
14:27 il y a une augmentation de mortalité. Mais c'est la faute aux antivax. Alors pourquoi ?
14:34 Parce qu'ils ont tellement diffusé sur Internet des ragots qui ont suscité la crainte à propos des vaccins que ça a terrorisé les gens.
14:43 Et que les gens qui ont été inoculés sont en état de stress et du coup, ils font des infarctus du myocarde et des AVC. Voilà. C'est très scientifique.
14:53 Et puis la stérilité aussi, je suis très inquiet parce qu'on commence à voir en France, dans beaucoup de pays, une baisse de la fertilité chez les jeunes.
15:04 Donc pour gérer la crise, il faut s'appuyer sur l'expertise indépendante, vérifier les conflits d'intérêt, ce qui n'a absolument pas été fait.
15:11 C'était honteux. Et je sais qu'il y a des médecins en France, mais dans d'autres pays, qui touchent des millions d'euros sur des comptes offshore,
15:19 je le sais par des copains de l'industrie pharmaceutique, parce qu'il y a des gens bien dans l'industrie, quelquefois, qui me parlent discrètement.
15:26 Aucun intérêt de créer un nouveau conseil scientifique. Sans arrêt, ils ont créé des conseils théodules.
15:35 Déjà, un conseil de défense, comme si la France était en guerre. Maintenant, on a une pseudo-guerre avec l'Ukraine.
15:41 Déjà en 2020, Macron disait six fois « On est en guerre, on est en guerre, on est en guerre ».
15:48 Et le conseil scientifique, ça devait être transparent. On n'a jamais les comptes rendus. Ils décident de tout.
15:53 Ils se foutent de ce que dit le Parlement. On est en dictature, quoi. C'est pas d'autre mot.
15:59 Et puis, sur les méthodes habituelles, j'ai expérimenté. La suivante.
16:05 Alors, bon, les institutions, ben, ça, je l'ai un petit peu dit. La justice doit être indépendante.
16:12 Ça, c'est important, quand on voit qu'avec le groupe Bon Sens, dont je suis le vice-président,
16:17 un groupe de... il y a plusieurs milliers d'adhérents, mais on a un petit nombre, un petit peu d'organisateurs de ce groupe.
16:24 On a fait 60 plaintes en justice, dans tout un tas de domaines dans le Covid. Elles ont toutes été rejetées.
16:35 Alors qu'il y avait des preuves à chaque fois. Cherchez l'erreur. Et l'exemption de responsabilité, c'est une crapulerie.
16:42 Alors c'est vrai que ça existait déjà aux États-Unis depuis pas mal d'années sur les vaccins.
16:49 Les lobbies d'industrie pharmaceutique avaient obtenu du gouvernement américain déjà il y a...
16:55 Je sais plus la date exacte, mais ça fait plus de 10 ou 15 ans, que les industriels du vaccin ne pouvaient pas être mis en cause
17:02 s'il y avait des effets secondaires, des morts, que c'était la responsabilité du gouvernement.
17:07 Alors je disais que ça n'arriverait jamais en France, en Europe. Bin bing, là, c'est arrivé, comme par hasard.
17:15 La suivante. Alors un petit mot pour parler de ce que disait David, c'est la destruction de la médecine.
17:22 Tout ça, le Covid, c'était un des morceaux du puzzle pour démolir tout. Vous voyez, en France, Cocorico, en 2001,
17:30 l'OMS disait que la médecine française était la meilleure du monde. La suivante. Alors je vous rassure, c'est plus tout à fait vrai.
17:38 Il y a des recettes très simples pour démolir la meilleure médecine du monde. Il suffit de demander à des bons cabinets de conseil
17:44 qui vont demander beaucoup d'argent. Et puis vous coupez les financements. Et puis ça marche tout seul, après. La suivante.
17:52 Alors rare réflexion des médecins, notamment des généralistes. David le disait pour la Belgique. C'est pareil en France.
17:59 Maintenant, tout le temps, j'entends les malades qui me disent « je ne trouve plus de médecin traitant ».
18:03 Dans ma région, à l'époque, il y en avait 5. Maintenant, il n'y en a plus que 3. Il y en a un qui prend la retraite, l'autre qui a été suspendu.
18:10 Il en reste un. Puis le petit jeune qui est arrivé ne peut pas reprendre la clientèle de 5 médecins. C'est dramatique.
18:16 Les spécialités médicales en voient disparition. Il n'y a plus de pédiatre, plus d'ophtalmo, plus de psychiatre, plus d'anatomopathologiste,
18:23 plus de je ne sais plus quoi. Avec des mois et des mois d'attente en consultation pour avoir un fond d'œil en France, dans certaines régions.
18:30 Et alors ça, c'est la grande nouveauté. Quelquefois, ça arrivait aux heures de pointe, 3-4 heures d'attente aux urgences dans l'hôpital.
18:39 Maintenant, c'est 3-4 jours. C'est régulier dans des centres hôpitaux universitaires de renom.
18:44 On voit des... Il y a eu des reportages à la télé française. On voyait des gens sur des brancards sur des centaines de mètres
18:51 qui attendaient, avec les 3 infirmières dépassées qui avouaient qu'elles n'avaient pas le temps de s'occuper des gens qui attendaient depuis 2 jours,
18:57 qui ne leur donnaient pas à manger. Ceux qui pouvaient se lever pour aller faire pipi se levaient. Les autres, ils faisaient dans leurs brancards.
19:03 C'est ignoble. Et ça, c'est pas un pays en voie de développement. C'est la France aujourd'hui, la France de Macron.
19:09 Merci, M. Macron. La suivante. Il y a des décès. C'était dit dans les médias récemment. Beaucoup de décès aux urgences ces derniers temps en France.
19:18 Alors heureusement, on a un super ministre de la Santé. On a eu une super... Véran, c'était le... Maintenant, on a Braun, vous savez.
19:28 Alors Braun, il trouve la solution à tout. Alors d'abord, il y a eu la suspension de milliers de soignants.
19:34 La France envisage peut-être de réintégrer un jour. On est le dernier pays au monde à ne pas avoir intégré les soignants.
19:40 C'est scandaleux. Et Macron a dit qu'il en faisait un objectif personnel de ne pas le faire.
19:45 Ils ont créé... Alors c'est Agnès Buzyn qui l'avait déjà créée. Elle prévoyait tout, Agnès Buzyn, avant de partir.
19:51 Elle avait créé un corps de super-infirmière. Je sais plus le nom exact. C'est des infirmiers qui font une petite formation complémentaire.
19:58 Ils ont le droit d'exercer des actes médicaux. Maintenant, c'est en train de se proliférer dans les supermarchés en France des cabines
20:08 comme les photomatons, des cabines de consultation automatique. Maintenant, c'est passé. Il y a eu un arrêté, un décret en décembre.
20:16 Le dernier en France autorisant les pharmaciens à pratiquer la médecine. Alors ils vont peut-être pas pratiquer la médecine de théovole,
20:25 mais quand même la médecine de base. Et qu'est-ce qu'ils vont faire ? Ils vont vendre leurs camelotes, parce qu'en France,
20:31 les médecins n'ont pas le droit de vendre les médicaments. Aux États-Unis, c'est possible. Dans certains pays, mais c'est comme la moindre des choses,
20:37 parce que... Vous savez, les vétérinaires sont attaqués en France, puisqu'ils vendent des croquettes. Ils disent
20:42 « Non, ne donnez surtout pas de la viande à votre chien. C'est très mauvais. Achetez les croquettes de telle marque. C'est super ».
20:48 Et puis ils touchent 10% sur les boîtes de croquettes. C'est pareil. Les pharmaciens, ils vont vous vendre leurs camelotes.
20:56 Fermeture des urgences la nuit. Alors on demande à M. Braun, le ministre, l'été dernier. « Ah, mais M. le ministre,
21:04 vous savez qu'il n'y a plus de personnel aux urgences. Ah, ben c'est très simple. S'il n'y a pas assez de personnel, il suffit de fermer les urgences la nuit.
21:10 Et maintenant, il y a des grandes villes qui n'ont plus d'urgence. Même le jour, quelquefois, c'est fermé. Comme ça.
21:17 Et pénurie de médicaments essentiels. J'ai pas le temps d'en parler là, mais je sais que c'est organisé, parce qu'à l'OMS,
21:25 j'ai assisté à des réunions internationales sur la pénurie organisée des vaccins. Je pense que c'est un peu le même truc.
21:31 La suivante. Alors on pourrait se dire « Bon, ils cassent l'hôpital comme ça, ça les amuse ». Mais ce qui est dramatique,
21:39 c'est que pendant le Covid, ils ont continué à casser. Et vous vous souvenez, Olivier Véran, en avril 2020,
21:46 la France avait moitié moins de lits de réanimation que la Allemagne. Il a dit « Je vais doubler le nombre de lits de réanimation en France ».
21:52 En fait, il a continué de fermer des milliers de lits. À Strasbourg, première vague a beaucoup touché l'Alsace.
22:03 Je sais, j'ai eu des témoignages directs des plus grandes cliniques privées de Strasbourg qui avaient annulé
22:10 leurs activités non urgentes, qui avaient libéré les services entiers de réanimation. Il y avait les réanimateurs,
22:17 les anesthésistes qui attendaient le patient. Il y a des machines ultramodernes. Et l'Agence régionale de santé a interdit
22:25 qu'ils prennent en charge les patients, parce qu'il fallait que toutes les télés françaises regardent. Strasbourg était en catastrophe,
22:32 en saturation ingérable. Et ils montraient des TGV qui partaient pour Bordeaux, des hélicoptères qui partaient en Allemagne.
22:39 Et ça, c'était une mise en scène digne de Hollywood, parce qu'en fait, il y avait plein de lits de réanimation qui étaient libres à Strasbourg.
22:47 Alors la suspension, on en a parlé. Alors là, ce qui me choque beaucoup, parce que Macron, il dit « Oh, j'ai plus de sous. Ça coûte cher, tout ça ».
22:56 Mais il a donné des centaines de milliards pour la crise. Centaines de milliards pour la crise Covid.
23:03 C'est un délire total pour une grippe. Mais les médias, ils ont touché 3 milliards d'euros en un an et demi.
23:10 C'est lui qui l'a dit lui-même en 3 fois. Alors le premier versement, c'était 666, en 666 millions d'euros, pour ceux qui connaissent le chiffre.
23:18 Et récemment, il a redonné des centaines de millions, parce qu'en un an et demi, le Pôle, ils avaient déjà dépensé les 3 milliards.
23:28 C'est pas tous les médias. C'est le petit nombre de médias aux ordres. Ils ont donné beaucoup d'argent pour des médicaments
23:36 comme le remdesivir, les pseudo-vaccins. Et les tests PCR, c'était une gabegie phénoménale. La suivante.
23:45 Alors ce que je reproche aujourd'hui, c'est qu'on ait une pratique médicale qui est aux ordres,
23:51 seul contre les recommandations officielles, même de mauvaise qualité, non basées sur les preuves
23:55 réalisées par des gens corrompus ou incompétents, même tirées de publications qui sont frauduleuses.
24:01 L'expérience du médecin, la vie du malade ne compte plus. Moi je vois, c'est terrible, les jeunes médecins que je vois aujourd'hui à l'hôpital,
24:08 ils ne suivent que des recommandations. Ils te soignent des résultats de scanner, de tests biologiques, mais ils n'écoutent plus le malade.
24:15 On leur apprend alors que le malade, c'est une variable qui n'est pas fiable. C'est pas une bonne variable arithmétique le malade,
24:21 parce qu'il ne dit pas toujours la même chose. Suppression de la liberté d'expression.
24:26 On n'a plus le droit d'ouvrir sa gueule puisqu'on est médecin. Je vais continuer à l'ouvrir, tant mieux.
24:31 (Rires)
24:33 (Applaudissements)
24:40 Et David Bouillon aussi.
24:43 (Applaudissements)
24:47 "Chasse aux sorcières des médecins résistants", j'en fais partie, la suivante.
24:52 Alors là, c'est un article d'une américaine dans un journal américain.
24:57 Parce que quand j'ai été blanchi par la chambre disciplinaire du conseil de l'ordre, ça a fait le tour du monde.
25:04 Je suis très flatté de ça, mais... (Rires)
25:08 Alors, ils ont dit "au vu de mon expérience nationale et internationale, j'avais non seulement le droit d'exprimer une voie divergente,
25:14 mais j'en avais même l'obligation". C'est très fort, ce qu'ils ont dit.
25:20 Alors, le petit groupe du Conseil national était furieux, donc ils ont fait appel, mais on l'appelle, ça peut durer longtemps, ça ne m'inquiète pas.
25:30 La suivante. Ce qui me fait beaucoup de peine, c'est que je vois qu'ils ont infiltré toutes les facultés de médecine.
25:39 Alors, c'est pas qu'en médecine, je pensais dans d'autres domaines. On sait que George Soros a créé un truc qui s'appelle l'Open Society.
25:45 Comme il est ultra milliardaire, il achète toutes les grandes universités du monde.
25:49 Et une fois qu'il a acheté l'université, il met dans le conseil d'administration des gens à lui qui commencent à formater comment on doit enseigner nos étudiants.
25:58 Et en médecine, j'ai réalisé récemment que ça avait commencé dans les années 1920, quand Rockefeller a acheté l'industrie chimique américaine.
26:06 Il a commencé à faire fermer des petites facultés qui enseignaient la médecine chinoise, l'acupuncture, le traitement par les plantes.
26:15 Et ça s'est aggravé de façon très importante après la deuxième guerre mondiale.
26:19 Parce que tout ce qui n'est pas brevetable avec des produits chimiques doit être dénigré.
26:24 Et moi, j'ai pratiqué la phytothérapie dans la maladie de Lyme pendant 20 ans avec beaucoup de succès.
26:30 Ça ne marche pas chez tout le monde, mais j'ai appris par les malades. Il faut avoir l'esprit ouvert.
26:34 De toute façon, la plupart des médicaments viennent des plantes. Pourquoi les plantes ne marcheraient pas ? Parce qu'elles ne rapportent pas, c'est tout.
26:39 Alors comment restaurer une médecine de qualité ? C'était très simple. Il faut changer de politicien.
26:44 (Applaudissements)
26:53 Alors je ne sais pas si c'est vrai. C'est peut-être une fake news. Mais j'ai vu qu'il y avait les avions présidentiels qui avaient décollé hier.
26:59 Exclure des décisions BIC-FERMA, les cabinets de conseil, interdire les lobbies pour fendre les conflits d'intérêts,
27:06 réembaucher les soignants, bien entendu. Je crois qu'il faut ablottir tous ces soignants suspendus. C'est terrible pour eux.
27:13 (Applaudissements)
27:20 Augmenter réellement le nombre des étudiants en médecine, augmenter la rémunération des soignants, des médecins paramédicaux.
27:25 En France, comme professeur, je n'ai pas fait de privé. Donc je gagnais le salaire de la faculté.
27:31 Mais on n'avait pas un salaire énorme quand je compare ce que gagnent les professeurs en Suisse ou dans d'autres pays.
27:37 Et arrêter la fermeture des liens et des urgences. La suivante. Arrêter de rembourser des médicaments inutiles,
27:43 ce qu'ils font tous les jours, hors de prix, sous-évalués ou à l'évaluation frauduleuse, qui n'apportent pas de bénéfices, voire toxiques.
27:49 Évaluer scientifiquement les médecines naturelles et alternatives, ce qui n'a jamais été fait.
27:55 (Applaudissements)
28:00 Et ça, c'est un immense scandale. Parce que, non, c'est n'importe quoi, c'est du charlatanisme, ça n'a pas été prouvé.
28:05 Pourquoi ce n'est pas prouvé ? Parce qu'ils n'ont jamais mis un sou pour le prouver. Mais c'est facile à prouver.
28:11 Rétablir la liberté d'exercice des médecins, la liberté et l'indépendance des médias, il y a beaucoup à faire.
28:17 Mais finalement, faire tout le contraire de ce qui a été fait depuis 25 ans, ça ne coûtera pas plus cher que la GAPJ actuelle.
28:24 La suivante. Pour terminer, voilà, il faut revenir à une médecine holistique et humaniste, selon Hippocrate et Aristote.
28:30 Mais je suis optimiste, parce que là, tout se casse la gueule en ce moment, et on va reconstruire ensemble un monde meilleur, je l'espère.
28:38 Voilà, merci.
28:51 Maintenant, la vérité commence à monter. LN24, son journaliste, a été quand même méchamment condamné par le Code d'idéologie journalistique.
29:00 Et puis ça va être d'Aoust, de la RTBF, et puis ça va être d'autres. On va les descendre à la queue lulule ! Voilà.
29:09 Et ce n'est pas une promesse. Quand je dis quelque chose, j'essaie de le faire. Voilà.
29:16 Alors, des questions, maintenant, je vous donne la parole, hein, mon ami Christian, on donne la parole, et on va essayer de le mieux répondre possible par rapport à notre expertise. Voilà.
29:26 J'aimerais avoir des informations sur la protéine Spike, sur son éventuelle transmissibilité entre vacciné et non vacciné, par exemple.
29:37 Alors, quand on injecte ces produits RNMSAG, ils transforment vos cellules en usines à protéines Spike, la protéine de pointe du coronavirus.
29:45 Il la produit en grande quantité. Alors, vous savez, on nous a dit au début, non, mais le RNMSAG, il disparaît au bout de quelques heures.
29:51 En fait, maintenant, il y a des preuves scientifiques qui peuvent, on peut le retrouver plusieurs mois après. Donc, il y a peut-être pas tout le monde, mais il y a des personnes qui peuvent produire
29:58 des quantités importantes de cette protéine de pointe pendant assez longtemps. Alors, c'est pas contagieux, parce que c'est une protéine isolée.
30:06 Même si le voisin l'inhale, il peut avoir peut-être des symptômes dus à cette inhalation de protéines Spike, mais elle ne va pas se reproduire dans le corps de la personne qui a inhalé.
30:14 Parce qu'il faut l'acide nucléique, il faut l'ARN pour que ça se reproduise. Une protéine toute seule ne peut pas se multiplier.
30:21 Alors, c'est vrai qu'il y a beaucoup de témoignages de gens dans l'entourage de vaccinés ou d'inoculés plutôt, qui ont ressenti quelques fois des symptômes,
30:29 mal à la tête, de la fatigue, des douleurs musculaires, mais ça ne dure pas très longtemps. Ça dure quelques heures, quelques jours et ça disparaît.
30:37 Mais là, je rassure les personnes, c'est pas le vaccin qui va créer une épidémie de protéines Spike. C'est complètement délirant.
30:45 Mais que des personnes dans l'entourage immédiat aient ressenti des symptômes, parce que peut-être que la personne en excrétait des quantités astronomiques, c'est tout à fait possible.
30:54 En tout cas, il y a une explication scientifique possible.
30:57 C'est important cette question, parce que mon épouse est infirmière dans le centre de la gare des Ramons, et elle avait toujours, après ces deux Covid asymptomatiques,
31:10 elle avait toujours des anticorps autour de 1000. Et à sa dernière prise de sang, elle a eu une flambée d'anticorps à plus de 2000, comme les personnes injectées.
31:20 Parce que ça, vous devez le savoir, et je suppose qu'il y en a beaucoup qui le savent, c'est que les prises de sang de sérologie Covid, chez les personnes vaccinées, c'est une flambée.
31:33 D'ailleurs, l'appareil, il devient fou. Il ne donne pas un chiffre exact. C'est plus de 2000.
31:41 Alors qu'une sérologie après infection, comme moi et d'autres, comme nos milliers de patients, comme Edmond, on est à 100, 200, 500, 700.
31:53 On a un chiffre pile-poil. On n'a pas ce plus de 2000.
31:57 Et donc, par rapport à ce que j'ai entendu tout à l'heure, par rapport à ce que Christian disait, c'est quand même, et j'ose le dire, c'est quand même terriblement agressif
32:11 de vacciner un patient sans prudence, sans doser ses anticorps, sans savoir qu'il a fait la Covid et qu'il a peut-être énormément d'anticorps.
32:21 Imaginez si je devais me faire vacciner aujourd'hui avec 1500 d'anticorps. Qu'est-ce que ce vaccin va me foutre dans ma santé ?
32:27 Eh bien ici, ils ont été injectés une fois et puis deux fois et puis trois fois et puis quatre fois et le re-prévoit dix fois.
32:35 Et tout ça avec l'infection Covid en plus dans le coco.
32:40 Mais je plains les patients qui ont cette agressivité vaccinale avec des anticorps très élevés.
32:49 Le système immunitaire, il devient fou.
32:52 Et donc, comment ce système immunitaire qui devient fou avec cette vaccination à répétition est injustifié ?
32:58 Comment est-ce que ce système immunitaire va réagir par rapport au cancer ?
33:02 Et on l'a dit tout à l'heure, mon ami Dr Résimond appelle ça des cancers turbos, et peut-être d'autres aussi.
33:11 Mais un cancer turbo, c'est terrible parce que ces personnes sont fatiguées.
33:16 On pense que c'est une fatigue anodine.
33:19 Et quand on fait les marqueurs tumoraux, ça aussi par prise de sang.
33:23 Je pense à ce monsieur Yves la semaine passée qui, on a découvert un cancer du pancréas par les marqueurs tumoraux.
33:32 Il va seulement aller aborder, mais on est au départ d'un cancer.
33:35 Ce monsieur ne s'attendait vraiment pas à avoir ce cancer.
33:39 Donc vous voyez que cette vaccination, soit disant pour sauver des vies au départ,
33:45 je peux vous dire qu'il va en tuer pas mal et il va en faire souffrir pas mal aussi.
33:50 Et donc voilà, le problème de ces protéines SPAG et de ces anticorps qui sont complètement déréglés
33:57 par cette vaccination agressive et successive, il faut y mettre fin.
34:03 Alors, vous voyez bien, je n'ai pas le gros cou, je n'ai pas d'ego.
34:08 Parce que si j'ai un ego, c'est au service des autres.
34:11 Mais nous sommes en train d'avoir donc une procédure devant le tribunal de Charleroi
34:18 contre la VIC et contre la ministre de la Santé, c'est-à-dire contre ceux qui sont responsables de la vaccination,
34:25 donc COVID, on est en appel et je devrais même me plaidoyer tout seul parce que l'avocat,
34:34 malheureusement, il n'a pas fait ce que je lui ai demandé à 100%,
34:38 mais en tout cas, cette VIC doit être mise au pilori, il doit être vraiment condamné
34:43 parce que ces enfants qui ont été injectés, sans qu'ils sachent ce qu'ils ont eu,
34:49 sans que les parents sachent ce qu'ils risquaient, mais je le dis,
34:54 parce qu'aujourd'hui je n'ai peur de personne, je le répète, et encore moins de l'ordre,
34:59 il faut quand même se dire qu'une vaccination qui est produite chez un patient ou chez un enfant,
35:07 sans la moindre information, sans la moindre raison médicale, est un crime.
35:14 Est un crime parce qu'il n'y a vraiment malheureusement aucune raison de vacciner
35:21 et surtout de faire participer une population à une injection expérimentale.
35:25 Edmond qui est ici n'est pas vacciné, il est toujours là pour vous dire haut et clair
35:30 qu'avec son système immunitaire qui est remis au goût du jour et pourtant 87 ans,
35:36 il n'a pas besoin d'une injection dans le bras, dans le derrière ou ailleurs,
35:41 il a simplement besoin qu'on surveille son immunité, qu'on l'aide,
35:45 et je peux vous dire que c'est une bataille qui va être longue,
35:50 mais c'est une bataille qui va être juste parce que, et j'en ai la chair de poule,
35:56 parce qu'en réalité on a l'expertise, et c'est pour ça que mon ami Christian qui est ici à mes côtés
36:05 a confirmé et confirmera encore que en tant que professeur on aurait dû l'écouter
36:12 et moi j'aurais jamais dû l'écouter s'il avait parlé avant moi.
36:17 Mais voilà donc en réalité Christian, merci d'être là, c'est pour ça que ton rôle aujourd'hui,
36:22 vive le professeur Christian Perron !
36:26 Est-ce qu'on peut avoir le droit de refuser lors d'une transfusion sanguine
36:30 du sang "contaminé" si on est non vacciné ?
36:36 En France ?
36:38 Est-ce qu'en France on a le droit ?
36:40 Pour la Belgique je ne connais pas la loi, pour la France tout le monde doit être égal,
36:46 dans la loi on ne peut pas savoir l'origine du don du sang,
36:51 donc on peut recevoir du sang de vacciné, de non vacciné on n'a pas le droit de savoir,
36:55 la seule chose aussi, et on peut le faire, ce n'est pas pour un accident de la route
36:59 où vous devez être transfusé en urgence, mais si vous programmez une chirurgie plusieurs mois à l'avance,
37:04 ça ça existe déjà dans la loi française depuis plusieurs années,
37:07 vous pouvez aller régulièrement à la banque du sang vous faire prélever votre propre sang,
37:11 ça s'appelle l'auto-transfusion, qu'ils mettent au congélateur,
37:14 et le jour où vous avez une intervention qui peut saigner, qui consomme du sang,
37:18 vous pouvez utiliser votre propre sang, ça c'est dans la loi française,
37:21 après il y a des pays où le don du sang n'est pas forcément anonyme,
37:26 où le don du sang est payant alors qu'en France c'est gratuit,
37:29 et vous savez que dans les pays où le don du sang est payant,
37:32 les non vaccinés vendent leur sang beaucoup plus cher maintenant,
37:35 comme à Davos les pilotes d'avions non vaccinés, ceux qui pilotaient les milliardaires,
37:40 c'est pareil, mais en tout cas pour la transfusion, c'est impossible en France.
37:46 Quand vous dites transfusion, mais oui qu'on aurait le droit de recevoir du sang
37:51 d'une personne non vaccinée en étant non vaccinée,
37:55 et celui qui est vacciné qui veut recevoir du sang d'un vacciné, c'est son droit aussi,
37:58 mais on aurait le droit de séparer les deux catégories,
38:02 comme en son temps la discrimination terriblement méchante, cruelle,
38:07 jusqu'à laisser les personnes âgées aux fêtes de Noël à leur maison,
38:11 si Bobon, si mamie, si grand-mère n'est pas vaccinée,
38:14 elle reste à sa maison, parce que nous on est une famille de vaccinés,
38:17 et c'est comme ça que ça va.
38:19 Et bien voilà, donc en réalité ils sont au-dessus des lois,
38:22 et c'est pour ça, dans ce que j'ai entendu, il faut les virer,
38:26 il faut les changer ces politiciens, ils ont semé la mort,
38:30 et ils la sèmeront encore, parce que eux c'est ça.
38:34 Alors la Croix-Rouge, je m'excuse, parce que c'est comme ça,
38:39 la Croix-Rouge n'est pas la Croix-Rouge pour votre santé,
38:43 puisque l'arrêté royal il est là, le protocole est là,
38:47 si Edmond retourne à l'hôpital, on va dire "ouh 87 ans, gériatrie tout de suite",
38:53 et ils nominaient pas à terre.
38:56 Ils nominaient pas à terre, c'est tout, préparez le cercueil.
38:59 Et d'ailleurs c'est quand même incroyable, parce que j'ai une personnalité à Bruxelles,
39:03 qui avait une septicémie à domicile, et j'y pense, 97 ans, 97 ans,
39:10 et bien le médecin traitant ne savait rien faire,
39:13 et bien on m'a téléphoné de Mont-Saint-Bruxelles,
39:17 donc j'ai mis cette perfusion intraveineuse d'antibiotiques,
39:19 j'ai mis le protocole qu'on utilise depuis 3 ans,
39:22 et bien j'étais incroyablement étonné, vous savez quoi ?
39:26 Le curé était passé avant moi.
39:30 Il était déjà parti sur la voie.
39:33 Le curé était passé.
39:35 Parce que tout le monde s'est dit "tu as une septicémie à domicile, tu vas mourir".
39:39 Covid, pneumonie.
39:41 Sauf que la perfusion intraveineuse d'antibiotiques, avec de la cortisone, avec de l'oxygène,
39:48 parce que ça, ça date du 1er décembre,
39:51 le monsieur est toujours là, aujourd'hui, avec 4 de CRP au lieu de 350.
39:58 Pardon ?
40:00 Et le curé, je ne sais pas, mais il se dit "pour moi, ce monsieur est un lourde, c'est pas possible".
40:06 Voilà. Donc quand on veut, on peut.
40:09 Mais on a un arsenal pour sauver des vies,
40:12 et cet arsenal est mis au placard,
40:14 comme les masques ont été mis au placard quand on en avait vraiment besoin,
40:18 comme les tests ont été mis au placard,
40:20 tout a été mis au placard quand il fallait sauver des vies.
40:22 Et ça, vous ne devez jamais l'oublier,
40:24 parce que moi, je n'oublierai jamais ce qui s'est passé pendant les 3 années,
40:28 parce que celui qui oublie aujourd'hui,
40:30 il doit déjà se préparer à demain, à avoir encore des années noires.
40:35 Et ça, je n'en veux plus, ni vous, ni moi, ni personne.
40:38 Merci.
40:40 Question concernant l'ARN messager.
40:46 Oui, l'ARN messager.
40:48 En fait, les laboratoires BioNTech et Pfizer
40:51 essayent un peu de contourner la mise sur le marché
40:54 avec une vaccination sur le bétail, l'élevage.
40:58 Il y a eu quelques documents qui sont sortis sur ça.
41:01 Quel est le danger au niveau de l'alimentation humaine
41:05 par rapport à notre génome et cet ARN messager qui serait délivré au bétail ?
41:09 Je pense que si c'est un ARN messager qui est injecté à un animal,
41:13 que c'est cuit, je ne vois pas trop le risque.
41:15 Après, ce qui m'affole, c'est qu'on voit que ces technologies ARN messager
41:19 ne sont pas du tout des vaccins, que ça ne marche pas, que c'est toxique.
41:22 Et maintenant, pour être gentil, il n'y a peut-être que des intérêts financiers
41:27 qui sont déjà colossaux, c'est par centaines de milliards.
41:30 Il y a peut-être d'autres volontés derrière que je ne vais pas évoquer aujourd'hui.
41:34 Mais de voir que l'industrie se vante de mettre au point actuellement
41:38 de faire des essais sur des vaccins ARN messager pour nos enfants,
41:41 pour toutes les maladies courantes, là, je dis que c'est criminel.
41:44 N'acceptez jamais que votre gamin reçoive un produit ARN messager
41:49 pour la diphtérie, tétanos, polio, les oreillons, je ne sais pas quoi.
41:53 Alors qu'on a des vaccins qui marchent bien, il n'y a aucun intérêt d'avoir ces saloperies.
41:58 Ou alors, je veux bien, s'il y a vraiment 10 ans de recherche convenable,
42:02 faite dans les conditions habituelles, et pour les femmes enceintes, 20 ans,
42:06 que ça se fasse comme ça s'est toujours fait pour tous les médicaments,
42:09 sans qu'il y ait de fraude, parce qu'on sait même qu'on s'est fait
42:12 dans les conditions standards, on l'a su pour beaucoup de médicaments,
42:15 il y a eu des fraudes, je rappelle que les grands fabricants de vaccins
42:19 ont déjà été condamnés à des milliards de dollars d'amende ces 20 dernières années,
42:24 donc ce ne sont pas des enfants de cœur en termes de fraude.
42:28 Donc moi je suis très inquiet, et il faut déjà que tous ces responsables
42:34 soient mis en examen pour répondre de tout ce qu'ils ont fait,
42:37 et après y voir plus clair et repartir sur des bases sereines.
42:41 Pour moi l'ARN messager pour l'instant c'est quelque chose de diabolique
42:44 qu'on ne contrôle pas, alors ils essayent de passer par l'animal,
42:48 mais en plus ils le disent maintenant qu'il y a des produits à base de crème nasale,
42:52 à base de crème cutanée qui pourront aussi traverser la peau,
42:56 il y a même des génies un peu bizarres qui veulent le vacciner en modifiant des moustiques,
43:04 non mais ils sont devenus complètement dingues certains.
43:08 Alors je suis content quand ils parlent comme ça, c'est bien, c'est important.
43:13 C'est important, on a quand même professeur Perron qui dit quand même des choses réelles,
43:20 si certains n'ont pas compris c'est quand même triste,
43:23 parce qu'on essaie de donner une information, de ne pas tomber dans un piège,
43:28 parce que vous savez, c'est aussi quelque chose que j'ai en mémoire,
43:34 je suis né en 1962 et dans un hôpital Montois,
43:39 ma mère a mis à la porte le gynécologue quand il a voulu lui donner ce fameux médicament,
43:49 ce fameux thalidomide, sauf ténon.
43:52 Dans la chambre d'à côté, comme quoi il n'y a pas de hasard dans la vie,
43:57 dans la chambre d'à côté, ce Pascal, dont la maman avait pris ce médicament,
44:04 il avait un bec de lièvre malheureux de malheureux.
44:08 Et ce gamin était devenu un ami en secondaire,
44:13 et quand je le voyais, je me disais mais là ma mère a quand même fait quelque chose de bien,
44:18 elle a mis à la porte le gynécologue.
44:21 Et ce thalidomide, ce sauf ténon, qui a mis quand même à mal beaucoup de victimes,
44:28 c'est grâce ou c'est à cause de ce médicament qu'on a créé la pharmacovigilance en Belgique.
44:36 Et cette histoire de Covid, au niveau pharmacovigilance, on peut le remettre à zéro pointé.
44:43 Zéro pointé, parce que celui qui sait aller mettre ses effets indésirables
44:52 en quelques secondes ou en quelques minutes, qui me donne un coup de téléphone.
44:57 Ce sont des... non, ce n'est pas possible.
45:00 Et en plus, c'est par internet.
45:03 Donc vous vous rendez compte, une personne âgée, dans son NEPA, dans sa maison de repos,
45:07 va dire à l'infirmière "Passe-moi l'ordinateur parce que je vais quand même envoyer un effet indésirable".
45:13 Complètement.
45:14 Le médecin traitant ou quelques médecins traitants, même beaucoup, vont dire "Oh non, il n'y a pas de lien,
45:21 il n'y a pas de lien avec cette injection".
45:24 Mais en attendant, la fille de mon ami Marc, qui est ici, est décédée quand même quelques semaines après ces deux doses,
45:33 dans la plus grande des souffrances.
45:36 On ne doit pas envoyer des effets indésirables par rapport à une cause ou à un lien.
45:45 Non.
45:46 Tout effet indésirable doit être rapporté, quel que soit le lien, quelle que soit la cause,
45:51 et c'est un devoir déontologique de chaque médecin.
45:54 C'est vrai que c'est long.
45:57 Moi, quand je faisais les déclarations d'effets indésirables il y a 15 ans,
46:01 il y avait juste une feuille de papier, il fallait cocher 10 items avec des petites croix,
46:05 on envoyait ça par la poste à l'agence du médicament, c'était terminé.
46:09 Maintenant, quand on fait ça sur internet, il faut se prendre la tête, ça prend beaucoup de temps,
46:12 et le pauvre médecin généraliste qui est déjà débordé, qui n'arrive pas,
46:16 ils ne sont pas tous de mauvais souhaits, ils n'ont pas le temps de le faire.
46:19 On sait, ça c'est une estimation même avant le Covid, les effets rapportés,
46:24 pour les effets assez bénins c'est moins de 1%,
46:28 pour les effets graves c'est moins de 10% parce que les gens n'ont pas le temps ou n'ont pas de lien.
46:34 Et puis le médecin qui dans son subconscient se dit "merde, j'aurais peut-être pas dû injecter ça",
46:39 il ne va pas spontanément dire à la personne "ah ben oui, je vous ai injecté une saloperie"
46:45 parce qu'il a peur après d'être attaqué en justice par la personne qui l'a injecté.
46:51 Les médecins, il y a une espèce d'autocensure pour se protéger.
46:55 Parce qu'il faut savoir maintenant qu'en France, il y a des médecins qui sont attaqués en justice par des patients
47:01 en disant "mais attendez docteur, vous avez fait l'injection à ma mère qui est décédée 15 jours après,
47:06 je voudrais avoir le numéro de lot et la copie du consentement éclairé que vous lui avez fait signer".
47:12 Le médecin dit "pourquoi consentement éclairé ? Vous êtes au courant que c'est un produit en phase 3 expérimental,
47:17 donc par la loi vous êtes tenu de faire signer un consentement éclairé".
47:20 Et là il y a des médecins qui deviennent tout verts en disant "mais c'est quoi cette histoire ?".
47:24 Les médecins dans leur subconscient savent que ça peut se retourner contre eux.
47:30 Oui, mais en attendant il y a des victimes, en attendant il y a des personnes en souffrance qui sont tombées dans le piège
47:35 parce que c'est vrai qu'il y a quand même des confrères qui ont poussé à la vaccination.
47:39 Dans la région de Mons, je connais même certains qui rentrent dans la pharmacie,
47:44 ils prennent les vins d'eau et ils font toute une rue. C'est comme ça, c'est horrible.
47:49 Il y a des pharmaciens qui vaccinent. Donc ils ne peuvent pas faire le vaccin contre la grippe,
47:53 mais ils peuvent faire le vaccin pour la Covid. Trouvez l'erreur. Mais l'erreur elle est là.
47:58 C'est comme ça. Donc il faut s'exprimer aujourd'hui.
48:02 Oui, on a dit beaucoup de choses, on a dit beaucoup de vérités, mais maintenant ils peuvent venir
48:06 parce qu'on aura les preuves à leur montrer. Et j'espère que ça bougera mon ami.
48:12 [Musique]
48:15 [Silence]