• l’année dernière
Transcription
00:00 Je suis né vivant le cinéma de matin à soir.
00:02 -Ottore! -Sergio Leone!
00:04 Personne n'a jamais fait de films comme lui, avant ou après.
00:11 Dans Kill Bill et Glorious Bastards,
00:14 j'ai appris et pris autant que je pouvais.
00:16 Je ne sais pas si l'américain dirigeant aurait pu le faire.
00:21 Il avait des souvenirs magnifiques.
00:27 La plus grande joie était de pouvoir y porter et être une des apparitions.
00:32 Pour moi, c'était un grand jeu.
00:33 Je ne sais pas, il n'y avait pas...
00:36 Il n'y avait pas de discussion.
00:37 Toutes les percussions étranges...
00:42 Et on a changé la musique du monde.
00:46 Je crois qu'ils sont le début du cinéma moderne.
00:50 Comment voir des quadris d'un artiste qui a été révolutionnaire,
00:54 et qui est enchanté?
00:56 Le film est un exemple.
00:58 Je vais toujours te regarder comme un des géants
01:04 à qui tu m'as permis de me tenir.
01:06 C'était si mignon.
01:08 Il était tellement paternel,
01:11 gentil et protégé.
01:13 Je fais du cinéma que j'aime faire.
01:15 Je dois aimer viscéralement et à l'intérieur un film.
01:19 Leone, Fred Leone.
01:24 Merci, Sergio.
01:26 Sous-titrage ST' 501
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01:34 Sous-titrage Société Radio-Canada