Vidéo un peu spéciale aujourd'hui car je vais vous parler de deux séries documentaires que j'affectionne particulièrement : The Last Dance et The Last Ride.
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SportTranscription
00:00 *Générique*
00:03 Bonjour à tous, aujourd'hui vidéo un petit peu spéciale car je vais sortir de ma zone de confort.
00:09 Je ne vais pas vous parler cinéma aujourd'hui mais bien de deux séries documentaires à la fois liées par leur titre,
00:13 "The Last Dance" pour l'une et "The Last Ride" pour l'autre,
00:16 mais aussi par les différentes thématiques qu'elles abordent, notamment la fin de carrière de deux légendes sportives
00:21 avec un état d'esprit bien caractéristique.
00:23 Je parle bien sûr du basketeur Michael Jordan et du catcheur Mark Calloway,
00:26 mieux connu à travers le monde sous le nom de l'Undertaker.
00:29 Je vais revenir sur le format adopté par les deux séries, notamment à travers leur montage, à travers leur mise en scène,
00:33 mais aussi sur les motivations, les doutes, les peurs des deux protagonistes qui, vous allez voir,
00:38 ont bien plus en commun que ce qu'on pourrait penser.
00:40 Le but ici est de vous faire découvrir ces deux univers en les entremêlant,
00:43 mais surtout vous donner envie de foncer sur ces deux séries documentaires qui sont totalement incroyables.
00:48 Du coup, perdons pas une seconde de plus et commençons tout de suite.
00:51 *Générique*
00:58 Il va de soi qu'à première vue, un basketeur et un catcheur n'ont pas grand chose en commun.
01:02 Si ce n'est peut-être Dennis Rodman, mais Dennis Rodman est un être humain hors catégorie.
01:06 *Bruits de bataille*
01:12 Les deux hommes que je vais vous présenter ici n'ont pour ainsi dire rien en commun sur le plan sportif,
01:16 si ce n'est d'avoir tous deux révolutionné leur domaine de prédilection.
01:19 D'un côté, nous avons Michael Jordan, six fois champion de NBA, Hall of Famer,
01:23 considéré comme le plus grand basketeur de tous les temps et comme un des sportifs les plus influents de ces dernières décennies.
01:29 Une influence qui laissera sa marque dans la culture populaire,
01:31 notamment à travers les nombreux produits dérivés à l'effigie de la star, sans oublier ses apparitions au cinéma.
01:36 C'est tout ça englobé à son charisme et à sa manière unique de pratiquer le basketball
01:41 qui ont fait de Michael Jordan une sorte de demi-dieu.
01:43 C'est également cette influence qui a grandement aidé à l'expansion de la NBA à travers le monde.
01:48 *Musique*
02:02 A l'époque, Jordan était considéré comme une véritable rockstar,
02:05 constamment suivi par les médias, par ses fans, tous scrutant ses moindres faits et gestes.
02:10 Et c'est cette pression constante qui ne lui offrait pas le droit à l'erreur
02:13 et qui lui permettait d'être fabuleusement à l'aise sur un terrain de basket,
02:16 à la fois agressif, rapide, agile, bref, un athlète hors pair.
02:21 Mais durant la même époque, un autre athlète tout aussi incroyable s'est vissé sur les rings.
02:26 Un homme de plus de 2 mètres, de plus de 140 kilos,
02:29 tout aussi capable de s'envoler dans les airs que de faire voler ses adversaires.
02:33 Un être sans pitié, un artiste génialement effrayant, l'Undertaker.
02:37 Je vais être honnête avec vous, je m'y connais pas beaucoup en basketball,
02:42 ce qui pourtant ne m'a pas empêché de prendre beaucoup de plaisir devant les épisodes de The Last Dance.
02:46 En revanche, je m'y connais bien plus en catch.
02:48 Fan de ce divertissement sportif depuis plus d'une décennie,
02:51 j'ai pu suivre une majeure partie de la carrière d'une véritable légende vivante dans ce domaine,
02:55 le 7 fois champion du monde, le mort-vivant qui arbore les rings depuis près de 30 ans,
03:00 l'Undertaker.
03:01 Ce catcheur originaire d'Austin au Texas a dédié la majeure partie de sa vie au divertissement sportif,
03:06 enchaînant au fil des décennies les prestations hors du commun,
03:09 les victoires, mais aussi les opérations chirurgicales.
03:12 Car même si le catch s'est scripté, bah le catch ça fait mal.
03:15 Et l'Undertaker compte pas moins de 15 opérations en 30 ans de carrière.
03:19 Et quelle carrière.
03:21 Si vous n'êtes pas familier à l'univers du catch,
03:23 je pense que The Last Ride vous intéressera tout autant que The Last Dance pour un non-initié au basketball.
03:28 On y apprend comment fonctionne le catch, comment se prépare un show,
03:31 comment se vit un match pour un catcheur.
03:33 Et on y apprend surtout à connaître Mark Calloway, l'interprète de l'Undertaker.
03:37 Un athlète incroyable qui a offert à ce sport-spectacle ses plus belles heures.
03:41 Et petite parenthèse, si vous voulez découvrir l'Undertaker sur le ring,
03:44 et même le catch en général,
03:46 je vous conseille son match contre Shawn Michaels à Wrestlemania 25.
03:49 Je pense que c'est la meilleure façon d'entrer dans la grande famille du catch, croyez-moi.
03:53 Tout au long de sa carrière, l'Undertaker a beaucoup souffert physiquement.
03:57 A poussé son corps jusqu'à ses limites, a mis sa santé et sa vie en jeu.
04:00 Et pourtant il y a quelques mois, à 55 ans, il prenait encore part à un combat.
04:05 Et tout le monde s'est demandé pendant ces 3 dernières années,
04:07 pourquoi est-il encore là à son âge ?
04:09 Pourquoi risquer sa vie alors qu'il n'a plus rien à prouver ?
04:12 Et bien dans The Last Ride, l'Undertaker répond à ces questions.
04:14 Mêlée à la détermination, une dépendance passionnelle et un soupçon de folie,
04:20 et c'est tout ça qui pousse encore aujourd'hui l'Undertaker à arpenter les rings.
04:23 L'envie de briller, l'envie de convaincre, de gagner, l'envie d'être le meilleur.
04:28 Exactement comme un certain Michael Jordan.
04:31 Et c'est à partir de là que les deux hommes se rejoignent.
04:34 A travers leurs documentaires respectifs, les deux hommes se livrent,
04:44 laissent tomber le rideau et paraissent plus vulnérables que jamais.
04:47 On y découvre un Michael Jordan très armieux et sans langue de bois,
04:51 que ce soit avec ses adversaires mais aussi avec ses coéquipiers.
04:54 Il laisse transparaître sa mentalité écrasante,
04:56 qui n'est pas à son avantage quand il s'agit de soigner son image,
04:59 mais qui lui a permis de remporter tous ses titres prestigieux.
05:02 On lui découvre également une grande sensibilité,
05:04 notamment quand il aborde l'assassinat de son père et sa manière de jouer.
05:07 On se rend compte que Michael a toujours cherché un bon moyen de pimenter le jeu,
05:23 en rendant les choses très souvent personnelles.
05:25 Un joueur adverse ne vient pas le saluer, l'équipe part avant la fin du match,
05:28 on lui vole simplement la vedette en termes de stat,
05:31 ça suffit à Michael pour se surmotiver et littéralement transformer son jeu.
05:35 Mais être le meilleur a un prix, car à travers The Last Dance,
05:38 on découvre un MJ impitoyable, souvent tyrannique avec ses coéquipiers.
05:42 On sent qu'il porte un fardeau énorme,
05:44 et que ce besoin de jouer et surtout de gagner va apparaître comme étant à la fois une force,
05:48 mais aussi une faiblesse.
05:50 Michael joue tout le temps, partout, la compétition quelle qu'elle soit est son carburant,
05:55 c'est ce qui le fait avancer.
05:56 Tout est prétexte à se surpasser pour lui, à faire mieux à chaque fois.
06:00 Exactement comme l'Undertaker.
06:02 Sauf que si Michael a su s'arrêter au bon moment, l'Undertaker lui n'y est pas parvenu.
06:07 Et c'est là que son combat diverge et devient tout aussi intéressant que touchant.
06:11 The Last Ride va suivre ce qui s'annonce être les trois dernières années de carrière de l'Undertaker,
06:15 qui a comme particularité de n'être jamais satisfait de son travail sur le ring.
06:19 Il sait qu'il doit prendre sa retraite, qu'elle est proche,
06:22 mais il ne veut s'arrêter que sur le match parfait.
06:24 Seulement voilà, quand il arbore le sujet, on sent qu'au fond de lui, il sait qu'il n'en est plus capable.
06:29 Le problème c'est qu'il se voile la face,
06:31 et que tout ceci n'est qu'un prétexte pour remonter sur le ring encore et encore.
06:34 Il ne parvient pas à tourner la page et à clôturer cette partie de sa vie.
06:38 Il en est encore accro.
06:39 C'est un homme qui ne veut pas vieillir tout de suite,
06:41 qui ne veut pas quitter ce train de vie qu'il suit depuis presque 30 ans.
06:44 Malheureusement, c'est sa condition physique et son âge qui vont le rattraper.
06:48 Il fait preuve d'une certaine mélancolie durant ses interventions,
06:50 et c'est parfois assez bouleversant,
06:52 voire triste d'être témoin de cette évolution, de ce changement de cap,
06:56 de cette étape qui s'appelle la vieillesse et qu'on est tous forcés de traverser.
07:00 "Cela ne vieillit jamais. Et ça garde un vieil homme jeune."
07:06 Son amitié assez spéciale avec Vince McMahon, le président de la WWE, donc son patron,
07:15 est aussi la cause de ses trois dernières années de carrière pas très glorieuses.
07:18 Il voit en Vince un père, un frère, un ami.
07:21 Il lui voue une fidélité à toute épreuve.
07:23 Et le problème, c'est que Vince continue à l'appeler pour lui proposer des matchs par-ci, par-là.
07:28 Et comme il se sent redevable, il accepte, fait un mauvais match,
07:31 se sent coupable et refait un match derrière pour tenter de se racheter du dernier.
07:35 C'est un cercle vicieux, mêlé à une amitié destructrice et un certain déni,
07:39 qui l'empêche de trouver une sorte de paix intérieure et le courage de dire stop.
07:43 Il aura fallu un match destructeur l'année dernière, qui a failli lui coûter la vie,
07:47 pour qu'il prenne conscience qu'il est peut-être temps d'arrêter.
07:50 C'est ce qui m'a beaucoup marqué dans ces deux séries documentaires.
07:55 La façon qu'ont les deux protagonistes d'aborder leur travail, leur passion.
07:58 La capacité qu'ils ont à se livrer à nous, leurs admirateurs.
08:01 Nous qui les avons toujours vus comme des êtres surhumains, intouchables, sur deux.
08:05 Ici, on se rend compte qu'ils sont comme nous tous.
08:07 Des êtres humains, emplis de doutes, de peurs, de qualités et de défauts.
08:12 Ils ont su se démystifier pour mieux se faire comprendre.
08:15 Ils font tomber le masque et ça a dû les effrayer quelque part de se mettre à nu.
08:18 Ça les a rendus vulnérables et ça n'a pas été évident pour certains d'entre nous non plus, je pense.
08:23 Car on voit désormais ce qui se cache derrière le mythe.
08:25 En tant que spectateur, on a toujours tendance à idolâtrer ce genre de vie,
08:29 à être envieux même par moment.
08:30 Mais à travers ces témoignages, on se rend compte que la pression subie est tellement énorme,
08:35 qu'on ne peut profiter de cette vie qu'après l'avoir menée.
08:37 Que ces deux athlètes ont donné leur temps et leur énergie à offrir ce qu'ils avaient de meilleur pour nous.
08:42 Et le fait que des millions de gens attendent des choses d'eux tous les jours,
08:45 ça a dû être quelque chose d'insoutenable par moment.
08:47 La pression est trop grande pour le commun des mortels.
08:50 J'aime à penser qu'eux aussi ont le droit à l'erreur, qu'eux aussi ont leur vice, leur démon.
08:55 Et c'est là que le principe de série documentaire prend tout son sens.
08:58 Avoir le témoignage des protagonistes en question avec des années de recul sur leur expérience de vie,
09:03 c'est fabuleux pour nous.
09:04 Surtout quand le format se prête à l'exercice.
09:06 Le format et la mise en scène des deux séries se veulent assez identiques.
09:17 Les deux vont prendre un fil conducteur,
09:18 à savoir la dernière saison de Michael Jordan chez les Bulls en 1998,
09:22 et les trois dernières années de carrière de l'Undertaker.
09:24 Et ils vont relier à ce fil conducteur différents points annexes,
09:28 afin de mieux développer l'axe principal.
09:30 L'utilisation d'images d'archives,
09:31 entremêlées à l'intervention d'autres protagonistes pour offrir des points de vue différents.
09:35 Et des images inédites,
09:36 afin de se retrouver directement dans les coulisses et dans l'intimité des deux vedettes.
09:40 Les deux documentaires vont aussi être présentés de manière très cinématographique.
09:44 Le montage va accentuer une certaine dramaturgie par moment,
09:47 qui nous ferait presque croire qu'on est devant une fiction.
09:49 Je prends comme exemple la fin du combat de l'Undertaker à Wrestlemania 33,
09:53 dans l'épisode 1 de The Last Ride,
09:54 et les cliffhangers extrêmement bien gérés des épisodes de The Last Dance.
09:58 La seule différence va être le nombre d'épisodes.
10:01 10 pour The Last Dance,
10:02 et 5 pour The Last Ride.
10:04 D'ailleurs je placerai un chouïe au-dessus la production de The Last Dance.
10:07 Mais c'est plutôt logique en sachant que c'est pas le même budget,
10:10 et pas les mêmes ambitions.
10:11 J'ai vraiment beaucoup aimé la construction de The Last Dance.
10:14 Qui ne va pas se concentrer uniquement sur Michael Jordan,
10:16 mais aussi sur toute une institution.
10:18 Sur la NBA et son expansion,
10:20 sur l'évolution des Chicago Bulls et ses joueurs emblématiques,
10:23 comme par exemple Scottie Pippen et ses problèmes de salaire,
10:26 Steve Kerr et le tragique point commun qu'il partage avec MJ,
10:29 et bien sûr le flamboyant Dennis Rodman,
10:31 que personnellement je n'oublierai jamais en crock top dans le film Double Team.
10:35 "Je suis pas trop dans le Steve Gart, je vois rien que des problèmes."
10:39 "Et j'adore les problèmes."
10:41 D'ailleurs, l'épisode 3 concentré sur Dennis est pour moi l'épisode le plus réussi en termes de construction narrative.
10:46 On va commencer par présenter Dennis à son arrivée chez les Bulls dans les années 90,
10:50 avant de revenir sur ses débuts en NBA à Détroit et sur la carrière de Michael Jordan à la même époque,
10:55 et de se faire raconter la grosse rivalité entre les deux hommes et leurs équipes respectives,
11:00 pour enfin revenir sur la collaboration des deux sur le terrain et leur amitié en 1998.
11:04 On a donc affaire à une construction très fictionnelle,
11:07 avec plusieurs axes secondaires développés,
11:09 et qui vont tous se rejoindre et englober l'axe principal.
11:12 Jason Heer, le réalisateur, a fait un travail de construction assez brillant,
11:16 et vraiment en phase avec le sujet.
11:18 Et tous les épisodes sont à peu près construits de la même manière.
11:21 On va se servir d'archives pour compléter un propos,
11:23 et surtout pour développer le sentiment des personnes mis en avant.
11:26 L'épisode sur les problèmes salariales de Scottie Pippen est aussi vachement bien construit,
11:30 puisqu'on nous dit en début d'épisode qu'il a été sous-payé,
11:32 et moi en tant que néophyte dans le domaine,
11:35 je me demande "Ok, très bien, mais pourquoi il devrait être mieux payé en fait ?"
11:38 Et là l'épisode revient sur toute la carrière du basketeur,
11:41 et sur son importance primordiale dans l'équipe,
11:44 et donc à partir de là je me dis "Oui en effet, il aurait dû être bien mieux payé."
11:48 C'est ce genre de mise en scène qui permet d'ouvrir ce documentaire à tous.
11:52 Les connaisseurs vont revivre avec plaisir tous ces moments,
11:54 et les néophytes, comme moi, vont découvrir tout ce qui gravite autour de ce sport.
11:58 Et c'est pareil pour The Last Ride.
12:00 On va utiliser des images d'archives pour faire comprendre à tous ceux qui ne le connaissent pas,
12:04 qui est l'Undertaker,
12:05 et pourquoi il est considéré comme un des plus grands de tous les temps.
12:08 Bref, en tout cas je pense réellement que ce format a beaucoup d'avenir,
12:11 et qu'il pourrait se mettre au service de sujets totalement incroyables.
12:14 Quoi qu'il en soit, The Last Dance et The Last Ride ont déjà placé la barre très haut.
12:18 J'ai voulu mettre en parallèle ces deux séries et ces deux athlètes,
12:22 car tout d'abord ils ont bien plus en commun que ce qu'on pourrait croire,
12:25 mais aussi parce que j'apprécie beaucoup ces deux hommes,
12:27 et j'avais envie de vous donner envie,
12:30 l'envie de l'avoir envie quoi, tu vois, je m'appelle pas Johnny pour rien.
12:33 J'avais envie de vous intéresser, de vous pousser à vous intéresser à ces deux séries documentaires vachement intéressantes.
12:40 Peut-être que la plupart d'entre vous ont déjà découvert The Last Dance,
12:43 mais je pense que très peu se sont penchés sur The Last Ride.
12:46 Donc en tant que néophyte dans le monde du basketball et ayant pourtant adoré The Last Dance,
12:50 je vous conseille de foncer sur The Last Ride, et ce même si vous n'êtes pas familier au catch.
12:55 Déjà parce que ça va faire disparaître chez vous beaucoup de préjugés concernant cette discipline,
12:59 et même de vous donner envie pourquoi pas de vous y intéresser.
13:02 C'est dispo sur le WWE Network exclusivement,
13:05 et le premier mois est gratuit et sans engagement, donc voilà, vous n'avez pas d'excuses.
13:09 En plus, contrairement à The Last Dance, c'est une série limitée, The Last Ride,
13:12 donc c'est une série qui est vouée à disparaître, donc ne ratez pas ça, vraiment.
13:16 Enfin en tout cas voilà, c'était une vidéo un petit peu spéciale,
13:18 j'espère que ça vous aura plu, j'espère que ça vous aura pas trop déstabilisé,
13:23 même si bon, je suis pas du genre à m'enfermer dans un format,
13:26 j'aime bien un petit peu, voilà, m'éparpiller.
13:29 On va dire que c'était une petite vidéo transition comme ça que j'avais très envie de faire,
13:32 mais qui m'a permis de vous faire patienter en attendant la prochaine vidéo,
13:37 qui va être un très très gros morceau, et je peux déjà vous le dire,
13:39 ça sera une vidéo sur l'ensemble de la filmographie de Christopher Nolan.
13:43 En attendant, retournez au cinéma si c'est ouvert près de chez vous, n'hésitez pas,
13:48 en faisant très attention bien entendu,
13:50 et foncez sur Netflix et sur le WWE Network pour mater The Last Dance et The Last Ride,
13:55 et quant à moi, ma mission est terminée pour aujourd'hui,
13:58 je vous dis à très bientôt, et à très bientôt, ciao.
14:01 [Musique]