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News
Transcription
00:00 [Musique]
00:08 Bonsoir à tous et bienvenue dans votre journal.
00:11 Vous vous retrouvez sur la chaîne Toujours Proche des Populations.
00:14 Voici les titres de ce début de semaine.
00:16 [Musique]
00:17 Beaucoup plus qu'une coutume partagée autour d'un sapin,
00:20 les cadeaux de Noël sont indispensables à la vie sociale.
00:23 Nos reporters se sont intéressés au choix des cadeaux des enfants
00:26 sources de stress chez certains parents.
00:28 [Musique]
00:30 À l'international, son élection ne faisait guère de doute en Égypte.
00:33 L'ex-maréchal Abdel Fattah Al-Sisi a remporté la présidentielle
00:37 s'assurant sans surprise un nouveau mandat de 6 ans.
00:40 [Musique]
00:42 Merci pour votre fidélité.
00:44 Dans quelques jours, la magie de Noël battra son plein.
00:47 Il est de coutume d'offrir des cadeaux lors de cette célébration,
00:51 généralement aux enfants et à la famille proche.
00:53 Des présents remis le 24 au soir ou le 25 décembre au matin.
00:57 Parfois, le choix des cadeaux s'impose aux parents
01:00 selon le goût et les besoins de leurs enfants.
01:02 Nos reporters Justin Kouassi et Asita Djarah ont rencontré
01:05 certains parents à la recherche des cadeaux dans des magasins d'Ajami.
01:08 Voici les comptes rendus.
01:10 La fête de Noël approche à grands pas.
01:13 Comme à l'accoutumée, les magasins et les points de vente
01:16 des cadeaux de Noël sont pris d'assaut par les parents.
01:20 Au grand marché de la commune d'Ajami, tous se bousculent
01:23 pour offrir les meilleurs cadeaux à leurs enfants.
01:27 Mais ici, les choix des cadeaux diffèrent
01:30 selon le goût et les besoins des enfants.
01:32 Nous sommes venus pour voir les jeux des enfants.
01:36 On va prendre un peu de tout pour les enfants,
01:38 pour les faire plaisir aussi.
01:39 Comme les enfants aiment porter le chapeau de Père Noël,
01:42 le jus de Noël surtout,
01:44 donc bon, j'aimerais payer aussi pour aller offrir aux enfants.
01:48 Non loin de là, ce magasin de poupées grouille de monde.
01:51 Occasion toute trouvée pour Sandrine Goyi d'acheter une poupée,
01:55 les cadeaux préférés de sa fille.
01:58 Je suis venue acheter la poupée pour ma fille,
02:00 parce qu'elle jouait à ça, elle dresse aussi la poupée,
02:02 elle jouait les tamaroudes aussi avec.
02:05 Quand Noël arrive, il faut qu'elle achète ça.
02:07 Ce père des familles, lui, opte pour les vélos.
02:11 Quand le voisin, son fils qui aime vélo,
02:13 voit que tous les enfants du quartier sont toujours
02:16 à la suite du fils par rapport au vélo,
02:18 donc moi aussi, à mon tour, pour que mes enfants soient indépendants,
02:22 c'est pour cette raison-là que j'ai choisi de prendre ce vélo
02:26 pour leur offrir du plaisir,
02:28 parce qu'à leur tour, eux aussi, ils auront la possibilité
02:32 de pouvoir ouvrir leur vélo
02:34 et de pouvoir être aussi dans la joie comme les autres.
02:36 Les commerçants font de bonnes affaires lors de cette période.
02:40 Deux sommes, vraiment, ça nous arrange,
02:42 parce qu'on gagne beaucoup de bénéfices,
02:44 parce que ça marche, moi, deux sommes, ça marche.
02:47 Quand nous-mêmes, on est pressés, quand deux sommes approchent comme ça,
02:50 nous, on est tellement contents pour satisfaire les clients, on vend tout.
02:53 Cette tradition d'offrir des cadeaux pour Noël ou pour le Nouvel An
02:58 remonte au XVIIe siècle dans le monde chrétien,
03:02 les cadeaux étant essentiellement réservés aux enfants des notables
03:06 et des souverains à cette époque.
03:08 Aujourd'hui, cette pratique est devenue universelle.
03:12 Difficile donc de concevoir Noël sans cadeau,
03:15 une célébration au corps de laquelle bonne humeur, convivialité
03:18 et surtout partage sont généralement au rendez-vous.
03:21 Dans l'actualité de ce lundi également,
03:23 la journée internationale des migrants est célébrée chaque 18 décembre,
03:26 initiée par l'Organisation des Nations Unies
03:29 pour promouvoir le droit des migrants
03:31 et sensibiliser l'opinion sur leurs contributions
03:33 dans les domaines économiques, culturels et sociaux.
03:36 À l'occasion de cette célébration,
03:38 Hervé Ndry, un ex-migrant, a sensibilisé la jeunesse
03:41 sur les dangers de l'immigration clandestine.
03:43 C'était en présence de Assis Tadjara et Enza Traoré.
03:46 Sensibiliser les jeunes sur les dangers et les risques
03:50 de l'immigration irrégulière,
03:52 c'est tout l'essence de cette rencontre
03:54 initiée à l'occasion de la journée internationale des migrants
03:57 célébrée chaque 18 décembre par l'ONU,
04:00 Organisation des Nations Unies.
04:02 Et pour mener à bien son combat,
04:04 l'initiateur raconte sa souffrance et sa peine
04:07 dans une œuvre qui a pour titre
04:09 "Migrants devenus esclaves, comment Drogba m'a sauvé".
04:11 C'est un livre autobiographique.
04:13 Parce que moi, Hervé Ndry, comme je le dis tantôt,
04:17 j'ai été victime de traites migratoires
04:20 dans le Golfe au Kouéte dans les années 2015.
04:23 Et il faudrait vraiment partager cette information
04:28 à notre population jeune
04:31 pour comprendre ce que c'est que l'immigration irrégulière
04:34 et la traite humaine.
04:36 Ce que je voulais dire aux jeunes,
04:38 c'est que là-bas, c'est ici qu'ils acceptent
04:44 de travailler chez eux, de se construire chez eux.
04:48 Il n'est pas interdit de voyager.
04:51 C'est un droit d'ailleurs.
04:53 Ils sont libres de partir.
04:55 Mais il faut savoir partir.
04:57 En plus de l'auteur, plusieurs autres migrants
05:00 ont édifié les participants à travers leur calvaire
05:03 pendant ce voyage qu'ils qualifient de "voyage de la mort".
05:06 J'étais footballeur.
05:08 Je me suis retrouvé en Tunisie, en première division.
05:12 J'ai eu une blessure au genou.
05:16 Le club m'a lâché.
05:18 Je n'avais pas de soutien.
05:20 J'ai repris mon ancien métier, le métier d'hôtelier.
05:23 J'ai été sous-chef de cuisine là-bas.
05:26 J'ai voulu évoluer vers l'Europe
05:28 pour pouvoir soigner le genou
05:30 et reprendre ma carrière de footballeur.
05:32 Chose qui ne s'est pas bien terminée
05:34 parce que je me suis retrouvé en Libye.
05:36 La chose que je n'ai pas pu traverser.
05:38 Je me suis retrouvé en prison.
05:40 Je suis revenu en Bredouille, dans mon pays.
05:44 Dieu merci, j'ai pu reprendre ma vie d'avant.
05:47 Je suis allé réellement en Tunisie pour travailler.
05:51 J'ai été là-bas pour travailler.
05:54 Mais il faut dire que ça n'a pas été facile.
05:56 Ce n'est vraiment pas facile
05:58 pour nos frères et sœurs qui migrent par ce pays-là.
06:02 Pour Hervé Ndri, l'auteur des "Migrants devenus esclaves,
06:06 comment Trubin m'a sauvé, l'Eldorado s'est chez soi".
06:09 Il invite donc la jeunesse à ne pas tenter ce voyage périlleux
06:13 qui endeuille de nombreuses familles.
06:16 Comme dirait l'autre, la Méditerranée tue, le pays est mieux.
06:20 Il faut donc continuer la sensibilisation
06:22 pour réduire la migration irrégulière.
06:24 Direction la commune de Markoury
06:26 où le siège du centre de démonstration
06:28 et de promotion des technologies a accueilli récemment
06:30 les journées de la transformation.
06:32 Ce lieu d'échange entre les acteurs de l'agro-industrie,
06:35 producteurs et consommateurs a été officialisé
06:37 par le ministère du Commerce, de l'Industrie
06:39 et de la Promotion des PME.
06:41 Reportage Justin Coissy à Citadiana.
06:43 Acteurs du secteur agro-industrie,
06:48 autorités compétentes et consommateurs
06:50 réfléchissent sur la transformation
06:52 des matières premières agricoles.
06:55 Nous sommes aux journées de la transformation
06:57 au sein du centre de démonstration
06:59 et de promotion des technologies à Markoury-Biétry.
07:03 Les défis de la promotion et de la consommation
07:05 des produits locaux sont à l'ordre du jour.
07:08 Des journées qui visent à promouvoir
07:10 le potentiel créatif de l'économie locale.
07:14 L'industrialisation en Côte d'Ivoire
07:16 repose essentiellement sur l'agro-industrie.
07:19 La transformation de la matière que nous avons
07:21 le plus en abondance, c'est le produit agricole.
07:24 Il se trouve que des Ivoiriens
07:26 commencent à s'y intéresser de plus en plus.
07:28 Comme objectif, c'est 50% de transformation locale
07:32 de toutes les spéculations produites en Côte d'Ivoire.
07:36 Et nous, nous sommes instructeurs de l'État.
07:38 Nous nous inscrivons dans l'accompagnement
07:41 de tout ce que l'État entreprend.
07:43 Donc pour nous, aujourd'hui, c'est porter le message
07:46 et encourager les Ivoiriens à aller vers ces 50%-là,
07:49 qui sont l'indicateur choisi par l'État.
07:52 Une occasion pour le ministre Souleymane Diarrasouba
07:54 de réaffirmer l'intérêt du gouvernement.
07:57 La technologie se présente ainsi
07:59 comme un des facteurs essentiels
08:01 permettant d'entretenir cette croissance
08:04 et même de générer des dividendes sociaux.
08:07 C'est pourquoi le gouvernement ivoirien a mis l'accent
08:11 sur le renforcement de la technologie
08:13 en créant le cadre et en incitant les entreprises
08:16 à investir dans l'innovation
08:19 afin de bénéficier des avantages offerts
08:22 par les avancées technologiques.
08:24 Cette lucarne est une opportunité
08:26 pour les producteurs locaux d'exposer leur savoir-faire.
08:30 On constate que la population ivoirienne
08:32 s'intéresse vraiment aux produits locaux,
08:34 ce qui n'était pas le cas avant.
08:36 Là, nous vous présentons le café Olin,
08:38 qui est un café produit localement,
08:40 plus précisément dans la région de Mans.
08:42 Il s'agit plus précisément du type Robusta,
08:45 un café produit localement, prêté localement,
08:48 afin de procurer la meilleure savet du café.
08:52 Les visiteurs, eux, seraient justes
08:55 de la qualité et la diversité des produits.
08:58 Aujourd'hui, grâce à notre culture,
09:01 grâce à notre connaissance,
09:03 ils ont pu développer certaines choses,
09:05 comme par exemple les sacs que nous avons faits nous-mêmes,
09:08 des produits, comme le choucroute,
09:10 comme ça, la dame nous a montré qu'il était bien fait.
09:12 Ça m'a apporté quelque chose que je ne savais pas.
09:15 Donc je suis très heureuse d'être là aujourd'hui.
09:17 Ces journées ont été marquées également
09:19 par une visite des stands des autorités gouvernementales.
09:23 Retour dans la commune d'Adjame pour dire
09:26 que pendant les fêtes de fin d'année,
09:28 les poulets se voient pousser des ailes.
09:30 Cette volaille est beaucoup consommée
09:32 par les Ivoiriens durant cette période.
09:34 Nos reporters Abdullaziz Gira et Asita Dira
09:36 ont rencontré des plumeurs de poulets ce matin
09:38 pour s'imprégner de leur réalité.
09:40 Reportage.
09:42 Commune d'Adjame, quartier de son vain logement.
09:44 Ici, plusieurs centaines de poulets
09:46 sont vendus chaque jour.
09:48 Pour les clients qui les souhaitent,
09:50 ces poulets sont égorgés et plumés.
09:52 Cela est compris dans le prix d'achat du poulet.
09:56 C'est là un business pour ces jeunes hommes.
09:59 Le plumage des poulets
10:01 c'est fait à l'aide d'une machine
10:03 et dans un temps record.
10:05 - Les gaz, le chaud, on mouille,
10:07 là on vient mettre la machine.
10:09 Nos poulets là, on fait, si on peut bien payer 2500,
10:11 on nettoie tout, 2500,
10:13 on peut pas augmenter autre prix, on sait pas ça.
10:15 Un peu plus loin, au marché Gouraud,
10:17 à ce point de vente de poulets,
10:19 le plumage c'est fait à la main.
10:21 Ce qui n'empêche pas Séhidou et son équipe
10:23 de faire des bonnes affaires.
10:25 - Si tu dis qu'il y en a qu'à nettoyer,
10:27 là c'est 100 francs.
10:29 Si tu dis qu'il y en a qu'à découper,
10:31 là on dit que c'est 100 francs aussi.
10:33 Mais aussi, si t'as acheté beaucoup de poulets,
10:35 on peut arranger, on peut payer 400, 500,
10:37 des fois on fait minimum.
10:39 Les machines là, c'est trop cher pour nous aussi.
10:41 Là on est là d'ouvrir un peu, un peu haut.
10:43 Si on a eu un peu, on peut acheter des machines
10:45 pour travailler avec, Inch'Allah.
10:47 - Après le plumage des poulets,
10:49 les poulets du rieur sont vendus à des commerçantes.
10:51 - Toujours dans le district d'Abidjan,
10:53 l'association humanitaire pour la lutte contre la souffrance
10:55 a offert du matériel médical au centre de santé communautaire
10:57 d'Mbadon pour permettre aux agents de travailler
10:59 dans de meilleures conditions,
11:01 mais aussi aux populations,
11:03 et notamment les femmes, d'accoucher aisément.
11:05 Alassane Drabot.
11:07 - Le centre de santé communautaire de Mbadon
11:09 avait mal à sa maternité.
11:11 C'est dans de difficiles conditions
11:13 que travaillait le médecin-chef
11:15 et ses enfants.
11:17 Aujourd'hui, des équipements de santé
11:19 et du matériel viennent faciliter leur quotidien.
11:21 - C'est une bouffée d'oxygène
11:23 parce que nous n'avons pas de matériel.
11:25 Nous avons trois bâtiments
11:27 et donc recevoir 15 lits,
11:29 c'est une aubaine.
11:31 En tout cas, je dis grand, grand merci
11:33 à l'ONG qui nous a fait ce don.
11:35 - Ce don est de l'association humanitaire
11:37 pour la lutte contre la souffrance.
11:39 Après un dernier tournage,
11:41 l'association humanitaire
11:43 a offert des machines
11:45 pour la lutte contre la souffrance.
11:47 Après un diagnostic effectué
11:49 dans le village de Mbadon,
11:51 l'ONG et ses partenaires
11:53 Hôpital sans frontières de Belgique,
11:55 la Fondation pour un monde meilleur de Belgique
11:57 et AfricAid des Etats-Unis
11:59 ont décidé de contribuer au bien-être
12:01 des populations du village.
12:03 - Nous essayons, tant que faire se peut,
12:05 d'apporter, en fonction
12:07 de ce qui est humainement possible,
12:09 notre concours
12:11 pour le bien-être des populations.
12:13 Nous avons donné des lits
12:15 pour l'hospitalisation,
12:17 un lit d'accouchement,
12:19 un lit de consultation,
12:21 un appareil
12:23 d'échographie,
12:25 ainsi de suite, avec beaucoup de matériel
12:27 médical.
12:29 - A en croire le chef du village,
12:31 c'est un acte longtemps attendu
12:33 qui enfin se réalise.
12:35 - C'est une grande joie pour la population de Mbadon,
12:37 également le chef du village de Mbadon,
12:39 qui, tant
12:41 chaque fois,
12:43 a demandé le matériel médical
12:45 pour le bon fonctionnement
12:47 des dispensaires de Mbadon.
12:49 Que Dieu le Tout-Puissant
12:51 puisse donner force
12:53 à l'ONG,
12:55 qui a pensé
12:57 donner le meilleur
12:59 pour le fonctionnement
13:01 et le développement de Mbadon.
13:03 - On espère que
13:05 ils résoudront tout ce qui est arrivé
13:07 à des fins utiles
13:09 pour nos mamans
13:11 qui sont en couche
13:13 et les enfants à venir,
13:15 par la grâce de Dieu.
13:17 - Le dispensaire de Mbadon a ouvert ses portes
13:19 en 1985.
13:21 Il sert à la prise en charge immédiate des malades.
13:23 Avec cette action de bienfaisance,
13:25 l'association humanitaire
13:27 pour la lutte contre la souffrance
13:29 vient redonner du sourire aux malades
13:31 qui seront soignés dans les meilleures conditions.
13:33 - Intéressons-nous à présent
13:37 au nom du chef d'Ayo Obu,
13:39 David Benoit, Ayo Dede,
13:41 désormais le nouveau chef de la localité,
13:43 plus connu sous le nom de PK61
13:45 sur l'autoroute du Nord dans la sous-préfecture
13:47 de Gaumont. Cette cérémonie
13:49 s'est faite en présence des autorités et cadres
13:51 de la région, des habitants et chefs des villages
13:53 voisins, mais aussi des filles
13:55 et fils de ce village, du département
13:57 de Sikensi et des hommes de Dieu.
13:59 Des témoignages de Pargasoro Kone de Madongui
14:01 et Adam Akone, commentés par Clément Beko.
14:03 Ce batteur peut aisément taper
14:05 le tam-tam parleur du village.
14:07 Les habitants, eux, peuvent applaudir,
14:09 chanter et danser.
14:11 (Cris de joie)
14:13 (Musique rythmée)
14:15 Normal, leur chef de village
14:17 vient d'être intronisé.
14:19 Nous sommes à Ayo Obu,
14:21 plus connu sous le nom de PK61.
14:23 - Je suis le chef de la ville.
14:25 - Je suis le chef de la ville.
14:27 - Je suis le chef de la ville.
14:29 - Je suis le chef de la ville.
14:31 - Je suis le chef de la ville.
14:33 - Je suis le chef de la ville.
14:35 - Je suis le chef de la ville.
14:37 - Je suis le chef de la ville.
14:39 - Je suis le chef de la ville.
14:41 - Je suis le chef de la ville.
14:43 - Je suis le chef de la ville.
14:45 - Je suis le chef de la ville.
14:47 - Je suis le chef de la ville.
14:49 - Je suis le chef de la ville.
14:51 - Je suis le chef de la ville.
14:53 - Je suis le chef de la ville.
14:55 - Je suis le chef de la ville.
14:57 - Je suis le chef de la ville.
14:59 - Je suis le chef de la ville.
15:01 - Je suis le chef de la ville.
15:03 - Je suis le chef de la ville.
15:05 - Je suis le chef de la ville.
15:07 - Je suis le chef de la ville.
15:09 - Je suis le chef de la ville.
15:11 - Je suis le chef de la ville.
15:13 - Je suis le chef de la ville.
15:15 - Je suis le chef de la ville.
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16:17 - Je suis le chef de la ville.
16:19 - Je suis le chef de la ville.
16:21 - Je suis le chef de la ville.
16:23 - Il n'a pas manqué d'exhorter les habitants du village à le soutenir et à l'aider en vue de lui permettre de réussir la mission à lui confier.
16:33 - On commence à mettre ensemble tous les cadres du département pour essayer de faire évoluer nos différents villages qui sont autour de Sikensi,
16:41 afin que ces villages-là aussi grandissent et puissent prendre de l'ampleur.
16:46 Ensuite, on essaie d'encourager les jeunes à rentrer dans le développement, à se prendre en charge.
16:52 Les populations, elles, se réjouissent de cette cérémonie d'intronisation et s'engagent à accompagner leur chef dans l'exercice de ses fonctions.
17:01 - Un village ne se développe que par le respect de la population.
17:05 Si la population respecte son chef, l'accompagne dans tous ses actes, le village peut se développer le plus rapidement possible.
17:11 - On va l'aider, on va le soutenir tous les jours. On est prêts pour lui.
17:15 Le nouveau chef d'Ayo Oubou est marié et père de sept enfants. Libation, prière et dons, des moments forts qui ont également meublé cette cérémonie d'intronisation.
17:29 - De l'autre côté de la frontière nord de notre pays, le président de la transition du Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré,
17:36 arrivé au pouvoir par un coup d'État pour céder un remaniement partiel de son gouvernement concernant notamment la chef de la diplomatie.
17:43 Selon un décret présidentiel, la ministre des Affaires étrangères Olivia Rouamba, en poste depuis mars 2022,
17:49 avant l'arrivée au pouvoir d'un nouvel homme fort du pays des hommes intègres, a cédé sa place à Karamoko Jean-Marie Traoré,
17:55 qui était en charge de la coopération régionale. Aucune raison officielle n'a été donnée pour ce remaniement.
18:01 Hors du pays, toujours après un mois de meetings et de promesses, la campagne pour les élections du mercredi prochain se termine ce soir en RDC.
18:09 Dans un climat tendu, près de 44 millions d'électeurs, sur une population totale d'environ 100 millions d'habitants,
18:14 sont appelés à élire leur président, leurs députés nationaux et provinciaux et pour la première fois, leurs conseillers communaux.
18:21 Aux premières, les Congolais de la diaspora vont pouvoir voter dans cinq pays.
18:25 A la présidentielle, élection à un seul tour, le chef de l'État sortant, Félix Tshisekedi, brigue un second mandat de cinq ans face à une opposition divisée.
18:35 Enfin en Égypte, le président Abdel Fattah el-Sisi a remporté l'élection présidentielle avec 89,6% de voix,
18:43 s'assurant, sans surprise, un nouveau mandat de six ans. Annoncé ce lundi, l'Autorité nationale des élections,
18:49 la participation a atteint un taux sans précédent de 66,8% parmi les 67 millions d'électeurs à la tête du pays.
18:57 Depuis une décennie, l'ex-maréchal va débuter en avril prochain un troisième mandat, censé être le dernier, conformément à la constitution égyptienne.
19:06 Point final, merci d'avoir suivi cette édition. Excellente soirée sur RTI 2.
19:11 [Musique]

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