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Transcription
00:00 On a eu un peu de mal à l'épreuve, on a décidé de le laisser.
00:05 C'est une stratégie ou est-ce qu'on peut l'appliquer ?
00:08 C'est une manière de faire, je pense que j'ai bien rafraîchi la question de Birame Khoujé.
00:19 Parce que quand il a posé la question de Ousmane Sowko, il a dit qu'il allait dénoncer nos adversaires politiques.
00:31 Il faut expliquer que bien que je n'ai rien à voir avec ça, on n'en a pas parlé dans le bureau politique.
00:41 Mais ce que je veux dire c'est que parfois, les gens qui peuvent analyser la situation,
00:46 ils sont en train de se dire qu'il n'a pas de sens, qu'il n'a pas de raison.
00:51 Tu es sorti de la conférence de presse, tu es allé à l'Assemblée Nationale,
00:58 ils t'ont déposé la question, ils sont prêts à te faire enlever.
01:02 Alors, c'est ce que je veux dire, il faut savoir que les adversaires politiques,
01:05 parce qu'ils sont toujours dans l'affolement, si on ne fait rien, ils vont se faire enlever.
01:10 Alors rapidement, tu vois le coup de téléphone qui fait "fer fer fer fer fer"
01:13 et il peut même obliger des autorités à intervenir sur ce sujet.
01:17 Parce que quand on est en affolée, on parle avec tout le monde.
01:20 Alors, si tu es en affolée, tu viens juste pour faire des trompettes.
01:24 C'est-à-dire que quand on parle, on le considère comme des menaces.
01:27 Alors que ce ne sont pas des menaces, c'est la réalité au fond.
01:30 Maintenant, on a préféré ne pas communiquer, aller véritablement retirer les fiches.
01:36 Mais c'est clair, je crois que l'information est claire.
01:39 La notification qui devait être faite aux avocats de Ousmane Sonko,
01:44 cette notification-là, tu sais, Aïb a eu le droit de la tirer,
01:48 de l'enlever, et la notification-là, elle n'est pas arrivée.
01:51 Mais tout ça, c'est du dilatoire.
01:53 Maintenant, le juge Thion, quand il a fait la notification,
01:57 il a fait que nous ne le faisions que sur les réseaux sociaux,
01:59 et que tout le monde l'a vu.
02:00 Tout le Sénégal a été sur cette page.
02:02 Alors, moi je crois que Didier m'a respecté les procédures
02:06 et que les avocats ont été en mesure de le tirer,
02:09 pour qu'il ne soit pas venu en face de Aïb Dafé,
02:11 ou bien qu'il soit venu en face de Aïb Dafé.
02:13 Mais bon, le problème de fond, c'est que je crois que la récupération de fiches,
02:16 si jamais, avec tout ce qui s'est passé, avec tout ce qu'ils ont pu avoir,
02:21 on ne pouvait pas avoir les fiches de parrainage.
02:24 C'est un dilatoire.
02:27 C'est un dilatoire.
02:29 On le voit, on sait qu'il y a des stratégies.
02:34 Mais la justice ne peut pas se prononcer.
02:36 Je crois qu'il n'y a rien à faire pour appliquer la décision de la justice.
02:40 En attendant, ne vous inquiétez pas.
02:43 Nous allons faire pouvoir en cassation.
02:45 Ne vous inquiétez pas.
02:46 Mais je vais vous dire une chose.
02:48 Parce que le dossier, là où il est, c'est le cour suprême.
02:53 Le cour suprême, quand ils nous ont dit...
02:55 - C'est l'envoi de Giguène Chor. - Giguène Chor.
02:58 C'est une juridiction compétente.
03:00 Nous allons aller à Giguène Chor, nous allons le faire.
03:02 Mais il faut dire le l'air.
03:04 Tout le monde sait que nous allons le dire.
03:06 La décision est bonne mais...
03:10 C'est-à-dire...
03:14 L'appel n'est pas suspensif.
03:17 Nous devons donner à Abdel Fek les fiches de parrainage.
03:21 Nous l'avons fait.
03:22 Si il y a un problème entre DGE, Sénat,
03:25 entre l'administration qui travaille au Sénat,
03:28 c'est n'importe quoi.
03:30 C'est ridicule.
03:32 Mais nous espérons que le cour de cassation aura une autre cause.
03:37 Est-ce que ça sera notre deuxième point?
03:40 Parce que nous parlons de la réintégration dans les listes électorales.
03:44 Mais si nous pouvons rappeler la stratégie que vous adoptez,
03:49 vous avez dit que DGE n'a pas été communiqué.
03:54 Nous avons aussi posé la question à la discrétion.
03:58 Mais parrainager,
04:00 à part le communiqué que vous avez donné,
04:04 que vous avez apporté à l'air de la liste électorale?
04:08 Le nombre de parrains?
04:11 - Le fichier? - Oui.
04:13 Le fichier de parrainage.
04:16 Oui, c'est ça.
04:19 Autant pour moi, il y a des choses à dire.
04:21 C'est ça que j'ai dit.
04:23 Le mandataire de Sousmane Sonko.
04:25 Le mandataire de Sousmane Sonko a dit qu'il attendait la notification.
04:29 Il l'a dit.
04:30 Maintenant, si nous parrainagez, nous communiquerons.
04:32 La communication est déjà faite.
04:34 La notification est déjà faite.
04:35 Si vous ne l'avez pas fait, vous serez appelé à l'avocat.
04:38 Mais on va lui remettre les fiches.
04:40 Mais je crois que c'est ça.
04:41 Mais je vous demande de le faire.
04:42 Parce que la notification est déjà faite.
04:46 Donc, DGE ne respecte pas l'administration.
04:49 C'est ça que j'ai dit.
04:51 Je ne sais pas ce que vous voulez dire.
04:53 Je veux vous poser une question.
04:55 Par rapport à la notification.
04:58 Parce que si on voit que les enfants vont à la maison, on les éconduit.
05:02 Est-ce que c'est vrai que le juge a dit à Sousmane Sonko
05:07 qu'il attendait la notification pour qu'elle le remette à la maison?
05:13 Parce qu'il y a des cas où on l'éconduit.
05:15 Par exemple, en tant que père de famille,
05:17 ou en tant que maman de famille,
05:19 on peut se demander si c'est le juge qui l'a fait.
05:25 Est-ce qu'on peut attendre qu'il l'écondue pour qu'on le remette à la maison?
05:30 Ce que je veux dire sur la maison, c'est que nous sommes en politique.
05:34 Chaque pas que l'on fait peut avoir un gain politique.
05:39 Vous savez, le fait que l'on écondue,
05:42 ça fait mal aux masses populaires.
05:45 On est des satans. On est des fous.
05:49 Aïb Bafé est un député honorable, qu'on doit respecter.
05:54 Aïb Bafé n'est pas n'importe qui.
05:56 Donc, on va attendre 3 minutes avant qu'il rentre.
06:00 Il doit avoir un téléphone.
06:02 Bon, il est rentré, il a eu le temps.
06:06 Cela veut dire que l'attente a été très longue.
06:08 Et on pouvait tout simplement lui dire "attention, notification".
06:12 Mais tout cela est un délatoire.
06:15 Cela fait mal aux populations sénégalaises.
06:17 Cela fait mal à nos amis.
06:19 On a un affaire avec des gens qui font vraiment des affaires aux Sénégalais.
06:24 Tout cela est un jeu politique.
06:26 Donc, il a de l'importance.
06:28 Il y a des gens qui y vont et qui y retournent.
06:30 Si on ne les reçoit pas, ça fait mal à tout le monde.
06:33 Donc, il faut jouer sur la fibre sensible des Sénégalais.
06:36 Mais c'est la politique.
06:38 Il faut que tu ailles voir tes adversaires.
06:43 Parce que c'est là que les gens font des affaires.
06:45 Quand on parle d'administration, moi je ne parle pas d'administration.
06:48 C'est l'APR qui est là-bas.
06:50 C'est le BNV qui est là-bas.
06:51 Ils reçoivent des instructions.
06:53 Oui, ils reçoivent des instructions.
06:55 Ils dépendent du ministère de l'Intérieur.
06:57 Le ministère de l'Intérieur, c'est un...
06:59 Ils sont politiques.
07:01 C'est des fonctionnaires.
07:02 Celui qui l'incarne, c'est un politique.
07:04 Et on l'attend.
07:06 On l'attend, son injonction.
07:08 Ça veut dire quoi?
07:09 Ça veut dire que l'émission de la politique dans l'administration.
07:12 C'est-à-dire l'émission du parti dans la patrie.
07:16 C'est extrêmement important.
07:18 Aujourd'hui, on dit que c'est la patrie avant le parti.
07:21 Parce que quand on parle de politique ou d'administration,
07:24 nous faisons cette fonction normalement.
07:26 Mais quand l'administration est influencée par les politiques,
07:29 là aussi, ça crée un retard.
07:31 Et ça crée aussi un recul démocratique.
07:34 C'est un retard qu'on ne connait pas.
07:36 Tout ça, les Sénégalais vont juger.
07:38 Monsieur, je veux poser une question.
07:40 Parce que je suis en train de parler avec le maître Serek Léodor.
07:44 Il est au tribunal.
07:46 On ne s'attaque pas à celui à qui on doit s'attaquer.
07:49 Parce que je crois que ce qui est en train de se défendre,
07:52 c'est le ministère de l'Intérieur.
07:54 Est-ce qu'on devrait le laisser faire au ministère de l'Intérieur?
07:56 Parce que si le ministère de l'Intérieur se défendait,
07:59 il aurait dû le donner à l'Office de Parrainage.
08:01 Est-ce qu'on n'a pas déplacé le combat?
08:03 On s'attaque au ministère de l'Intérieur,
08:05 on est là pour le défendre.
08:07 Peut-être qu'il faut des ordres pour qu'on exécute ce qu'on veut.
08:11 Non, on ne s'attaque pas au ministère de l'Intérieur.
08:15 On en parlera dans les plateaux.
08:18 Mais, il faut prendre le coup d'administration.
08:24 Par exemple, je suis le directeur d'école.
08:27 Je ne vais pas me laisser aller à l'inspection.
08:30 Je dois faire ce que je dois faire.
08:33 Avec une injection qui va me faire sortir.
08:36 Il faut être prudent pour ne pas me laisser sortir.
08:39 C'est extrêmement important.
08:41 On peut aller au DGE,
08:43 mais on doit donner des ordres.
08:45 Ce n'est pas méchant,
08:47 on attend la notification.
08:49 Est-ce que tu penses que la notification
08:52 peut aider à réintégrer le ministère de l'Intérieur
08:55 dans les fiches de parrainage?
08:57 C'est ce qu'on a parlé au deuxième point.
09:00 La réintégration de Suman Songo dans les listes électorales.
09:03 Est-ce que tu penses que le recours
09:05 que tu as maintenu,
09:07 les avocats de l'État,
09:09 peut aider à déposer les dossiers
09:12 du conseil constitutionnel
09:14 pour la candidature de Suman Songo?
09:16 Le recours n'est pas suspensif.
09:19 Quand on fait un recours,
09:21 c'est en matière électorale, il y a urgence.
09:24 La décision doit être appliquée immédiatement.
09:27 sous-ministre de l'intérieur.

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