Au lendemain de leur troisième titre mondial (31-28 en finale contre la Norvège) glané au Danemark, les handballeuses françaises et leur entraîneur Olivier Krumbholz sont de retour dans l'hexagone après l'atterrissage de leur avion à Roissy, ce lundi en fin d'après-midi.
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00:00 Olivier Crumbles ! Il est là ! L'entraîneur, le sélectionneur des bleus avec le trophée et les filles Estelle Nzeminko, la capitaine et les bleus qui vont débouler derrière parce qu'il y a de la médaille d'or autour du coup, il y a du trophée.
00:13 Alors là, il y a des petits yeux, c'est ce que j'allais dire. Ce qu'on va regarder c'est l'état des yeux. Bon, il y a un peu de voyage quand même donc elles sont peut-être un peu fatiguées et est-ce qu'elles ont fait la fête à mon avis ?
00:23 Beaucoup, regardez le petit sourire de la capitaine. On descend. On est en direct de Roissy, on rappelle le contexte. Charlie Courant, notre envoyé spécial avec sa caméra qui est sur le tarmac pour pouvoir immortaliser cet instant parce que c'est historique.
00:37 Elles sont championnes du monde pour la troisième fois depuis hier soir donc et il y a du trophée et elles sont fatiguées. Alors ce soir, elles sont attendues chez Monsieur le Président.
00:48 Emmanuel Macron les attend du côté de l'Elysée. Très bel hommage. Il leur a rendu d'ailleurs un petit hommage en postant un petit message de félicitation sur les réseaux sociaux.
00:56 Olivier Krumble, ça a l'air fatigué aussi. La petite doudoune, là, ça commence à piquer. On est où là ? Est-ce qu'on est au bon endroit ?
01:03 La retombée d'adrénaline quand même après une telle soirée, après une telle joie, après tout ce qu'elles ont fait pendant trois semaines enfermées et tout. Il faut relancer là.
01:13 Il y a les médias, il y a l'Elysée. Il ne fallait pas gagner. C'est sympa. Les médias, l'Elysée. C'est plus sympa que quand on perd.
01:21 Je pense que dans ces moments-là, si tu dors trois heures par nuit, déjà, tu es content de te lever pour aller célébrer le truc.
01:26 Et ça, c'est comme le foot. L'avantage, c'est qu'elles doivent jouer pendant les fêtes de Noël. Donc, elles ont le temps de se reposer.
01:30 Non, mais attends, elles arrivent en championne du monde. Si tu arrives, elles perdent. Elles sont défaites en finale. OK, mais là, elles sont encore sur leur petit nuage.
01:36 Non, mais je ne crois qu'elles ne vont pas aller à l'Elysée si elles sont défaites. Non plus. Donc là, ça va être sympa. La petite photo.
01:41 On va se mettre en ligne. On réalise un peu où on est. On atterrit. On est fatigué parce qu'on a fait le trajet. Mais oui, mais il faut savourer.
01:47 On est championne du monde. Et regardez, tu as tout le monde qui les attend à l'aéroport. C'est quand même hyper sympa. Les médias, tu l'as dit.
01:53 Ils se mettent en milieu de l'escalier aussi. Il faut descendre. Olivier.
01:58 Elles n'ont pas l'habitude. Ça n'arrive pas tous les jours. La dernière fois, c'était il y a 20 ans. Le titre de championne du monde.
02:02 Donc, il y a une petite haie d'honneur. Là, j'ai l'impression avec le personnel de l'aéroport de Roissy qui les attend. Est-ce qu'il y aura une muée de supporters dans le hall de l'aéroport?
02:10 On va voir. Regarde. Écoutez plutôt sympa. Moi, je mise sur une cinquantaine de personnel. 17 17.
02:20 Il peut y avoir du monde dans le hall. C'est quand même une. On n'entend pas les tours du hall.
02:26 C'est plus facile pour les lambda d'être dans le hall. Regarde-moi ce sourire. Par contre, il en manque en haut. Il faut descendre encore.
02:31 Parce qu'il y en a qui sont encore à les 12. Elles ne sont pas descendues. Voilà. Merci, Charlie, qui tourne sa caméra pour nous montrer qu'il y a évidemment du monde.
02:37 Le service d'or, de sécurité, les journalistes. Écoutez, on est un dimanche soir.
02:43 Non, on est pas. Tu nous appelles Michel. Tu te trompes de jour. Voilà les filles qui viennent d'atterrir à Paris.