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00:00 C'est quand même elle qui m'a dit de venir sur l'ITC.
00:02 Ma fille, en mangeant sa petite tartelette à la framboise, elle m'a dit
00:05 "tu devrais y aller parce que t'es un bon acteur et que les gens aiment te voir, donc t'es fière de moi".
00:08 Je lui ai dit "je vais peut-être le faire".
00:09 Cette photo a été prise cet été, au mois de juillet.
00:14 On faisait un selfie avec...
00:16 On voulait une photo tous les deux.
00:18 Et il y a eu de la photo, bon, tout le monde s'est mis à côté.
00:20 Elle représente la série un peu, tu vois, c'est vraiment l'humeur qu'il y a à chaque fois.
00:24 Il n'y a que des dents.
00:25 Il n'y a que des dents.
00:27 Donc c'est la joie de se retrouver.
00:30 Et pourtant, on se connaît peu avec Alexandra qui est là,
00:33 Laurence, Thomas,
00:35 mais il y a eu une connexion tout de suite.
00:37 Je crois que le casting, quand il est fait, il est aussi fait humainement, j'ai l'impression.
00:40 Parce que quand ça débarque, on a l'impression que ça fait déjà deux, trois ans qu'on bosse ensemble
00:45 et on a toujours le même plaisir de se retrouver.
00:47 C'est incroyable, hein.
00:48 Ça fait pas ça dans tous les projets.
00:51 Continue.
00:52 Négode.
00:53 Pourquoi ?
00:56 Ça fait pas mettre tout n'importe quoi sur Internet.
00:58 J'avais entre 25 et 30 ans, je jouais beaucoup Molière et D'Artagnan.
01:03 C'est l'époque où je faisais pas mal d'équitation, d'escrime, donc le look et tout.
01:07 Et elle est marrante parce qu'on dirait vraiment Antonio Banderas.
01:09 C'est impressionnant, quoi.
01:10 Comment ça ?
01:12 Ça, c'est incroyable, quand même.
01:14 Je dois avoir 11 ou 12 ans, là.
01:16 Je suis bronzé, quand même.
01:17 Et c'est mon frère derrière.
01:18 C'est énorme.
01:19 C'est à 10 carros au camping, les années Liberté, quoi.
01:22 Ah, putain.
01:23 Être ado dans les années 80 jusqu'à 90, c'était extraordinaire.
01:28 On avait une belle éducation.
01:29 Mes parents étaient profs tous les deux, enseignants.
01:31 Ma mère, prof de français, latin grec, et mon père, prof de sport.
01:34 Donc on a toujours baigné dans une espèce de...
01:36 Pas de dualité, mais je trouve que la vie était équilibrée, en fait.
01:38 D'un côté, on arrivait à se nourrir avec des livres, et puis d'un autre côté, on faisait vachement de sport.
01:42 Nicolas, c'était le volley, moi, c'était plus le tennis, l'athlétisme et le rugby.
01:46 C'était joyeux, c'était léger, les Noëls étaient fabuleux, il y avait une vraie naïveté, une vraie liberté.
01:51 Ah, merde, ouais.
01:53 Ah, vous voulez me faire chialer directement, alors ? C'est ça, le truc ?
01:55 Ça, c'est le reste de ma vie, voilà.
01:59 Depuis que j'ai 12 ans, je veux elle.
02:02 Vous voyez ?
02:04 Linette, donc ma fille, qui fait des câlins, qui papouille.
02:08 On était peinards, posés chez moi dans la forêt, sur le hamac.
02:12 Quelques secondes après, on s'est fait envahir par mon berger australien.
02:15 Donc là, c'est calme, mais ça n'a pas duré super longtemps.
02:18 Voilà, ça, c'est l'amour de ma vie, c'est ma quête de vie.
02:21 Je ne dis pas que ça s'arrête parce que je l'ai, ça y est.
02:23 Maintenant, je vais la regarder pousser et grandir.
02:26 Et voilà.
02:28 Ah oui, le grassock, bien sûr.
02:29 Je m'étais dit, si je fais ce métier, que ça marche, qu'il y a une reconnaissance,
02:32 et que je peux servir à quelque chose, j'aimerais bien représenter des associations pour les enfants et les animaux.
02:37 C'est ça qui me touche le plus.
02:38 Les enfants, moi, j'en voulais à 12 ans.
02:40 Les animaux, j'en ai eu toute ma vie.
02:42 J'aime les chiens.
02:43 Cette association-là, qui a loi 19-1, but non lucratif.
02:46 Donc, ils partent avec leurs petits moineaux, avec leurs chiens qu'ils ont entraînés tout seuls.
02:50 Et ils les forment à aller chercher les gens dans les décombres, les avalanches, les machins, les trucs.
02:54 Et moi, j'ai un berger australien, U2.
02:56 Il a des facultés incroyables à faire ça, mais je ne l'entraîne pas pour ça.
02:59 On s'amuse plutôt.
03:00 *clic*
03:02 [SILENCE]

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