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00:00 Et ce que vous savez, c'est que le président Ousmane Sonko a été dénoncé. Je veux surtout que vous m'écoutiez pour que je ne parle pas de ce scandale.
00:14 Je vais commencer par le scandale que vous savez que nous ne pouvons pas retourner contre eux. C'est pourquoi je veux faire ce que je peux.
00:24 Madame, vous avez vu le député, laissez-le tranquille. C'est extrêmement important.
00:33 Il y a des députés qui sont protégés. Il faut que tous les députés sachent qu'il y a des gens qui sont en colère contre le président Ousmane Sonko.
00:59 Vous savez pourquoi? Parce qu'il y a des firmes qui ont dit que le président Ousmane Sonko avait des compagnies de Qatar qui étaient sur lui.
01:12 Il y a des gens qui ont demandé à leur téléphone de vérifier leur montant. Ils ont dit qu'ils n'ont pas de compagnies de Qatar. Mais il y a des gens qui sont en colère contre le président Ousmane Sonko.
01:32 Donc, si vous savez que vous avez fait un grand déficit, vérifiez que vous avez gagné 20 millions de dollars.
01:50 Vous avez gagné 12 milliards. Je pense que la France doit faire en sorte que le Sénégal soit un pays plus proche de l'autre.
02:03 Pourquoi? Parce que si nous allions abandonner l'islam local, parce que le pays adoucit est en train de nous menacer, de nous empêcher de travailler,
02:20 si vous savez que l'islam local, la tolérance et les moyens de travail que nous avons, nous avons besoin de tous les français, nous avons besoin de tous les français qui sont en colère contre le président Ousmane Sonko,
02:37 nous devons nous diviser et nous attaquer. Parce que tous les gens savent que nous ne pouvons pas gagner.
02:49 C'est pourquoi, le modèle de l'islam local, il faut le voir, il ne peut pas nous affranchir de la même façon que nous sommes ici, dans le même pays, dans la même région, en France.
03:04 Parce que l'économie sociale et solidaire, c'est un modèle. Si nous allions le voir, nous allions nous battre.
03:14 Madame, le député qui a parlé avec Cheikh Irimsek et Madjambal, nous avons dit que nous allions nous battre contre le président Ousmane Sonko.
03:34 Mais nous avons dit que nous allions nous battre contre le président Ousmane Sonko.
03:45 C'était important de le préciser. Mais quand nous avons entré dans cette salle, nous avons vu que les gens étaient en colère.
03:54 Ils ont eu peur. Ils ont eu peur. Mais le candidat de la continuité, c'est le candidat de la servitude volontaire.
04:07 Parce que ce qu'on a fait, ce qu'on a fait avec Salle, ce n'est pas ce qu'on a fait.
04:17 Parce que je suis resté ici depuis 12 ans. Mais je n'ai pas entendu dire qu'il y avait autant de personnes qui se sont luées dans des hôtels de luxe.
04:28 Au moment où nous avons eu une tension de trésorerie, Madame, le mur est serré. Il n'y a pas de copper.
04:48 Je veux que les journalistes aussi fassent des recherches. Il y a des chaînes qui font des recherches.
04:58 Mais c'est bon, tu peux aller taper, tu peux aller voir le prince de Galles, tu peux voir où il est, tu peux faire ton calcul.
05:05 Tu verras que des milliers d'euros ont été dépensés sur les gens de Sénégal.
05:10 Parce que les gens vont se faire ennuyer, les travailleurs du gouvernement, les députés, les mitigants de Fadjis, les travailleurs de Sénégal.
05:19 Madame, des contrats, tu n'as même pas vu, tu vas aller les chercher, pour montrer que c'est lui le candidat de la France, c'est lui qui peut assurer la France des intérêts.
05:29 Mais si tu ne veux pas que la France gagne, si tu veux que le cheval gagne, Madame, tu qui gagne.
05:34 Si tu veux que les gens s'en fassent, tu sais que tu ne vas pas gagner.
05:40 Ce qui me fait mal, c'est que les Sénégalais, si on leur donne le pire que ce soit, on va faire en sorte qu'ils ne prennent pas trois ans.
05:55 Parce que c'est la meilleure réponse à la France qui veut que les gens s'en fassent. Et je sais qu'il ne peut pas y être, et je sais qu'à la coulée de 2024, il ne peut pas imposer une dignité.
06:08 C'est pourquoi je demande aux députés de se poser des questions orales, ou de demander aux commissions d'enquête, sur le voyage de Mbamboula et de l'Alice, de leur dire où les choses se sont passées et comment ils ont fait.
06:28 C'est très très très important pour Mbamboula, qui est en France.
06:35 L'autre point important, c'est ce que Moussa Diop a dit, je crois que tout le monde l'a dit.
06:42 Quand je lui ai dit que j'avais compris que Djamal Moum et Mousseré Gaye allaient gagner 20 millions de dollars,
06:52 c'est à cause de ce qu'il a dit. Mais ce qui est en plus important, c'est ce qu'il a dit.
07:04 Parce que nous avons entendu que le procureur a été autorisé. Nous avons entendu des plaintes.
07:14 Je vous jure que l'affaire peut être très difficile.
07:21 Si vous vous en souvenez, nous avons vu un scandale.
07:26 Nous avons eu des instructions de procureur.
07:30 Il y a 6 000 milliards de pétroliers qui ont été déclarés par le procureur.
07:34 Si quelqu'un veut en déclarer, il le fait.
07:37 Il a déclaré que il avait 1000 milliards de COVID, 94 milliards de morts, 9 milliards de produits.
07:46 Il a déclaré ça.
07:48 Je l'ai listé. Il n'y a pas eu de problème.
07:52 Chaque fois que le procureur a été autorisé, ou qu'il a été autorisé, il a déclaré ça.
07:58 C'est pourquoi je pense que les Sénégalais ont été autorisés à faire leur propre déclaration.
08:11 Ce que vous savez, c'est que ce qui s'est passé ce matin, c'est extrêmement important.
08:30 Parce que vous savez que le président Ousmane Sonko a été arrêté.
08:37 Il a été arrêté et il n'a pas été arrêté.
08:41 Il a été arrêté et il n'a pas été arrêté.
08:43 Il a été arrêté et il n'a pas été arrêté.
08:44 Il a été arrêté et il n'a pas été arrêté.
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09:21 C'est un peu comme ça.
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10:25 C'est un peu comme ça.
10:26 C'est un peu comme ça.
10:27 C'est un peu comme ça.
10:29 Mais de nous bugger jeu, nous, de nous tarder.
10:31 Quand nous sommes dans cela, nous faisons le douze.
10:37 Madame, nous allons attaquer le président Ousmane Sonko demain, sur ce que vous savez, c'est son bureau, son candidature, avec ce qu'il appelle "condamnation par condamnation" que personne ne connaît.
10:53 Je veux dire que, avec ce que nous avons décidé ce matin, c'est-à-dire que même si nous avions décidé, nous n'aurions pas été honnêtes.
11:00 C'est ce que je veux dire.
11:02 Parce que la cassation est arrivée.
11:04 Et cette fois-ci, toutes les chambres réunies, avec tous les magistrats, ont l'intention de le faire.
11:13 Je veux dire que le président Ousmane Sonko, aujourd'hui, est plus qu'un électeur, plus qu'un éligible, plus qu'un candidat, et demain, il sera plus qu'un président, inshallah.
11:25 Parce que nous, et je vais vous dire quelque chose, nous avons fait tout ce que nous avions dû faire ces dernières années, parce que nous avons tous été débarrassés.
11:38 Et le président Ousmane Sonko, nous ne pouvons pas le débarrasser comme ça, parce qu'il a été débarrassé par les Askan, qui sont des gens qui ont fait leur part.
11:48 Mais il a aussi été débarrassé par Dieu, par notre volonté.
11:54 C'est pourquoi, si vous regardez, le 12 octobre, nous avons donné le juge la vérité.
12:06 Demain, le 12 décembre, madame, le 12-12, mais l'histoire du président Ousmane Sonko, si on le parle, il y a quelqu'un qui est dans la tête,
12:21 c'est Yann Téhally Youssoufa, le 12 octobre, 111 aïe, vous vous rappelez bien ce que je dis.
12:28 Mais, dans le verse 12, madame, dans le verse 12, il y a une différence de 40.
12:42 C'est pourquoi, nous devons croire en Dieu et savoir que ce que le président Ousmane Sonko a fait pour le candidat, c'est grâce à Dieu.
12:51 Ce qui est en ce moment, c'est qu'il est très résilient, résistant, et c'est ce que nous devons croire en lui à partir de 2024.
13:08 Il a dit ce qu'il avait dit, et il a dit que le projet était un peu plus loin, mais ce n'est pas le cas.
13:16 Et ce projet n'est pas un seul, ni le plus proche du Sénégal, ni le plus proche de l'Afrique.
13:23 C'est pourquoi, il ne s'agit pas de n'importe qui, il n'y a que moi, et je ne donnerai personne.
13:32 C'est pourquoi le 111 a été déclaré.
13:35 C'est pourquoi, ce qui est en ce moment, c'est qu'on doit croire en l'élection présidentielle, c'est la rencontre d'un candidat ou d'un homme avec son peuple.
13:50 C'est ce que nous devons croire en Dieu.
13:55 Après la 4ème République, en 1946-1958, il y avait un régime parlementaire.
14:01 Quand il est arrivé, il voulait aller au régime présidentiel, il a dit qu'il allait améliorer le régime parlementaire.
14:07 La 5ème République, il a donné ses pouvoirs, et après il a campagné sur le rendez-vous d'un homme avec son peuple.
14:18 C'est pourquoi, nous devons croire en Dieu. C'est pourquoi, l'élection présidentielle, c'est l'adoption d'un projet par un peuple.
14:27 C'est pourquoi, le projet qu'on porte, le projet PASTEF, le projet LACOSSE ou la coalition SONCO-président,
14:35 on ne peut pas le faire, on ne peut pas le faire jusqu'à 2024, et on ne peut pas le faire.
14:43 C'est pourquoi, nous devons nous en tenir compte. Parce que le président Ousmane SONCO, il sera présent en 2024.
14:51 Inchallah Rabbi. C'est ce qui nous fait vivre.
14:55 C'est pourquoi, ce que nous voulons dire à l'Assemblée, c'est que nous savons que le plus important est dans le jeu,
15:05 c'est dans le jeu, et c'est dans le jeu que nous allons nous concentrer, et c'est dans le jeu que vous allez voir le projet,
15:11 et vous allez savoir que le programme et la profession ne sont pas les mêmes, c'est ce que nous vous demandons.
15:16 Parce que nous avons travaillé très très très fort pour faire ce projet au Sénégal.
15:25 Nous avons dit que c'est ici que nous voulons aller, pour aller là-bas, c'est ici que nous allons faire ce travail,
15:34 et pour financer ce projet, c'est ici que nous allons le faire.
15:37 C'est ici que je vais donner le programme.
15:40 Parce que je pense que PS ne va pas venir ici.
15:43 Mais nous allons le faire, et nous allons le faire.
15:46 Et ce sera tout ensemble. C'est ce que nous avons besoin.
15:49 Donc, nous allons vous donner ce que nous avons demandé,
15:53 et nous allons vous dire que, c'est vrai, nous allons nous concentrer sur le Sénégalais,
16:01 et non pas sur les patriotes, parce que nous le savons, nous le disons,
16:05 et ce que vous savez, c'est ce que nous avons vu dans ce pays, dans ce pays.
16:10 Tout le monde s'est engagé, nous avons fait un effort.
16:14 Tout le monde a dit que ce projet, c'est le team de tous, c'est le team de tous les gens.
16:26 Nous savons que le président Ousmane Sonko a été très concentré sur ce projet,
16:31 et n'a jamais fait quelque chose qui serait déçu, même si ce projet est très grand.
16:37 C'est pourquoi, la relation de confiance qu'il y a entre nous,
16:41 Dieu a donné que la relation qu'il y a entre lui et Askanwi,
16:45 il y a entre Askanwi et nous.
16:48 Parce que Askanwi, qui nous regarde, c'est le président Sonko qu'on voit.
16:51 Et cela, il a été fait ensemble, c'est pourquoi il a fait Askanwi.
16:55 Il a dit que nous allions prendre les cartes,
16:59 et nous l'avons dit aussi, parce que les cartes sont là,
17:04 et si nous voulons que les élections se déroulent dès le premier tour,
17:09 nous allons tous prendre nos cartes.
17:12 Dans ce pays, c'est là que je suis.
17:15 Il a aussi dit autre chose,
17:18 nous sommes moins vigilants,
17:22 mais nous avons des blessés,
17:25 parce que nous avons vu notre défaite et notre défaite.
17:29 Et nous avons eu des défaites.
17:33 Et ce que nous avons eu de plus,
17:36 c'est que nous avons fait un choix,
17:39 nous avons fait un choix,
17:42 15 025 ou plus de bureaux de vote,
17:46 nous avons fait des représentants et des remplacements de ces représentants.
17:51 Si nous voulions faire comme nous l'avons fait,
17:53 nous avons fait le premier tour,
17:56 parce qu'Askanwi était prête.
17:59 Donc, nous avons fait une vigilance,
18:02 mais nous avons fait une vigilance,
18:05 nous avons voté massivement,
18:08 mais nous avons sécurisé le vote.
18:11 Si nous avions voté, nous l'aurions sécurisé,
18:14 nous n'aurions pas eu à faire des transferts.
18:19 C'est extrêmement important pour nous,
18:22 parce que 2024, c'est un tournant décisif.
18:26 Et si nous nous en remettons,
18:29 vous avez vu ce qui s'est passé à l'Asie,
18:32 vous n'auriez pas pu le voir.
18:36 Parce que le Sénégal, qui a commencé à se faire mal,
18:40 si nous la laissons tomber,
18:43 je pense qu'il n'y a pas de problème.
18:48 Donc, c'est pourquoi nous voulions partager ceci avec vous,
18:51 vous faire des bonnes nouvelles,
18:54 vous faire des bonnes nouvelles,
18:57 nous vous disant que nous ne nous en ferons plus,
19:00 mais que nous nous préparerons,
19:03 inshallah, à 2024,
19:06 pour un bon et un bon retour.