• l’année dernière
Transcription
00:00 [musique]
00:10 Est-ce que par le plus grand des hasards, tu n'aurais pas quelques prisonniers à nous prêter pour servir à table ?
00:14 - Bah, vous savez bien que je n'arrête jamais personne.
00:16 - Je me dis qu'après tout, un homme marié, il a certains droits.
00:19 [musique]
00:23 - Oh ! Tu n'arrêtes jamais personne. Comment veux-tu qu'on te respecte ?
00:26 - Bah, d'abord parce que je ne suis ni courageux, ni honnête, ni travailleur.
00:30 - Bah, si vous voulez un homme courageux, honnête et travailleur, c'est pas moi qu'ils auraient nommé.
00:35 - Les deux macros de merde me mettent tout le temps en boîte.
00:38 [bruit de la boîte]
00:39 - C'est comme qui dirait l'illustre Malson.
00:42 [bruit de la boîte]
00:46 - Débarrasse le pays de cette ordure qui nous empoisonne.
00:49 - Tu seras bien reçu !
00:50 [bruit de la boîte]
00:51 - Tu vas t'arrêter, abruti !
00:53 [bruit de la boîte]
00:58 [musique]
01:04 - Remonte tes mains là, entre mes cuisses.
01:06 [musique]
01:12 - Demain matin, avec un peu de chance, tu vas voir un beau spectacle.
01:15 [musique]
01:21 - Le pigeon là, qui est suspendu au-dessus de l'autel à votre église, il est en or ?
01:26 [musique]
01:28 - Et comment est-ce qu'il va ?
01:29 - Il est mort, et vous savez très bien qui l'a tué.
01:32 [musique]
01:50 [SILENCE]