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00:00 J'ai remarqué que chaque fin d'année, ou bien quand on a de grands événements ici,
00:04 c'est ce truc qui arrive souvent.
00:05 On a constaté que ces derniers temps, il y a beaucoup de meurtres des personnes qui
00:14 sont égorgées, que ce soit à Abidjan ou à l'intérieur du pays.
00:18 Qu'est-ce que vous en pensez ?
00:19 Depuis cette décennie-là, après la crise, il y a l'incriminaté qui ne cesse de monter.
00:28 Et qu'est-ce que vous proposez ?
00:30 Que nos autorités puissent essayer de rafler, puisque nous sommes en temps de fête, de
00:36 mettre plus de mise sur la sécurité.
00:39 Nous savons qu'il y a la canne qui arrive et l'État doit encore miser à fond.
00:46 Même s'ils peuvent couper la moitié de leur budget annuel pour pouvoir mettre la
00:52 sécurité, c'est ce qui importe.
00:54 Et on a constaté aussi que les jeunes sont très souvent à la base de tous ces meurtres-là.
00:59 Aujourd'hui, un enfant peut regarder un film en moins de 10 ans, mais ces personnes-là
01:06 essaient de regarder.
01:07 Les parents doivent faire leur part et nous, jeunes, nous devons faire notre part.
01:12 Nous ne devons pas prendre de la drogue, parce que je pense qu'une personne qui arrive
01:18 à le faire, c'est qu'elle prend des substances qui sont nuisibles.
01:22 Tuer quelqu'un, ce n'est pas bien.
01:24 Et puis aussi, ceux qui le font n'ont pas de sentiments.
01:28 Je pense qu'ils ont un problème sexuel.
01:31 Qu'est-ce qui peut les pousser à commettre de tels actes ?
01:33 Il y a le manque d'argent, il y a aussi la richesse.
01:40 Il y a certains jeunes aussi qui le font pour certaines autorités, pour certaines personnes.
01:46 Comme aujourd'hui, je vois qu'en moins de 30 jours, il y a eu trois cas de décès
01:52 de femmes et tout est gorgé par des enfants de moins de 17 ans.
01:56 J'ai peur pour notre jeunesse, j'ai peur pour nous, maman.
01:59 Et aujourd'hui, même quand tu es enceinte, tu as peur.
02:02 Parce que la nouvelle génération, on ne sait pas ce que ces enfants-là ont, mais
02:07 vraiment, nos propres enfants représentent un danger pour nous aujourd'hui.
02:10 Tout ce que nous pouvons faire en tant que parents, c'est de demeurer dans la prière.
02:14 Parce qu'on constate que les conseils ne portent plus.
02:16 Et quand ça ne va plus, on a recours à qui ? On a recours au Seigneur.
02:20 Tous les parents doivent aujourd'hui fléchir les genoux pour ses enfants.
02:23 Parce que le monde va mal.
02:25 On éduque les enfants à la maison, mais ils s'éduquent eux-mêmes sur les réseaux sociaux.
02:29 Ils s'éduquent eux-mêmes à travers les écrans.
02:31 Donc, qu'est-ce qu'on doit faire en tant que parents pour mener nos enfants sur le droit chemin ?
02:36 C'est d'avoir recours à la prière.
02:37 Priez Dieu pour nos enfants.
02:39 J'ai remarqué que chaque fin d'année, ou bien quand on a de grands événements ici,
02:43 c'est ce truc qui arrive souvent.
02:45 Et puis, on peut dire aussi qu'Abidjan est dur.
02:48 Donc, chacun essaie de s'en sortir pour trouver les moyens possibles.
02:52 Certaines personnes trouvent tous les moyens possibles pour essayer de s'en sortir,
02:56 trouver de l'argent rapide.
02:57 C'est ça qui est le problème à Abidjan en ce moment.
02:59 On dit la jeunesse, la jeunesse, ok, mais il y en a d'autres encore qui ne se retrouvent pas,
03:04 qui continuent à réfléchir d'une manière assez obscure, comme je le dis souvent.
03:09 Voilà, pour tous les moyens possibles, il faut avoir de l'argent.
03:13 Il faut avoir ça comme ça.
03:14 Pour moi, ce n'est pas bon.
03:16 Peut-être à cause de l'argent, ils font ça.
03:18 Les Marabouts aussi, ils sont un peu bêtes de toute façon.
03:21 Pour les challenger, le bon truc, c'est de tuer l'homme seulement.
03:26 Ce n'est pas bon sur moi.
03:27 Si les enfants me disent, ils sont maudits, à cause de ça, ils sont en train de tuer les tontines.
03:31 Même, moi, comme ça.
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