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ARCTOS rachète 12,5% du PSG ! Bientôt la fin de l'ère QSI ?

PSG / ARCTOS nouvel actionnaire ! Bientôt la fin de l'ère QSI ? Nasser Al Khalaifi a commencé un mercato PSG économique en recrutant ARCTOS qui devient actionnaire majoritaire de 12,5% des parts du Paris Saint-Germain en échange de 500 millions d'Euros.

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0:00 : Ce qu'il faut savoir de l'info
5:35 : Quels sont les projets d'Arctos avec le PSG ?
9:55 : Vers un désengagement progressif de QSI ?

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Sport
Transcription
00:00 Est-ce que c'est le début de la fin de l'ère QSI qui vient de vendre 12,5% de son Paris Saint-Germain Thomas ?
00:08 Eh oui, d'après Dasser non, mais en tout cas on en avait entendu parler je crois que c'était au printemps dernier d'un possible rapprochement entre Arctos et le Paris Saint-Germain.
00:17 J'y arrive pas, je dis toujours l'inverse moi, Arctos.
00:20 C'est Arctos, Arctos fond d'investissement américain, on va en parler.
00:24 Donc non ce n'est pas le début de la fin mais quand même il y a un premier désengagement de QSI du côté du Paris Saint-Germain.
00:32 Bienvenue sur le vestiaire, on est très heureux de vous retrouver.
00:34 On va analyser cette information qui est tombée cet après-midi.
00:37 Donc QSI annonce l'arrivée d'un nouvel actionnaire, le PAG est valorisé à 4,2 milliards d'euros.
00:43 On va revenir sur cette information aussi, c'est un point important.
00:46 Et donc Arctos Partners vient d'acquérir une participation minoritaire dans le club de la capitale.
00:53 Ils sont spécialisés dans les solutions de liquidité sur mesure et capital de croissance.
00:59 Bon, on ne va pas rentrer dans le détail mais ça montre que ce Paris Saint-Germain est en train de s'ouvrir à de nouveaux projets.
01:09 Ça c'est un point qu'on va détailler dans une deuxième partie.
01:13 Et ça montre aussi que ce PSG cherche toujours à grandir en tout cas et que Nasser maintient ce PSG en haut de l'affiche.
01:22 Top 7 je crois des clubs les plus valorisés au monde.
01:25 C'est ça, il y avait déjà la création de plusieurs boutiques aux Etats-Unis.
01:30 Et voilà maintenant que du coup c'est un arrivant américain qui arrive du côté du Paris Saint-Germain.
01:37 On aura d'ailleurs l'occasion d'en parler tout à l'heure.
01:39 C'est un américain et ce n'est pas un investisseur d'un autre pays qui aurait pu venir du côté de la capitale française et qui a aussi beaucoup d'argent.
01:46 Exactement.
01:48 Justement si tu veux bien on va passer à Clier Arctos.
01:51 Arctos a été une société de capital de fonds d'investissement qui a été créée en 2020 pendant le Covid.
01:59 Et ils ont des participations dans le monde du sport.
02:02 En tout cas ils sont spécialisés dans le monde du sport.
02:04 On voit les logos qui s'affichent.
02:05 Dans le football vous reconnaissez le logo de Liverpool.
02:08 Ils sont présents en Formule 1 sur Aston Martin.
02:10 Ils sont présents dans le baseball avec les Dodgers.
02:13 Un club que le propriétaire de l'Olympique de Marseille connaît bien.
02:17 C'est lui qui l'a revendu.
02:18 Et j'ai vu tout à l'heure passer, on a vu les Kings de Sacramento en basket.
02:23 Et si je ne me trompe pas j'ai aussi vu le club de basket de Los Angeles.
02:29 Il y a eu Utah Jazz.
02:31 On est quand même sur un investisseur multiclub, multisport dans plein de domaines.
02:37 Ils ont au moins 10 franchises.
02:39 Exactement, on parle de 16 franchises au global de leur investissement.
02:43 Les Warriors Golden State ce n'est pas Los Angeles, c'est San Francisco.
02:47 Le point aussi important, c'est qu'on parle de valorisation.
02:52 C'est un sujet qui me plaît particulièrement pour avoir bossé dans le marketing sportif pendant plusieurs années.
02:58 C'est des sujets économiques qui ont toujours un lien à l'infini avec le football et le terrain.
03:03 C'est toujours amusant.
03:06 On parle d'une valorisation à 4,2 milliards d'euros.
03:11 Et pour racheter les 12,5% des parts du Paris Saint-Germain,
03:15 si on veut schématiser, ils ont investi 500 millions d'euros.
03:19 500 millions d'euros, c'est plus ou moins 8 fois ce que le Qatar a mis pour racheter le PAG à des Américains déjà à l'époque, à Colony Capital.
03:33 Il y a un beau pied de nez qui est fait actuellement.
03:37 Ils avaient racheté entre 50 et 70 millions d'euros en 2011.
03:40 La plus-value est énorme.
03:43 C'est énorme quand même.
03:44 Et surtout, le vestiaire qui voulait investir au Paris Saint-Germain, on va revendre nos ambitions à la baisse.
03:49 On n'a pas encore ce menton-là.
03:51 Non, non, non.
03:53 Je nous le souhaite.
03:54 Je nous le souhaite un jour peut-être, mais il va falloir un peu plus d'abonnements et de partenariats, mon cher Thomas.
04:00 C'est ça.
04:02 Pourquoi ils investissent dans le PAG ?
04:04 On sait que c'est une franchise, entre guillemets, quand on parle de franchise en termes de divertissement, entertainment.
04:10 Aujourd'hui, le PAG est une marque qui s'est construite sur les dix dernières années de manière phénoménale.
04:15 C'est peut-être la première marque marketing de football aujourd'hui.
04:20 C'est la plus grande réussite du Qatar.
04:22 Tu mets à quelle échelle la Coupe du Monde 2022 pour le Qatar ?
04:29 Non, mais pour moi, la Coupe du Monde s'était déjà actée.
04:32 Depuis qu'ils ont le PAG, si tu dois comparer le côté marketing et le côté sportif,
04:38 vu qu'ils n'ont pas remporté la Ligue des champions et qu'en termes de marketing, ils sont devenus quasiment les numéros un au niveau mondial,
04:44 j'ai envie de dire que sur le plan marketing, c'est une véritable réussite.
04:48 J'ai une slide à te partager justement sur les revenus du Paris Saint-Germain qui ne font que croître depuis plusieurs années.
04:55 Au niveau marketing, on voit les revenus à travers le monde.
04:58 Essaie de zoomer un peu si tu peux.
05:00 Là, tu vas le voir comme ça. Il y a 18% d'évolution du chiffre d'affaires,
05:05 mais surtout, c'est les cinq dernières années qui sont assez intéressantes,
05:08 qui montrent justement que Paris a grandi que ce soit en droits TV, que ce soit en vente de billetterie,
05:15 mais également en chiffre d'affaires sur les produits de la marque Paris Saint-Germain.
05:20 On se dit du côté des Américains que Paris est bankable et que Paris peut encore se développer,
05:29 mais à quoi va servir ce partenariat concrètement ?
05:32 On peut se poser la question aussi.
05:34 Moi, je me pose la question parce que je me dis s'il y a bien un pays qui n'a pas besoin d'argent, c'est le Qatar.
05:42 Pourquoi ils ont besoin d'un investisseur qui va venir mettre 500 millions,
05:45 si ce n'est comme tu l'as dit tout à l'heure pour montrer que maintenant le PSG, ça vaut tant
05:50 et que 12% du club, ça équivaut à 500 millions.
05:53 Ça montre aussi d'un certain côté la force et l'évolution de ce Paris Saint-Germain sur les dix dernières années.
05:59 Comme ça, je suis assez surpris. Je n'ai pas trop d'idées en tête comme ça.
06:04 Eh bien, mon cher Thomas, ça montre qu'on a bien travaillé parce que j'ai des réponses à ta part.
06:09 Ah, ce sujet !
06:11 Évidemment, c'était la question qu'il fallait poser.
06:15 Évidemment, il y a un élément qui est en ligne de mire.
06:18 On va se projeter vers le futur, la Coupe du monde 2026.
06:23 C'est un développement économique aussi pour ce Paris Saint-Germain.
06:27 Parce qu'aujourd'hui, on voit le Paris Saint-Germain pouvoir réaliser des tournées dans les pays asiatiques.
06:35 Là, ils vont peut-être aller chercher un nouveau marché qui n'est pas émergent,
06:39 mais qui se développe grandement autour du football.
06:41 Les États-Unis, le Canada.
06:44 Il y a aussi un lien, je trouve, peut-être tiré par les cheveux, mais ce lien avec Nike,
06:54 les Arctos, qui est un fonds d'investissement américain, Nike, équipementier américain,
07:00 O'Neill, qui est un lunetier américain, entre autres, qui est partenaire de Kylian Mbappé.
07:08 Est-ce qu'on n'est pas ici en train de construire aussi une relation pour dire à Kylian Mbappé,
07:13 regarde, la marque Kylian Mbappé peut se développer aussi du côté des Américains à travers le Paris Saint-Germain.
07:21 Ce que je vois surtout, c'est que de plus en plus d'informations convergent vers les États-Unis.
07:27 Donc cet été, la Copa América, la finale va se dérouler à Miami.
07:31 Messi, qui vient de présenter son huitième ballon d'or à Miami,
07:35 jouera peut-être sa finale dans son propre stade d'ailleurs.
07:38 En fait, tu as la preuve que tout le bruit magnétique est en train de se déplacer du côté des États-Unis,
07:42 alors que l'Europe l'a monopolisé pendant des années.
07:46 Évidemment, en ligne de mire, le climax de ce déplacement du football vers les États-Unis,
07:51 ce sera la Coupe du Monde 2026.
07:53 Et après ça, on aura un déplacement du football vers l'Arabie saoudite,
07:57 qui est en train de se développer elle aussi, et qui accueillera la Coupe du Monde en 2034.
08:02 Donc maintenant, le football est véritablement mondial et n'appartient plus,
08:05 comme cela a été pendant quelques années, à l'Europe, donc les États-Unis.
08:09 Prochaine destination peut-être de futurs très grands joueurs.
08:12 Et peut-être du vestiaire, on ne sait jamais si on veut couvrir la Coupe du Monde 2026.
08:17 Non, il y a un autre élément Thomas que je voulais partager.
08:20 On le sait, c'est un sujet sous-jacent du côté du Paris Saint-Germain,
08:23 il y a cette problématique du stade.
08:26 Et le fait de faire intervenir un acteur extérieur,
08:29 ça peut-être renforce les liquidités du Paris Saint-Germain,
08:33 ça donne aussi un acteur de poids pour discuter avec la mairie.
08:37 Et on sait que les Américains sont très fans de tout ce qui est entertainment,
08:41 tout ce qui est divertissement,
08:43 et le PSG s'est positionné pour racheter le Stade de France.
08:47 Est-ce qu'il n'y a pas une promesse de développement à travers le Stade de France
08:54 qui est en train d'être réalisée, en se disant,
08:56 on a un acteur américain qui lui sait se développer dans le divertissement,
09:01 qui a une place dans le sport aujourd'hui.
09:05 Si tu es propriétaire de ton stade, et que demain ton stade est multi-sport,
09:11 j'imagine, je me projette,
09:13 peut-être que tu vas me faire venir voir des matchs de basket au Stade de France,
09:17 et c'est la marque Paris Saint-Germain qui grandirait également.
09:20 C'est un peu l'avenir des nouveaux stades,
09:21 c'est ce qui va se passer du côté de Madrid et du Santiago Bernabeu,
09:24 il va y avoir des concerts, des matchs de basket, de NFL, de tennis, etc.
09:28 Mais je suis un peu perdu sur les infos du stade,
09:31 je crois que c'était Daniel Riolo sur RMC qui disait
09:33 qu'apparemment le PSG n'achèterait pas le Stade de France,
09:37 on ne sait pas s'ils veulent négocier le Parc des Princes,
09:41 et que ce n'est pas une espèce de forme de chantage d'aller vers le Stade de France,
09:44 mais en tout cas, peut-être que l'arrivée d'un nouveau partenaire va accélérer ce processus,
09:48 ça c'est clair.
09:49 En tout cas, il y a aussi un élément qu'on ne peut pas occulter,
09:52 le troisième point, et c'est vrai que c'est pour répondre à cette question,
09:56 on peut voir ça aussi sous un angle,
09:59 il y a un certain désengagement de la part de QSI.
10:03 Ta question est parfaite,
10:05 le QSI a tellement d'argent, à un moment, pourquoi ils revendent ?
10:11 Et c'est vrai qu'on peut se dire aussi, naturellement,
10:15 tu fais rentrer un loup dans ta bergerie,
10:19 il prend 12,5% des parts, tu prends 500 millions,
10:23 tout le monde est gagnant,
10:24 il a un droit de regard sur la suite et sur le développement du club,
10:27 il peut justement recommencer à observer,
10:31 et au petit à petit, tu peux avoir, d'ici 2028, d'ici 2030,
10:37 un PSG qui, et on n'a pas parlé de la Super League,
10:41 mais un PSG, un QSI qui se désengage,
10:44 et de l'autre côté, un Arctos qui devient de plus en plus fort
10:48 et prend une part majoritaire.
10:50 Exactement, et puis comme par hasard,
10:52 ça arrive après le climax de l'ère Qatar,
10:56 c'est-à-dire après la Coupe du Monde qui s'est déroulée au Qatar en 2022,
11:00 ça n'est pas arrivé avant, ça arrive après,
11:03 et on savait que l'objectif final du Qatar,
11:06 c'était qu'à travers le PSG,
11:08 on ait une visibilité et un bruit médiatique vers leur pays.
11:12 Maintenant que cet événement mondial est passé,
11:15 ça confirme peut-être un certain désengagement
11:17 par rapport à toutes les rumeurs qu'on avait lues et entendues
11:20 sur "après la Coupe du Monde, le Qatar va quitter le PSG".
11:23 C'est vrai.
11:24 C'est en train d'arriver petit à petit.
11:26 Alors ce n'est que 12%, enfin 12,5%,
11:29 mais peut-être que dans 5-10 ans, ça sera 27-30%,
11:32 et peut-être que dans 15 ans,
11:34 le Qatar ne sera plus majoritaire au Paris Saint-Germain.
11:37 En tout cas, c'est assez amusant ou intéressant
11:40 d'observer ce monde économique autour du football.
11:44 QSI qui investit le PSG en 2011 en vue de sa Coupe du Monde en 2022.
11:50 Arktos qui investit le PSG, lui, dans une autre mesure,
11:55 dans une autre force.
11:57 Mais il y a évidemment en ligne de mire cette Coupe du Monde 2026.
12:01 Est-ce qu'il y aura un investisseur saoudien
12:03 qui arrivera en France pour sa Coupe du Monde 2034 ?
12:08 C'est une question.
12:09 On sait que le sujet fait grand bruit du côté de Marseille.
12:12 On sait que ça a été éludé du côté de Julien Fournier cette semaine
12:16 dans l'After Foot RMC.
12:18 C'est un sujet que j'ai évoqué maintes fois
12:22 autour de la vente potentielle de l'Olympique de Marseille.
12:25 En tout cas, c'est vrai que la France est un territoire d'investissement.
12:31 On a étudié aussi nos amis de Blue
12:36 qui avaient investi du côté de Strasbourg à travers le CIS.
12:39 On aura plein de multipropriétés à terme.
12:42 Mais c'est intéressant que tu parles de l'Arabie saoudite
12:44 parce qu'effectivement, comme je le disais en début de vidéo,
12:46 le PSG, quitte à avoir un investisseur qui a beaucoup d'argent,
12:49 ils auraient pu se diriger vers l'Arabie saoudite
12:52 qui est en train d'absorber tous les plus gros événements du sport mondial.
12:56 On l'a vu récemment avec Tyson Fury contre N'Ganu.
12:59 Et finalement, ils se sont dirigés vers les États-Unis.
13:03 Donc, on voit aussi qu'ils ne voulaient peut-être pas faire de cadeau
13:06 à un ennemi ou à un ancien ennemi géopolitiquement, si tu veux.
13:10 C'est vrai qu'il y a eu un rapprochement lors du Mondial l'hiver dernier.
13:16 Après, voilà.
13:18 Et puis, est-ce que l'Arabie saoudite aurait été réellement intéressée
13:23 par une marque qui est autant développée que celle du Paris Saint-Germain ?
13:27 J'en doute.
13:28 Je pense que l'Arabie saoudite a envie de se développer
13:31 sur des clubs qui peuvent demain avoir un vrai potentiel.
13:35 En tout cas, un potentiel plus grand.
13:37 C'est-à-dire que le potentiel du PSG il y a 12 ans était bien plus grand
13:41 qu'il ne l'est aujourd'hui, même s'il leur manque toujours la Ligue des champions.
13:44 Oui, je vois ce que tu veux dire.
13:46 Ils ne pourront pas autant développer le Paris Saint-Germain
13:49 qu'ils peuvent le faire, par exemple, du côté de la Canadiens.
13:52 De n'importe quel club.
13:54 Peut-être des Girondins de Bordeaux,
13:56 qui sont d'ailleurs en lice pour peut-être descendre en national.
13:59 Ça, c'est compliqué chez vous.
14:01 Mais ce qui est aussi intéressant, c'est de voir qu'à l'Orient,
14:04 on a un propriétaire, enfin un investisseur américain.
14:07 Du côté de Strasbourg, on a un investisseur américain.
14:10 Du côté de Lyon, on a un investisseur américain.
14:13 Du côté de Marseille, on a un investisseur américain.
14:15 Du côté du PSG, il y a 12,5% américain.
14:18 J'ai peut-être oublié un club ici,
14:20 mais ça fait quand même beaucoup d'investisseurs américains
14:23 sur le territoire français.
14:25 Et Red Bird à Toulouse, je ne voudrais pas dire de bêtises,
14:30 mais il y a peut-être quelque chose aussi d'américain.
14:33 Ce sera peut-être d'ailleurs le sujet d'une autre vidéo sur la multipropriété.
14:37 C'est vachement intéressant, ça.
14:39 C'est un peu triste pour le sport,
14:41 mais c'est quand même intéressant, je trouve, en termes de marketing, etc.
14:44 Pour discuter et pour avoir bossé dans le marketing sportif
14:47 il y a plus d'une dizaine d'années maintenant,
14:49 on sentait déjà qu'il y avait un poids économique
14:51 qui était en train de se développer dans le monde de l'entreprise.
14:55 Et c'est vrai que je me trouve souvent entre les deux
14:59 parce que je vais au stade, je supporte l'Olympique de Marseille
15:02 et je vois toute cette passion qui existe
15:05 et qui peut être diamétralement opposée au monde froid de l'entreprise.
15:09 Il faut arriver à lier les deux, ce n'est pas simple,
15:12 mais l'un ne peut pas aller sans l'autre, aujourd'hui, à mes yeux.
15:16 Tout à fait, Christophe, sur cette belle parole,
15:19 je crois qu'on a fait le tour du sujet.
15:21 Tu as quelque chose à rajouter ?
15:23 Non, j'espère que ce sujet vous aura plu
15:25 parce qu'on sort un peu des sentiers battus,
15:27 mais c'est aussi le but du vestiaire,
15:29 de parler de toute l'actualité du football,
15:31 en essayant d'apporter notre avis, notre regard,
15:34 avec beaucoup de passion.
15:36 Bien résumé, sur ces belles paroles,
15:39 on vous dit à demain pour une vidéo,
15:41 on ne sait pas trop ce qu'on va faire, on verra.
15:43 On a plusieurs sujets en tête.
15:45 On a plusieurs sujets en tête, voilà.
15:46 Mais en tout cas, il y aura une vidéo demain, ça c'est sûr.
15:48 Donc abonnez-vous, activez la cloche
15:50 et on vous dit à demain, les amis.
15:51 Ciao !
15:52 Salut Thomas !
15:53 Ciao !

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