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Rencontre avec le casting de Pax Massilia, une série signée Olivier Marchal, qui nous plonge dans les péripéties d’un groupe de flics aux méthodes coup de poing, à la poursuite d’un dangereux criminel.

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Transcription
00:00 C'est avant tout déjà la rencontre avec Olivier Marchal, qui est pour moi une des
00:14 références dans le genre du Polar en France.
00:17 Ensuite il y a la ville de Marseille, il y a le casting et puis cette histoire qui entremêle
00:24 les voyous et la police, leur méthode.
00:26 C'est compliqué de refuser un projet comme celui-là où on va développer une série
00:34 coup de poing et d'en faire partie.
00:37 Pour moi c'était un régal, c'était pas possible de dire non à Olivier Marchal.
00:41 Pour moi c'était à peu près la même chose.
00:44 Pour moi c'était mon premier projet en France, c'était la première fois pour moi
00:48 que j'ai tourné en français.
00:50 En plus avec Olivier Marchal, c'était super, c'était une expérience géniale, comme
00:56 première expérience.
00:58 Et de rencontrer des collègues comme ça, c'était vraiment super.
01:02 Marseille, les gens à Marseille qui sont joyeux et ouverts.
01:09 En plus le scénario et le personnage qui m'a vraiment touchée.
01:14 Et l'action aussi, tout le monde adore l'action.
01:16 C'est vrai que de retrouver Marchal, dans une autre ville où on avait tourné à Paris
01:22 quand j'avais fait Braco, de retrouver Marchal ici c'était un peu inattendu.
01:25 Il y a un très beau contraste entre le sujet, la lumière de la ville, les décors naturels
01:31 qui sont super beaux, la mer, le soleil.
01:35 Il y avait un truc très kiffant à faire et de jouer avec ce contraste là qui était
01:41 incroyable.
01:42 Et puis de retrouver ce Marchal, j'ai failli dire d'autres trucs, voilà.
01:47 Ce bon vieux Olive, c'était un très beau kiff.
01:50 Très très vite, on a réussi à faire une préparation avec les gens de la police, de
01:59 la BRB à Marseille.
02:00 On a passé beaucoup de temps ensemble à répéter.
02:03 Et c'est vrai que ça a été un moyen de nous souder, d'être ensemble et de constituer
02:10 cette équipe qu'on retrouve à l'écran.
02:13 C'est vrai qu'on a créé des liens très très forts.
02:17 On était tous logés à Marseille, on vivait tous à Marseille pendant toute la période
02:21 de tournage, pendant plusieurs mois.
02:22 Et on a développé des liens hyper forts et j'ai l'impression en tout cas qu'on le
02:30 voit à l'écran.
02:31 Et c'est hyper touchant et attachant.
02:34 Et même quand on nous regarde la série, on voit la vérité de ce qu'on vivait nous
02:40 au quotidien sur le plateau avec tout le monde.
02:44 Et même les méchants.
02:46 C'était ça qui était cool.
02:47 Il faut dire merci à Olivier Marshall qui arrive à mettre des personnalités comme
02:50 ça, complètement différentes.
02:52 Mais il sait que ça va marcher ensemble et il a un don pour ça ce réalisateur qu'on
02:58 adore.
02:59 Il y a un truc très fort.
03:00 C'était tout le pari sur ce personnage qui peut avoir un côté antipathique très
03:11 violent, brut de décoffrage et la subtilité du scénar, la manière de diriger aussi d'Olivier
03:21 Marshall et de diriger son casting dans son ensemble.
03:24 C'était de voir derrière cette cadre à passe qui peut paraître très vite abrupte
03:31 et violente et de voir l'humanité à l'intérieur de tout ça.
03:34 Et c'est tout l'intérêt de regarder ce genre de séries parce qu'on peut s'attendre
03:38 à quelque chose de hyper visuel, très violent alors qu'en fait il y a une profondeur qui
03:44 est très présente.
03:46 Et c'est cette chose là qui fait que les gens en tout cas qui ont vu la série pour
03:51 l'instant ont adoré.
03:53 Ils parlent absolument pratiquement le plus.
03:56 C'est de la profondeur des personnages plus que des séquences d'action qui sont hyper
04:00 bien faites.
04:01 Ils s'y font.
04:02 Mais ce qu'ils s'y font aussi c'est de rendre des personnages intéressants, complexes.
04:08 Et voilà, c'était tout le pari et j'ai l'impression qu'il est réussi.
04:11 Oui c'est marrant parce qu'il n'y a pas de limite.
04:17 Il n'y a pas de...
04:18 Il y a Marshall qui vient de passer et il me fait rigoler.
04:20 C'est pour ça pardon.
04:21 Il n'y a pas de limite.
04:22 On n'est pas retenu par...
04:23 C'est quand même des flics donc ils ne peuvent pas dépasser toutes les limites.
04:29 Mais moi ce qui est bien avec les personnages de mes soeurs c'est qu'il n'y a aucune limite.
04:31 C'est ça qui est très kiffant.
04:33 Même si après on en apprend plus aussi sur mon personnage, ses motivations, pourquoi
04:37 il fait ça, pourquoi il veut revenir, pourquoi il en veut la terre entière.
04:40 Donc on le sait mais il n'y a pas de limite.
04:42 C'est ça qui est assez drôle et qui est assez kiffant à jouer.
04:44 Vraiment il y a un truc de...
04:46 Oui je dois rendre compte à mon supérieur.
04:48 Il n'y a pas de supérieur, il n'y a rien.
04:49 On n'a pas de chef.
04:50 On est des indiens et ça c'est un gros kiff j'avoue.
04:55 Libertairement parlant c'est un gros kiff.
04:57 Je pense que comme Alice moi dans la vraie vie aussi, je pense que je sais ce que je
05:09 veux et je travaille très fort pour ça.
05:13 C'est comme j'ai travaillé beaucoup sur mon francif pour cette série.
05:17 Et oui je pense que c'est le point en commun le plus grand je pense.
05:28 Après moi je pense que je ne suis pas vraiment une personne de vengeance mais j'ai adoré
05:34 ce personnage et je pense qu'on trouve toujours des choses qui sont similaires au niveau des
05:39 émotions, on cherche dans la vie personnelle et j'ai cherché et j'ai trouvé.
05:47 Merci.
05:48 Merci.
05:49 Merci.
05:49 ♪ ♪ ♪
05:51 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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