• l’année dernière
Transcription
00:00 Jusqu'à l'année dernière, cette papeterie industrielle recyclait 480 000 tonnes de
00:10 papier par an, soit l'équivalent de ce que jettent 24 millions d'habitants.
00:14 S'ils ont la volonté de vendre, c'est aussi parce que peut-être qu'ils veulent pas qu'il
00:23 y ait des concurrents papetiers.
00:24 Alors qu'il y a un site en France qui demande qu'à redémarrer.
00:26 L'usine allait en état, elle est prête à redémarrer.
00:29 Maintenant c'est à l'état de jouer.
00:30 Là, vous jouez sur des familles, vous jouez sur des avenirs.
00:36 Cette colère, c'est celle d'un citoyen, c'est celle d'un représentant du personnel
00:39 qui vous dit les yeux dans les yeux, vous voulez quitter le territoire, eh bien laissez
00:43 le territoire choisir de l'industrie qu'ils veulent ici.
00:45 Et si on ne cesse pas de faire, et si on ne lâche rien, c'est bien pour autre chose,
00:49 c'est parce qu'il y a une offre qui va être déposée.
00:51 Voilà, encore une fois, sur la route de Paris, tous les trois.
00:55 Salut à tous les Pâques-Chapes, donc le trio infernal.
00:58 On sait qu'à Chapelle, un travail c'est particulier parce que souvent c'est familial.
01:11 J'en suis un exemple, mon grand-père, mon père, etc.
01:14 Et on est convaincu qu'en fait, au bout, c'est nous qui allons gagner parce que c'est
01:18 la seule issue possible pour Chapelle d'Arbelay.
01:21 On est parti trop loin dans le truc, donc maintenant on ira jusqu'au bout.
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