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Transcription
00:00 - On s'arrête quand même sur un terme, francocide.
00:02 - Oui.
00:02 - C'est pas moi qui l'ai employé, c'est Éric Zemmour qui l'a employé.
00:05 - Oui.
00:05 - Francocide c'est quoi ?
00:06 - C'est quand des français se font tuer parce qu'ils sont français sur leur propre sol.
00:08 - Qu'est-ce que vous en savez, aujourd'hui, qu'ils ont été tués parce qu'ils sont français ?
00:11 - Je vous prends le pari, je vous prends le pari, mais peut-être que je me trompe,
00:15 que les suspects, en l'occurrence, auront des noms avec la notation d'Agrébine,
00:19 auront des noms avec la notation Africaine, issues de l'immigration.
00:22 - Alors, est-ce que vous le savez ?
00:23 - Je vous prends le pari, voilà, qui sont issues de l'immigration.
00:30 - Pardon, vous êtes un responsable politique, votre parole, elle a de la valeur, votre parole, elle doit être crédible.
00:38 Vous pouvez pas faire des suppositions, vous êtes pas enquêteur, vous êtes pas juge.
00:42 - Exactement, je ne suis pas juge, donc c'est pas moi justement qui a qualifié juridiquement ce qui s'est passé,
00:45 c'est pour ça que quand j'emploie le mot racaille ou barbare, ce sont des propos politiques,
00:49 et que ce que je viens de faire, c'est un pari.
00:50 Mais je pense, et je pense ne pas me tromper, comme dans d'innombrables affaires, de ne pas me tromper.
00:55 - Je reprécise juste ce que l'on sait, c'est que parmi les profils, effectivement,
00:59 c'est des personnes très jeunes, et il y en a effectivement qui sont français,
01:03 et certains très connus de la justice, mais c'est certains profils, ça ne va pas définir les gens.
01:06 - Bien sûr, mais je ne vous ai pas dit qu'ils n'étaient pas français de papier,
01:08 premièrement, et deuxièmement, je vais aller un petit peu plus loin.
01:10 Ce qui s'est passé là, vous avez raison, j'ai entendu sur votre plateau, Mme Attalaya hier,
01:13 ou d'autres de vos consoeurs, expliquer qu'en réalité, ça a toujours eu lieu.
01:16 Ce n'est pas exactement vrai, mais ce qui est vrai, c'est que sur notre sol, il y a déjà eu des événements comme ça.
01:20 À Marpoussy, par exemple, lors d'une fête de famille, oui, une quinzaine de racailles et de barbares sont venus interrompre la fête.
01:25 Il y a eu un mariage, il n'y a pas si longtemps que ça, où la mariée s'est fait attaquer la gorge
01:30 par un Algérien qui n'était pas en situation prédulère sur notre sol.
01:32 - Fanny Sastrigo, pour l'instant, moi j'en reviens à cette affaire.
01:34 - C'est terrifiant, mais ça ne vous terrifie pas ?
01:36 - Cette affaire, les faits, les faits, ils sont importants.
01:38 - Parce que les faits, ils ne sont pas importants pour les familles des victimes.
01:40 - Mais 100%.
01:41 - Est-ce que la famille de Thomas, la famille des blessés, n'a pas le droit à la vérité, à une parole de vérité ?
01:47 Est-ce que ce n'est pas votre responsabilité à vous ?
01:49 Parce que là, vous me dites, je fais un pari.
01:51 Vous avez le droit de faire un pari avec un tel drame en tant que responsable politique ?
01:55 - Madame, le mot pari, ce n'est pas un pari, on ne parle pas de la FDJ.
01:57 - C'est vous qui avez employé le mot pari.
01:59 - Non, je ne parle pas ça au sens de la FDJ, pardon.
02:01 - Je parle de la FDJ, je parle de la FDJ, je parle de la FDJ, je parle de la FDJ.
02:08 - Mais je ne dis pas...

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