#IndianaJones #SeanConnery #HarrisonFord #Aventures
Le retour triomphal d'Indiana Jones et son père
Ce soir sur W9, les aventures du super archéologue se poursuivent en famille ! Avec Sean Connery dans le rôle du papa d’Indiana Jones, Steven Spielberg nous offre un face-à–face royal et signe le meilleur épisode de la saga.
Un troisième volet riche en émotions
Il s’en est pourtant fallu de peu que l’intrépide Indiana Jones ne remise définitivement son fouet et son chapeau au rayon des accessoires, à l’issue de son deuxième tour de piste, Indiana Jones et le Temple maudit. Mécontent du résultat et touché par la déception des fans, Steven Spielberg n’était guère enclin à imaginer une suite aux tribulations de son archéologue. « J’ai fait ce troisième Indiana Jones parce que je l’avais promis à George (Lucas, cocréateur de la saga, ndlr), mais surtout pour m’excuser auprès du public du deuxième volet que je n’ai pas trouvé bon. Je n’y avais pas mis assez de sentiments. » Outre un solide scénario autour de la quête du Graal, avec nazis en embuscade, l’entrée en scène de Sean Connery dans la peau de papa Jones représente l’arme de séduction massive de ce troisième volet. Car en plus de ferrailler contre les sbires d’Hitler, l’aventurier doit affronter un adversaire bien plus redoutable : son père, le professeur Henry Jones. Autoritaire et cassant, le docte universitaire n’a jamais cessé de le rabaisser. Notamment en lui donnant du Junior à chaque phrase. Une trouvaille du comédien.
Un duo d'acteurs exceptionnel
À ma droite, Harrison Ford, alias Indy, blouson de cuir, chapeau mou, fouet à la ceinture et toujours prompt à jouer des poings. À ma gauche, dans un strict trois-pièces de tweed, lunettes d’érudit, noeud papillon, couvre-chef en feutre, l’éminent Henry Jones, campé par Sean Connery, a tout du Britannique à parapluie. C’est par le verbe que ce gentleman rieur porte l’estoc. La fougue du premier n’ayant jamais fait allégeance à la morgue du second, et vice versa, la vie chez les Jones n’a rien du long fleuve tranquille. Tant mieux pour nous, les joutes familiales de ces deux poids lourds du box-office comptent d’ailleurs beaucoup plus ici que la quête du Graal. Les retrouvailles d’un père et d’un fi ls qui s’aiment mais ne savent pas l’exprimer touchent forcément davantage le public.
Une alchimie à l'écran et en dehors
Alors, quand l’iconique James Bond rencontre le cultissime Indiana Jones, soit un « face-à-face royal », selon Spielberg, le spect
Le retour triomphal d'Indiana Jones et son père
Ce soir sur W9, les aventures du super archéologue se poursuivent en famille ! Avec Sean Connery dans le rôle du papa d’Indiana Jones, Steven Spielberg nous offre un face-à–face royal et signe le meilleur épisode de la saga.
Un troisième volet riche en émotions
Il s’en est pourtant fallu de peu que l’intrépide Indiana Jones ne remise définitivement son fouet et son chapeau au rayon des accessoires, à l’issue de son deuxième tour de piste, Indiana Jones et le Temple maudit. Mécontent du résultat et touché par la déception des fans, Steven Spielberg n’était guère enclin à imaginer une suite aux tribulations de son archéologue. « J’ai fait ce troisième Indiana Jones parce que je l’avais promis à George (Lucas, cocréateur de la saga, ndlr), mais surtout pour m’excuser auprès du public du deuxième volet que je n’ai pas trouvé bon. Je n’y avais pas mis assez de sentiments. » Outre un solide scénario autour de la quête du Graal, avec nazis en embuscade, l’entrée en scène de Sean Connery dans la peau de papa Jones représente l’arme de séduction massive de ce troisième volet. Car en plus de ferrailler contre les sbires d’Hitler, l’aventurier doit affronter un adversaire bien plus redoutable : son père, le professeur Henry Jones. Autoritaire et cassant, le docte universitaire n’a jamais cessé de le rabaisser. Notamment en lui donnant du Junior à chaque phrase. Une trouvaille du comédien.
Un duo d'acteurs exceptionnel
À ma droite, Harrison Ford, alias Indy, blouson de cuir, chapeau mou, fouet à la ceinture et toujours prompt à jouer des poings. À ma gauche, dans un strict trois-pièces de tweed, lunettes d’érudit, noeud papillon, couvre-chef en feutre, l’éminent Henry Jones, campé par Sean Connery, a tout du Britannique à parapluie. C’est par le verbe que ce gentleman rieur porte l’estoc. La fougue du premier n’ayant jamais fait allégeance à la morgue du second, et vice versa, la vie chez les Jones n’a rien du long fleuve tranquille. Tant mieux pour nous, les joutes familiales de ces deux poids lourds du box-office comptent d’ailleurs beaucoup plus ici que la quête du Graal. Les retrouvailles d’un père et d’un fi ls qui s’aiment mais ne savent pas l’exprimer touchent forcément davantage le public.
Une alchimie à l'écran et en dehors
Alors, quand l’iconique James Bond rencontre le cultissime Indiana Jones, soit un « face-à-face royal », selon Spielberg, le spect
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00:00 Ce soir sur W9, les aventures du super archéologue se poursuivent en famille,
00:04 avec Sean Kenogi dans le rôle du papa d'Indiana Jones.
00:07 Steven Spielberg nous offre un face-à-face royal et signe le meilleur épisode de la saga.
00:12 Il s'en est pourtant fallu de peu que l'intrépide Indiana Jones ne remise définitivement son fouet.
00:17 Et son chapeau rayant des accessoires à l'issue de son deuxième tour de piste.
00:21 Indiana Jones et le temple maudit, mais content du résultat et touché par la déception des femmes.
00:26 Steven Spielberg n'était guère enclin à imaginer une suite aux tribulations de son archéologue.
00:32 « J'ai fait ce troisième Indiana Jones parce que je l'avais promis à George Lucas, co-créateur de la saga NDLR.
00:38 Mais surtout pour m'excuser auprès du public du deuxième volet que je n'ai pas trouvé bon.
00:42 Je n'y avais pas mis assez de sentiments. »
00:44 Outre un solide scénario autour de la quête du Graal avec Nessie en embuscade.
00:48 L'entrée en scène de Sean Kenogi dans la peau de papa Jones représente l'arme de séduction.
00:53 Massif de ce troisième volet, car on ne peut plus de ferrailler contre les sbires d'Hitler.
00:58 L'aventurier doit affronter un adversaire bien plus redoutable, son père.
01:02 Le professeur N.J. Jones, autoritaire et cassant, le docte universitaire n'a jamais cessé de le rabaisser.
01:08 Notamment en lui donnant du junior à chaque phrase.
01:10 Une trouvaille du comédien.
01:12 « À ma droite, Harrison Ford, alias Indy, blouson de cuir, chapeau mou.
01:16 Fouet à la ceinture et toujours prompt à jouer des points.
01:19 À ma gauche, dans un strict trois pièces de tuyde, lunettes d'érudit, noeud papillon.
01:24 Couvre-chef en feutre, l'éminent Renzi jaune, campé par Sean Kenogi.
01:28 À tout du britannique à parapluie, c'est par le verbe que ce gentement rayeur porte les stocks.
01:32 La foule du premier n'ayant jamais fait allégeance à la mort du second, et vice-versa.
01:37 La vie chez les jaunes n'a rien du long fleuve tranquille, tant mieux pour nous.
01:41 Les joutes familiales de ces deux poids lourds du box-office comptent d'ailleurs beaucoup plus ici
01:46 que la quête du Graal. Les retrouvailles d'un père et d'un fille LS qui s'en mêlent ne savent pas l'exprimer touche
01:52 forcément davantage le public. Alors, quand l'iconique et Ingos Bon rencontrent le cultissime Indiana Jones,
01:58 soit un face-à-face royal, selon Spielberg, le spectateur applaudit.
02:02 À l'écran, l'alchimie entre les deux stars est évidente, leur jubilation contagieuse.
02:06 Dans le feu de l'action, en pleine scène de dispute, Sean Kenogi gifle même son partenaire.
02:11 Les temps d'Harrison transparaissent à l'écran. Vive l'impro !
02:14 Hors champ, aucune guerre d'égo. Harrison avait l'habitude de régner sur le plateau, c'était toujours lui le plus drôle.
02:20 L'acteur le plus fort. Tout d'un coup, il avait de la concurrence, se souvient le réalisateur.
02:25 Les voir ensemble, c'était comme voir Laurel et Raddy.
02:28 J'avais l'impression d'avoir en face de moi un duo comique. L'acteur et que c'est ne dément pas, j'avais décidé de m'amuser avec ce rôle.
02:35 En fait, je suis beaucoup plus jeune que je n'ai l'air dans le film. J'aurais même pu jouer le rôle de la sœur d'Indiana Jones.
02:40 Harrison Ford confirme, travailler avec Sean a bien été aussi plaisant qu'il paraît.
02:45 L'écran. Je craignais qu'il ne soit trop jeune pour le rôle, il n'a que 12 ans de plus que moi.
02:50 Pas une seconde la crédibilité de leur relation père-fils m'est mise en doute.
02:54 Les deux acteurs auront formé un tandem magnifique, l'un des plus réjouissants du 7ème art.
02:59 Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
03:01 N'oubliez pas que je lis maintenant tous vos commentaires.
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