Huit mois avant les JO 2024 à Paris, le chef du village olympique Charles Guilloy travaille d'arrache-pied à la confection des menus qui seront servis à quelque 15.000 athlètes aux origines, goûts et besoins nutritionnels très variés, et sent monter "la pression" face à l'ampleur de la tâche.
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00:00 15 000 athlètes, 40 000 repas à jour,
00:03 tout ça pour 200 sites d'élégation.
00:05 C'est un vrai challenge culinaire,
00:08 un vrai défi logistique.
00:12 À l'huile d'olive.
00:16 Et on va ajouter directement les lentilles.
00:25 On va faire nacrer.
00:29 On va faire cuire.
00:31 La lentille, ça consomme 40 fois moins
00:38 à peu près que par exemple un élevage de...
00:42 Donc ce qui est vraiment important,
00:49 c'est de pouvoir couvrir à la fois
00:51 toute cette hétérogénité en termes de discipline,
00:54 mais aussi ces situations différentes
00:56 dans la vie du sportif,
00:58 avant, pendant, après l'épreuve.
01:01 Donc il faut vraiment être très diversifié,
01:04 avoir des plats un peu basiques.
01:06 Des sportifs qui sont plus musclés
01:09 vont avoir besoin d'un peu plus de protéines
01:12 que d'autres disciplines
01:14 où c'est vraiment des petits gabarits.
01:16 Donc à partir du moment où on a un buffet
01:19 et qu'il y a une grande diversité,
01:21 chacun va pouvoir adapter ses apports
01:24 en fonction de ses besoins.
01:26 [bruits de boulangerie]
01:29 [bruits de boulangerie]
01:32 [bruits de boulangerie]
01:36 [bruits de boulangerie]
01:39 Merci.
01:40 Merci.