Du lundi au jeudi, Laurent Ruquier et Julie Hammett vous donnent rendez-vous pour "Le 20H de Ruquier", un rebond et des débats sur les grands thèmes de l'actualité de la journée. Au programme ce jeudi, les confidences de Brigitte Macron dans Paris Match.
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00:00 Valérie Trierbaier, quel est votre regard sur ces six dernières années de Brigitte Macron dans ce rôle de Première dame ?
00:07 Est-ce qu'elle remplit bien son rôle ?
00:09 Moi je trouve plutôt, après je laisserai peut-être Joël, je vais dire à quel point c'est un rôle difficile de toute façon
00:15 pour toutes les Premières dames qui sont passées par là, c'est très difficile, très difficile.
00:19 Quoi qu'elles fassent, toutes, elles sont critiquées.
00:22 Et Brigitte Macron l'est beaucoup.
00:24 Alors que vous avez parlé de son agenda de cette semaine,
00:26 moi j'ai regardé sur le site de l'Elysée son agenda de tout le mois d'octobre.
00:30 Elle n'arrête pas.
00:31 C'est quelqu'un qui n'aime pas rester en place, Brigitte Macron.
00:34 Donc elle fait énormément de déplacements, elle rencontre beaucoup beaucoup de monde,
00:37 parfois de façon éclectique, parce que là on voit qu'elle a rencontré le PDG d'Axa,
00:42 qu'elle a rencontré Gauthier Capuçon sur la musique,
00:46 elle emmène aussi, elle a emmené la Première dame de Mongolie visiter le musée d'Orsay.
00:50 Enfin elle fait des tas de choses, les pièces jaunes,
00:53 puisqu'elle a repris la fondation de Bernard Dijac, lui prend beaucoup de temps.
00:57 Mais elle n'est pas critiquée, pourquoi dites-vous, au contraire,
01:01 elle est plébiscitée, elle n'est pas critiquée, pourquoi dites-vous qu'elle est critiquée ?
01:06 Les deux.
01:06 Sur les réseaux sociaux, elle l'est parfois, mais pas suffisamment sur les réseaux sociaux.
01:11 Mais qui ne l'est pas ?
01:13 Effectivement, moi j'ai regardé les commentaires sous le compte Instagram de Paris Match
01:17 qui annonçait cette couverture,
01:19 et il y a à peu près autant de critiques que de compliments,
01:22 qu'elle est belle, qu'elle est élégante.
01:24 Après, les gens se fichent à peu près de ce qu'elles font,
01:27 ce qui compte c'est l'allure, c'est l'image.
01:30 C'est vrai ça ?
01:30 Oui, c'est l'image.
01:31 Quand même, les causes, la fête caritative.
01:35 Bien sûr, mais Bernard Dijac avait réussi à faire passer sa cause, les pièces jaunes,
01:39 c'est la première à avoir fait vraiment quelque chose.
01:41 Sinon, elle n'était pas Première dame, elle était encore une Première de Paris.
01:45 Elle était encore à l'hôtel de ville,
01:46 mais ça a vraiment pris d'ampleur à l'époque de l'Élysée.
01:50 Voilà, ce n'est pas un privilège de la Première dame, les pièces jaunes.