Retrouvez le replay du deuxième quart-temps du match des Bleues contre l'Irlande du 12/11/2023.
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00:00 Mais là, est-ce que c'est un problème d'énergie défensive ?
00:04 Est-ce que c'est une bonne lecture ?
00:05 Une bonne stratégie peut-être des Irlandaises ?
00:10 Déjà quand vous encaissez 17 points contre l'Irlande,
00:13 forcément vous avez moins de ballon pour développer ce jeu rapide.
00:15 C'est beaucoup plus difficile de développer du jeu rapide
00:17 après un panier encaissé qu'après un rebond ou une interception.
00:20 Donc ça va passer par la défense.
00:21 Et c'est certain que c'est ce que Jean-Yves Métopane a dû dire sur ce temps mort.
00:25 Et puis elles nous ont mis quand même deux paniers hallucinants, les Irlandaises.
00:30 C'est toujours comme ça, vous savez,
00:31 quand il y a une équipe qui n'a rien à perdre,
00:32 qui commence à prendre un peu confiance,
00:34 il y a des paniers venus de nulle part qui tombent dedans.
00:36 Il fallait s'attendre à ça.
00:37 Il faut les respecter.
00:39 Et là, il faut élever son niveau de jeu sur le deuxième carton.
00:42 Allez, avec Marine Photouks, avec les Françaises.
00:50 Hop là, c'est reparti et c'est plutôt bien parti.
00:54 On a essayé d'écouter aussi ce qu'on disait du côté irlandais.
00:56 Chloé, vous avez jeté une oreille.
00:58 Est-ce qu'il y a des éléments ?
01:01 Et voilà, les fameux ballons avec Berniace qui va pouvoir relancer.
01:05 C'est de ça dont il faut se nourrir.
01:07 Et là, c'est bien Kadia Tussisoko qui ne se pose pas de questions.
01:11 Qui avait fait une entrée en jeu un peu timide pour sa première sélection,
01:14 mais c'est normal aussi.
01:15 Et qui a une carte à jouer aujourd'hui en l'absence de Marie-Paul Fopossi,
01:18 qui doit se montrer, qui doit montrer de belles choses.
01:20 Et là, c'est bien son agressivité sur contre-attaque.
01:24 Les Irlandaises qui ont parlé de rebond sur leur rassemblement,
01:28 le coach qui a insisté sur l'agressivité, il leur a dit de continuer à les attaquer.
01:35 Et qui a également dit de faire attention à la numéro 4 quand elle allait rentrer en jeu.
01:40 La numéro 4, il s'agit de Marine Photouks.
01:43 Il a dit que c'était elle le danger principal.
01:45 C'est vrai qu'il n'y a qu'elle pour l'instant qui a trouvé la mire à longue distance,
01:49 mais du côté de l'équipe de France, il y a quand même pas mal de joueuses
01:51 qui peuvent aussi apporter le danger.
01:52 Et c'est ce qu'on espère voir.
01:56 On vient de voir un cadillac tout s'y secoue.
01:59 Les premiers points.
02:01 C'est incroyable.
02:06 Allez, défendre fort, attention à communiquer.
02:16 Et encore une fois, mais c'est incroyable.
02:19 Incroyable la réussite de Jessica Scannell aussi à 3 points.
02:24 C'est le troisième shoot à 3 points.
02:26 Et puis alors, ce n'est pas des petits 3 points.
02:27 Ils sont loin les 3 points.
02:29 Ce n'est pas au bord de ligne.
02:30 C'est 3 mètres derrière la ligne par moment.
02:33 Elle est redoutable.
02:35 La joueuse Jessica Scannell qui évolue en Australie, on le disait, en deuxième division.
02:40 En plus d'Australie, qui fait partie des meilleures joueuses.
02:44 Et on rappelle l'Irlande à qui il manque que 2 joueuses majeures.
02:47 2 joueuses sur 5 qui manquent.
02:50 C'est une équipe amoindrie d'Irlande qui est en train de tenir tête à l'équipe de France.
02:54 C'est incroyable.
02:56 On ne s'est pas trop compris sur la communication.
02:57 Alors que là, c'était une bonne passe, mais c'était forcément trop tard.
03:01 On va au bout de la possession.
03:02 On est en difficulté en attaque.
03:05 Et là, on voit Romane Berniès et Kadhi Sissoko qui retournent sur la même joueuse.
03:09 Alors que, bon, règle numéro 1, ne jamais lâcher la joueuse qui a la balle.
03:13 Et encore moins si c'est une shooteuse comme Jessica Scannell.
03:17 Aïe, aïe, aïe, quelle histoire.
03:19 On n'arrive pas à savoir si c'est l'Irlande qui joue très bien ou la France aussi qui ne joue pas bien.
03:33 Vous allez me dire un petit peu des deux, évidemment.
03:35 C'est souvent le cas, oui.
03:37 Allez, encore et encore.
03:39 Non, cette fois, quand même, c'est un peu sur l'arrière du panier.
03:40 Mais elles ont le rebond. Elles ont le rebond.
03:42 Les deuxièmes chances. Hop là, cette fois, ça ne sera pas dedans.
03:45 Là, on s'en sort très, très bien quand même parce qu'on était vraiment attentif sur ce rebond.
03:51 Allez, voilà, enfin, un peu d'adresse.
03:53 Leïla Lacan, c'était bien joué.
03:56 Le ballon qui a bien circulé.
03:57 Un peu de défense, voilà.
03:59 Ah oui, mais tout est compliqué.
04:02 Tout est compliqué pour se relancer pour cette équipe de France.
04:05 Décidément que c'est dur.
04:10 On rappelle dans cette qualification pour l'Euro, il y a six matchs au programme,
04:14 répartis sur trois fenêtres.
04:17 Prochaine en novembre 2024 et février 2025,
04:22 notamment les matchs pour Israël qui ont été reportés pour des raisons de sécurité
04:26 puisque la France est dans le groupe avec Israël.
04:29 Mais voilà, c'est assez serré.
04:31 Il faudra aller vite.
04:35 Et encore, ils se font emmener.
04:40 Allez, les Françaises qui sont toujours devant, mais seulement 24-20.
04:43 Marine Fautoux qui réussit à trouver.
04:45 Voilà la belle connexion encore avec Maya Hirsch.
04:48 Ah ça, ça va faire du bien.
04:49 Ça donne un petit peu d'oxygène pour l'équipe de France.
04:52 Voilà, shoot relâché, tranquille pour Maya Hirsch.
04:54 C'est dedans.
04:55 Ça, c'est son jeu d'arriver en trailer, de prendre son tir en tête de raquette.
04:59 Elle est à droite. C'est une grande qui peut tirer, Maya Hirsch.
05:03 Et ce tir à trois points fait le plus grand bien à l'équipe de France.
05:06 Et elle aussi, elle avait été draftée en WNBA et puis opérée du pied.
05:11 Est-ce qu'on va avoir le droit à un petit micro du côté de Jean-Yves Etouban ?
05:21 On a bien entendu les consignes.
05:22 On voit Catherine Belain également qui est en train de parler aux joueuses.
05:26 Et on va faire deux côtés.
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08:51 Voilà.
08:52 Non mais parce que j'aime faire la promotion du basket 3-3
08:54 qu'on diffuse aussi sur la chaîne équipe
08:55 et qui est un sport olympique maintenant.
08:58 Très spectaculaire.
09:00 Une discipline dans laquelle les joueuses peuvent se développer
09:03 et développer beaucoup de qualités.
09:05 Ça a été le cas de Mignatouret.
09:06 Voilà, Mignatouret, elle sait tout faire.
09:08 Mais c'est aussi ça le 3-3.
09:09 Voilà, ça vous apprend à tout faire.
09:11 Marine Foueteaux aussi, elle sait tout faire.
09:13 Ça c'est clair et net.
09:14 Ça c'est bien aussi.
09:16 Le rebond offensif derrière de Marie-Lèche.
09:17 Même si on perd le ballon.
09:19 Elle le perdit encore.
09:20 Mais il y a 11 points d'avance maintenant pour l'équipe de France
09:23 qui est en train de creuser l'écart.
09:24 Ça va mieux dans ce deuxième quartan.
09:26 Ça va mieux parce qu'il y a aussi des échecs du côté irlandais.
09:29 Puis parce que l'équipe de France a mis les ingrédients qu'il fallait là.
09:31 C'est un petit peu mieux lors des possessions.
09:34 Et voilà, encore une interception.
09:38 Et cette fois, elle est régulière cette interception.
09:40 Et tranquillement, voilà.
09:42 Le jeu de l'équipe de France et Mignatouret qui se régale.
09:48 Une attaque précieuse des deux côtés du terrain.
09:50 On l'a dit, l'école 3-3.
09:53 Imaginez l'histoire de Mignatouret
09:59 qui pourrait jouer les Jeux Olympiques évidemment avec l'équipe de France.
10:02 Qui a joué les Jeux Olympiques à Tokyo avec le basket à 3.
10:04 Qui pourrait avoir fait l'équipe de France à 3, 4ème place au Jio de Tokyo.
10:11 Et à Paris, porter le maillot de l'équipe de France à 5.
10:16 On l'espère, elle a clé une médaille cette fois.
10:18 Une médaille, oui, une médaille.
10:20 C'est vrai que les filles de l'équipe de France 3-3 ont encore en travers de la gorge ce résultat à Tokyo.
10:26 Pour l'instant, Mignatouret est à 8 points.
10:30 Ce n'est pas la meilleure marqueuse, puisqu'elle est la meilleure.
10:34 C'est Jessica Scanal évidemment avec ses trois paniers à 3 points.
10:37 Et elle n'en est pas loin aussi.
10:41 Claire Mélihan, 7 points, 8 points maintenant.
10:44 On a identifié en tout cas les deux joueuses qui prennent les points du côté irlandais.
10:50 C'est Scanal et Mélihan qu'il va falloir maîtriser.
10:53 La faute est sifflée.
11:07 La faute offensive de Janelle Salin sur la prise de position.
11:10 Elle est un peu sévère.
11:12 C'est un peu dur pour Janelle Salin.
11:14 On a décidé de jouer l'écran avec Janelle Salin qui est ici et qui joue poste 4.
11:19 Plutôt qu'avec Iliana Rupert.
11:22 La famille Salin, l'honneur sur la chaîne équipe.
11:25 Avec le petit frère Tidjane qui montre de très belles choses avec Chollet depuis le début de la saison.
11:30 On vous rappelle évidemment, vous l'avez vu, la Betlic tous les dimanche soir c'est également sur la chaîne équipe.
11:37 Les grandes affiches du championnat.
11:41 Iliana tenir son duel.
11:43 Elle fait tout, elle prend tous les rebonds et elle redistribue.
11:47 Le ballon lui revient.
11:48 Elle ne va pas tenir tout le match parce qu'elle joue beaucoup aussi Claire Mélihan.
11:51 Elle ne pourra pas faire tout le match.
11:53 Comme vous l'avez dit, il y a aussi le banc qui fera la différence pour l'équipe de France.
11:57 Mais c'est vrai que Claire Mélihan franchement, quelle joueuse.
12:00 Parce qu'elle tient cette équipe à bout de bras.
12:02 Elle fait vraiment tout.
12:03 Elle shoot, elle prend les rebonds, elle fait les passes.
12:06 Les Irlandaises qui sont déjà à 7 rebonds offensifs, c'est beaucoup trop.
12:11 Elle est miniaturée.
12:12 Maïa Hirsch.
12:13 C'était pour...
12:15 C'était Iliana Rupert.
12:16 Iliana Rupert.
12:17 Sur le même genre de mouvement que Maïa Hirsch tout à l'heure.
12:20 Réception, elle se resitue bien.
12:22 Elle arrive à scorer.
12:25 Attention, attention.
12:28 Opposition des Irlandaises.
12:31 Voilà, shoot un peu plus compliqué.
12:33 Et voilà, tout de suite, remettre du rythme.
12:37 Elles se replient très rapidement les Irlandaises.
12:40 Beaucoup plus rapidement que les tonnes, par exemple, jeudi soir.
12:43 Elles anticipent aussi beaucoup les prises à deux.
12:46 Parce qu'on essaie de trouver les intérieurs à chaque fois en première intention.
12:49 Et il y a tout de suite quelqu'un qui vient quasiment avant que la passe arrive à l'intérieur.
12:53 Et ça du coup, c'est quelque chose aussi que les petites doivent anticiper.
12:56 Parfois faire une fin de passe à l'intérieur et ressortir à l'extérieur.
13:04 Parce que parfois, c'est envoyer des cadeaux empoisonnés à l'intérieur
13:07 quand on reçoit la balle et qu'on a déjà deux joueuses autour de soi.
13:10 Voilà, ça y est, trois points qui viennent rentrer.
13:13 Elle avait peut-être le pied dedans, je crois.
13:16 Peu importe, tir extérieur.
13:18 Pour la confiance, ça fait du bien.
13:20 Elle qui fait partie de cette génération de 22 ans.
13:24 C'est la génération avec Iliana Rupert, avec Marine Fotouks, évidemment.
13:28 La génération 2001.
13:29 Exactement, mais qui a mis plus de temps.
13:31 Elle a eu un parcours, d'ailleurs, elle l'expliquait.
13:33 Elle a dû travailler pour atteindre ses objectifs.
13:35 Elle a eu un parcours plus compliqué que les deux autres, on va dire,
13:38 pour arriver maintenant au même niveau.
13:41 C'est un coup tard.
13:42 Tard, une fois ou deux fois.
13:44 Il y a de la pression à l'avant-cours.
13:47 On est presque à 14 secondes, d'ailleurs.
13:50 Mais on peut le faire à 14, il n'y a pas besoin d'être à la fin du jacquard.
13:54 Offensivement, non.
13:57 Ils sont en train de faire un grand tir sur la ligne de free throw, tout de suite.
14:02 Le shrink doit être plus rapide en arrivant de l'autre côté.
14:05 Il doit être plus rapide et il doit y avoir des contacts.
14:08 Elle doit le cacher, et il faut qu'elle se déplace un peu.
14:11 Allons-y !
14:13 1, 2, 3.
14:16 Le coach a parlé de cette défense sur les intérieurs.
14:19 Il a demandé à la fille qui venait du côté faible, du côté où il n'y avait pas le ballon,
14:23 de venir assez tôt et de rentrer vraiment dans la joueuse quasiment quand elle reçoit le ballon.
14:29 On parlait de cette dureté des Irlandaises.
14:32 C'est clairement la consigne.
14:34 Un drôle de match ce soir sur la chaîne équipe avec cette équipe d'Irlande,
14:40 peu identifiée, 80ème nation mondiale.
14:43 Face à notre équipe de France.
14:45 Et pour l'instant, il y a match.
14:47 Il y a match parce que, on parlait d'un match piège,
14:50 on parle de l'engagement physique mis par les Irlandaises.
14:54 Et puis leur adresse aussi, époustouflante par moments.
14:56 Il y a des bonnes joueuses.
14:57 Elles réalisent un très grand match maintenant.
14:59 Elles auront certainement du mal à tenir.
15:01 Et les Françaises sont quand même devant.
15:03 37-21, on sent dans le deuxième quart déjà que c'est un peu mieux.
15:06 Là, il y a Lacan, très active en défense.
15:08 Ça va mieux pour l'équipe de France.
15:12 C'est vrai qu'on sent quand même qu'en dehors de ces 2-3 joueuses
15:15 qui ont l'habitude du haut niveau,
15:17 quand il y a des changements, quand il y a des filles qui rentrent,
15:19 c'est quand même beaucoup plus faible.
15:21 On passe un petit coucou à François Gomez.
15:29 Vous en parliez tout à l'heure, que vous connaissez bien.
15:32 Oui, François, qui aurait préféré voir cette Arbès en bonne santé sur le terrain, c'est sûr.
15:36 Parce qu'il manque Dominique Malonga, qu'on avait très envie de voir.
15:39 Dominique Malonga avec Carla Lett et Marie-Paul Fauxpossy.
15:43 C'est des jeunes joueuses qui passent dans les mains de ce coach référencé
15:48 pour justement modeler, façonner ces jeunes joueuses.
15:51 Après, elle est portée à haut niveau.
15:53 Marine Fautoux qui vient d'inscrire un panier,
15:55 qui avait commencé sa carrière professionnelle du côté de Tarbes aussi,
15:58 qui a eu des responsabilités avec François.
16:01 Là, il y a Lacan.
16:04 Des jeunes joueuses, justement, on en parlait.
16:07 Là, il y a Lacan. Bien joué.
16:09 Ça c'est bien joué. Allez, le bon décalage. Ah, dommage.
16:12 Marine Fautoux, que cette fois, ce n'est pas né dans.
16:15 Ça lui arrive aussi d'en rater quand même.
16:17 Elle qui, vous parliez de son parcours,
16:19 qui est passé par Lasvelle, qui a été prêtée ensuite à Basquetland,
16:23 où elle a rayonné.
16:24 Elle a été aussi à côté de Céline Dumerck, notamment à Basquetland.
16:28 Et là, elle est de retour à Lasvelle, pour un début de saison très compliqué, on l'a dit.
16:32 Pour Lasvelle, qui va retrouver les forces vives,
16:35 parce qu'il y a beaucoup d'absentes à Lasvelle.
16:37 Et Marine Fautoux avait déjà des responsabilités à Lasvelle,
16:39 mais c'était très difficile, ce début de saison.
16:41 Ça devrait aller mieux dans les semaines qui viennent.
16:44 Et on sent qu'elle s'éclate avec l'équipe de France, en tout cas.
16:47 Je pense qu'elle est contente aussi de ne pas devoir jouer 40 minutes, ou presque.
16:51 Ça doit lui changer un petit peu.
16:53 C'est vrai qu'on a hâte aussi de voir ce que cette équipe de Lasvelle,
17:00 au complet, va faire cette saison.
17:01 C'est difficile de juger leur début de saison.
17:03 Tant elles ont eu d'absentes, et tant leur équipe n'a pas été ce qu'elle devait être.
17:07 C'est bien aussi, Maïm Nouraï.
17:09 Oh oui, que c'est bien ! Magnifique !
17:11 Elle est dans son match, Amélia Touré, en tout cas.
17:14 Elle va faire un très très gros match pour l'instant.
17:16 Elle venait de rater le tir précédent.
17:19 Elle n'a pas perdu confiance, le système sur la touche fond, qui est très bien exécuté.
17:23 Attention ici sur ce jeu à deux.
17:27 Elle est toujours là.
17:30 Elle est toujours là, Claire Méliha.
17:33 Qui joue à Kélester.
17:34 On vous invite à voir la salle de Kélester et jouer à Kélester.
17:39 Chloé, vous verrez, vous êtes bien nantie au stade français.
17:42 Oui, je ne suis pas sûre de vouloir aller là.
17:45 Allez, défendre fort, continuer.
17:53 Surtout, ne pas baisser d'intensité.
17:55 Ah, belle défense.
17:57 Voilà, Des Bleus qui jouent en blanc.
18:00 Des Bleus qui jouent en blanc ce soir.
18:02 Sarah Michel-Bourri, qui est un peu plus en difficulté.
18:11 On l'a vu face à la Lettonie en termes d'adresse.
18:14 La Lacan.
18:19 La faute.
18:20 Après, Sarah, l'adresse, ça va, ça vient.
18:23 Mais ce qui est sûr avec elle, c'est qu'elle va remplir toutes les colonnes de la feuille de stats.
18:27 Et que rien que sa présence pour le groupe, et surtout pour un jeune groupe, rien que sa présence, c'est quelque chose de très rassurant.
18:34 34 ans, 131 sélections et 591 points en bleu pour Bulette.
18:40 C'est vous dire ce que ça pèse.
18:42 Et sa prise de parole, parce qu'on la voit aussi parler beaucoup, notamment au temps mort, on l'a vu.
18:48 Sa prise de parole est importante, évidemment.
18:50 Des raisons sur...
18:53 Sa prise de parole, c'est quelqu'un qui montre par l'exemple, comme on dit aussi.
18:57 Une joueuse qui, des deux côtés du terrain, va toujours se donner à fond.
19:02 Imaginez, elle a fait ses premières paroles en Ligue féminine à 15 ans.
19:06 15 ans et 9 mois.
19:08 Elle peut en parler de la jeunesse, elle peut parler aux jeunes.
19:10 C'est ce qu'il en est.
19:12 D'attaquer une carrière très jeune.
19:15 Et puis elle a été formée à Valenciennes, aux côtés d'anciennes très grandes internationales.
19:22 Voilà, le club de Valenciennes qui a longtemps été l'un des meilleurs clubs en Europe.
19:26 Oh Marine Fautoux, la voleuse de ballon là.
19:28 Elle avait envie d'aller le prendre ce ballon.
19:30 Elle est allée se le chercher, Marine Fautoux, ce ballon.
19:33 Oh que ça va mieux pour les bleus. 46-23.
19:35 Voilà un score qui est plus conforme.
19:37 On a eu un petit peu peur lors du premier quart, mais là ça va mieux pour les bleus.
19:40 Tiens, voilà. Sarah-Michel Boury.
19:42 Et tout de suite, voyez l'expérience que c'est.
19:45 La gestion aussi.
19:46 On va aller au bout de cette mi-temps.
19:49 Et on y va au bout.
19:51 Oh oui, ça sera le non plus.
19:54 Et on y va au bout avec Mignacouet.
19:56 Incroyable, 49-23 pour l'équipe de France qui aura fait un énorme deuxième carton.
20:03 Carton plein pour l'équipe de France qui s'offre normalement une belle deuxième mi-temps.
20:08 Très bien joué.
20:09 [Bruit de la foule]