• il y a 2 ans
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Transcription
00:00 de ratio de buts marqués par nos attaquants.
00:04 Mais j'ai envie de dire qu'en équipe nationale, nous on a souvent marqué des buts.
00:08 Il n'y a pas seulement un attaquant type qui marque des buts.
00:11 Et si vous regardez depuis des années et des années, ça faisait longtemps quand même
00:15 qu'un attaquant numéro 9 marque plus de 20 buts ou bien 30 buts au Sénégal.
00:21 Je crois que le dernier qui avait marqué plus de 20 buts c'était Sadio Mane.
00:24 Et on est bien d'accord que Sadio Mane n'était pas un attaquant et c'était une exception.
00:28 Mais comme je l'ai dit, en équipe nationale sur nos matchs, on n'a pas un buteur attitré,
00:36 celui qui va nous marquer, si vous voulez, tous les rencontres qui vont nous marquer des buts.
00:40 On n'a pas ce but là, on est capable de marquer derrière, on est capable au milieu de marquer,
00:45 on est capable sur les côtés aussi de marquer.
00:47 Donc en gros, je ne m'inquiète pas trop de ce manque d'efficacité.
00:52 Maintenant, il faut qu'on continue à travailler.
00:54 Parce que marquer des buts, c'est aussi une question de confiance.
00:58 Merci.
00:59 Au suivant, madame.
01:02 Bonjour à tous. Bonjour coach.
01:16 J'ai une question par rapport au match contre le Soudan.
01:21 Le Soudan va se jouer à huis clos.
01:25 Une première pour le Sénégal qui va jouer au Stade Diamnago.
01:30 Et puis pour le cinquième match de Sadio Mane apparemment.
01:35 Comment comptez-vous peut-être jouer ce match-là sans public pour motiver les joueurs ?
01:44 Merci.
01:45 Merci Marème.
01:46 Difficile, on n'arrive pas à les digérer ce huis clos.
01:52 Je crois qu'en termes d'éducation, en termes de fair play, le Sénégal a toujours été un exemple.
02:00 Durant la Coupe du Monde en 2018, je crois que le Sénégal avait gagné même le fair play des meilleurs supporters.
02:08 À la Cannes 2022, on a montré à quel point nos supporters sont disciplinés et qu'ils sont collés à leur équipe nationale.
02:17 On peut être malheureux de cette situation parce qu'on est chez nous.
02:21 On a besoin de notre public. On a besoin de nos supporters à côté de nous.
02:25 Les priver de venir voir leur équipe nationale, moi je trouve que c'est tout simplement inadmissible et ce n'est pas normal.
02:31 Et j'espère que c'est ça la dernière fois.
02:33 Je pense qu'on est un exemple sur le terrain.
02:36 Quand on regarde en 2019, même si on avait perdu la finale, notre équipe a gagné la Coupe du Fair Play.
02:42 Je pense qu'on n'en parle pas beaucoup, mais c'est important pour dire la discipline qu'il y a dans cette équipe-là,
02:47 notre discipline en tant qu'au Sénégalais.
02:49 On l'a gagné en 2022 la Coupe d'Afrique, mais on a gagné aussi cette Coupe du Fair Play.
02:53 Donc ça veut dire qu'on a une équipe où des joueurs, des supporters, qui sont aujourd'hui un exemple sur le continent africain.
02:59 Et de voir se passer ces supporters-là sur un match aussi important que les éliminatoires de la Coupe du Monde,
03:05 ça ne nous va pas, ça nous rend triste.
03:08 Mais partout où ils seront, ils peuvent savoir qu'on jouera pour eux.
03:12 Et comme l'adage le dit, loin des yeux et plein du cœur, on sera avec eux. On jouera pour eux.
03:17 Je n'ai pas vérifié, honnêtement, je ne peux pas vous dire que c'est son 100e match.
03:25 Je pense que c'est vous. Mais si effectivement c'est son 100e match, on ne peut que le féliciter.
03:29 Parce que porter les couleurs de son pays durant 100 matchs, je pense que c'est vraiment une performance et peu l'ont fait.
03:37 Vraiment féliciter Idrissa qui a eu à le faire.
03:41 Et Sadio, bien sûr, qui le fera bientôt.
03:44 Et j'espère qu'il y en aura d'autres qui le feront aussi.
03:46 Merci.
03:47 Merci.
03:48 Nous avons une nouvelle liste.
03:50 On a un autre troisième.
03:51 Oui, monsieur.
03:52 C'est quel organe ?
03:53 C'est le troisième organe.
03:54 C'est le troisième organe.
03:55 C'est le troisième organe.
03:56 C'est le troisième organe.
03:57 C'est le troisième organe.
03:58 C'est le troisième organe.
03:59 C'est le troisième organe.
04:00 C'est le troisième organe.
04:01 C'est le troisième organe.
04:02 C'est le troisième organe.
04:03 C'est le troisième organe.
04:04 C'est le troisième organe.
04:05 C'est le troisième organe.
04:06 C'est le troisième organe.
04:07 C'est le troisième organe.
04:08 C'est le troisième organe.
04:09 C'est le troisième organe.
04:10 C'est le troisième organe.
04:11 C'est le troisième organe.
04:12 C'est le troisième organe.
04:19 C'est le troisième organe.
04:28 Merci à vous.
04:43 Bonjour coach, bonjour à tout le monde.
04:46 Coach, concernant la liste, on a vu depuis deux publications de listes,
04:53 on a vu un joueur qui est absent et qui était pratiquement dans...
05:03 Comment dire ?
05:04 On a vu un joueur qui était absent à deux listes et qui était dans vos plans,
05:09 si on peut le dire ainsi.
05:11 Il s'agit d'Abdelhandour.
05:12 Est-ce qu'on peut dire que maintenant, ce qu'il a montré ne vous suffit plus ?
05:18 Est-ce que vous avez déjà concocté vos joueurs ?
05:24 Vous savez déjà ce qui vous attend pour les 23 joueurs à amener pour la Cannes ?
05:30 Deuxième question, est-ce qu'on peut revenir sur les deux adversaires pour ces deux matchs-là,
05:36 le Soudan du Sud et le Togo ?
05:38 Est-ce qu'on peut dire que c'est des matchs à doubles enjeux ?
05:43 C'est-à-dire engager des points pour la qualification mondiale
05:48 et aussi préparer davantage ou peaufiner davantage vos stratégies pour la Cannes ?
05:54 Merci.
05:55 C'est les deux.
05:57 Je vais commencer par la deuxième question parce que c'est l'actualité.
06:01 En réalité, c'est deux matchs très importants.
06:04 Se méfier de cette équipe du Soudan, ne pas les prendre à la légère.
06:09 C'est une équipe qui viendra bien sûr ici pour faire un bon résultat,
06:13 c'est-à-dire prendre les trois points.
06:17 C'est à nous, comme on l'a toujours fait, en réalité, quand c'est important,
06:21 et on sait que cette Coupe du Monde-là est très importante et que le Sénégal doit y être,
06:24 il est important de bien aborder en réalité ces éliminatoires comme on l'a toujours fait,
06:29 en essayant d'avoir d'asile, si vous voulez, six points sur ces deux matchs-là.
06:34 Le Soudan du Sud, c'est un adversaire qu'on ne connaît pas très bien.
06:38 En réalité, il vient de changer d'entraîneur aussi.
06:41 Apparemment, c'est l'ancien entraîneur de Madagascar, Dupuy Kisra.
06:45 On va voir ce qu'il va nous apporter.
06:47 Mais c'est un match que nous préparons vraiment avec sérieux,
06:49 d'autant plus que notre dernière rencontre ici contre l'Algérie, on a fini par une défaite.
06:54 Il est important pour nous d'apprendre à gagner chez nous et de remettre les pendules à l'heure.
06:59 Le Togo, on le connaît.
07:01 C'est une équipe qui nous a éliminés en 2006.
07:03 C'est une équipe qui nous empêche d'aller à la Coupe du Monde en 2006.
07:08 J'ai envie de dire qu'aujourd'hui, quand vous allez au Togo, ils ne vous parleront que de ça.
07:12 On vous a éliminés durant le Mondial en 2006 et on est capable encore de le faire.
07:18 C'est une équipe qui a énormément de qualité, avec de très bons joueurs, avec un entraîneur expérimenté.
07:24 Nous allons là-bas en se disant que ça va être un match très compliqué.
07:27 Mais nous avons des arguments à faire valoir et je sais qu'on peut faire aussi un bon résultat là-bas.
07:32 Concernant le garçon Abdallah, il est blessé.
07:35 Mais c'est un garçon que j'ai toujours compté sur lui.
07:39 Aujourd'hui, effectivement, Jacob est là.
07:43 Abdou Diallo est capable de jouer à ce poste-là.
07:46 Mais Balotour est en train d'avancer aussi au niveau de foulard.
07:53 Il est en train d'amagasiner aussi du temps de jeu.
07:56 Comme je l'ai dit, cette équipe-là a énormément de concurrence.
08:00 Rien n'est encore fait, il reste encore deux mois.
08:03 Et je sais très bien qu'entre le mois de novembre, le mois de décembre et le mois de janvier, beaucoup de choses peuvent se passer.
08:08 Abdallah sait que je compte sur lui.
08:10 Mais comme vous le dites, sur ces deux regroupements, il n'y est pas.
08:13 Ça ne veut pas dire qu'il ne sera pas à la canne.
08:15 Ce que je lui souhaite d'abord, c'est qu'il se rétablisse physiquement, qu'il retrouve la santé, parce que c'est la chose la plus importante.
08:21 Merci.
08:22 Au suivant, Sadio K. de ZIC-FM.
08:27 Bonjour coach, c'est Sadio Abibouka du groupe Démédia.
08:31 C'est sûrement votre dernier regroupement avant la Coupe d'Afrique des Nations.
08:35 Vous n'aurez pas assez de temps, malheureusement, pour vous préparer.
08:38 Je t'entends très mal, Sadio.
08:40 Oui, allez.
08:41 Je disais que c'est sûrement votre dernier regroupement avant la Coupe d'Afrique des Nations.
08:47 Vous n'aurez pas assez de temps pour vous préparer.
08:50 Pouvons-nous dire que ça diminue la chance des joueurs qui manquent de temps de jouer au club?
08:55 Contrairement à 2022, il y avait des joueurs qui ne jouaient pas au club, mais avec la longue préparation, pratiquement tous avaient retrouvé leurs sensations.
09:03 J'ai eu du mal un peu à comprendre la question, mais je peux répéter.
09:10 C'est pas encore clair.
09:12 Coach, je disais que c'était sûrement votre dernier regroupement avant la Coupe d'Afrique des Nations.
09:19 Je disais que c'était sûrement votre dernier regroupement avant la Coupe d'Afrique des Nations.
09:21 Non, c'est sûrement votre dernier regroupement, Sadio.
09:23 Vous n'aurez pas assez de temps d'avoir les joueurs, etc.
09:27 D'avoir assez de marchés de préparation.
09:29 Je disais que peut-on dire que ça diminue la chance des joueurs qui manquent de temps de jouer au club?
09:35 Contrairement à 2022, avec la longue préparation, pratiquement tous les joueurs avaient retrouvé leurs sensations.
09:42 C'est-à-dire qu'au niveau des préparations, il y a une très grande différence.
09:45 La question, c'est sur la préparation.
09:47 Je pense que la préparation a commencé, en réalité, Sadio, depuis notre dernier match contre le Benin.
10:01 Dès lors, on s'était qualifiés.
10:03 Le match du Benin nous permettait, si vous voulez, d'être en préparation déjà.
10:06 Vous avez bien vu qu'on avait étoffé le groupe.
10:08 Il y a deux garçons qui étaient venus, d'autres qui étaient sortis.
10:10 En réalité, depuis ce match du Benin jusqu'au match de l'Algérie, jusqu'au Cameroun, on est en préparation.
10:16 Mais comme je l'ai dit, rien n'est encore défini dans cet espace-là.
10:21 Du mois de novembre jusqu'au mois de janvier, beaucoup de choses peuvent se passer.
10:25 Aujourd'hui, effectivement, il y a 26 joueurs qui sont là.
10:28 Mais il n'y a rien qui prouve que ces 26 joueurs-là, tout le monde sera là au mois de janvier.
10:33 L'expérience nous a montré que tout est capable de se passer dans ces périodes-là.
10:37 Donc, ce que nous faisons, nous prions Dieu que nos garçons soient en bonne santé.
10:41 Et que l'ensemble de notre groupe soit en bonne santé.
10:44 Et ça, ça nous permettra vraiment de pouvoir atteindre nos objectifs.
10:48 Mais comme vous le voyez, le football international aujourd'hui, il y a de moins en moins de préparation.
10:53 Comme ça a été il y a quelques années, où vous aviez pratiquement un mois de préparation.
10:58 Vous pouvez changer vos joueurs, vous pouvez avoir le temps de pouvoir vraiment préparer cette compétition-là.
11:04 Donc, en réalité, cette compétition maintenant se prépare dans les éliminatoires.
11:10 Donc, c'est sur ça qu'on a anticipé, si vous avez bien regardé.
11:14 On a joué quand même 3, 4, 5 matchs qui nous ont permis d'avoir un peu plus de certitude sur notre groupe.
11:19 Après, comme je l'ai dit, plus nous allons avancer, effectivement, plus le groupe va se réduire.
11:24 Et que vous-même, vous serez les... Avant même que je publie la liste, vous serez les 26 qui y seront ou les 27 qui y seront.
11:31 Nous prenons le dernier intervenant en français. Il s'agit de Mohamed Ousmane Diop, de Football 221.
11:40 Bonjour coach. Nous remarquons tous les très bonnes performances de RSI avec POFC en Ligue 2.
11:49 Pouvez-vous nous expliquer les raisons de sa non-sélection ?
11:54 La deuxième question, comment évaluez-vous l'équilibre entre jeunes talents et joueurs plus expérimentés dans cette sélection ?
12:03 Vous me parlez de Henri, Ganna Gueye, Lamine Kabara, Pape Gueye, Jean Lopi, Nampalis, Papa Tarsar et qui d'autre encore ?
12:24 Baptiste.
12:26 Baptiste ?
12:28 Oui, je veux dire, aujourd'hui, c'est la concurrence en réalité.
12:34 Mais Pape Gueye, ça fait plus de 4 mois qu'il n'est pas compétitif.
12:38 Non, mais je vous réponds par rapport à la question, c'est pas sur Pape Gueye. Je vous réponds par rapport à la question de Henri.
12:45 Je vous dis que Pape Gueye, on peut aussi l'incorporer parce qu'il a été suspendu, mais ça ne veut pas dire qu'il ne sera pas dans le groupe.
12:53 Oui, il a été suspendu, mais ça fait plus de 4 mois qu'il n'est pas compétitif alors que les autres sont compétitifs.
12:59 Mais la question que vous me posez, c'est sur Henri, Henri Seve.
13:01 Je vous dis, je suis dans ce groupe là, je viens de vous citer au moins une dizaine de joueurs qui jouent au poste de Henri Seve.
13:10 Donc c'est juste pour vous dire que ce n'est pas un problème personnel.
13:14 Les performances d'Henri, je les connais, je les vois, je suis tous les jours sénégalais.
13:19 Mais aujourd'hui, force est de constater qu'à ce poste là aussi bien précis, on a énormément de monde, on a énormément de concurrence.
13:26 Donc c'est ce qui fait, c'est la raison pourquoi Henri n'est pas là.
13:30 La deuxième question c'est ?
13:33 L'équilibre entre talent, entre les moins jeunes et les plus...
13:41 Parce que je n'aime pas ce mot vieux. Moi je n'aime pas ce mot vieux ou dire qu'ils sont vieux, il faut les sortir de l'équipe.
13:48 Mais vous voyez cette équipe nationale du Sénégal, cette équipe vit bien.
13:53 Cette équipe vit bien.
13:55 Donc nous on n'a pas de problème, c'est un bonheur, les joueurs, les garçons quand ils viennent dans cette équipe nationale, ils sont heureux d'y être.
14:03 Ils écoutent ce qu'on leur dit, ils ont envie de réaliser des choses.
14:07 Personne n'a envie de dire pour se mettre entre ces jours là.
14:10 Ils ont vécu de très très très gros moments.
14:14 Donc rien ne change, nous allons continuer à travailler dans ça, dans cet état d'esprit là, de solidarité, d'amour, de respect.
14:21 Je pense que c'est important.
14:26 Comme je l'ai dit, c'est une équipe qui vit bien.
14:28 Vieux ou moins vieux, jeune ou moins jeune, ça c'est vous les problèmes, c'est vous qui amenez ces débats là.
14:36 C'est vous qui les amenez.
14:40 Alors maintenant, oui, Salif, la toute dernière question en français.
14:47 Bamba vous allez poser la question en Wolof, s'il vous plaît.
14:51 Merci, merci Kana.
14:53 Moi je vais revenir sur la préparation de la Cannes.
14:57 Est-ce que l'UCC a déjà en tête ou a les dates retenues pour la préparation de la Cannes du début ?
15:04 Ou l'UCC est également en train de se préparer ?
15:07 C'est une bonne question.
15:08 C'est vrai qu'aujourd'hui on est en train de réfléchir, dans la mesure où on n'a pas beaucoup de temps.
15:15 La question c'est, est-ce que c'est ici ? Est-ce qu'on va commencer la préparation ailleurs et venir récupérer le drapeau ici et partir ?
15:22 Mais ça on en parlera avec le directeur technique, le président, la fédération pour essayer de trouver la meilleure solution.
15:28 Mais c'est une très bonne question parce qu'elle est primordiale la préparation de là où on va le faire.
15:33 Donc il ne faut pas qu'on se loupe sur l'endroit.
15:36 Merci beaucoup. Nous allons enchaîner un wall-off.
15:39 Mais Bamba, s'il vous plaît, vous allez poser votre question en wall-off comme ça, on enchaîne.
15:44 Ok, c'est bon ?
15:46 Oui, Kana, vous pouvez poser sa question.
15:50 Oui coach, en fait, bonjour d'abord.
15:54 Je ne sais pas si vous avez une phrase en français, mais bon.
15:58 Allez-y.
15:59 En fait, il y a des connexions qui se créent un peu entre les joueurs sénégalais en club.
16:05 Je veux citer l'exemple d'Ismaël Assare et Ulimane à Marseille.
16:11 Il y a aussi la connexion monégasque avec Jacob et Crepin-Djata.
16:17 Que vous inspirez un peu les connexions qui se créent dans les joueurs ?
16:22 Il y a des joueurs que vous avez en club, nous travaillons ensemble.
16:27 Après, nous sommes en équipe nationale. Je ne sais pas si je peux le dire.
16:32 Est-ce que vous vous inspirez un peu dans les connexions qu'on a en club pour être plus forts en sélection ?
16:40 Non, mais c'est ça.
16:43 C'est parce que tu vois les positions Jacob, ça va changer.
16:49 À l'arrière-gauche, il y a le joueur monaco, à l'arrière-gauche, il y a le joueur équipe nationale sénégalais.
16:54 Crepin-Djata, à l'arrière-droite, il y a le joueur monaco.
16:59 Mais depuis quelques temps, nous sommes en équipe nationale arrière-droite.
17:05 Je pense que c'est ça, parce qu'ils ont plus de temps de jeu.
17:09 Mais je crois que le plus important, c'est qu'ils ont du temps de jeu.
17:13 Ils ont du temps de jeu, mais qui pose ce problème ?
17:16 Si tu vas à Marseille et tu vois que l'Atakan Ismail Assar ne peut pas jouer concentré,
17:23 c'est très important, même si c'est notre philosophie.
17:28 Ma philosophie est différente de celle de l'entraîneur monaco.
17:35 Je ne peux pas l'appeler Crepin-Djata, peut-être que l'entraîneur monaco peut l'appeler d'autres.
17:40 Peut-être que je l'appelle Ismail Assar et Elimane Diaye, mais en réalité, il n'y a pas de mouvement.
17:49 Crepin-Djata, à l'arrière-droite, il y a le joueur monaco.
17:53 Jacob, à l'arrière-gauche, il y a le joueur monaco.
17:56 Ismail Assar, concentré, il y a le joueur monaco.
17:59 Donc pour moi, le plus important, c'est qu'ils puissent s'adapter au poste où ils jouent.
18:06 C'est ce que je veux faire depuis 54 ans, pour que ce qu'on attend de eux soit réalisé.
18:10 Merci. Nous allons continuer.
18:13 Il y a un autre match qui se déroule à Nassarane, que nous allons vous montrer.
18:18 Ce match est en train de se dérouler pour la préparation de l'équipe nationale.
18:25 Madame, vous savez que le match est de 14 heures.
18:34 Est-ce que vous ne vous en êtes pas encore inquiets?
18:37 Oui, je ne me sens pas encore inquiet.
18:40 Car, comme le dit le médecin, jouer 14 heures, c'est le meilleur pour la santé du joueur.
18:50 Je pense que la plus importante, c'est de protéger le joueur.
18:54 Parce que le spectacle, c'est eux qui le réalisent.
18:59 Quand nous allions à Cameroun, nous jouions tous les deux 14 heures, et en altitude.
19:06 Aujourd'hui, c'est la même chose. Je ne vais pas vous dénoncer cela.
19:12 Aujourd'hui, tous les entraîneurs sont d'accord sur le fait que nous jouons tous les 14 heures.
19:16 Tout le monde sait que, dans l'Afrique, de l'Est à l'Ouest, de Nord au Sud,
19:20 nous ne jouons que 14 heures.
19:22 Que vous soyez à Alger, à Capetan, à Bamako, ou à Ethiopie,
19:26 vous savez que ce sont des périodes très difficiles.
19:29 Donc, si vous voulez réaliser ce spectacle,
19:33 et que vous êtes tous d'accord sur le fait que le CANB est la troisième compétition,
19:36 de grande importance dans notre histoire,
19:38 je pense que nous allons mettre les acteurs dans des conditions
19:40 qui permettront de faire des syndicats comme nous l'avons fait.
19:43 Je suis d'accord avec vous sur les 14 heures.
19:45 J'espère que nos RCI, nos dirigeants,
19:49 seront très prudents pour regarder encore la programmation.
19:54 Toujours au bureau du CANB, vous avez deux footballeurs et deux jeunes qui sont dans le lycée.
20:03 Est-ce que vous pensez que c'est une bonne chose?
20:06 Non, nous allons l'améliorer, comme nous l'avons fait,
20:09 parce que chacun est d'accord sur le fait que,
20:11 quand on regarde le CANB,
20:13 chaque événement CANB,
20:15 on sent que le CANB se développe,
20:17 ou que le CANB se développe dans le CANAB.
20:20 Si on regarde les équipes qui sont dans les éliminatoires de la Coupe d'Afrique ou de la Coupe du Monde,
20:25 aucune équipe, depuis janvier, n'a joué avec 23 joueurs.
20:29 Nous avons 24, 25, 26 joueurs.
20:32 Il y en a qui ont joué avec 30 joueurs.
20:34 Si on regarde les difficultés que le CANB a,
20:37 les matchs difficiles,
20:39 les suspensions,
20:41 le tangor,
20:42 la baisse de régime,
20:43 je pense que si on allait à 27 ou à 26 joueurs,
20:46 on n'aurait pas de spectacle.
20:48 Donc, je pense que nous devons aussi,
20:50 nos dirigeants,
20:52 nous devons nous inviter,
20:54 c'est-à-dire qu'on doit inviter nos entraîneurs,
20:56 nous devons nous humilier,
20:58 nous devons rencontrer des difficultés,
21:00 nous devons aussi leur donner notre avis sur la programmation,
21:03 et surtout sur le développement du football africain.
21:06 Mais comme je l'ai dit,
21:08 c'est dans le cadre de l'entraînement,
21:10 nous devons parler,
21:12 et nous devons aussi défendre nos droits.
21:16 Il y a un autre joueur, Youssouf Sabaly,
21:19 qui est un joueur très fort,
21:22 mais qui a beaucoup de défauts.
21:25 Est-ce que vous parlez avec lui?
21:27 Vous parlez souvent avec lui?
21:32 Oui, nous discutons avec Youssouf.
21:34 Je peux dire que sa blessure est dans le football,
21:39 dans le sport.
21:41 Mais Youssouf est un joueur qui a une fragilité très grande.
21:45 Donc, notre entraîneur, lui-même,
21:47 et le entraîneur qui est là,
21:49 je crois qu'il a une grande importance,
21:51 nous devons le gérer.
21:52 Peut-être que, dans la semaine,
21:54 il y a des entraînements qu'on ne peut pas faire.
21:56 Donc, nous devons le programmer,
21:58 pour qu'il joue des matchs,
21:59 pour qu'on aille en entraînement,
22:01 pour qu'il n'y ait pas de blessure.
22:03 Mais je pense qu'on va pouvoir le récupérer.
22:06 Merci, Akam.
22:08 Vous avez dit que vous ne vous enlevez pas les attaquants,
22:13 car ils ont l'efficacité.
22:15 Est-ce que vous avez pensé à ça avant de partir à l'entraînement?
22:18 Le football, le plus difficile, c'est de ne pas se mettre en avant.
22:20 Je crois que tous les défenseurs le savent.
22:23 Mais ne pas se mettre en avant, c'est le plus difficile au football.
22:27 Mais si vous regardez,
22:29 nous, notre équipe nationale,
22:30 pratiquement, nous n'avons aucun buteur attitré.
22:32 Je peux dire que nous ne nous enleverons pas.
22:34 Et c'est aussi un avantage pour nous.
22:37 Mais les attaquants du Dougal,
22:39 c'est des attaquants qui ont confiance.
22:41 Je crois que c'est notre rôle de les rappeler.
22:43 Rappeler nos attaquants,
22:45 pour qu'ils n'aient pas de confiance.
22:47 Quand on marque des dizaines de buts,
22:49 des quinzaines de buts,
22:50 je pense à Boulaï,
22:51 je pense à Jackson,
22:52 je pense à Habib,
22:53 je pense à Sadio,
22:55 bien sûr, à tous ces attaquants qui sont là-bas,
22:57 qui ont déjà,
22:58 le Dougal, eux, eux-mêmes, eux-mêmes, eux-mêmes, eux-mêmes,
23:00 mais nous faisons en sorte que justement,
23:01 la confiance de ces gens reste aussi le plus rapidement possible.
23:03 Le match de la semaine dernière,
23:07 nous avons joué avec le Soudan du Sud.
23:09 Vous savez, ici, nous jouons au football
23:11 avec le maître Abdoulaye Wad.
23:14 Mais il y a eu 8 buts.
23:16 Vous savez, FIFA nous a fait perdre.
23:19 Donc, sur ces 8 buts,
23:21 comment avez-vous réussi à les gagner en tant que coach?
23:23 Nous avons eu des bons résultats.
23:25 Je pense que nous avons aimé.
23:26 Parce que si nous avions gagné,
23:27 nous aurions reçu notre réunion,
23:29 notre décès,
23:30 parce que si on jouait à cette réunion,
23:31 nous aurions eu notre réunion.
23:33 Je pense que si on avait joué à cette réunion,
23:35 nous n'aurions pas été nommés au Sénégal.
23:37 Donc, je veux dire que nous avons fait tout pour que le Sénégal
23:39 puisse se faire compétitionner.
23:41 Dans la Coupe du monde 2018,
23:43 nous avons pratiquement gagné
23:45 le meilleur fair-play sur nos supporters.
23:47 Dans la Coupe d'Afrique aussi,
23:49 nous avons tous vu notre équipe.
23:51 Nous n'avons pas fait de mal.
23:53 Nous n'avons jamais été les supporters les plus corrects.
23:55 Aujourd'hui, sur l'incident,
23:57 nous avons eu un petit contre-course.
23:59 Sur l'incident contre l'Egypte,
24:01 nous avons été suspendus.
24:03 Je veux dire que ce n'est pas normal.
24:05 Nous sommes d'accord.
24:07 Nous voulons que nos supporters soient là.
24:09 Parce que nous avons fait ce que nous avions fait.
24:11 Nous avons fait ça pour les autres supporters.
24:13 Parce que si nous oublions
24:15 ce qui s'est passé dans le match
24:17 contre l'Egypte, il y a eu ce qui s'était passé avant.
24:19 Je ne cautionne pas cela.
24:21 Mais je pense que la suspension
24:23 est une réelle conséquence
24:25 pour les joueurs qui ont joué dans ce match.
24:27 Parce que je ne vois pas un joueur
24:29 qui soit de notre côté ou d'un autre côté
24:31 qui était en danger.
24:33 Je ne vois pas pourquoi nous sommes suspendus dans ce match.
24:35 Derechef,
24:37 une autre question
24:39 sur notre adversaire
24:41 Sud-Sudan
24:43 et Togo.
24:45 Que peux-tu dire sur ces deux adversaires?
24:47 Également,
24:49 dans ces deux matchs,
24:51 est-ce que tu penses que tu joues au football
24:53 pour l'éliminatoire mondial?
24:55 Ou est-ce que tu joues au football
24:57 pour préparer
24:59 pour l'élimination du Cannes?
25:01 Les deux matchs,
25:03 parce qu'effectivement, ces deux matchs,
25:05 peuvent nous aider
25:07 à faire preuve de notre capacité
25:09 à servir
25:11 pour le Cannes.
25:13 Mais en réalité, c'est une compétition à part.
25:15 C'est une compétition de la Coupe du Monde.
25:17 Et nous savons tous l'importance de la Coupe du Monde
25:19 pour le Sénégal.
25:21 Et toutes ces compétitions,
25:23 ces deux matchs,
25:25 nous avons commencé,
25:27 nous avons demandé à Dieu de nous laisser aller au Soudan.
25:29 Ce match est compliqué,
25:31 parce que nos supporters ne sont pas là.
25:33 Et je sais que le Soudan ne va pas venir ici
25:35 pour perdre.
25:37 Ils vont venir pour défendre leur qualification.
25:39 Togo, nous le savons.
25:41 Togo, je peux dire que en 2006,
25:43 ils ont éliminé.
25:45 Ils ont donné un match difficile.
25:47 Mais je pense que
25:49 comme ce match est important,
25:51 nous devons le préparer.
25:53 Dieu nous le soutiendra.
25:55 Vous avez un match
25:57 contre Abdoula Ndour.
25:59 Vous savez que vous avez un bon match.
26:01 Mais il y a des défis.
26:03 Il y a des défis.
26:05 Est-ce que vous avez l'impression
26:07 qu'il est capable de venir
26:09 à votre match?
26:11 Oui, j'ai l'impression.
26:13 Mais je crois que le plus important pour moi,
26:15 c'est Abdoula.
26:17 Dieu le let lui ouvrir.
26:19 Je connais ce garçon depuis plus de 10 ans.
26:21 Je connais ses qualités.
26:23 Malgré que
26:25 il a des concurrents dans son poste.
26:27 Abdoula peut jouer.
26:29 Baloutoulé peut jouer.
26:31 Jacob peut jouer.
26:33 Je ne peux que dire que Dieu le soutient.
26:35 Merci et salut.
26:37 Vous avez un match contre Henri Sevey.
26:39 Pourquoi vous l'avez appelé?
26:41 Vous avez une bonne équipe.
26:45 Je le félicite.
26:47 Merci Henri.
26:49 Je vais le suivre.
26:51 Je fais partie des gens
26:53 qui ont amené une équipe nationale.
26:55 Avec Alain Giresse.
26:57 C'est un gars qui est très bon.
26:59 Malgré que
27:01 il y a des défis.
27:03 Il a gagné.
27:05 Il a été écarté du match.
27:07 Je peux dire que
27:09 il y a des gens qui
27:11 ont fait un bon travail.
27:13 Il a fait un bon travail.
27:15 Il y a Pape Gueye.
27:17 Il y a Nampalismendi.
27:19 Il y a Lamine Kamara.
27:21 Jean Lopi, Patissis.
27:23 Je peux dire que le poste milieu
27:25 est déjà très bon.
27:27 C'est une équipe qui ne peut être retenue
27:29 que dans les milieux.
27:31 Je sais ce qu'elle fait.
27:33 Je voulais juste savoir
27:35 quelles sont vos préoccupations
27:37 pour la préparation
27:39 pour la fin de la semaine?
27:41 Que pouvez-vous nous dire?
27:43 En tout cas,
27:45 nous allons venir ici au Sénégal
27:47 pour faire une préparation.
27:49 Nous allons venir ici
27:51 pour récupérer le drapeau du chef de l'État.
27:53 Mais en réalité,
27:55 avec le directeur technique,
27:57 le président Augustin Senghor et mon staff,
27:59 nous allons discuter pour savoir
28:01 ce qu'il nous faut faire.
28:03 La préparation est très importante.
28:05 Merci beaucoup.
28:07 Merci à vous.
28:09 Madame?
28:11 Nous avons un nouveau programme.
28:13 Nous allons le faire.
28:15 Nous allons le faire.
28:17 Le 13.
28:19 Je vous donne le programme.
28:21 Le 13, c'est ouvert.
28:23 Le 14, c'est fermé.
28:25 Le matin et l'après-midi.
28:27 Le 15, c'est fermé.
28:29 Le 16, c'est ouvert.
28:31 Le 17, c'est ouvert.
28:33 Et on joue le 18.
28:35 Vous avez le programme.
28:37 Merci beaucoup.
28:39 Merci beaucoup.

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