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Transcription
00:00 -Ce que l'on appelle Frédéric François, est-ce qu'on a une grosse retraite ?
00:02 -Une grosse retraite ? -Oui.
00:04 -Oh, bah, j'ai calculé.
00:08 -Parce que les gens doivent penser que vous avez 10 000, 15 000 euros de retraite.
00:12 -Bah non.
00:13 L'Assasin,
00:14 il nous donne 4 000 euros tous les trois mois.
00:18 -D'accord, OK.
00:19 -D'accord ? On divise par trois.
00:21 -D'accord, OK.
00:21 -Donc ça fait
00:22 660 ID.
00:25 L'État prend 50 %.
00:27 -Oui.
00:28 -Hein ?
00:28 Ma femme, malheureusement, a travaillé très peu parce que
00:33 il y avait 12 enfants, donc elle travaillait en usine.
00:35 Et puis, quand j'ai fait mon premier succès,
00:38 pas que j'étais jaloux, mais en tant que Sicilien, j'ai dit
00:41 "Voilà, maintenant, il y a un peu d'argent qui rentre,
00:44 je ne travaille plus."
00:45 -Ah, j'adore. Mais ça, c'est génial.
00:46 -Voilà. -Ah oui, non, mais c'est l'honneur aussi.
00:48 -Voilà. -Quelque part.
00:49 -Et elle a une belle retraite de 386 euros.
00:52 -D'accord, OK.
00:53 -Actuellement. Donc si tout s'arrêtait,
00:55 waouh !
00:56 La pasta dominicale, il ne faudra plus mettre de parmesan
00:59 et de sauce nomade.
01:00 -C'est fou, ce que vous me dites, parce qu'on s'imagine
01:02 des choses hallucinantes sur les acteurs.
01:04 -Non, je crois qu'on était tous à la même enseigne
01:06 dans une retraite.
01:08 Tu vois ce que je veux dire ?
01:09 C'est par rapport à...
01:10 Voilà. Par rapport à...
01:12 -Des fois, on ne comprend pas trop.
01:13 -Au travail, par rapport à ce qu'on a ramené, tu vois.
01:18 - Oui.

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