“Je sens en ce moment une agressivité” : alpagué dans la rue par des détracteurs, Gilles Verdez sort camouflé
Gilles Verdez, chroniqueur controversé de Touche pas à mon poste sur C8, se fait harceler dans la rue par des détracteurs. Pas Tranquille, le protégé de Cyril Hanouna témoigne et explique ressentir une certaine agressivité.
Transcript
00:00 J'ai aucune... je ne me prends pas pour un autre, j'ai aucune prétention, etc.
00:04 Mais c'est vrai que c'est assez rare...
00:07 J'ai des gens qui m'interpellent dans la rue vraiment, quoi.
00:10 Et qui me disent, qui écoutent toutes les émissions,
00:13 "Là, vous avez dit ça, là, quelqu'un a dit ça, c'est incroyable."
00:17 - C'est génial. - Non, alors, Cyril, je ne me plains pas du tout.
00:20 Je dis, c'est génial, mais il peut y avoir une certaine agressivité
00:24 que je n'avais pas connue jusque-là.
00:26 Je le dis en toute humilité, hein. - Oui, c'est vrai, c'est vrai.
00:28 - Genre quoi ? - Bah, par exemple, moi, je sors capuche, masque, etc.
00:33 En ce moment, je le reconnais, je ne faisais pas ça avant.
00:36 - Oui, oui. - Qu'est-ce qui s'est passé ? Il y a eu un truc ?
00:38 - Des gens... Oui, oui, bah, des gens, c'était au Châtelet.
00:41 Il y a des gens qui m'ont alpagué en me criant dessus.
00:47 Ils n'étaient pas d'accord avec ce que je disais.
00:49 Ils n'étaient pas toujours d'accord avec l'émission.
00:51 Et le ton était différent de d'habitude.
00:52 Moi, on peut me critiquer sur les réseaux, partout.
00:55 Alors là, vraiment, je dis des choses qui n'engagent que moi, etc.
00:58 Mais là, il y avait une agressivité.
00:59 Donc je sens en ce moment une agressivité.
01:01 Voilà.