L'expérience de tournage de "La Fracture" durant la crise du Covid
Marina Foïs se souvient du tournage de "La Fracture" réalisé en plein coeur de la crise du Covid. Leur tournage a commencé avant le second confinement, avec une certaine inquiétude liée à la possibilité que tout s'arrête. Malgré cela, Marina Foïs se sentait privilégiée de pouvoir travailler. Cette période a également permis de rappeler l'importance du système hospitalier français, une richesse qui a été applaudie pendant le premier confinement. Le fait d'avoir pu tourner le film quelques mois plus tard, avec de vrais soignants, a été une expérience précieuse.
Un attachement particulier au milieu hospitalier
L'actrice a un lien étroit avec le milieu hospitalier. Ayant une soeur médecin, elle est familière avec les récits de sa soeur et a également fréquenté l'hôpital pour des proches, notamment lors de l'épidémie de sida. Marina Foïs reconnaît que les médecins et les infirmières ne sauvent pas seulement des vies avec des médicaments, mais aussi grâce à leur humanité et au temps qu'ils accordent aux patients.
Les colères de notre société, une source d'indignation pour Marina Foïs
La violence des échanges dans notre société est une problématique qui touche profondément Marina Foïs. "La Fracture" met en lumière le pouvoir des mots et de la parole, ce qui est à la fois apaisant et réconfortant. Dans une période où la division et le communautarisme sont encouragés, Marina Foïs insiste sur l'importance de l'idée du mélange et de la mixité, tant sur le plan social que culturel.
Une sensibilité particulière au brassage de la société française
Grâce à ses origines familiales diverses (russe, égyptienne, italienne et allemande), Marina Foïs est plus consciente et sensible au brassage ethnique en France. Elle rejette l'expression "français de souche" qu'elle qualifie de moche et incompréhensible. Pour elle, l'homme n'a pas de racines, mais plutôt des pieds. Cette vision devrait, selon elle, guider notre façon de penser et de vivre ensemble.
Le cinéma comme moyen de réconciliation et de partage
Marina Foïs croit fermement que le cinéma a le pouvoir de tout permettre, y compris la réconciliation. Dans le cas de "La Fracture", le film incarne un rêve de partage et de vivre ensemble, des idées qui peuvent sembler clichées, mais qui restent néanmoins importantes à ses yeux.
Cinéma # Société # Mixité # Humanité
Marina Foïs se souvient du tournage de "La Fracture" réalisé en plein coeur de la crise du Covid. Leur tournage a commencé avant le second confinement, avec une certaine inquiétude liée à la possibilité que tout s'arrête. Malgré cela, Marina Foïs se sentait privilégiée de pouvoir travailler. Cette période a également permis de rappeler l'importance du système hospitalier français, une richesse qui a été applaudie pendant le premier confinement. Le fait d'avoir pu tourner le film quelques mois plus tard, avec de vrais soignants, a été une expérience précieuse.
Un attachement particulier au milieu hospitalier
L'actrice a un lien étroit avec le milieu hospitalier. Ayant une soeur médecin, elle est familière avec les récits de sa soeur et a également fréquenté l'hôpital pour des proches, notamment lors de l'épidémie de sida. Marina Foïs reconnaît que les médecins et les infirmières ne sauvent pas seulement des vies avec des médicaments, mais aussi grâce à leur humanité et au temps qu'ils accordent aux patients.
Les colères de notre société, une source d'indignation pour Marina Foïs
La violence des échanges dans notre société est une problématique qui touche profondément Marina Foïs. "La Fracture" met en lumière le pouvoir des mots et de la parole, ce qui est à la fois apaisant et réconfortant. Dans une période où la division et le communautarisme sont encouragés, Marina Foïs insiste sur l'importance de l'idée du mélange et de la mixité, tant sur le plan social que culturel.
Une sensibilité particulière au brassage de la société française
Grâce à ses origines familiales diverses (russe, égyptienne, italienne et allemande), Marina Foïs est plus consciente et sensible au brassage ethnique en France. Elle rejette l'expression "français de souche" qu'elle qualifie de moche et incompréhensible. Pour elle, l'homme n'a pas de racines, mais plutôt des pieds. Cette vision devrait, selon elle, guider notre façon de penser et de vivre ensemble.
Le cinéma comme moyen de réconciliation et de partage
Marina Foïs croit fermement que le cinéma a le pouvoir de tout permettre, y compris la réconciliation. Dans le cas de "La Fracture", le film incarne un rêve de partage et de vivre ensemble, des idées qui peuvent sembler clichées, mais qui restent néanmoins importantes à ses yeux.
Cinéma # Société # Mixité # Humanité
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