• il y a 2 ans
Le fondateur du GIGN, Christian Prouteau, a évoqué la manifestation pro-Palestine autorisée mais surveillée : «L’autorité préfectorale se trouve confrontée à une décision qui va à l’encontre de ce que lui mettait en place pour l’ordre public».

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Transcription
00:00 Je pense qu'elle peut se dérouler sous contrôle d'abord parce que le nombre de manifestants, même s'il peut paraître important, n'est pas aussi important que ça.
00:08 Ça c'est le premier aspect. Le deuxième aspect c'est effectivement il y a toujours les aspects de débordement périphérique.
00:13 On le voit dans toute manifestation. Mais il y a surtout le côté quand même assez scabreux d'avoir tout d'un coup une manifestation qui n'est pas autorisée
00:24 qui est ensuite lait parce qu'au niveau du tribunal administratif on revient sur l'autorisation de manifestants en France, donc on applique la loi
00:33 et que l'autorité préfectorale se trouve confrontée à une décision qui va à l'encontre de ce que lui mettait en place pour l'ordre public.
00:45 Plutôt que l'État ne paraisse pas maintenir l'ordre, si j'ose dire, et surtout les décisions qu'il voudrait mettre en place,
00:54 plutôt que d'avoir des manifestations dont on sait qu'elles vont se dérouler, autant le faire en l'encadrant bien. C'est mon point de vue.
01:01 [Musique]
01:04 [SILENCE]

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