• l’année dernière
Transcription
00:00 ...
00:06 -Il y a quelqu'un qui m'a attrapée par le cou.
00:10 Ensuite, il m'a allongée sur le sol.
00:12 -Il avait aussi un couteau.
00:15 -Il parlait d'un accent du Nord, un accent de chez nous.
00:17 -Je préférais être morte qu'avoir dû faire ça !
00:21 -Vous voulez déposer plainte ?
00:23 -Vous êtes sérieux ?
00:25 -Je pense qu'il y en a d'autres.
00:29 Beaucoup d'autres.
00:31 -Nous avons un violeur en série.
00:33 -Il agit toujours dans le même créneau horaire et sur la même route.
00:37 En gros, le long de la Sambre.
00:39 -Je pencherais plutôt pour un marginal ou un asocial.
00:42 Ces types repèrent une femme sans défense sur le bord de la route,
00:44 et paf !
00:46 -Et paf !
00:47 ...
00:48 -Malheureusement, des viols, il y en a partout.
00:51 Et ça ne veut pas dire que c'est le même individu à chaque fois.
00:55 -Si c'était un type tout à fait normal,
00:57 peut-être un père de famille, un type passe-partout.
01:00 ...
01:01 -Il n'y a rien dans votre enquête. Il n'y a pas une piste !
01:04 -C'est qui, ce mec, putain ?
01:06 -Tu les vois, ces femmes ?
01:07 -Moi, si je peux trouver juste la rue où habite ce fumier.
01:10 -Qu'est-ce que ce gros porc a fait de moi ?
01:14 ...
01:15 -On a un putain de prédateur sexuel.
01:17 -Tout le monde s'en fout.
01:18 -Vous croyez que je vais attendre les bras ballants
01:20 en attendant qu'une autre femme se fasse gueuler ?
01:22 -Il pourrait habiter en face de chez nous.
01:24 -Je ne saurais rien.
01:25 -Il va finir par baisser sa garde un jour ou l'autre.
01:27 Et là...
01:28 ...
01:29 On sera là pour le cuir.
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