Regardez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 27 octobre 2023 avec Philippe Caverivière.
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00:02 RTL, le deuxième oeil de Philippe Cadrivière.
00:07 Et ce matin Philippe, nous recevions donc la ministre des affaires étrangères, Catherine Colonna.
00:11 Tout à fait, j'étais très flatté que Catherine McCord, ces quatre minutes, vu sa fonction et la situation,
00:17 parce qu'il imagine que pile pendant ma chronique, il y a eu une accélération du conflit,
00:20 Catherine ne peut pas prendre position, il y a 500 000 morts en plus, tout ça pour qu'elle entende la vanne de Sissi la dictatrice,
00:27 est-ce que ça valait vraiment le coup, 500 000 morts pour cette vanne ?
00:30 En plus, ça me ferait une mauvaise pub derrière.
00:33 Non, c'est fascinant, sa mission à Catherine Colonna, elle s'occupe de tout le bordel dans le monde en fait,
00:38 c'est comme une Julien Courbet, mais à l'international.
00:42 Je ne suis pas sûr que Julien Courbet arrive à régler le conflit israélo.
00:46 Je te souviens.
00:48 Bonjour, c'est Julien Courbet.
00:50 Je suis en ligne avec
00:52 Monsieur Ramas et Monsieur Bibi pour ce conflit de voisinage dont on ne voit plus la fin.
00:58 Alors on a les images de la clôture de Monsieur Bibi.
01:00 Monsieur Ramas, comment comptez-vous lui rembourser ?
01:03 Comment ça Nadine au moque ? Non, alors on n'a pas de maître Nadine au cabinet, non, malheureusement.
01:10 Voilà, donc c'est une mission
01:12 totalement folle.
01:14 Et quand elle rentre à la maison Catherine Colonna, c'est quoi ces débriefs de journée ?
01:18 Elle doit dire, bon bah moi j'ai appelé Biden, j'ai appelé Bibi et Mahmoud,
01:23 je crois que j'ai repoussé la guerre mondiale de 48 heures. Moi quand je rentre à la maison, je dis bon bah
01:28 j'avais une bonne vanne sur
01:30 Netanyahou comme son surnom c'est Bibi, j'ai passé la chanson...
01:34 Tout doucement, sans disputer,
01:36 C'était marrant non chérie ?
01:38 C'est là qu'on voit qu'on a un peu raté nos vies quand même par rapport à elle.
01:40 J'ai mis 15+ !
01:42 Ah 15+ !
01:44 C'est une très bonne note, bah oui mais...
01:46 Elle arrive, oui, oui.
01:48 De notre côté en France, la situation est donc plus calme,
01:51 mais nous sommes bien sûr toujours en vigilance attentat.
01:54 Oui, alors c'est calme pour l'instant, mais il y a toujours des petits malins qui continuent à faire leurs fausses alertes à la bombe,
01:59 et je me demande si les gens appellent
02:02 avec leur vraie voix,
02:04 ou s'ils la trafiquent pour pas se faire repérer.
02:07 Bonjour, je suis un très dangereux terroriste,
02:10 et je vais faire péter l'aéroport de Carcassonne.
02:14 *Bruit de chien*
02:16 Et là, tu vois, ce genre de voix, je pense que ça atténue un peu l'anxiété de la situation.
02:21 Bon, autre info, on assiste en France à une hausse des "home jacking".
02:25 Oui, alors, qu'est-ce que c'est un "home jacking" ?
02:27 Déjà, oui, qu'est-ce que c'est ?
02:29 Le "home jacking", c'est un Airbnb mais sans consentement.
02:32 Alors, je mets en garde, pour opérer,
02:35 les voleurs se font passer pour les voisins.
02:38 Alors, moi j'ai eu le coup l'autre jour,
02:40 ça tambourinait à la porte,
02:42 soit disant, c'était la voisine de 90 ans
02:45 qui s'était fait mal en tombant.
02:47 Je suis pas naïf, j'ai pas ouvert.
02:49 *Rires*
02:50 Du coup, j'ai pas été convié à l'enterrement de Madame Chauvin.
02:53 Et les petits enfants me font la gueule depuis.
02:56 Mais il y a un joli T3 à vendre dans mon immeuble.
02:58 Donc voilà.
02:59 Alors, c'est arrivé à notre collègue Bruno Guion, le "home jacking",
03:02 les combrioleurs sont souvent cagoulés,
03:04 alors les victimes sont aussi ligotées, baillonnées et molestées.
03:07 Et c'est vrai que des cagoules, des cordes, des insultes et des gifs,
03:10 tu rajoutes un peu de pop-up.
03:11 *Rires*
03:12 Et ben, tu passes une bonne soirée.
03:14 Alors, moi ça va, parce que si ça m'arrive,
03:18 j'ai deux chats, Snatch et Roméo,
03:20 qui peuvent à tout moment rien foutre.
03:23 Vous savez que j'ai été cambrioler pour de vrai,
03:26 et on a mis 4 heures à les retrouver.
03:28 Ils étaient tellement planqués, avec la police et tout.
03:31 Ils étaient planqués, ben ils ont eu peur, donc on les a retrouvés.
03:34 On a cru qu'ils avaient été volés.
03:36 [SILENCE]