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NewsTranscription
00:00 On va rapidement parler de l'actualité.
00:03 On a beaucoup de nouvelles sur le sujet.
00:06 On a aussi beaucoup de nouvelles sur l'histoire de Ousmane Sonko.
00:11 On a aussi beaucoup de nouvelles sur la langue politique.
00:15 On a aussi des nouvelles sur les fiches de parrainage.
00:20 Malgré la décision du juge Sabassi Fayy,
00:25 le PDGE a fait des modifications sur les fiches de parrainage.
00:30 Quelles réactions as-tu à cette décision de justice?
00:33 Pour qu'on puisse donner une réponse tranchée, il faut que l'on sache ce qui s'est passé.
00:39 Si vous avez l'habitude de me voir ou de m'écouter,
00:44 vous savez que la décision qui a été prise par les parties
00:51 a été décidée pour qu'elle soit éloignée de l'électorat.
00:55 C'est-à-dire qu'on est dans un état de droit qui est très difficile.
01:00 On doit respecter le droit d'adam
01:03 mais surtout les droits des élèves.
01:06 Les droits élémentaires des citoyens en général
01:09 sont des faits tribunaux.
01:11 On a condamné le dernier recours à la guerre
01:15 sans anticiper que la décision qui a été prise par les parties
01:20 devait arriver.
01:21 C'est la décision qui a été prise et la présomption d'innocence est la plus fratale.
01:28 Si on sait que l'on a des problèmes avec les tribunaux
01:33 et qu'on sait que la politique de Sénégal est très délicate
01:38 et qu'on ne veut pas que les acteurs politiques qui sont dans l'opposition
01:43 se retrouvent en lien avec le justice et le gouvernement.
01:47 Si on veut le faire, il faut que les injustices et les bonnes bonnes soient là.
01:56 Si on respecte la présomption d'innocence
01:59 et qu'on laisse les gens qui ont pris des fiches de parrainage comme tous les romains
02:04 et qu'on laisse les gens qui ont pris des actions à la procureur ou au juge d'instruction
02:09 et qu'on laisse les criminels à terre
02:12 et qu'on sache que les gens sont des coupables
02:15 je pense que c'est ce qu'il faut faire pour que le Sénégal ne soit pas là.
02:18 Il faut respecter les droits des citoyens
02:21 respecter notre démocratie et notre état de droit
02:25 pour éviter ces problèmes.
02:28 Je crois que l'élection est pour les Sénégalais.
02:32 Il faut qu'on leur donne leur liberté pour voir qui les a tués.
02:39 Il faut que la justice sénégalaise soit là pour les faire croire
02:45 qu'ils ont été tués par la même personne.
02:48 C'est ce qui les a tués.
02:51 Je le réitère, je suis désolé encore une fois
02:54 meurtri par l'état de notre démocratie
02:57 et outré par les précipitations et l'injustice qui nous ont amené à ce stade.
03:06 Jusqu'à preuve du contraire, rien ne prédispose qu'à ce que les gens
03:11 soient tués par la même personne.
03:14 C'est lamentable pour une démocratie comme la Sénégale.
03:18 On a vu que le président Macky Salle
03:25 a dit qu'il allait veiller à ce que la décision de justice soit appliquée.
03:33 Est-ce que cela épargne la décision du juge Sabassi?
03:37 C'est trop compliqué à la fois.
03:40 C'est une situation qui peut être très difficile.
03:46 Je pense qu'un président de la république n'a pas le choix
03:51 pour respecter les décisions de justice.
03:54 Un président de la république est la clé de voûte de nos institutions.
04:00 C'est le premier d'entre nous qui doit veiller à ce que les libertés de l'homme soient respectées.
04:10 Et le président est le seul à pouvoir assumer les responsabilités de la réunion.
04:21 Le plus important est le pouvoir le moins.
04:26 Si on regarde les choses de l'autre côté,
04:30 si on veut faire comme la Sénégale, il n'y a aucun espoir
04:37 qu'on soit en retard devant la loi et qu'on soit transparent.
04:42 C'est la même règle de droit que la réunion.
04:48 Si on veut respecter les décisions d'un individu, c'est un autre problème.
04:56 Je reviens en arrière.
04:59 Si on veut faire une élection présidentielle, il faut avoir de la justice.
05:04 Tant que les députés sont députés, personne n'a le droit de décider
05:10 que les masses en bas, y compris Ousmane Zongo, n'ont pas le droit d'élection.
05:16 Est-ce que tu penses que nous pouvons avoir un espoir pour les élections inclusives?
05:25 Est-ce que tu penses que nous pourrons avoir des élections inclusives?
05:34 Si tu me dis que c'est possible, ça me fait encore plus peur.
05:42 C'est une démocratie majeure, il faut avoir un espoir.
05:48 Est-ce que notre émotion et notre intérêt doit guider les lois de la république
05:54 où ce sont les lois et de manière exclusive interprétées par des juges impartiales
05:58 qui doivent être interprétées pour qu'on sorte de notre travail?
06:03 - C'est ça le problème. - Tu veux dire que la justice...
06:05 Pour revenir à ce que tu as dit,
06:10 nous sommes dans une situation très difficile.
06:14 Si on sort du Sénégal dans un pays où personne ne veut rester
06:21 où le Sénégal est de violences, d'injectives, d'insultes
06:25 et où les droits sont dénus et déséquilibrés
06:30 comme je l'ai dit à ton fils,
06:32 tu ne peux rien faire, rien dire, rien faire.
06:36 Et tu n'as rien à perdre.
06:39 Si tu es dans l'opposition, tu dois faire attention
06:43 car ceci peut te faire tomber comme les citoyens.
06:49 Fêter l'opposition, particulièrement de Bastéf, est dans le mur.
06:53 Ce n'est pas une compétition démocratique, ni un état de droit.
06:58 Si on se rend compte que tous les acteurs, y compris le président de la république
07:03 ont confiance en nous, on est dans une impasse.
07:06 Si on se rend compte que tout le monde est en colère, on ne peut pas se réunir.
07:10 Si on est dans une situation sans solution, on se réunit.
07:14 Je pense que nous devons se réunir pour résoudre tous les problèmes.
07:20 Pour sortir de cette situation et faire face à l'autre.
07:24 C'est vrai.
07:26 Le principe de la réunion est de caractériser le retour à la normale.
07:32 C'est une préoccupation que nous avons, mais d'autres aussi.
07:39 Ils sont toujours dans les compromissions et dans le calcul.
07:44 Nous sommes en incertitude car nous n'avons aucune garantie
07:49 pour pouvoir établir un état de droit et des élections inclusives.
07:56 La solution pour le Sénégal aujourd'hui
08:01 pour résoudre ces problèmes, c'est d'avoir des élections inclusives.
08:06 Et qu'on fasse confiance une bonne fois pour toutes
08:09 à la lucidité du citoyen sénégalais qui est très important au Sénégal.
08:13 Il est très important à savoir, à croire en lui.
08:16 Il est très important de défendre son intérêt au Sénégal.
08:22 Il a toujours été un grand Sénégalais et avant lui, il était un abdel Diouf.
08:30 Il est un Sénégalais qui a perdu sa lucidité.
08:35 Il ne peut pas laisser les élections être les mêmes.
08:41 On ne peut plus faire ça, il faut qu'on s'en fasse confiance.
08:46 On peut croire que la bataille de la gauche a été faite au Sénégal
08:51 à moins de 5 mois des élections présidentielles.
08:53 Le président Macky Salle a installé un gouvernement au bout de la gauche
08:57 le Premier ministre Amadou Barre a tout déco
08:59 encore une fois un gouvernement de combat.
09:02 Est-ce que vous pensez qu'à moins de 5 mois des élections
09:05 nous pourrons avoir un gouvernement de combat qui peut faire face
09:08 à la préoccupation de la population sénégalaise?
09:12 C'est la première certitude, il faut que le Sénégal ait un gouvernement.
09:17 A moins de 5 mois des élections, il faut constater ce qu'on a fait.
09:24 Évaluer et préparer ce qui peut être perdu.
09:31 La transition qui est à venir.
09:34 On ne peut pas laisser les choses se passer comme ça.
09:37 On ne peut pas laisser les choses se passer comme ça.
09:42 Je ne pense pas que pendant 12 ans, les gens ont pu faire de la politique.
09:51 Ce n'est pas possible pour les gens qui veulent faire de la politique.
09:59 Pendant 12 ans, ils ont eu à leur disposition plus de 50 000 milliards.
10:07 Si on cumule tous les budgets du Sénégal
10:10 tous les gouvernements, les ministres et le président de la République
10:16 on a consommé presque 50 000 milliards.
10:20 Sur 12 ans, moins 5 mois.
10:23 Je pense que si on avait la caisse, on aurait pu le faire.
10:26 En conséquence, on aurait pu évaluer les choses.
10:32 Ou alors, on aurait pu faire des choses.
10:35 La solution aujourd'hui, c'est de constater
10:40 que c'est la continuité d'un système qui est là depuis 2012.
10:45 Et qui s'est perpétuée.
10:47 Et les 5 mois qui nous ont permis de ne rien réduire.
10:52 C'est ce qui nous a permis de faire.
10:54 On a 12 ans pour travailler et on a 5 mois pour modifier la condition de vie au Sénégal.
11:02 La question de fonds qu'on a aujourd'hui dans l'élection est simple.
11:06 1 500 000 familles sont dans l'extrême pauvreté.
11:12 Si on ne les a pas, on ne les nourrit pas.
11:16 Aujourd'hui, le Sénégal est en train de mourir.
11:21 On a de vrais problèmes.
11:24 On parle de 700 jeunes qui sont en Galie pour aller en Espagne.
11:31 Cela veut dire que tout ce qu'on peut faire
11:36 et comment on peut le faire, c'est de prendre les enfants de la pauvreté
11:42 et de les nourrir.
11:45 Ce sont les résultats et les faits qui ont caractérisé les 12 années.
11:52 Donc, la réponse doit être de ne pas en avoir.
11:57 On doit en avoir pour les enfants et pour qu'ils puissent avoir un diplôme.
12:04 Pour qu'ils puissent se nourrir et se nourrir de leur famille.
12:10 Mais rien n'est encore fait.
12:14 La réalité est que le Sénégal doit se réconstruire.
12:20 Reconstruire la société, les droits, la liberté et la démocratie.
12:28 Mais surtout la qualité de vie d'un citoyen.
12:33 Il faut que les gens s'en souviennent.
12:40 Il faut que les jeunes soient à l'âge où ils sont.
12:47 Pour aller à la fleur de l'âge, il faut avoir de l'argent et un institut.
12:54 Cela veut dire que ce qu'on laisse ici ne va pas bien.
12:58 Si on laisse ça ici, on ne va pas bien.
13:05 C'est ça la vérité et les faits.
13:08 On a parlé de la réforme du gouvernement
13:13 - C'est la quinte d'Ibai, une annonce...