• l’année dernière
LDC.News protège notre liberté d'expression. Vous pouvez aussi la financer par vos dons. Tout financement participatif même modeste, permet d'élargir nos capacités afin de mieux protéger notre liberté à tous.
Click on : https://www.paypal.com/donate?hosted_button_id=2ZNQG6E93YWVN

Ces images sont disponibles à l'achat. Pour plus d'informations : administration@agence-ligne-de-conduite.com COPYRIGHT AGENCE LDC.NEWS ©2018. ATTENTION TOUTES LES UTILISATIONS COMMERCIALES OU NON COMMERCIALES SONT STRICTEMENT INTERDITES. AUCUNE REPRODUCTION PARTIELLE OU PLEINE DE VIDÉOS ET DE PHOTOGRAPHIE SONT LIBRE DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU TOTALES, VEUILLEZ NOUS CONTACTER SUR NOTRE SITE WEB DAILYMOTION.

AGENCE DE COPYRIGHT LDC.NOUVELLES ©2018. ATTENTION, TOUT USAGE COMMERCIAL OU NON COMMERCIAL EST STRICTEMENT INTERDIT. AUCUNES REPRODUCTIONS VIDÉOS ET PHOTOS PARTIELLES OU INTÉGRALES NE SONT LIBRES DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU INTÉGRALES, MERCI DE NOUS CONTACTER VIA NOTRE SITE DAILYMOTION.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 [Musique]
00:16 On va essayer de faire intervenir Louis.
00:19 On va voir si ça fonctionne.
00:21 Donc Louis, on nous somme place Saint-Michel devant quelques centaines de personnes.
00:26 J'essaie de mettre le haut-parleur et ça devrait fonctionner.
00:28 C'est un honneur de pouvoir parler à distance en plus sous la place Saint-Michel,
00:32 qui est en ce temps le titulaire du Dragon.
00:34 La première chose que je pourrais dire, c'est qu'aujourd'hui j'ai reçu énormément de soutien,
00:41 et dans les jours précédents, et ça a été extrêmement précieux.
00:44 Pour tout vous dire, si je devais entrer dans la caverne du Dragon pour discuter avec le conseil de l'Ordre,
00:50 le Dragon aurait déjà été abattu par l'ensemble du travail collectif de soutien qui avait été mis en place.
00:56 Il y a une petite équipe qui s'est chargée de réunir des serfins de témoignages justement sur la déontologie,
01:02 des gens qui ont écrit au conseil de l'Ordre pour les remercier, pour me remercier par leur intermédiaire.
01:07 Et ça a été très précieux.
01:09 Je peux vous le dire puisque les gens du conseil de l'Ordre avaient une énorme boîte remplie de cartes postales,
01:14 de lettres, etc.
01:17 Et pour eux c'était comme un trésor.
01:18 Vous imaginez que tous les jours ils ne reçoivent que des documents de merde administratifs emmerdants au possible,
01:25 et qui traite toujours de choses conflictuelles.
01:29 Et là cette fois-ci ils recevaient des petits cœurs, des fleurs, de la joie, des remerciements.
01:33 Et ça c'était très inhabituel pour eux.
01:35 Et donc ça, le fait que le conseil de l'Ordre reçoive ça, c'est grâce à vous, grâce à tous les gens qui ont fait ce petit effort-là de soutien.
01:44 Et je peux vous dire que ça a donné énormément de courage, énormément de force,
01:47 et ça a déjà triomphé du Dragon avant qu'on ait besoin de se battre.
01:51 Et au fond c'était l'idée, c'est de dire "on rentre dans la tour d'Ivoire, mais on va en sortir indenne, et puis on va commencer à discuter".
01:59 Alors vous ne m'avez pas vu, mais vous pouvez imaginer que quand on rentre dans une arène, on doit respecter son adversaire.
02:06 Et respecter son adversaire c'est essayer de trouver les bons côtés de lui, et les bons côtés de lui.
02:10 Et donc contre toute attente j'étais passé chez le coiffeur, qui m'a coiffé.
02:15 J'avais mis un costume, comme le jour de mon mariage, je ne suis pas trop gros,
02:19 mais encore un peu attrapeur.
02:22 Et ça c'était du respect. Du respect parce que si vous donnez du respect à quelqu'un, vous en obtenez en retour.
02:28 Et c'est ce qui s'est passé.
02:30 C'est-à-dire que l'avocat, même du Conseil National de l'Ordre, a été respectueux,
02:33 il n'a pas sorti de mots débiles "vous êtes conflottiste" ou je ne sais pas quoi.
02:37 Non, non, il a simplement essayé de dire ce qu'il avait à dire.
02:40 Mais en gros, peu importe ce qui sera décidé par le Conseil de l'Ordre,
02:45 au fond ce qui s'est passé aujourd'hui ce n'est pas tant le passage du Dr Fouché devant la Chambre Disciplinaire,
02:51 c'est plutôt l'ensemble des gens et du collectif qui a réussi à mettre en rôle et en action une force inarrêtable.
02:59 Une force de soutien à Amine, une force de soutien au Dr Fouché,
03:03 mais aussi une autre perspective.
03:05 L'autre perspective c'est qu'à partir de ce moment pourri qui est le passage devant la Chambre Disciplinaire,
03:10 est-ce qu'on peut essayer de faire quelque chose de chouette ?
03:13 Comment faire de ces emmerdes une opportunité ?
03:16 Ce qu'on essaie de faire avec le Covid depuis trois ans,
03:19 c'est de dire "ça vient nous dire qu'il y a des choses à changer et où est-ce qu'on doit travailler ?".
03:23 Et au fond où est-ce qu'on doit travailler c'est avec les institutions.
03:27 On n'a pas besoin de crier contre elles, d'essayer de les défoncer, elles ont le pouvoir.
03:32 Donc on ne tombe pas à les faire tomber.
03:34 Par contre, on peut mettre le pied dans la porte, rentrer dedans,
03:37 et petit à petit transformer les gens à l'intérieur.
03:40 Vous s'assurer que tout ce que vous avez fait, votre soutien, vos lettres, vos serfas,
03:45 les témoignages e-mails, vous avez déjà mis les pieds dans la porte,
03:49 vous avez déjà commencé à les transformer.
03:51 Tout le secrétariat du Conseil Régional de l'Ordre des Médecins l'a remercié.
03:56 C'est assez rare quand même d'aller dans une Chambre Disciplinaire
03:59 et qu'à la fin on vous dise "merci pour ce que vous faites".
04:01 Et ça, je vous le dois à vous.
04:04 Et donc, encore une fois, ma gratitude déborde,
04:06 je ne sais pas comment la témoigner mieux que ça que de répéter "merci, merci, merci"
04:11 et de vous renvoyer toute cette grâce que vous avez donnée.
04:15 Non mais, en étant admiratif du fait que quand les humains se mettent ensemble,
04:20 ils sont capables de construire le meilleur.
04:22 Et il n'y a pas de limite en fait.
04:26 Notre seule limite, c'est nous.
04:28 Et qu'est-ce qu'on a à faire maintenant ?
04:30 Justement, au point de vue sanitaire, il y a tellement de chantiers
04:34 au point de vue sanitaire seulement,
04:36 mais d'un point de vue sanitaire, aujourd'hui, il y a énormément de gens qui souffrent
04:38 des effets secondaires du vaccin.
04:40 Et tout le monde s'en fout.
04:42 Les médecins s'en foutent,
04:44 les autorités s'en foutent,
04:46 Aurélien Rousseau, le ministre de la Santé, s'assoit dessus en disant
04:49 "il n'y a pas d'effets secondaires, tout va bien, il faut se repérer".
04:54 Je l'ai répondu un peu à ce que...
04:56 [Rires]
04:58 "Vous n'êtes pas contents".
04:59 Effectivement, on n'est pas contents.
05:01 Le réflexe de bon sens des associations de victimes,
05:03 comme Oumé-Montcy, comme Operity, etc.,
05:05 de tout de suite porter plainte au pénal,
05:07 ça, c'est extrêmement précieux.
05:10 Il faut le refaire à chaque fois.
05:12 Maintenant, chaque fois qu'un Télé2B l'ouvrira en disant une connerie,
05:15 chaque fois qu'un administratif ou un représentant l'ouvrira en disant une connerie,
05:20 il faut le faire taire.
05:21 Il faut lui taper sur la clef et dire "permis, stop, à la biche".
05:25 Mais à la fin, effectivement, ça va s'arrêter.
05:30 Il y aura un réflexe pavlovien qui est "ouh là là, je suis en train de dire une connerie,
05:33 je m'arrête tout de suite, je vais m'en prendre plein la vie".
05:35 Parce que quand vous prenez de plainte pénale,
05:37 quand vous prenez des déferlements de mails, de tweets
05:39 qui disent "non mais oh, tu verras",
05:41 pourquoi on ne sait pas que la mémoire n'est pas la même ?
05:43 En fait, ça arrête le système.
05:45 Aujourd'hui, on a célébré symboliquement la naissance
05:49 à ce moment-là,
05:51 le Commission Disciplinaire,
05:53 avec Amine Humil et moi,
05:55 on célèbre une naissance,
05:57 on célèbre un événement joyeux.
05:59 La naissance, c'est celle des enfants d'hypocrates.
06:01 Donc les enfants d'hypocrates collectifs pour des thérapeutiques sûres et efficaces.
06:04 Vous avez déjà entendu ce mot "sûres et efficaces" ?
06:06 Ça y est, il est engrammé dans le cerveau des gens.
06:09 Et donc, on va utiliser les routes synaptiques
06:11 qui ont déjà été engrammées par le pouvoir,
06:13 mais on va les amener à d'autres endroits.
06:15 C'est-à-dire qu'à chaque fois qu'on va parler de "sûres et efficaces",
06:17 en fait, on va sous-entendre qu'on va désinguer
06:19 les thérapeutiques de merde inefficaces et toxiques
06:21 qui nous sont fourguées par les laboratoires
06:23 et par les acteurs de théâtre qui sont déjà emmenés au pouvoir,
06:26 qui sont en fait les VRP de l'industrie pharmaceutique.
06:28 On va désinguer ça.
06:30 Évidemment, c'est possible. Évidemment, on n'est à rien...
06:32 Là, je vous fais un signe dans la voiture
06:34 parce que je suis parlé avec les mains, je suis un peu du cieux.
06:36 On n'est à presque rien de réussir à retirer du marché
06:41 le vaccin Pfizer et les vaccins ARN anti-COVID.
06:44 Parce qu'on a toutes les datas.
06:46 Parce qu'on a tous les témoignages de victimes d'effets secondaires.
06:48 Parce qu'on a déjà un constat de réalité qui est venu frapper à la porte.
06:52 Et donc maintenant, est-ce qu'on fait comme le viol ?
06:55 Le viol, est-ce qu'on fait comme les autres médicaments ?
06:57 On attend que ce soit les autres qui se mettent au turbin
06:59 et peut-être dans 10-15 ans, on va dire "Ah bah ouais, c'est couru, merde, désolé."
07:03 On aura mis les yeux pour pleurer entre-temps.
07:05 Ou est-ce que nous, citoyens, on dit "Ok, on va revivifier la démocratie sanitaire
07:09 conformément à la loi du 4 mars 2002 sur les droits des malades.
07:12 On va reprendre en main notre destin."
07:14 Les patients, les médecins, les scientifiques, les chercheurs et les citoyens
07:18 ont évidemment leur mot à dire sur les questions relatives au traitement
07:23 et à la santé publique.
07:25 Parce qu'on est les premiers concernés et même les derniers concernés.
07:28 Parce que vous savez que les gens qui sont au pouvoir et qui votent les lois pour nous,
07:31 eux en général, se sentent que très peu concernés.
07:33 Pour mémoire, les députés se sont exemptés eux-mêmes de la sanitaire.
07:37 C'est assez gros.
07:39 Pour que ce soit clair sur ce que sont les enfants d'hypocrates,
07:43 en gros, c'est un groupe d'humains qui vont essayer de remettre en place
07:48 des relations diplomatiques avec les tutelles institutionnelles.
07:52 Pour rentrer dans la porte de tous ceux qui sont concernés
07:55 par les politiques de santé et servir d'interface.
07:58 Comme, vous savez, le ministère des Affaires étrangères.
08:01 Comme si on avait des diplomates en lien avec les ARS,
08:05 l'HAS, la Direction générale de la Santé, le ministère de la Santé,
08:11 les députés, les sénateurs, les directeurs hospitaliers,
08:15 les commissions médicales du tabassco, les institutions hospitalières,
08:18 les médecins généralistes, le conseil de l'ordre.
08:21 Évidemment, le conseil de l'ordre.
08:23 Pourquoi le conseil de l'ordre ?
08:24 C'est évidemment les premiers qui vont prendre la main, on va dire.
08:26 C'est une commission disciplinaire.
08:28 On la prend.
08:30 Évidemment, parce que c'est aux médecins de commencer le travail
08:36 d'information les uns des autres et de prendre soin des patients.
08:39 C'est aux médecins de faire...
08:41 Les patients qui ont des effets secondaires.
08:44 Et donc, on va demander ça au conseil de l'ordre.
08:47 Je vais peut-être expliquer l'action qui a été faite aujourd'hui
08:49 dans différents conseils de l'ordre en France.
08:51 On va tenter de...
08:53 Voilà, ça a été déposé à un dossier technique, etc.
08:55 Et ça, il faut bien le prendre conscient.
08:57 C'est-à-dire que le rapport démocrate va s'en venir d'interface,
09:00 mais à la fin, le travail sera fait par qui ?
09:02 Il sera fait par les associations de victimes
09:04 qui vont venir dire leurs souffrances.
09:06 Il sera fait par les scientifiques, les chercheurs et les médecins
09:09 qui vont colliger les datas
09:11 et permettre d'avoir un regard de compréhension scientifique
09:15 et médicale sur ce qui se passe.
09:17 Mais surtout, le travail sera fait par les citoyens.
09:20 Parce que c'est les citoyens qui sont le sésame
09:22 pour rentrer dans les institutions.
09:24 Vous pouvez forcer la porte.
09:27 Vous pouvez, par un zèle de la bienveillance, on pourrait dire,
09:32 réussir à vous remettre en relation avec ces institutions
09:35 qui sont à votre service.
09:37 Parce que nous ne les utilisons pas
09:39 et nous ne faisons pas valoir notre voix
09:41 qu'elles tournent en rouge
09:43 et qu'elles ont été appropriées par les multinationales.
09:47 En fait, nous devons reprendre notre place
09:49 exactement comme Ulysse,
09:51 quand il revient de son odyssée à travers la Méditerranée,
09:54 exactement comme nous, après avoir traversé le Covid,
09:57 nous devons revenir au palais, chasser les imposteurs
10:00 et reprendre le pouvoir.
10:02 Et pour ça, évidemment,
10:04 personne n'a dit que c'était facile,
10:06 personne n'a dit que la liberté était confortable,
10:08 personne n'a dit que le chemin d'autonomie
10:10 était quelque chose où vous allez être biberonné
10:12 tranquillement par Youtube, Instagram et Twitter.
10:15 Non, non, c'est un chemin difficile,
10:18 pavé d'embûches,
10:20 affrontement dur avec le réel.
10:22 C'est ce chemin que les enfants d'hypocrates proposent
10:24 en disant "mais quelle chance quoi !"
10:27 Plus on va vivre ça, plus on va être vraiment vivants.
10:30 Et plus on va voir que le monde qu'on est en train de créer
10:33 est beau pour nos enfants, il est désirable.
10:36 Aujourd'hui, on est dans un monde où tout est peur,
10:38 où tout est guerre, où on doit être pour, on doit être contre,
10:40 on doit prendre position.
10:42 Je suis pour l'Ukraine, contre je ne sais pas quoi,
10:44 contre les punasses de l'Iran,
10:46 contre les punasses de l'Iran, vous imaginez
10:48 quelle connerie on vous fait avaler.
10:50 Et donc, là on va s'intéresser à la santé,
10:54 on va désinguer le vaccin Covid anti-ARN,
10:58 on va ensuite faire reconnaître,
11:01 en même temps faire reconnaître les effets secondaires
11:03 et développer la spychologie,
11:05 c'est-à-dire un travail sur soigner les gens,
11:07 développer une médecine exactement comme il y a eu
11:09 pour la tuberculose, il y a eu la physiologie,
11:11 comme pour le VIH, il y a eu la VIHologie,
11:14 comme aujourd'hui pour les vaccins ARN,
11:16 il y aura la spychologie.
11:18 Et la médecine a des réponses à apporter
11:20 pour soulager les gens.
11:22 Donc il faut arrêter de faire semblant que ça n'existe pas
11:24 et redonner toute sa place à ce soin-là.
11:27 Parce qu'en plus, il ouvre un tout plan de médecine
11:29 intéressante qui peut venir en pratique complémentaire
11:33 de la médecine allopathique,
11:35 qui réfléchit sur la psychologie,
11:37 sur les recharges nutritionnelles,
11:39 sur le rôle des émotions, etc.
11:41 et qui sont très importantes dans cette histoire
11:44 de spikopathie chronique ou aiguë.
11:47 Donc ça, c'est déjà la première perspective.
11:49 Et on va dire, si ça marche ce qu'on fait,
11:51 si quand on ouvre des portes en envoyant des dossiers,
11:53 des accusés réceptions,
11:55 en allant frapper à la porte toutes les semaines en disant
11:57 "Bon, en fait, quand est-ce qu'on a rendez-vous,
11:59 M. le Président du Conseil de l'Ordre,
12:01 pour faire venir mes experts ?"
12:03 Ça va pas marcher. Parce que ça ne peut que marcher.
12:05 Et bien évidemment, ensuite, on fera le travail pour le BFortus,
12:07 on fera le travail pour le Gardasim,
12:09 on fera le travail pour toutes les thérapeutiques
12:11 de merde et inefficaces
12:13 qui nous sont fourguées par les laboratoires.
12:15 Et ça, c'est un travail de reconquête
12:17 qui est proprement lent, patient et méthodique,
12:21 mais qui est en même temps extrêmement porteur d'espoir.
12:24 Voilà, et j'espère que le travail, là,
12:26 on va l'entreprendre ensemble,
12:28 avec patience, méthode et détermination.
12:32 En tout cas, rien ne nous arrêtera.
12:34 Au revoir.
12:36 Sous-titrage Société Radio-Canada
12:38 © Sous-titrage Société Radio-Canada
12:40 [SILENCE]

Recommandations