• l’année dernière
Tapi dans sa chambre d'hôtel, Ralph Milan ne peut pas rater Louis Randoni. Lorsque ce fâcheux témoin malheureux d'affaires indélicates montera les marches du palais de justice, Milan fera feu, avec son assurance habituelle, et tout sera dit. Mais dans la chambre voisine, François Pignon, un voyageur de commerce désespéré par le départ de sa femme, vient de passer autour de la canalisation des toilettes la corde qui doit le pendre. Il se jette dans le vide, s'effondre, entraîne la tuyauterie avec lui et provoque une inondation dans la chambre de Milan qui, d'énervement, en manque son affaire. Ralph se voit contraint, pour éviter d'attirer l'attention de la police, de protéger Pignon, qui va l'accabler d'une amitié encombrante...
Transcription
00:00 Certains pensent à juste titre qu'on a tout vu au cinéma.
00:05 Des gentils, des méchants, des beaux, des laids, des flics,
00:11 timides, coléreux, malades, des saints, des fesses, des femmes,
00:18 fatales, naïves, jalouses, tout.
00:22 On a tout vu, tout.
00:24 Sauf un représentant d'une espèce pourtant très répandue,
00:29 je veux parler de l'emmerdeur.
00:33 L'emmerdeur, vous pouvez l'écrire en bleu, en rouge, en jaune,
00:40 en vert, en hébreu, en chinois, en sténaud, en morse ou en anonyme.
00:47 Vous pouvez le fendre en deux, le couper en quatre, l'envoyer par la poste,
00:51 faire une faute d'orthographe.
00:53 L'emmerdeur restera un emmerdeur.
00:58 Quand il y a un emmerdeur, il y a toujours un emmerdé.
01:02 Vous ne pourriez pas vous décontracter un tout petit peu ?
01:18 Là, ça gonfle, alors. Moi, je ne peux pas y arriver.
01:20 Maman ! Maman !
01:27 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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