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Transcription
00:00 qui va tout poser problème dans ce pays-là.
00:02 Et donc, nous avons convenu
00:04 qu'il fallait prendre tout cela en charge
00:07 pour montrer à M. Macky Sall
00:11 que les citoyens en ont assez
00:13 et qu'ils sont mobilisés, justement,
00:15 pour qu'il y ait une alternative à son pouvoir.
00:21 Nous avons, au-delà des situations,
00:25 insisté sur la nécessité de dénoncer vigoureusement
00:29 l'arrestation injustifiée de M. Alun Sané.
00:33 Et nous avons retenu qu'une pétition,
00:35 qui a été signée par tous les membres présents,
00:38 va être mise à nu,
00:41 mais également que nous allons même demander
00:45 d'écrire des lettres de témoignage
00:47 pour montrer que ce qui lui est reproché
00:49 est totalement fallacieux,
00:50 et même que nous allons demander
00:53 des demandes de comparution,
00:56 donc concernant le cas d'Alun Sané.
00:59 Mais l'ordre du jour,
01:01 porté surtout sur le procès électoral,
01:04 nous allons organiser, à partir de la semaine prochaine,
01:09 un atelier dans lequel la classe politique,
01:13 en tout cas, et toutes les organisations
01:16 soucieuses de clarté et de cessée de l'élection
01:21 vont se mettre ensemble pour approfondir la réélection
01:25 et créer les conditions d'une sécurisation
01:28 du procès électoral.
01:30 Et donc, voilà ce qui a été retenu pour l'essentiel.
01:36 Et nous allons poursuivre également
01:39 le plan d'action que nous avions initié
01:42 et sur lequel nous reviendrons prochainement.
01:44 Merci.
01:51 Cela a été également l'occasion de dénoncer
01:54 encore veillamment les violations
01:57 des droits de nos concitoyens,
02:00 à commencer par celle d'Ousmane Sonko,
02:02 dont le représentant a été privé
02:05 de retirer les fiches de parrainage.
02:08 Et la décision de la Cour suprême
02:12 est également sans précédent.
02:15 Et il est convenu ici de continuer à se battre
02:18 sur le principe d'une élection inclusive et transparente.
02:23 Cela est extrêmement important.
02:25 Nous nous inscrivons aujourd'hui,
02:27 ce qu'on observe au Sénégal,
02:28 c'est une violation continue des droits démocratiques,
02:32 et c'est sans précédent,
02:34 sans précédent dans l'histoire politique de notre pays.
02:37 Aujourd'hui, éliminer les candidats par voie judiciaire,
02:42 c'est d'un autre âge.
02:43 On n'en parle plus dans aucun pays.
02:45 Au Sénégal, c'est vraiment...
02:46 Nous n'avons jamais atteint
02:48 ce niveau de violation des droits.
02:50 Notre coordonnateur adjoint,
02:54 comme l'a dit notre coordonnateur,
02:56 monsieur M'Bouy,
02:57 nous étions ensemble dans la même délégation
03:00 lorsque nous sommes allés rendre visite
03:03 à l'époque à Ousmane Sonko.
03:05 Nous étions dans la même délégation.
03:07 Il a été le seul, dès qu'il a posé les pieds par terre,
03:10 à être raflé par la police.
03:12 C'est une raf pour rappeler le concept de raf,
03:15 et cela est inacceptable.
03:17 Donc, nous avons effectivement décidé
03:19 de demander au juge de nous entendre.
03:21 Nous étions ensemble.
03:22 Qu'il nous entende pour que notre témoignage
03:24 soit enregistré.
03:25 Il n'a aucunement et jamais violé aucune décision,
03:29 aucune disposition de la loi.
03:33 Et voilà le continuum dans lequel on s'inscrit.
03:35 Nous avons encore des milliers de jeunes
03:38 qui croupissent dans les prisons.
03:40 C'est la rentrée des classes,
03:41 il y a des chefs de famille,
03:43 c'est des milliers de familles aujourd'hui
03:45 qui se retrouvent dans le désarroi.
03:47 Ce que nous avons jamais connu dans ce pays.
03:49 Le président Macky Sall, lui-même,
03:50 nous étions avec lui en 2011.
03:53 Si le président Abou El Ayoub avait procédé de même,
03:56 il n'aurait pas été candidat,
03:57 il n'aurait jamais été président de la République.
03:59 Le président Abou El Ayoub, également,
04:01 était un opposant déterminé
04:03 face au président Abou Diouf.
04:05 On n'a jamais atteint ce niveau de violation
04:07 des droits démocratiques dans ce pays.
04:10 Donc, il est important
04:13 que les Sénégalais se mobilisent
04:15 pour défendre la démocratie,
04:17 pour que nous allions vers des élections
04:19 libres et transparentes,
04:20 qu'après la tentative,
04:22 parce que nous allons continuer à nous battre,
04:24 comme je l'ai dit, pour une élection inclusive,
04:26 qu'on se batte également
04:28 pour que le processus électoral soit transparent,
04:32 qu'il n'y ait pas d'élimination
04:33 par une stratégie de doublonnage général,
04:37 on peut l'appeler comme ça,
04:39 et ça, nous serons intransigeants
04:41 sur cette question-là.
04:43 Nous irons aux élections
04:44 et le candidat du président Makissal
04:46 sera battu à plate-couture.
04:48 Il n'arrivera pas troisième.
04:49 Ça, on peut prendre le pari ici.
04:51 Donc, nous avons décidé, effectivement,
04:53 d'être ensemble, de nous serrer les coudes,
04:56 de veiller à ce que le contrôle du vote
04:58 soit effectif, de veiller à ce qu'il n'y ait pas
05:01 de tentative d'élimination de candidats,
05:03 aussi bien sur le plan judiciaire
05:05 que par la stratégie d'élimination
05:07 par les parrainages.
05:08 Et évidemment, la question
05:10 de la vie insoutenable des Sénégalais.
05:13 Nous demandons au président Makissal
05:14 de continuer à gouverner ce pays.
05:16 Les Sénégalais sont laissés à eux-mêmes.
05:19 Ils sont laissés à l'abandon.
05:20 Les prix atteignent des cimes
05:23 et les Sénégalais, aujourd'hui,
05:24 ont du mal à survivre.
05:25 On n'entend ni le gouvernement,
05:27 ni le président.
05:29 Il y a une pénurie d'eau généralisée
05:31 dans Dakar et dans beaucoup de régions.
05:32 C'est comme si le pays était
05:34 sur le pilotage automatique
05:36 parce que le président et son Premier ministre
05:38 sont occupés à vouloir gagner une élection
05:41 qu'il sera impossible de gagner pour eux.
05:43 Je vous remercie.
05:44 -Moi, ce que je veux dire,
05:56 c'est que pour parler d'Aston au Sénégal,
06:01 il faut parler de la F24.
06:04 Parce que la F24,
06:09 c'est la courrière qui a fait
06:11 que toute l'opposition a été détruite.
06:14 Ce qu'on dit,
06:19 c'est que c'est la faute de l'Etat.
06:21 Il faut qu'on s'en fasse.
06:26 Il faut voir ce qu'on fait pour le sauver.
06:29 Aujourd'hui,
06:33 tout le Sénégal est fatigué.
06:36 Si on ne fait pas ce qu'on a fait,
06:40 on peut en parler.
06:42 On peut aller sur la terre.
06:46 C'est plus tard.
06:50 Parce que la terre, la nourriture et l'eau
06:53 sont les plus importants.
06:55 Il faut qu'on s'en fasse.
06:59 Ce que vous faites dans la courrière,
07:02 ce que vous faites dans le Sénégal,
07:06 il faut que vous le fassiez.
07:07 C'est plus tard.
07:08 Les gens qui ont une fèvre,
07:13 ce qu'ils ont dans leurs enfants,
07:17 ils ne peuvent pas aller au docteur.
07:19 Certains ne peuvent pas aller au docteur
07:23 parce que si ils y vont,
07:25 ils doivent faire des consultations sur l'amnésie.
07:28 Certains doivent mourir.
07:34 Je parle de travail.
07:35 C'est ce que je veux dire à tous.
07:41 Parce que nous voulons, au Sénégal,
07:46 que vous ayez une fèvre.
07:52 Il y a des problèmes.
07:53 On l'a dit cinq fois.
07:56 Ce que vous savez, c'est qu'on a fait un grand effort.
08:02 C'est impossible.
08:04 Je vous ai dit que ce combat, on ne peut pas le gagner.
08:08 On a vu que nous pouvons le faire.
08:12 Je ne parle pas du métier.
08:17 Parce que réanimation,
08:18 on ne peut pas y aller.
08:20 Les gens se sont faits chier.
08:23 Et tu es là depuis tout à l'heure.
08:25 On veut être là pour les élections.
08:30 On ne peut pas leur donner de parrainage.
08:33 On doit faire des efforts.
08:37 Mais on va se mettre en place.
08:40 À la couliale 2024,
08:45 Ousmane Sonko sera en pouvoir.
08:48 Je vous le dis.
08:50 2024, Ousmane Sonko sera en pouvoir.
08:53 Et on ne peut pas le perdre.
08:57 On va se mettre en place.
09:00 Comme le dit le Premier ministre,
09:02 je vous ai dit que si on y va,
09:05 on ne peut pas y aller à 10 heures.
09:09 10 heures, c'est un délire.
09:12 Parce que les candidats Amoudou Bak et Macky Salle,
09:18 ils ont laissé les autres.
09:20 C'est vrai.
09:22 Et on ne peut pas les laisser avec Ousmane Sonko.
09:27 On est d'accord.
09:29 On vous félicite, Président.
09:33 Surtout pour les élections.
09:35 On vous a dit qu'il y a des choses qui sont vraies.
09:41 Mais l'opposition est toute foule.
09:43 C'est vrai.
09:45 Pour que les élections de l'année prochaine
09:48 ne soient pas à 10 heures.
09:51 C'est ce que je voulais faire.
09:53 Merci, M. le Président.
09:56 Je voudrais dire quelque chose.
09:59 Je voudrais plutôt ça.
10:02 Ce que je voudrais dire, c'est que...
10:05 Je voudrais dire deux choses.
10:09 Si vous voulez savoir ce qui est la propagande politique de Macky Salle,
10:16 ce qu'elle dit dans les médias, comme vous le voyez,
10:23 c'est qu'il y a deux thèmes qui sont différents.
10:30 Vous savez, on a toujours voulu être président.
10:35 Mais si on ne fait pas de manipulation,
10:42 on va perdre les candidats légitimes
10:47 qui ont été élu et qui ont été libérés.
10:51 Mais aussi ceux qui sont dans des situations
10:54 où ils ont été libérés.
11:01 Mais aujourd'hui, il y a eu beaucoup de candidatures.
11:04 Ce que je voudrais dénoncer, c'est que rien ne l'a pas fait.
11:08 Macky Salle, si tu es candidat,
11:12 parce que dans nos droits publics ou électoraux,
11:16 tu ne vois pas un chapitre où tu dis candidat à la candidature.
11:20 Candidat à la candidature,
11:22 c'est une discussion qui est très claire.
11:24 La coalition ne va pas en parler,
11:27 mais le parti politique en parle.
11:30 Mais comme il y a eu des candidats,
11:32 leur discussion a prolongé sur la sphère publique
11:37 et sur ces formulaires.
11:39 Aujourd'hui, si le Sénégalais veut être président,
11:44 il y a deux millions de gens qui sont dans ce fichier.
11:49 Tout le monde peut être un candidat à la candidature.
11:56 Mais aujourd'hui, je veux dire qu'il y a des millions de gens
12:02 qui sont là-bas.
12:03 Parce que si tu veux être candidat,
12:07 tu dois donner ta carte d'identité.
12:09 Le mandataire peut donner sa lettre,
12:12 mais tu ne dois pas donner ta carte d'identité
12:14 à un candidat.
12:15 Il n'y a pas de deux personnes
12:17 qui peuvent être là-bas pour connaître
12:19 leurs antécédents et leurs passés judiciaires.
12:21 Il n'y a pas de casier judiciaire.
12:23 Il n'y a pas de question, de filtre,
12:25 d'attestation sur l'honneur
12:27 comme quoi Mme Birame Mpoguiou
12:29 est là-bas.
12:33 Tout ceci est un filtre qu'on a laissé
12:35 au Conseil constitutionnel.
12:37 Elle ne le dégère pas.
12:39 C'est ce qui a déréglé la bille.
12:41 Donc, je veux rassurer les Sénégalais
12:45 que les candidats qui sont là-bas,
12:47 il y en a des qui sont sérieux.
12:49 Ils sont les plus forts.
12:51 Et que Mme Birame,
12:52 la plus grande candidate,
12:54 n'a rien perdu.
12:55 Elle n'a rien perdu dans le cadre et dans le maquement
12:59 dont on doit donner la fonction présidentielle,
13:01 concrètement, et dans ce dont on doit voter.
13:04 Ce qui me dérange, c'est que les Sénégalais,
13:10 dans les deux pays,
13:12 ne sont pas les mêmes.
13:13 Mme, vous savez qu'elle est une F24.
13:16 Non seulement elle a perdu le troisième mandat,
13:18 Dieu lui a donné,
13:20 elle a été élevée pour les jeunes qui sont venus,
13:24 qui sont des jeunes qui ont été élevés,
13:25 qui ne sont pas dans le même pays,
13:27 mais qui ont aussi été élevés,
13:28 le processus électoral est clair,
13:31 mais elles ont été élevées pour qu'ils aient le temps de se réunir,
13:34 pour qu'ils puissent faire la Sénégal.
13:36 Les Sénégalais, dans leurs deux pays, vous savez qu'ils sont,
13:39 en tout cas, ils ont réussi.
13:41 C'est la sécurité de la vie.
13:43 Ils ont réussi à se réunir.
13:44 Vous savez que Mbakissal et son gouvernement
13:48 ne se sont pas élevés.
13:49 Ce sont leurs candidats ou leurs amis qui ont été élevés.
13:54 Vous savez que le loi de l'éducation est là.
13:56 Nous l'avons encadré.
13:58 Depuis le matin, il n'y a pas eu de mesure
14:00 pour que les résultats soient élevés.
14:02 Nous pouvons nous en douter.
14:05 Mais aussi, l'école,
14:08 les problèmes que nous avons dans le domaine de l'éducation,
14:12 tout cela, l'agenda,
14:15 le FN4 l'a mis en place pour le faire.
14:17 Les Sénégalais, ils sont heureux.
14:19 Le courant, vous savez,
14:22 ne veut pas que les Sénégalais facturent.
14:24 Ils n'ont pas de contrôle.
14:27 C'est pourquoi,
14:29 le FN4 l'a pris pour qu'il soit fait en Sénégal.
14:34 C'est pourquoi, si le FN4 a été mis en place,
14:37 est-ce que nous, au Sénégal, devons venir
14:39 et mettre en place le FN4 dans l'agenda,
14:43 le faire, parce que ce n'est qu'une petite chose,
14:47 en tout cas,
14:48 ce qui est difficile.
14:50 Parce que, comme le dit le président de l'Assemblée,
14:55 comme le dit la première ministre,
14:56 nous n'avons pas le pouvoir de gagner les élections.
15:00 Mais, d'ici là,
15:02 les Sénégalais doivent manger,
15:06 doivent dormir, doivent faire leurs luas.
15:08 C'est pourquoi, nous avons pris ce qui n'a pas de pouvoir
15:12 pour que, d'ici là, nous puissions venir.
15:14 En tout cas, le FN4,
15:16 dans ce qui est le plus important,
15:18 c'est la bataille contre la série de la vie.
15:21 Nous avons besoin de forces vives pour que toute la nation
15:24 soit sociale, religieuse et politique.
15:26 Merci.
15:27 -Merci.
15:28 (Propos inaudibles)
15:34 Je rappelle qu'il y avait au minimum
15:36 34 leaders qui étaient présents.
15:39 Nous savons que c'est l'agenda
15:42 qui nous a fait les points de presse.
15:45 Vous avez suivi, à part le coordonnateur
15:48 des acteurs politiques, mais également
15:50 il y a des acteurs non politiques.
15:51 Nous savons qu'ils sont dans le courriel
15:53 de l'événement, nous les avons suivis.
15:56 Nous avons donc demandé de venir ici avec des fans,
16:00 par rapport au plan d'action que vous savez qu'il y a à faire.
16:03 Merci.
16:04 (Propos inaudibles)
16:09 (...)
16:14 (Propos inaudibles)
16:17 (...)
16:20 (Propos inaudibles)
16:24 (...)
16:28 (...)
16:31 (Bip)
16:32 (Bip)
16:33 (Bip)
16:34 (Bip)
16:35 (Bip)
16:37 [SILENCE]

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