Un mois dans les médias - 05/10/2023 - Partie 1

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00:00 *Musique*
00:18 Bonjour, bienvenue dans cette nouvelle saison d'Un Mois dans les Médias.
00:22 Votre rendez-vous proposé par TV Tour, Val de Loire et La Nouvelle République.
00:26 Chaque mois on jette, vous le savez maintenant, un coup d'œil dans le rétroviseur de l'actu.
00:29 On se projette aussi dans celle du mois à venir.
00:32 Analyse, décryptage, coulisses, c'est aussi l'occasion de vous expliquer avec mes invités
00:36 comment se fabrique cette information dont vous vous délectez chaque jour.
00:40 Avec moi en plateau Delphine Noyon, bonjour.
00:42 Bonjour.
00:43 Rédactrice en chef adjointe à La Nouvelle République.
00:45 Et puis Mathieu, bonjour.
00:47 Bonjour, Michel.
00:48 Vous êtes rédacteur en chef d'Info Tour et Deux Trente-Cinq Degrés, bienvenue à vous.
00:52 Je suis ravi de vous accueillir pour cette nouvelle saison.
00:55 Nous recevrons en troisième partie, puisqu'il y a une troisième partie, c'est la nouveauté.
00:59 Serge Babary, ancien sénateur d'Indre-et-Loire, les sénatariales qui ont lieu fin septembre.
01:04 Il nous dira comment s'est déroulé son mandat et quel est le rôle du Sénat.
01:08 Entre réalité et a priori nombreux qui planent au-dessus de cette vénérable institution.
01:13 Mais tout de suite, c'est l'info dans le rétro avec un récapitulatif des événements marquants de ces dernières semaines.
01:19 [Musique]
01:24 [Cris]
01:27 Il va y avoir des gens qui vont être privés d'eau et manifester le fait qu'on n'est pas d'accord pour qu'il y ait une appropriation.
01:32 Et qu'au contraire, il faut qu'on repense des trucs pour qu'on se la partage tous.
01:35 Ça m'a paru hyper important.
01:37 C'est un procès éminemment politique qui se joue au tribunal de Tours.
01:40 Les cinq prévenus qu'on pareste aujourd'hui pour avoir peint en orange une partie de la façade de la préfecture et du département le 22 mars dernier à Tours.
01:47 C'est ici qu'elle découvre le corps sans vie d'une femme de 57 ans habitante du quartier elle aussi.
01:53 La victime se trouve à côté d'une valise pleine de vêtements ouverte comme si elle était en fuite.
01:58 En fuite peut-être de son conjoint principal suspect et qui n'a pour le moment pas été retrouvé.
02:03 [Applaudissements]
02:06 C'était le 31 août 2013 à 13h tapante.
02:09 Le tramway arrivait place Jean Jaurès.
02:12 Une célébration de la mise en service de la ligne A en grand pont entre animation et gratin politique.
02:18 Bonjour, on vous laisse de la place.
02:20 A peine arrivé en France et déjà dans l'ambiance.
02:24 Les Tours en Jau savent être accueillants.
02:26 12 500 personnes se sont réunies pour acclamer le 15 du trèfle.
02:30 Au bout de 45 minutes, rideau, les joueurs retournent dans les vestiaires.
02:34 En cause un problème avec la pelouse du stade appris à la dernière minute par la ville de Tours.
02:39 Un spray nasal comme vaccin du futur.
02:42 Récemment la start-up est élue lauréate du programme France 2030.
02:46 Conséquence un apport financier de 5,3 millions d'euros.
02:50 De quoi anticiper des essais cliniques sur l'homme menés à grande échelle dans plusieurs hôpitaux de France
02:56 et pilotés par le CHU bretonneau de Tours.
02:59 Après une vingtaine de minutes de vol pour prendre de l'altitude, c'est parti.
03:03 Germaine et Jérôme sautent à 3000 mètres au dessus du vide.
03:07 [Musique]
03:14 Quelle expérience dans le ciel et puis le temps passe vite, vous le savez.
03:18 Mais le tram a bien 10 ans et pas 20 ans comme ça a pu être indiqué dans une coquille
03:22 sous l'un des sujets que vous venez de voir.
03:24 Dans cette première partie, on parlera donc politique avec les sénatoriales.
03:28 Mais d'abord une élection bien particulière à plus d'un titre a eu lieu en septembre.
03:35 Les municipales partielles à l'ARICHE.
03:37 Alors pourquoi on en parle ?
03:39 Parce que c'est l'histoire d'un retour raté pour l'ancien maire Wilfried Schwartz.
03:43 Un retour pourtant bien orchestré, mais qui s'est heurté un mur qui s'appelle la démocratie.
03:49 Avant de débriefer avec mes invités, on regarde l'annonce des résultats.
03:53 C'était devant la caméra de Faustine Luneau le 10 septembre dernier.
03:56 Il était à peu près 21h.
03:59 Ensemble de l'ARICHE, 1295 voix, soit 54,32%.
04:08 Pour Demain l'ARICHE, 1099 voix, soit 55,72%.
04:15 Des applaudissements pour accueillir la victoire de la liste de Sébastien Clément.
04:23 C'est dans une salle ronçard surchauffée qu'ont été annoncés les résultats,
04:27 après une longue attente.
04:29 Un faux suspense qui a plané pendant plus d'une heure.
04:31 Finalement, ensemble l'ARICHE devance la liste concurrente de 206 voix,
04:36 soit 54,32% des suffrages exprimés, contre 45,68%.
04:42 206 voix qui mettent Wilfried Schwartz hors jeu et désignent un nouveau maire, Sébastien Clément.
04:47 Etait-ce une surprise ? Je me tourne vers vous Delphine.
04:50 Non, ce qu'on constate c'est vrai qu'il y avait un front tout sauf Schwartz et il a fonctionné.
04:55 Alors c'était une surprise oui et non.
04:58 C'est-à-dire que de fait ça confirme des questions qu'on pouvait se poser sur
05:01 est-ce que sa condamnation a joué dans le fait que les LARICHEOIS n'ont pas souhaité le reconduire à la mairie ?
05:07 C'est possible.
05:08 Aussi peut-être le côté un peu grosse ficelle de la démission début juillet du Conseil municipal.
05:13 Ça les gens quand même ont un petit peu de mal à accepter.
05:16 Il y avait un petit côté "Allez, on démissionne, on se sacrifie pour que Wilfried Schwartz puisse revenir".
05:21 Il est possible que ça, ça ne se soit pas très bien passé.
05:24 Une Delphine, une Delphine.
05:26 Une surprise pour vous Mathieu.
05:28 Plutôt Wilfried Schwartz, c'était attendu parce que tout avait été orchestré comme vous l'avez dit pour qu'il revienne.
05:35 Tout avait été fait pour qu'il revienne.
05:36 Donc la démocratie a parlé et tant mieux.
05:38 Même dans la liste de Sébastien Clément, ils étaient, enfin ils ont parlé de doldup démocratique.
05:42 Ils étaient vraiment, ils accusaient un peu le coup.
05:44 Ils ont dû se presser, la liste n'était pas prête, le programme n'était pas prêt.
05:47 Ils ont fait ça au cœur de l'été, là où les gens étaient en vacances.
05:49 Donc pas facile de faire campagne face à un ancien maire mais qui était encore bien installé dans la mairie, dans la commune.
05:55 Donc c'était quand même, voilà, on peut dire que la démocratie a parlé et tant mieux.
05:58 Après c'est le jeu des règles.
05:59 Donc vous l'avez dit tous les deux, Wilfried Schwartz qui avait orchestré son retour après sa peine de 6 mois d'inéligibilité échue.
06:04 Et ça commence le 4 juillet par la démission des conseillers municipaux de la majorité, y compris le maire ancien premier adjoint de Wilfried Schwartz.
06:11 Ce jour-là, la stratégie devenait claire en fait.
06:14 Oui mais c'est vrai que, comme disait Mathieu, on voyait déjà Wilfried Schwartz, on le voyait de plus en plus.
06:19 On disait même qu'il circulait dans les couloirs de la mairie alors qu'il n'était plus élu.
06:23 Donc c'est vrai qu'on voyait bien un peu les choses venir.
06:26 Maintenant, bon, c'est un échec quand même assez cuisant pour lui.
06:31 Il faut voir comment il va pouvoir rebondir.
06:33 Comment il va rebondir derrière.
06:34 C'était clair là aussi, parce qu'effectivement, il n'est jamais vraiment parti d'un rôle politique, alors là officieux, plus officiel, mais à la riche.
06:42 Non, y compris dans les communications officielles de la ville, enfin sur la page Facebook de la ville, il apparaissait en photo aux côtés du maire Philippe Ferreira Poussos.
06:50 Donc il y avait quand même une orchestration de sa présence pour dire que c'est quelqu'un de terrain qui n'a jamais abandonné le terrain.
06:56 Donc tout avait, enfin, le plan COM avait été mis en place.
06:59 Après, ben voilà, c'est le jeu démocratique.
07:01 Et je pense en effet que la démission collective, comment elle s'est faite, a certainement fait pencher la balance auprès de certains électeurs.
07:08 Et puis, ben c'est une élection partielle.
07:10 Il n'y a eu non plus beaucoup de votants, l'abstention est grande.
07:13 Donc ça a joué aussi en la défaveur de Wilfrid Schwarz, je pense.
07:16 Il n'y avait pas une liste politique, il n'y avait pas une couleur politique.
07:19 C'était un panachage dans chacune des deux listes opposées.
07:23 Vous l'avez dit Delphine, il y avait ce soutien global de tous les partis, à peu près, tous sauf Schwarz.
07:33 Et ça, ça a joué forcément dans le résultat.
07:36 Oui, oui, c'est vrai que ça ne marche pas forcément à tous les coups.
07:38 Non, ça a marché, mais on voyait bien aussi qu'il y avait quand même de fortes divisions,
07:41 ne serait-ce que dans les fédérations des partis politiques de gauche ou écologistes,
07:45 ou même entre eux, ils n'étaient pas d'accord, certains ont perdu leur carte du parti.
07:49 Enfin bon, on sentait quand même que c'était très complexe.
07:52 C'était gênant pour les partis politiques ce moment-là ?
07:54 Oui, oui, oui, je pense que c'est une élection qui est gênante,
07:56 parce qu'on a d'un côté un ancien maire qui reste centre-gauche, même s'il n'est plus officiellement au Parti Socialiste.
08:02 On a en face un maire qui est plutôt centriste, qui a soutenu la ligne d'Emmanuel Macron,
08:07 avec une deuxième de liste qui est écologiste, élevé.
08:10 Bon, des communistes d'un côté, des anciens communistes de l'autre,
08:13 bon clairement, les lignes politiques, elles étaient brouillées.
08:16 Ce qui veut dire que dans le choix des électeurs, pour le coup, aucune identification possible politiquement.
08:21 C'est vraiment un choix personnel, pour ou contre, Schwarz.
08:24 Oui, ça ressemblait à un référendum, oui.
08:25 C'est ça, vous êtes d'accord.
08:27 Au bout du compte, qu'est-ce qui a fait la différence, vous l'avez évoqué, c'est ça ?
08:31 Cette orchestration, cette communication, plus que les projets qui étaient globalement similaires ?
08:37 Oui, d'autant qu'on a eu une campagne de fête assez rapide,
08:40 puisque la période estivale n'est pas forcément propice pour mener campagne.
08:44 On a essayé d'organiser un débat, TV Tour et La Nouvelle République, qu'on n'a pas pu organiser.
08:49 Bon, Sébastien Clément qui disait "je préfère la campagne de terrain", etc.
08:53 Mais on sentait que tout le monde était un peu mal à l'aise avec tout ça, et il fallait que ça aille vite, en fait.
08:57 Oui, il fallait que ça aille vite.
08:59 Parlons de notre travail, vous parliez de ce débat morné.
09:03 La campagne a été difficile, il y a eu des attaques personnelles, il y a eu des plaintes.
09:09 Dans ce contexte, comment on peut bien faire, alors je ne vais pas dire "non",
09:13 mais on peut quand même bien faire son travail,
09:15 il y a une vigilance accrue quand on est journaliste.
09:17 Oui, bien sûr, la difficulté en fait dans ce genre d'élection,
09:20 c'est de dépasser un petit peu les tambouilles politiciennes,
09:22 ou en tout cas les rendre audibles auprès de nos lecteurs et auprès des citoyens.
09:26 Donc c'est ça qui est compliqué, comme vous l'avez dit, les programmes au final étaient plutôt proches.
09:29 Sébastien Clément a été sur la liste de Wilfrid Schwarz précédemment,
09:33 donc politiquement il n'y a pas de grande différence entre eux,
09:35 c'est vraiment un enjeu de personne, et donc ça, il faut le faire comprendre,
09:38 sans que ça ressemble en effet à ce que je disais, à de la tambouille, et ce n'est pas simple.
09:42 Oui, Delphine ?
09:44 Oui, ce n'est pas simple, et c'est vrai que dans ce genre de situation où c'est assez tendu,
09:47 où personne n'ose trop s'exprimer publiquement,
09:50 nous on doit faire avec ce qu'on appelle le "off" dans le jargon,
09:53 c'est-à-dire que l'entourage des candidats, ou les larichois, ou d'autres personnes,
09:58 viennent nous parler mais ne veulent pas forcément apparaître au premier plan,
10:02 ou ne veulent pas qu'on les cite, etc.
10:04 Donc c'est vraiment pour nourrir toute notre approche de l'information,
10:08 et pouvoir la retranscrire de cette façon aux lecteurs.
10:12 En septembre, il y avait un autre scrutin, plus confidentiel, mais important,
10:16 les sénatoriales, cinq listes en ambre et en noir, neuf en noir et chair.
10:19 Voyez les nouveaux sénateurs du territoire qui s'affichent sur votre écran.
10:23 La totalité des sénateurs a été renouvelée sur notre territoire.
10:26 Alors on reviendra sur cette élection avec notre invité en troisième partie, Serge Babary.
10:30 Mais un commentaire tout d'abord, les amis.
10:32 En Indre-et-Loire, la droite cède un siège avec l'entrée de Pierre-Alain Roiron, par exemple,
10:36 maire de Langeais, conseiller régional PS.
10:38 Une surprise ou un rééquilibrage naturel avec les forces en présence sur le territoire ?
10:42 On peut parler d'un rééquilibrage.
10:44 C'est vrai que j'ai plutôt été marquée par le fait qu'on avait deux hommes, une femme,
10:49 dans l'Indre-et-Loire et qu'au final on se retrouve avec trois hommes,
10:52 deux hommes en noir et chair.
10:54 Et c'est vrai que c'est particulièrement marqué sur cette élection qui est au suffrage universel indirect.
10:58 Qu'est-ce qui se passe en fait ?
11:00 Les gens qui votent pour les sénateurs, ce sont les élus du territoire
11:04 et notamment les maires des petites communes qui sont nommés grands électeurs.
11:07 Eux-mêmes, dans leurs communes, n'ont pas d'obligation de parité sur leur liste.
11:11 Donc ce sont souvent des hommes qui sont les maires de ces communes
11:14 et peut-être de façon systémique, les hommes votent pour les hommes et donc on se retrouve…
11:17 C'était d'ailleurs un argument de la liste de la France Insoumise
11:20 qui était menée par Fanny Puel justement en disant
11:22 "on est la seule liste à avoir mis une femme en tête de liste".
11:25 Vincent Louot prend la suite de son père, aussi un sénateur, Pierre Louot,
11:28 qui ne souhaitait pas se représenter.
11:30 Il défend les couleurs du parti et d'Edouard Philippe.
11:32 Horizon, à l'image des fractures de la droite locale en fait, centre-droite et droite locale.
11:35 Exactement, là on avait deux listes de droite qui représentent bien les courants autour Angeau.
11:39 Donc Horizon plutôt centre-droite et en face Jean-Gérard Pommier
11:42 qui est plutôt au canal historique républicain.
11:45 Donc là c'est pareil, l'équilibre en fait se fait, si on parle de force politique,
11:49 on a en effet cet équilibre aujourd'hui en Touraine.
11:52 Jean-Gérard Pommier, vous le disiez, un grand vainqueur pour le coup,
11:55 parce qu'il a eu un quart des voix dans le département.
11:58 Alors un résultat de l'implantation, de l'influence historique, j'allais dire, de Jean-Gérard Pommier.
12:03 Il y a la question de sa succession qui se pose au département
12:07 parce qu'on ne peut pas cumuler un mandat de sénateur parlementaire
12:10 avec un mandat dans un exécutif local.
12:13 Le maire de Fondette a dit qu'il n'y allait pas, c'est à dire qu'il déolivérera.
12:17 La réunion a eu lieu hier avec les majorités du département.
12:20 C'est Nadège Arnault qui portera donc les couleurs de la majorité pour cette élection.
12:27 Nadège Arnault, on la connaît bien, Nadège Arnault ?
12:30 Non, on ne la connaît pas très bien, pourtant elle occupe quand même des responsabilités importantes,
12:35 première vice-présidente au conseil départemental.
12:38 Les affaires sociales, c'est quand même le budget le plus important du département.
12:43 Par contre, c'est vrai que c'est quelqu'un d'assez discret
12:45 qui ne se met pas forcément en avant d'habitude.
12:48 Donc c'est peut-être pour ça qu'il y a un petit déficit de notoriété.
12:51 Le tantôt, je voudrais bien qu'on aille du côté du Loir-et-Cher
12:54 avant de conclure cette page politique avec l'analyse des résultats des sénatoriales dans le Loir-et-Cher
13:00 occupées par Christophe Gendry, directeur départemental de la Nouvelle-République, au micro d'Hélène Chapelet.
13:05 La différence par rapport à l'Anne-Rédoire, c'est qu'en Loir-et-Cher, ce n'est pas un scrutin de liste.
13:09 Donc effectivement, les consignes politiques ne sont pas aussi importantes
13:14 que le rapport personnel que les candidats pouvaient entretenir avec les grands électeurs.
13:19 Bernard Piffer va représenter le nord du département,
13:21 Jean-Luc Brou, lui, dans le Comte-Roi et dans le Val-de-Cher.
13:24 Il est également assez implanté du côté de Romorantin grâce à son ami Jean-Yves Ranjou,
13:31 qui est le maire de Romaux et qui a sans doute pesé entre les deux tours
13:37 pour que l'issue, ce soit celle que l'on connaît.
13:39 Bernard Piffer, lui, va siéger très clairement aux côtés du président sortant Gérard Larcher.
13:45 Il appartient à la majorité LRUDI du département.
13:49 Jean-Luc Brou est un homme politique un peu plus inclassable.
13:54 Il se définit comme gaulliste de gauche et très clairement, la gauche,
13:59 des voix de gauche, il le reconnaissait lui-même, l'ont aidé à être élu.
14:03 Je pense peut-être que si Catherine Lheritier avait voulu être certaine d'être élue,
14:08 sans doute aurait-il fallu qu'il n'y ait qu'un candidat de sa famille.
14:12 Bon, Bernard Piffer en a aussi décidé autrement.
14:15 Il a souhaité le candidat et il est élu.
14:19 Donc, écoutez, c'est la loi des urnes qui a parlé.
14:23 – Allez, les sénatoriaux, ils lancent la question en troisième partie.
14:26 Mais pour tout de suite, c'est la pause.
14:28 On se retrouve dans quelques secondes avec des étoiles dans les yeux
14:31 et un parc moderne un petit peu moins rempli.
14:33 À tout de suite.
14:34 [Musique]

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