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00:00 Aurélie, on a l'impression que l'ADN de Real Madrid est encore là, les matchs se suivent et se ressemblent.
00:06 Est-ce qu'on peut le dire comme ça ?
00:08 Oui, comme d'habitude, on donne tout du début jusqu'à la fin.
00:11 On sait que dans un match, il y a des temps forts, des temps faibles, mais on a cette confiance,
00:15 on connaît nos individualités, on connaît notre collectif, on sait de quoi on est capable.
00:18 Donc on sait forcément qu'on va réussir à inverser la tendance, peu importe ce qui se passe dans le match.
00:22 J'imagine qu'il y avait un plan de jeu quand vous êtes entrés sur cette pelouse.
00:25 Vous avez été rapidement menés au score.
00:27 Qu'est-ce qu'on se dit dans la tête, sur le terrain, entre coéquipiers, pour essayer de revenir ?
00:32 On est restés calmes.
00:34 Comme vous avez pu le voir, on a marqué deux buts.
00:36 Après, on a su garder la tête froide.
00:39 On sait que ça fait partie du match.
00:41 Forcément, on espère encaisser moins de buts en début de match,
00:45 parce que ça va nous faciliter un petit peu plus la tâche.
00:47 Mais en tout cas, comme vous avez pu le voir, on a gardé confiance, on a poussé jusqu'au bout.
00:50 Même après ce 2-2, on savait qu'on allait avoir des occasions et on a gagné.
00:54 Le but, il est pour Valverde ou c'est un CSC ?
00:58 Parce qu'on m'a red'affondé ces cas.
01:00 Je crois que c'est le seul sur terre à dire que c'est Valverde.
01:02 Mais il n'a pas compris l'histoire de la transversale.
01:04 Je ne sais pas, il n'a pas très compris.
01:05 On en a parlé, mais je ne sais pas.
01:07 Je pense que les règles, c'est que si la balle touche la transversale,
01:10 que ça touche la tête du gardien, ensuite ça rentre.
01:12 C'est peut-être contre son camp, c'est ça ?
01:13 Il a dit que le gardien l'a touché avant.
01:15 Pour nous, c'est fait dès qu'il a remarqué.
01:17 Sans lui, forcément, il n'y a pas de troisième but.
01:20 Forcément, pour nous, c'est fait dès qu'il a remarqué.
01:23 On est content qu'il ait pu aider au moins à pouvoir gagner ce match.
01:26 Juste des nouvelles d'Edouard Duncan, un big-guy.
01:28 Je l'ai vu sortir, râler un petit peu.
01:30 C'était un peu tendu avec Carlo Ancelotti.
01:32 On a senti qu'il n'avait pas forcément envie de sortir
01:35 et qu'il avait autre chose à montrer peut-être aujourd'hui.
01:37 Dans le vestiaire, il était plutôt content.
01:40 Il était content que l'équipe ait gagné.
01:42 Après, tous les joueurs ont envie de jouer les 90 minutes.
01:45 Ça arrive à tout le monde de sortir pendant le match.
01:49 Après, je pense qu'ils ont une super relation avec le coach.
01:52 Demain, tout le monde va sourire.
01:53 Braga a créé la surprise à l'Union de Berlin.
01:55 Ce sera le prochain adversaire exactement dans les dernières secondes.
01:58 Ça promet un beau duel encore sur la troisième journée.
02:02 C'est ça. On sait qu'on a un groupe difficile
02:04 parce qu'il y a des très bonnes équipes qui sont un peu sous-estimées.
02:07 Mais en tant qu'équipe, on se doit de gagner tous les matchs.
02:11 Je ne sais pas si on va à Braga le prochain match.
02:13 On va là-bas.
02:14 Il va falloir qu'on gagne, faire le même boulot qu'on a fait aujourd'hui
02:17 et finir premier de ce groupe.
02:18 Vous réfléchissez aux matchs.
02:19 C'est vraiment les matchs les uns après les autres.
02:21 C'est ce qu'on dit dans le foot.
02:22 C'est vraiment ça.
02:23 Non, c'est ça.
02:24 Parce que là, il y a un match contre Osasuna qui arrive rapidement.
02:26 Quand on joue tous les trois jours,
02:28 on n'a pas le temps de se focaliser sur ce qui s'est passé avant.
02:30 On doit toujours aller de l'avant, qu'on gagne ou qu'on perde.
02:32 Aujourd'hui, on est content d'avoir fait le job.
02:34 Mais à partir de ce soir, il faut récupérer parce que le prochain match arrive vite.
02:36 Merci beaucoup. Bon retour.
02:37 Merci.